[Topic Unique] Actualités cinéma & séries
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@Psyckofox a dit dans [Topic Unique] Actualités cinéma & séries :
@Violence a dit dans [Topic Unique] Actualités cinéma & séries :
d’autres
En même temps j’ai pas trop le choix, les gosses me tannent sans cesse pour mater la série en famille lol
lolilol
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Hadès Trolls DDL Pastafariste Rebelle Windowsien PW Addict Membrea répondu à duJambon le dernière édition par
Je ne l’ai pas encore vu mais je crains le pire …
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ha ba c’est tjrs moins pire que ce qu’à fait Marvel jusqu’ici
Par contre, les fans pur et dur de Marvel habitués/lobotomisés à la soupe qu’on leur sert depuis plusieurs années sont tous en train de chialer sur le web haha !!!
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Indiana Jones 5
La star américaine Harrison Ford a dévoilé samedi la nouvelle bande-annonce du très attendu cinquième volet de la saga Indiana Jones au deuxième jour du festival «D23 Expo» organisé par Disney près de Los Angeles.
À 80 ans, l’acteur a été ovationné par quelque 6000 personnes au palais des congrès d’Anaheim, en Californie, lors de la présentation du teaser de ce nouvel Indiana Jones, qui met également en vedette Phoebe Waller-Bridge.
«Je suis très fier de dire que celui-ci est fantastique», a déclaré Harrison Ford, visiblement très ému. «Et voici l’une des raisons», a-t-il ajouté en désignant Phoebe Waller-Bridge. «Suivre ce type est épuisant», a répondu l’actrice britannique.
En vrac:
Lucasfilm a par ailleurs dévoilé une bande-annonce pour sa populaire série de westerns spatiaux «The Mandalorian», en présence des acteurs Pedro Pascal, Giancarlo Esposito et Katee Sackhoff. Autre temps fort, la bande-annonce de la prochaine série Star Wars, «Andor», qui raconte l’histoire d’une rébellion contre l’empire.
Marvel Studios a également levé le voile sur la deuxième saison de la série «Loki», avec Tom Hiddleston, venu de Grande-Bretagne où les épisodes sont tournés. Enfin, équipés de lunettes 3D, les participants ont pu s’immerger dans le monde d’«Avatar: La voie de l’eau», la suite tant attendue d’Avatar de James Cameron.
Disney annonce une suite à son film d’animation à succès «Vice Versa» et en présentant un nouveau long-métrage, «Wish», qui sortira pour ses 100 ans l’an prochain.
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The Mandalorian Saison 3
Dans la saison précédente Din a enfreint le protocole mandalorien en enlevant son casque deux fois : une fois pour sauver Grogu et une fois pour dire adieu à l’adorable bébé vert Jedi. Cela n’a pas été très bien accueilli par son peuple, en particulier Bo Katan (Katie Sackhoff) et l’armurier (Emily Swallow), qui insiste: “Vous n’êtes plus un Mandalorien.” Bo Katan convoite le sabre noir que Din a remporté en battant Moff Gideon (Giancarlo Esposito) au combat, ce qui fait de lui techniquement le dirigeant de Mandalore.
Din semble beaucoup plus intéressé à parcourir la galaxie avec Grogu qu’à s’asseoir sur un trône, bien qu’il souhaite retrouver les bonnes grâces mandaloriennes…
Mesdames, Grogu reviens
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Je dirais plutôt l’horrible GrogU ha ha (franchement il était ridicule, mal animé, jamais compris que les pseudos fans ait kiffé cette chose )
Merci Disney, vous êtes vraiment trop fort pour défoncer des franchises iconiques.
Tant que les gens boirons sans sourciller du mauvais gout, ça ne changera pas.
–> Par contre pour Indiana Jones 5, à la vision de ce teaser, ils m’ont tout l’air de revenir aux sources et ça c’est cool parce que le quatrième opus était une catastrophe intersidérale. Mais avec Disney, j’ai appris à me méfier avec le temps même si l’excellent James Mangold mène la barque…
Wait and see
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Beast
Dans le genre touffu du film d’attaque animale inauguré jadis par Les Dents de la mer, le lion se fait finalement assez rare, même s’il connut son heure de gloire avec Roar (tourné avec de vrais fauves qui firent 70 blessés parmi l’équipe) et l’Ombre et la proie de Stephen Hopkins, peut-être le plus beau film d’aventure des années 1990.
Contre toute attente et toutes proportions gardées, Beast vient s’imposer comme son seul digne successeur en prenant la forme d’un survival aux allures de slasher, le tout teinté d’un message écolo bien senti et jamais envahissant. Nate (Idris Elba, impeccable), veuf et médecin de profession, emmène ses deux filles en safari photo en Afrique du Sud. L’occasion pour lui de renouer avec elles, les adolescentes lui reprochant la mort de leur mère emportée par un cancer. Accompagnés par un vieil ami de Nate (Sharlto Copley dans un rôle très attachant), ils s’enfoncent dans la brousse à bord d’un Land Rover, ignorant qu’un lion mangeur d’hommes a massacré des braconniers et tous les habitants d’un village voisin.
Outre sa narration dégraissée au maximum qui enchaîne les morceaux de bravoure et ses lions numériques au réalisme saisissant, la grande force de Beast réside dans le talent de Baltasar Kormä kur, rompu au thème de l’Homme contre la Nature qu’il avait déjà brillamment exploré dans Survivre, Everest et À la dérive.
Fluide et nerveuse, sa mise en scène s’appuie sur de longs plans séquences ponctués de cadres fixes sur lesquels la caméra s’attarde pour faire monter la tension. Celle-ci explose lors des assauts du fauve, durant lesquels le réalisateur prend bien soin d’éviter les jump scares et le montage cut. Leur effet s’en trouve décuplé, jusqu’à un duel final d’une sauvagerie ébouriffante qu’on croirait sorti des pages d’Edgar Rice Burroughs ou des planches de John Buscema.
En somme, même si on peut lui reprocher quelques invraisemblances (comme cette scène où l’une des gamines sort de la voiture pour aller chercher son tonton blessé alors que le lion rôde à quelques mètres), Beast remplit son office avec une humilité et une maitrise qui forcent le respect. Kormäkur a bouffé du lion !
Source: Mad Movies #363
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Attention, vigilante virtuel !
Dans The Artifice girl, premier long écrit et réalisé par Franklin Ritch, un surdoué de l’informatique créé une intelligence artificielle destinée à traquer les prédateurs sexuels sur le net.
Baptisée Cherry, cette I.A est tellement perfectionnée que son concepteur vend son projet au FBI. Encadré par 2 agents fédéraux, il lance le programme et la chasse est ouverte. Mais Cherry, rendue trop intelligente par son créateur, ne tarde pas à échapper à tout contrôle.
Saluée par la critique qui l’a comparé au génial Ex Machina d’Alex Garland lors de sa présentation à Fantasia, The Artifice Girl sortira au USA courant 2023, avec au casting l’increvable Lance Henriksen (Aliens, Millenium, Pumpkinhead…)
Nous aussi, on a essayé de piéger des pédophiles en déguisant @Indigostar en fillette et en l’installant devant une webcam mais bizarrement ça n’a pas marché
Source: Mad Movies #363
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Indigostar PW Addict Seeder I.T Guy Rebelle GNU-Linux User Membrea répondu à Violence le dernière édition par
@Violence a dit dans [Topic Unique] Actualités cinéma & séries :
Nous aussi, on a essayé de piéger des pédophiles en déguisant @Indigostar en fillette et en l’installant devant une webcam mais bizarrement ça n’a pas marché
Le leurre était voué à l’échec. Avec ton avatar de pucelle, ils ont compris tout de suite que c’était toi la fillette
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@Indigostar Oh merde, tu m’as tué
Il est vrai qu’Asuka est peut être l’un des personnage les plus appréciés (fantasmés) dans de lointaines contrées attirant de gros méchants pervers pas gentils !!
J’aurais du m’en douter, Il va falloir que je change d’avatar très rapidement
EDIT: Sinon je vais recevoir des nudes bien cheloud !
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Les murs vagabonds
Kosuke et Natsume ont grandi dans le même immeuble et sont amis d’enfance. Un jour d’été, les deux collégiens découvrent un bâtiment sur le point d’être démoli, et se retrouvent soudain en proie à un étrange phénomène, entourés d’un vaste océan à perte de vue ! Pourront-ils rentrer chez eux ? Leur voyage d’adieu commence…
Mon avis: Une bonne idée, des images superbes, mais une anime quasiment hystérique totalement gâchée par l’utilisation du type d’ados d’aujourd’hui, criards, énervés, égoïstes, incapable d’un dialogue même non constructif. Largement soulant la moitié du temps.
Dommage.
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Pearl
Alors que X, le sympatoche slasher de Ti West avec Mia Goth (A Cure for Life) n’a toujours aucune date de sortie française, A24 à sorti sa préquelle dans les salles américaines depuis le 16 septembre. intitulée Pearl et toujours réalisée par West, elle raconte comme son titre l’indique les origines de l’un des personnages clefs de X, sur lequel on ne peut pas trop en dire (voir ici ou ici) puisque vous n’êtes pas censés l’avoir vu à moins de l’avoir téléchargé illégalement (ce qu’aucun lecteur de Planète Warez ne fait jamais, c’est bien connu n’est-ce pas ?).
Situé en 1918 dans la « ferme des horreurs » qui servait de décor à X et de lieu de tournage à ses héros venus réaliser un film porno fauché, le film évoque donc la jeunesse de Pearl (Mia Goth reprend son rôle) dans une famille disloquée (son père est dans le coma, sa mère picole) alors qu’elle rêve de devenir une star à Hollywood. La frustration née de ces fantasmes irréalisables va culminer dans une explosion de violence aussi dramatique que sanglante.
Des fourches, des meurtres sadiques et des alligators, voilà ce que nous promet Pearl, dont le style visuel sera très différent de celui de X : après s’être inspiré du cinéma d’horreur redneck des années 1970, Ti West rend cette fois hommage aux mélos en Technicolor tournés par Douglas Sirk dans les années 1950 et à Mary Poppins, avec pour intention de signer cette fois un « film Disney déviant ».
Pearl ayant connu les honneurs d’une présentation au festival de Venise début septembre, on espère qu’un distributeur français va enfin s’intéresser à ce diptyque qui devrait bientôt s’enrichir d’un troisième opus.
Source: Mad Movies #363
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SinkHole (500m sous terre)
Dong-won et sa famille viennent enfin de s’installer dans leur nouvelle maison, achetée après des années d’économie. Mais des pluies diluviennes créent un glissement de terrain et le bâtiment est englouti dans un gouffre en pleine pendaison de crémaillère. Isolés à des centaines de mètres sous terre, Dong-won et ses invités ont peu de temps devant eux pour remonter à la surface…
Mon avis: Ce film contient en fait 3 parties distinctes, la vie en Corée (au moins 45 minutes), la catastrophe (30 minutes) et la lutte pour s’en sortir. Il faut quand même mettre son cerveau en veille pour croire à ce qu’on voit, même si c’est hollywood qui a inventé les miracles au ciné, parce qu’il faudrait inventer un nouveau terme pour désigner ce qui s’y passe.
Loin d’être inoubliable, la première partie devrait en décourager plus d’un (et je ne vise personne ), la seconde et la troisième pourrait bien écœurer les autres Avec 3 excellents gags quand même, ce film a failli passer du coté de la comédie.
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Le visiteur du futur
Au-delà de la spectaculaire expérience d’assister à une avant-première provinciale entouré d’un public remonté à bloc, où le comédien Raphaël Descraques est accueilli avec un enthousiasme dont rêvent la plupart des comédiens en promo, il faut se rendre à l’évidence. Le chemin parcouru par François Descraques et son équipe, entre le premier épisode de deux minutes de la web-série et ce long-métrage, peut et doit servir d’inspiration au pays tout entier.
La seule introduction du film mesure les progrès accomplis en douze ans de développement d’univers. La mise en scène n’a plus rien d’hystérique, elle se montre fluide, lisible, le découpage sert un tempo comique maîtrisé au poil de cul. Les invités (inévitables McFly & Carlito) jouent presque bien, en tout cas en accord avec leurs partenaires. Les postulats scénaristiques de base sont incarnés avec élégance, pour que les novices et les fans hardcore y retrouvent chacun leurs petits. Les gags font mouche, les effets spéciaux devraient pousser les exécutifs de chez Marvel à un gros travail d’introspection. Ce serait néanmoins mentir que de prétendre que le miracle tient la distance, même si toutes ces qualités persistent et rendent la vision agréable.
Le premier problème est lié à un aspect générationnel. Autant l’arrivée dans la saga d’Enya Baroux ne pose aucun souci de cohérence, autant la greffe forcée d’Arnaud Ducret ne prend pas. Ce monolithe de la comédie française écope d’un rôle à la caractérisation purement hollywoodienne (trauma, alcoolisme, cynisme, rédemption, tout y est) : le grand patron d’une centrale nucléaire dont l’explosion signera le début de la fin de l’Humanité.
Il apparaît évident que l’ensemble du casting, « enfants perdus » compris, baigne dans ces codes depuis toujours et s’y épanouit dans une sorte de jeu de rôle numérique grandeur nature. Pour Arnaud Ducret, le malaise est palpable. Il est systématiquement en décalage, à forcer un naturel qui ne prend jamais. Le deuxième écueil de taille, lui, est hélas corollaire. La série a toujours habilement joué de son côté débrouille, de l’impression qu’une bande de potes plus talentueux que les autres accomplissait enfin le fantasme de jouer avec nos mondes cinématographiques doudous pour créer une mythologie à part entière.
Ce passage au long format cinématographique ne se sépare pas de cette donnée essentielle, mais a plus de mal à dissimuler sa naïveté, tant dans sa thématique écolo que dans ses articulations entre les personnages. Les évolutions les plus significatives passent en force, le ton semi-parodique tente de faire avaler la pilule, mais le méga happy end se digère difficilement. Ceci étant dit, la science-fiction souffre actuellement d’un pessimisme généralisé, qui aspire toutes ses possibilités passées dans un véritable trou noir créatif. Il est rassurant de voir des artisans y croire encore.
Source: Mad Movies #363
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Limit
Limit suit une policière qui, dans le cadre d’une enquète sur une série d’enlèvements d’enfants, se fait passer pour la mère d’une des victimes. Un jour, elle reçoit un coup de téléphone qui va donner une tout autre dimension à l’affaire…
Réalisé par Lee Seung-joon (vu en tant qu’acteur dans An Ethics Lesson et drnièrement dans The Killer: A Girl Who Deserves to Die), le film - qui vient tout juste de sortir en Corée - réunit Lee Jung-hyun (Peninsula), la belle Moon Jeong-hee (Running Wild, Big bang, Hide and Seek) et Jin Seo-yeon (Believer), et s’annonce comme un de ces thrillers bien tordus dont seul l’industrie Sud-Coréenne est coutumière…
Miam, je l’attends de pied ferme celui-là.
Source: Mad Movies #363
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@Violence a dit dans [Topic Unique] Actualités cinéma & séries :
Alors que X, le sympatoche slasher de Ti West avec Mia Goth (A Cure for Life) n’a toujours aucune date de sortie française,
il est dispo si on parle bien du même
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