[Topic Unique] Les films que vous avez aimés et adorés
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Surement oui , jusqu’à ce que TantePony s’en approprie pour le nanarder…
https://www.nanarland.com/chroniques/aux-portes-du-nanar/polemique/mission-impossible-2.html
J’ajouterais aussi que les effets visuels dans cet opus ressemblent plus à de la peinture réalisé par un Picasso ivre comme un polonais qui a provoqué un grave accident de la route, sans bien entendu vouloir tout mettre sur le dos du réalisateur!
D’ailleurs, je me souviens avoir bazardé le dvd avec d’autres babioles d’enfance lors d’un don de bienfaisance à un orphelinat…
Par contre, celui de De Palma est un succès à tel point qu’il sera peut être dans mon top 5 des films que je regarderais ce week-end.
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Je partage à 100% la critique de TantePony très bien résumée dans cette phrase :
“[MI2] un blockbuster au style outrancier, kitsch parfois, voire caricatural, mais divertissant au premier degré et, en définitive, guère plus nanar qu’un bon James Bond dont le spectateur devinerait les ficelles sans pour autant le tourner en dérision.”
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Rappelle toi un peu l’époque ou est sorti le film, c’était juste dément. Je me rappelle en avoir plein la tronche au ciné
Ce n’est pas le meilleur John Woo et de loin (je les ai presque tous vu) mais pour un film de commande, c’était assez WTF pour l’époque.@fel1x1a a dit dans [Topic Unique] Les films que vous avez aimés et adorés :
@Violence
Surement oui , jusqu’à ce que TantePony s’en approprie pour le nanarder…C’est bien beau de sortir des liens mais pour le coup, dire que c’est un nanard parce qu’un gugus l’a décrété dans une critique… OSEF
Le mec de nanarland à surement oublié ce qu’est un nanard en écrivant sa critique. (un comble) et le monsieur arrive à se contredire de toute part. Ouchhh
Pollux l’a bien souligné.
Bref, je ne vais pas m’étaler pour si peu.
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Après avoir été viré des Marines, James Harper rejoint une organisation paramilitaire afin de subvenir aux besoins de sa famille. Il se rend en Pologne avec une équipe d’élite dans le cadre d’une mission visant à enquêter sur une menace mystérieuse. Mais Harper se retrouve seul et traqué au beau milieu de l’Europe de l’Est. Il va devoir se battre pour rester en vie assez longtemps afin découvrir les raisons de ceux qui l’ont trahi.
J’ai bien aimé.
Bon petit film d’action/infiltration, réaliste, crédible malgré un final un peu bâclé. -
Perso moi John Woo et ses colombes, pigeons, les 2 gun, les carnages à gogo, chow yun fat etc etc…je dis juste un grand OUI.
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Oui j’ai bien aimé CONTRACTOR , par contre pas aimé son autre film : Le Couteau par la lame
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…
C’est bien sympa de vouloir défendre John Woo en tirant à balles réelles sur son persifleur sauf que là tu tiens ton
arme à l’envers!Il suffit d’ouvrir le lien pour constater que Pollux a confondu les remarques de “TantePony” avec celles de “Nikita” qui ne fait que plus ou moins contredire les siennes, et si vous voulez mon avis, je trouve les deux critiques, assez intéressantes!
Bien sur que dans le genre “action” MI:2 a certainement du plaire à pas mal de gens lors de sa sortie.
En fin de compte, McQuarrie a très bien repris le flambeau de la saga pour la marquer encore de son empreinte pour au moins les cinq prochaines années…
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Tu as raison Felixia, désolé j’ai mélangé les 2 critiques.
TantePony a bien pointé les extravagances du film et les trucs un peu ridicule, mais je suis d’accord avec Nikita pour dire que ca n’en fait pas un nanar pour autant.
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Non mais si on suit la logique… la plupart des blockbusters d’action sont des nanards et que dire des suites qui sont assez débiles
@…
D’ailleurs la critique annonce la couleur en parlant de snobisme des le départ.
Ce que j’appelle un nanard c’est en gros les séries Z ou la série Z en pire (en gros).
C’est cela qui me flingue, comment peux t’on a ce point là ne pas faire une différence et par dessus le marché me prendre pr un ***
Alors peut être que je prends cela trop a coeur j’en conviens mais pour moi c’est une passion, non un passe temps, cela à le don de me hérisser les cheveux sur la tête…
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Je pense en effet que tu le prends trop à cœur, mais ce n’est pas moi qui te jetterai la pierre parce que je sais que je suis parfois aussi un peu trop passionné.
Ne pas oublier que le cinéma comme l’art en général fait appel avant tout au ressentit et que donc son appréciation ne peut être que subjective.
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Il m’arrive des fois de défendre un film très mal noté et pourtant pour moi est une pépite.
Tiens un petit hors sujet, sur le classement des meilleurs “Jurrasic Park”, le 3 avec Sam Neill est pratiquement classé dernier et pourtant pour moi, il est dans mon number two dans mon cœur lol (Jurrasic Park premier du nom étant le meilleur, un chef d’œuvre)Édit. En me relisant, j’ai l’impression que que j’ai fait un HS
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La ballade de Buster Scruggs
La ballade de Buster Scruggs est un western d’anthologie en six volets mettant en scène les légendes du Far West. Chaque chapitre est consacré à une histoire différente de l’Ouest américain.
De Joel Coen et Ethan Coen
Mon avis: six petites histoires se déroulant dans le far west, de l’incroyablement invraisemblable, ridicule, déjanté, drôle, tordu, imprévisible, en allant vers le sérieux et le dramatique, des images super léchées, des paysages superbes, des cadrages splendides. À adorer ou à détester, voire les deux, il n’y aura pas de milieu.
Rien à voir avec les stéréotypes Hollywoodiens, ni avec le moindre super-héro, ou les soucis quotidiens. -
Avé César !
La folle journée d’Eddie Mannix va nous entraîner dans les coulisses d’un grand studio Hollywoodien. Une époque où la machine à rêves turbinait sans relâche pour régaler indifféremment ses spectateurs de péplums, de comédies musicales, d’adaptations de pièces de théâtre raffinées, de westerns ou encore de ballets nautiques en tous genres.
Il règle à la chaîne le pétrin dans lequel les artistes du studio ont l’art et la manière de se précipiter tous seuls. En plus de sortir une starlette des griffes de la police, ou de sauver la réputation et la carrière de DeeAnna Moran la reine du ballet nautique, Eddie Mannix va devoir élucider les agissements louches du virtuose de claquettes, Burt Gurney. Cerise sur le gâteau, il a maille à partir avec un obscur groupuscule d’activistes politique qui, en plein tournage de la fameuse superproduction biblique AVE CÉSAR lui réclame une rançon pour l’enlèvement de la plus grosse star du Studio, Baird Whitlok. Le tout en essayant de juguler les ardeurs journalistiques des deux jumelles et chroniqueuses ennemies, Thora et Thessaly Thacker. La journée promet d’être mouvementée.De Joel Coen et Ethan Coen
Mon avis: Film à l’ancienne de grand cru, genre chantons sous la pluie, mais bien plus alambiqué. Une belle surprise malgré quelques scènes superflues. Et un Georges Clooney grandiose.
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The Devil’s Advocate (1997)
Dans ce film, le personnage principal, (Keanu Reeves) est un avocat de la défense qui adhère sans relâche à la stratégie de gagner.
Au fur et à mesure que ses dossiers de défense progressent, il n’hésite pas à franchir les obstacles éthiques qui se dressent sur son chemin.La situation me rappelle l’histoire de Narcisse, qui était tellement hypnotisé par sa propre image miroir, que son
esprit déformé a poussé à se suicider en découvrant que l’image n’était qu’une tromperie illusoire.C’est son propre ego qui l’a trompé et l’a trompé jusqu’à la fatalité.
Par conséquent, le film m’a frappé comme un réveil alarmant pour l’humanité.
Le message étant : Nous devenons des monstres psychopathes dans notre révérence obsessionnelle des images de vanité.
En d’autres termes, en étant à la fois répandue et préjudiciable, c’est la vanité qui tue et tourmentel’humanité.
“Le narcissisme est le tueur numéro un de notre pays et il n’y a pas de remède connu…”Tout comme Narcisse, Kevin se tue également une fois qu’il se rend compte qu '“il s’est fait avoir” par le diable en ce sens qu’il a gaspillé sa vie à poursuivre une vaine image fantôme de lui-même…
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Patrick est un avocat indépendant travaillant à Paris. Spécialiste en droit de l’environnement, il essaie de rester honnête et cherche à faire éclater la vérité. De son côté, Mathias est un brillant jeune lobbyiste œuvrant pour Phytosanis, puissante entreprise agrochimique. Ouvrière militante, France est quant à elle activiste au sein d’un collectif anti-pesticides dénonçant notamment le Tétrazine, produit par Phytosanis. Ces trois personnes sont amenées à se croiser et vont être bouleversées par une terrible enquête sur les OGM et les pesticides.Film engagé et militant, bien interprété, même si je trouve G. Lellouch pas totalement investit.
Il manque un peu de rythme et le climat est un peu sombre à mon goût mais le scénario est excellent, amha une bonne vision du rôle et du fonctionnement des cabinets conseils et autres lobbyistes. -
Hello les gens,
Comme @Violence l’a relevé dans ma prez ^^
Ma dernière perle cinématographique est :
TOUT PARTOUT TOUT À LA FOIS / Everything Everywhere All at Once : IMDBJ’ai adoré ce film pour son casting, son ambiance et l’explosion d’un grand délire sur le multiversel, j’ai preferé ce film à The One avec Jet li, et je les préfèrent tout les deux au dernier Dr Strange. Faut dire que j’adore les chinoiseries ^^
Dèjà grand fan de tout les films de Michelle Yeoh depuis Le flic de Hong-kong 2 réalisé par Sammo Hung en 1985. et surtout depuis Wing Chun réalisé par Yuen Woo-ping en 1994, où elle partage l’affiche avec Donnie Yen.
Je n’ai eu qu’un regret dans sa filmographie : Babylon AD à cause de la présence d’un Vin Diesel au plus haut de sa bêtise, as-t-il compris le film ?? sinon j’ai adoré l’histoire et le graphisme de ce film de Mathieu Kassovitz… Et j’ai pourtant aimé Vin Diesel dans ses Pitch Black, mais bon…
Vivement son prochain film
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J’ai beaucoup kiffé aussi…
Très bonne production A24 comme d’habitude je dirais, Michelle est parfaite, film pleine d’inventivité et de recherche visuelle.
Gros coup de cœur aussi…
EDIT : Liens d’une interview des réalisateurs et critique complète
https://planete-warez.net/topic/1844/critique-everything-everywhere-all-at-once
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Le sommet des Dieux 2021
A Katmandou, le reporter japonais Fukamachi croit reconnaître Habu Jôji, cet alpiniste que l’on pensait disparu depuis des années. Il semble tenir entre ses mains un appareil photo qui pourrait changer l’histoire de l’alpinisme. Et si George Mallory et Andrew Irvine étaient les premiers hommes à avoir atteint le sommet de l’Everest, le 8 juin 1924 ? Seul le petit Kodak Vest Pocket avec lequel ils devaient se photographier sur le toit du monde pourrait livrer la vérité. 70 ans plus tard, pour tenter de résoudre ce mystère, Fukamachi se lance sur les traces de Habu. Il découvre un monde de passionnés assoiffés de conquêtes impossibles et décide de l’accompagner jusqu’au voyage ultime vers le sommet des dieux.
Mon avis: Même si on déteste la montagne et l’alpinisme, on ne peut pas rester insensible à cet animé dont le troisième pilier est une enquête. Magnifiquement réalisé, jamais de lenteur ou de lourdeur, tout y est montré sans donner la moindre leçon. Que du bonheur…