[Topic unique] Actualité Jeux Vidéos
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viennent de sortir sur le Gamepass aussi, pour les abonnés.
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idkfa
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J’ai dl la chose hier
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@Psyckofox a dit dans [Topic unique] Actualité Jeux Vidéos :
J’ai dl la chose hier
Chopé chez gog games
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Je l’ai pris sur Switch pour ma part .
La saga date de 93 et c’est toujours autant jouissif à jouer -
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Ubisoft dans la tempête
«Les mauvaises nouvelles s’enchaînent» : pourquoi Ubisoft s’effondre en Bourse
Assassin’s Creed Shadows et Star Wars Outlaws sont les deux principaux jeux d’Ubisoft cette année. UbisoftDÉCRYPTAGE - L’action de l’éditeur français de jeux vidéo a perdu 50 % de sa valeur en un an et flirte avec ses plus bas historiques.
Mettre le groupe en vente, remplacer le PDG et cofondateur, Yves Guillemot, et se séparer d’une part non négligeable des trente studios de production : tel est le remède de cheval proposé lundi par le fonds spéculatif slovène AJ Investments au conseil d’administration de l’éditeur français de jeux vidéo Ubisoft. « Nous vous écrivons pour exprimer notre profonde insatisfaction face aux performances du groupe », indique cet actionnaire qui détient moins de 1 % du capital d’Ubisoft. « Nous utiliserons tous les moyens légaux à notre disposition pour atteindre notre but », menace celui qui entend pousser la famille Guillemot à vendre son groupe à des fonds de private equity, ou bien à sortir Ubisoft de Bourse en rachetant, aux côtés de son allié chinois Tencent, les actions « à prix juste ». Il donne soixante jours au conseil d’administration pour agir, sous peine de rassembler autour de lui d’autres actionnaires minoritaires insatisfaits…
Article pour abonnés: https://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/les-mauvaises-nouvelles-s-enchainent-pourquoi-ubisoft-s-effondre-en-bourse-20240910
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Mon frère m’avait transmis les specs et de même, comme toi l’ami, nous attendons la chose avec impatience ^^
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Du Bethesda… je vote pour
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«Indiana Jones et le cercle ancien»: cinéma et jeu vidéo copains comme cochon
(le titre n’est pas de moi)
Énigmes, combats et grand spectacle se conjuguent comme si on avait à faire à un Spielberg grand cru.
Indiana Jones et la journaliste Gina Lombardi (à d.) sont arrivés en Égypte«Indiana Jones et le cercle ancien» n’est pas un sixième long métrage mettant en son cœur le célèbre archéologue génialement incarné par Harrison Ford. C’est un jeu vidéo. Il sort officiellement le vendredi 6 décembre, en accès anticipé, et, officiellement, le lundi 9. Une fois sa période de courte exclusivité Xbox passée, il sortira sur PlayStation 5 au printemps 2025.
C’est bien la première fois qu’on se sent en droit de l’affirmer aussi clairement: cet épisode se hisse à la hauteur du meilleur film Indiana Jones, soit «Les aventuriers de l’arche perdue» (1981). Et il surpasse de trois têtes les moins bons, notamment le dernier, «Le cadran de la destinée» (2023).
Le prologue du «Cercle ancien» donne le programme. Il est inspiré, plan par plan, par celui des «Aventuriers». Au point où on jurerait que c’est du Spielberg. Un Spielberg à son plus haut niveau créatif. Revivre la séquence nous a époustouflé, ce qui est un bon début: graphismes, animations, modélisation des acteurs, enchaînement des morceaux de bravoure… Seules les parties interactives nous rappellent que l’on est dans un jeu. Jamais mariage entre cinéma et pur divertissement numérique ne nous avait paru aussi abouti.
Ce prologue est en fait un souvenir. Indiana Jones se remémore d’une exploration récente alors que ce dernier a repris ses activités de professeur aux États-Unis. Un an est passé, nous sommes en 1937. L’éminent archéologue est sur le point d’être embarqué dans une aventure inédite. Elle commence par le vol d’un chat momifié égyptien qui va le conduire Indiana au Vatican. Il va y faire connaissance de Gina Lombardi, une journaliste qui l’accompagnera pour tout le reste de son aventure.
Et c’est là qu’on attendait le jeu au tournant. Allait-il tenir aussi bien la route en creusant son propre chemin? Parvenu au terme du récit, on est en mesure d’affirmer que malgré quelques réserves çà et là, la mission est largement accomplie. Car un genre ne semble pas sacrifié à l’autre. Beaux plans, soyeux cadrages, fins éclairages, superbes interprétations d’avatars se conjuguent aux éléments classiques d’un titre interactifs, façon «Tomb Raider». Ils ne se battent pas pour avoir la meilleure place, ils se renforcent.
Et puis, la modélisation d’Harrison Ford, quelle claque! Petite parenthèse à ce stade: sur toute la durée du jeu, on n’échappe pas à quelques incursions dans «la vallée de l’étrange» (uncanny valley), avec une représentation humaine proche de la perfection, mais qui sonne faux par moment sans que l’on parvienne vraiment à mettre le doigt sur ce qui ne colle pas. Les instants où on y croit sont pourtant largement supérieurs aux cas on l’on tique la moindre. La plupart du temps, on jurerait qu’Harrison Ford est de retour, avec son physique des années 80.
Une mention en passant sur les graphismes. Réalisés avec l’Unreal engine 5, ils sont magnifiques. Tant au niveau des détails, des textures, des animations, des éclairages et, encore une fois, avec un sens du cadre dans les parties narratives qui pourrait laisser croire qu’un Spielberg a repris du service. Et puis, la musique, johnwilliamesque en diable, se déploie subtilement, en menant sa barque, mais aussi avec tous les rappels mélodiques espérés.
De nombreuses fouilles sont disponibles. Ici à Gizeh et environs.«Le cercle ancien» conduit Indiana donc au Vatican, par la suite au pied des pyramides à Gizeh. Et dans d’autres lieux insolites et grandioses qu’on vous laissera découvrir. Chacune de ces zones est infestée de chemises noires ou de nazis qu’il s’agira d’éviter ou de combattre afin de parvenir à réaliser ses objectifs. Parmi eux, la découverte de cavernes, salles cachées, protégées par des mécanismes secrets et pièges charmants. Indiana Jones manie le stylo (pour prendre des notes), des poings (pour infliger des mornifles) et du fouet (pour varier les plaisirs et grimper vers des endroits escarpés).
Le jeu impose de mener à bien les quêtes principales, mais laisse le choix de compléter ultérieurement les quêtes secondaires optionnelles. Et libre à nous, une fois parvenu à la conclusion du jeu, de revenir dans les régions déjà parcourues. Ces derniers restent accessibles même après «The End». Les missions secondaires étant loin d’être bâclées, on y retourne volontiers. On s’est même fait surprendre par certaines pour leur qualité. Le jeu sait en outre adapter sa difficulté à une large frange de joueurs.
Chacun des biomes à explorer, il y en a sept en tout, est vaste, déborde d’activités variées et ne laisse jamais l’impression que les choses se répètent. On a même le sentiment que chacun des lieux visités a sa propre cohérence et sa propre logique. C’est pourquoi le jeu semble long, mais jamais répétitif.
Si on devait émettre une réserve, qui ne se rapporte pas au gameplay, ce serait le gimmick (ou le McGuffin) final. Dans «Les aventuriers de l’arche perdue», c’était l’ouverture du coffre contenant les Dix Commandements, dans «Le cercle ancien», c’est… autre chose. Pour le grandiose, ça passe, mais pour la crédibilité, même avec la suspension consentie de l’incrédulité (qui est de rigueur), c’est un peu gras du bide.
Mais qu’importe, «Indiana Jones et le cercle ancien» nous a apporté tant de satisfaction ludique et visuelle qu’on ne se formalisera pas de cette incapacité à surpasser la conclusion originale des «Aventuriers». D’ailleurs, aucun des films qui ont suivi n’y était vraiment parvenu.
Quasi dernier arrivé dans le calendrier 2024, «Indiana Jones et le cercle ancien» est notre jeu de l’année.
«Indiana Jones et le cercle ancien», ed. Bethesda Softworks, dev. MachineGames, un joueur, sortie officielle le 9 décembre 2024 sur Game Pass (PC et console), Windows (applications Xbox et Steam) et sur Xbox Series. Sur PS5 en 2025. Testé sur Steam.
Source et plus: https://www.lematin.ch/story/gaming-indiana-jones-et-le-cercle-ancien-cinema-et-jeu-video-copains-comme-cochon-103231695
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