[Topic Unique] Les films que vous avez aimés et adorés
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Je plussoie…vu au moins 6 fois pour dire
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Je plussoie aussi.
Je l’ai vu pas mal de fois aussi. The rock en cocainoman est juste excellent dans ce film…(son meilleur jeu pour moi)
Et Mark Wallberg limite dans son propre rôle ha ha quand tu sais la fixette qu’il fait sur les pec dans la vraie vie…
Et Michael Bay montre le meilleur de lui même quand il ne fais pas de gros blockbuster écervelé… J’avais bien aimé aussi dans une moindre mesure 6 underground…
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Rarement eu autant d’émotions et d’attachement avec les animés suivants:
Le garçon et la bête
Sensibilité, poésie, sagesse, action, amitié, amour, humour, fantastique, parcours initiatique, crise d’identité.
Tout y est !
Your name
D’une sensibilité extrême et d’une infinité beauté
Les enfants du temps
Idem que Your name.
Makato Shinkai est de loin l’artiste le plus bandant à suivre actuellement avec Mamoru Hosada.
Le tombeau des lucioles
Putain sans déconner, je chiale tout le temps devant ce film (ouai ouai )
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@violence Alors, il faut absolument que tu voies un été avec Coo (2h18 de bonheur).
Et Ame et Yuki, les enfants loup
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Perso la première fois, j’avais maté ça avec mes frères quand j’étais gosse, et j’ai versé une sacrée larme mais que j’ai vite essuyé de ma joue lol (merde, mes frères m’auraient sacrément chambré si ils m’avaient grillé entrain de chialer lol)
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@psyckofox J’habite seul je vais pouvoir chialer comme une madeleine tranquillou, merci les gars pour cette liste, je m’y mets ce WE.
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Surtout vu le contexte actuel. Le tombeau des lucioles est d’une déchirance extrème.
Franchement, il me prend aux tripes. Si tu as une progéniture, c’est encore pire.
Rare sont les films que me créée ces sensations. Que j’aime le cinéma pour cela. Il fait partie des films qui ont créé un choc dans mon expérience cinéphilique. Il y en très peu et celui-là en fait clairement partie.
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Le tombeau des lucioles a été pour moi le déclencheur vers le visionnage d’autres animes japonais, jamais auparavant je n’aurais consacré 5 minutes devant quelque chose que j’assimilais a un machin passant au club Dorothée (j’avais déjà largement passé l’âge de ces conneries, désolé pour les fans en culottes courtes de l’époque), s’en est suivi quelques ghibli qui m’ont ouvert les yeux et littéralement cloué momentanément sur la production japonaise de qualité (j’avais beaucoup de retard à rattraper).
Et maintenant, je traque les rares perles de ce genre.Voici une liste incomplète qui ne concerne pas les séries et largement digne d’intérêt:
5 centimètres par seconde
Amer beton
Cowboy beebop
Dans un recoin de ce monde
Eden of the east
Flavors of youth
Heaven and Earth
I want eat your pancreas
Je peux entendre l’océan
Jun, la voix du coeur
Kenshin le vagabond (déchirant avec une musique à tirer des larmes à un caillou)
Kié, la petite peste
La forêt de Miyori
La forêt des lucioles (pas le tombeau)
Le garçon et la bête
Le pilote et la princesse
Les enfants du temps
L’ile de Giovanni (historique)
Ame et Yuki, les enfants loup
La tour au delà des nuages
La traversée du temps
Lettre a Momo
Lettre a Memna
Lou et l’île aux sirènes
Mary et la fleur de sorcière
Mai Mai miracle
Memories
Mes voisins les Yamada
Metropolis
Millenium actress
Mirai
Orbital
Origine
Over the moon
Paprika
Patema et le monde inversé (gare au torticoli)
Perfect blues
Rêves éveillés
Ride your wave
Robot carnival
Si tu tends l’oreille
Souvenirs goutte à goutte (nostalgie du bon vieux temps)
Summer Wars
Time of eve
The garden of words
The sky crawlers
Tokyo godfather
Uchiage Hanabi, Shita kara Miru ka Yoko kara Miru ka - Fireworks
Un été avec Coo (tout simplement génial)
Vexille
Visions d’Escaflowne
Wonderland, le royaume sans pluie
Yakusoku no Nanaya Matsuri - Starlight Promises
Your NameYamada, ma première fois (série courte, carrément un cours sur l’amour et le sexe d’une intelligence et d’un humour rare)
Rent a girlfriend (série courte)
Toutes les séries de qualité, il y en a un trop grand nombre et pour tous les goûts…Et tous les Miyasaki et autres grands maîtres.
Cette liste ne contient pas de mecha ou autres délires violents ou non.
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En 1983, David Cronenberg est déjà le plus illustre représentant de la body horror. Et s’il est un peu calmé après Chromosome 3 avec le presque mainstream Scanners, ce nouveau projet va lui permettre de jongler entre l’auteurisme et la série B, le sexe et le gore, le cérébral et l’animal, alors même qu’il s’agit du plus gros budget de sa carrière et de son premier film de studio.
Il rédige le script en développant trois points d’ancrage : le souvenir de ses fantasmes masturbatoires de gosse, lorsqu’il captait sur sa télé des chaînes brouillées dont il imaginait le contenu comme l’expression de sa libido ; le débat qui fait rage à l’époque sur les limites de ce qu’on peut montrer en matière de sexe et de violence à la télévision ; et les théories d’un sociologue des médias qui ont marqué sa période universitaire.
Le premier jet du scénario atteint de tels sommets en termes d’horreur graphique que le cinéaste doit tailler dans le lard, conscient qu’il risque de voir son film classé X et qu’il n’aura de toute façon jamais assez d’argent pour produire des effets spéciaux impliquant des organes génitaux surgissant de plaies ouvertes ou une main transformée en grenade explosive.
Pas grave : ce qui subsiste à l’écran tient du jamais vu, le réalisateur prenant même le risque de s’aliéner le public en faisant d’une crapule le héros de son film :
Max Renn, le directeur d’une chaîne câblée spécialisée dans le porno soft et la violence, qui décide d’aller encore plus loin dans sa programmation après être tombé sur une émission pirate où des « candidats » sont assassinés en direct après des séances de tortures S&M.
Du snuff pur jus qui, à forte dose, finir par provoquer des hallucinations chez Max : son corps se retrouve capable d’avaler des cassettes Betamax comme un magnétoscope via une plaie béante dans son abdomen, il enfonce son arme en lui comme s’il forçait son anus pour y introduire un objet dans un mélange de douleur et de plaisir… Des effets spéciaux inédits, signés par le grand Rick Baker. Il est beaucoup question de pénétration dans Vidéodrome, mais surtout de stimulation visuelle et de son effet sur le corps comme sur l’esprit : le procédé fonctionne d’ailleurs autant sur le spectateur que sur Max Renn grâce aux airs dépravés de la belle Debbie Harry, et Cronenberg s’en sert comme élément central d’une critique un peu foutraque mais néanmoins gratinée de la télévision (ce n’est pas un hasard si le scénario s’est d’abord appelé Network in Blood).
Beaucoup moins intello et beaucoup plus drôle tout en restant sacrément tordu, Society fait exploser tout ce que Brian Yuzna producteur avait esquissé dans Re-Animator et From Beyond : aux portes de l’au-delà, à savoir une passion pour le sexe contre nature.
Ce penchant s’exprime cette fois dans un environnement directement inspiré de la série Beverly Hills, avec un ado qui découvre que ses parents se livrent à des orgies échangistes et incestueuses avec sa petite sœur et leurs riches amis.
Les corps se tordent dans tous les sens, adoptent des postures aussi obscènes qu’inhumaines, mélangent leurs chairs qui se déforment de façon abominable, une bouche devient une sorte de trompe qui suce les fluides corporels s’échappant d’un cadavre encore chaud…
Au-delà d’une comédie gore et malsaine aux maquillages totalement dingues (assurés par Screaming Mad George), Society est une attaque hargneuse et viscérale symboliquement puissante contre la bourgeoisie américaine, qui tutoie le sublime lorsque le héros plonge la main à l’intérieur du corps de son psy pour le retourner comme un gant, exposant au grand jour sa laideur intérieure et, à travers son geste, celle de tout un pays qui se cache derrière ses valeurs morales pour mieux les bafouer à l’abri des regards.
Rarement film aura autant mérité l’appellation « body horror » que le monument transgressif de Brian Yuzna.
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Du David Cronenberg c’était quelque chose.
La plupart du temps ces films étaient présentés au festival D’avoriaz (quand je bouffais encore mes crottes de pif lol) -
Pour sa quatrième aventure, l’inspecteur John McClane se trouve confronté à un nouveau genre de terrorisme. Le réseau informatique national qui contrôle absolument toutes les communications, les transports et l’énergie des Etats-Unis, est détruit de façon systématique, plongeant le pays dans le chaos. Le cerveau qui est derrière le complot a tout calculé à la perfection. Ou presque… Il n’avait pas prévu McClane, un flic de la vieille école qui connait deux ou trois trucs efficaces pour déjouer les attaques terroristes.
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Limbo est le fruit d’une nouvelle collaboration entre Wilson Yip (en mode producteur) et du réalisateur Soi-Cheang, après SPL2 en 2015.
Passé inaperçu pour cause du COVID, ne vous y trompez pas, ce film est simplement sublime et crasseux, peut être l’une des grosses claques majeures de 2021 et ce serait dommage de ne pas le visionner.
Basé sur le roman « Wisdom Tooth » de l’écrivain chinois Lei Mi, Limbo suit l’enquête désespérée de Will Ren (Mason Lee) fraichement sortie de l’école de police et de son partenaire, le policier vétéran Cham Lau (Gordon Lam), centré sur tueur en série s’attaquant aux femmes. Pour attirer ce tueur « fétichiste des mains », ils utilisent comme appât la meurtrière Wong To (Yase Liu), qui doit expier pour avoir causé un accident impliquant la famille de Cham. Mais cette jeune femme est à la fois insoumise et imprévisible. Craignant de devenir la prochaine victime du tueur en série, elle va tenter de survivre par ses propres moyens dans le bidonville dans lequel elle est piégée.
Une bande-annonce a spécialement été mise en ligne en même temps que l’annonce de la sélection à la 71e édition de la Berlinale 2021.
Petite critique d’un lecteur Allo-ciné que je partage :
EDIT: Dispo en VOSTFR sur le web
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Je suis allé le voir avec mon fils aujourd’hui et honnêtement on a passé un super moment, beaucoup plus divertissant que le premier qui m’avait laissé un petit goût d’inachevé.
L’humour fonctionne (Jim Carrey se fait grave plaisir dans le rôle de Eggman déjanté), les effets spéciaux cartonnent et le monde de Sonic est largement mieux exploité.
Pour ceux qui veulent le voir rester un peu pendant le générique y’a une surprise
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The Batman
De Matt Reeves
Avec :
Robert Pattinson (Bruce Wayne / Batman)
Zoë Kravitz (Selina Kyle / Catwoman)
Paul Dano (Edward Nashton / The Riddler)
Jeffrey Wright (Lt. James Gordon)
John Turturro (Carmine Falcone)
Colin Farrell (Oz/Le pingouin)
SYNOPSIS :
Deux années à arpenter les rues en tant que Batman et à insuffler la peur chez les criminels ont mené Bruce Wayne au coeur des ténèbres de Gotham City. Avec seulement quelques alliés de confiance - Alfred Pennyworth, le lieutenant James Gordon - parmi le réseau corrompu de fonctionnaires et de personnalités de la ville, le justicier solitaire s’est imposé comme la seule incarnation de la vengeance parmi ses concitoyens. Lorsqu’un tueur s’en prend à l’élite de Gotham par une série de machinations sadiques, une piste d’indices cryptiques envoie le plus grand détective du monde sur une enquête dans la pègre, où il rencontre des personnages tels que Selina Kyle, alias Catwoman, Oswald Cobblepot, alias le Pingouin, Carmine Falcone et Edward Nashton, alias l’Homme-Mystère. Alors que les preuves s’accumulent et que l’ampleur des plans du coupable devient clair, Batman doit forger de nouvelles relations, démasquer le coupable et rétablir un semblant de justice au milieu de l’abus de pouvoir et de corruption sévissant à Gotham City depuis longtemps.
Source : AlloCiné.fr
Avis perso:
J’ai tous simplement aimé le film.
Film naviguant entre polar très sombre (sens propre et figuré) et un seven.
Un Paul Dano dans le rôle du Riddler qui m’a bluffé (comme toujours d’ailleurs).
Non j’étais vraiment agréablement surpris par ce long métrage…vivement une suite (d’après la fin, c’est fort probable) -
Perso j’ai trouvé très moyen, tous les ingrédients sont présent mais la sauce ne prend pas, de mon point de vue on est loin d’un Seven.
Je crois que je n’en retiendrai que la petite Kravitz et le morceau de Nirvana. -
Ouai énorme film @Psyckofox !
Pour moi de loin le meilleur et le plus fidèle des Batman…
J’ai pris un pied d’enfer dans cette Gotham…
Puis cette photographie de malade dans les ton rouge, orange est juste magnifique… Même les jeux de lumière dans la boîte sont excellents…Concernant Paul Dano, j’ai mis une petite interview dans la section cinéma et d’autres d’ailleurs très intéressante!!
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tudikoi Ciné-Séries Club Rebelle Windowsien Torrent user DDL PW Addicta répondu à Psyckofox le dernière édition par tudikoi
@psyckofox a dit dans [Topic Unique] Les films que vous avez aimés et adorés :
The Batman
Avis perso:
J’ai tous simplement aimé le film.
Film naviguant entre polar très sombre (sens propre et figuré) et un seven.
Un Paul Dano dans le rôle du Riddler qui m’a bluffé (comme toujours d’ailleurs).
Non j’étais vraiment agréablement surpris par ce long métrage…vivement une suite (d’après la fin, c’est fort probable)Avis perso :
Sérieux ??? t’as aimé ce batman dépressif joué par un acteur qui a autant de présence qu’un poisson rouge comme sa prestation dans Twilight… il arrive pas à la cheville de Christian Bale et le film est à la cave par rapport à la trilogie de Nolan
PS : donnez-moi l’adresse de votre dealer pour que je l’évite (elle a pas un effet terrible) ^^
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Avis perso, les Batman de Nolan, c’était pas du tout ma tasse de thé (je sais pas j’ai pas du tout accroché)…sauf pour le 2 qui sortait du lot (merci à Heath Ledger et son interprétation du Joker)…mention spéciale au dernier Batman de Nolan qui était une purge sans nom lol.
Contrairement The Batman, je sais pas j’ai accroché direct à l’atmosphère sombre, la ville de Gotham, le côté dépressif et meurtri de Bruce Wayne / Batman, Le sphinx, Falcone, Le pingouin (bravo à Colin Farrell sur le coup) et Catwoman.
Avant il y’avait pour moi, Batman le défi de Tim Burton et maintenant il y’a Batman le défi et The Batman .