Le monde est fou (vers l'infini et au delà)
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@ake
Excuse, mais je ne suis certain qu’on se comprenne bien, on est d’accord qu’en l’occurrence les RS ont été utiles à deux assassins pour trouver leur victime
Je n’ai jamais été sur aucun RS, je ne possède d’ailleurs un smartphone (reconditionné) que depuis 6 mois environ.
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@Pollux Oui, certes, mais c’est aussi après une recherche sur les RS que les enquêteurs ont trouvé la coupable, selon l’article.
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@ake
Perso, je n’ai pas du tout compris les choses comme ça.
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@Pollux L’article du Guardian qui sert de source, explique que les enquêteurs ont remonté des échanges de plusieurs tentatives pour donner rdv à d’autres femmes avant la victime.
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@ake
Désolé, mais que ce soit dans l’article du Gardien ou de Bild, je n’interprète pas du tout de la même façon, mais c’est sans importance
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Raccoon Admin Seeder I.T Guy Windowsien Apple User Gamer GNU-Linux User Teama répondu à Pollux le dernière édition par
@Pollux a dit dans Le monde est fou (vers l'infini et au delà) :
Selon le Guardian, la mise en cause entretenait de très mauvaises relations avec ses parents et souhaitait passer pour morte à leurs yeux.
Tout ça pour ça. Y’en a qui ont le cerveau qui a des ratées.
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Tu m’étonnes.
Pour avoir visionné pas mal de vidéo du genre “Faites entrer l’accusé” ou “Enquêtes impossibles”, je n’ai pas d’exemple en tête, mais je peux te garantir que certains motifs d’assassinat sont hallucinants de connerie
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Un TikTokeur meurt en chutant d’une falaise pendant qu’il se filmait
Un jeune américain de 27 ans est mort en réalisant une vidéo sur TikTok. Edgar Garay est décédé en tombant d’une falaise de Porto Rico.
https://www.lavenir.net/resizer/lxtbJA0JP3rjt5wZP9SYFsKaiIE=/768x512/filters:format(jpeg):focal(887.5x592.5:897.5x582.5)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/ipmgroup/VKFAMLE4CVBRHCU26EB3CDWESE.jpgUn drame s’est joué en cette fin du mois de janvier 2023. Edgar Garay, originaire de l’état de l’Indiana (USA), est décédé à l’âge de 27 ans. En vacances du côté de Porto Rico, le jeune homme était en train de se filmer quand il a fait une chute de 20 mètres en tombant d’une falaise.
Après des heures de recherches, le corps d’Edgar Garay a été retrouvé près de la falaise.
Carlos Garay, le frère d’Edgar, a expliqué aux médias que son frère se trouvait en compagnie de leur cousin juste avant sa chute mortelle. “Notre cousin l’avait averti à plusieurs reprises de ne pas s’approcher trop près du bord de la falaise… Mon frère aimait alimenter son compte TikTok de plusieurs vidéos. Malheureusement, c’est ce qu’il était en train d’essayer de faire quand il s’est approché trop près du bord de la falaise.”
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Raccoon Admin Seeder I.T Guy Windowsien Apple User Gamer GNU-Linux User Teama répondu à Pollux le dernière édition par
@Pollux c’est délirant. Suffit de couper les ponts une bonne fois pour toute. Comment peut-on avoir l’idée d’assassiner quelqu’un pour ça.
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@Raccoon a dit dans Le monde est fou (vers l'infini et au delà) :
(…) Suffit de couper les ponts une bonne fois pour toute. (…)
J’ai un pote qui vivait avec ses parents à Avignon… Voilà le résultat…
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@ake
J’ai mis un peu de temps à comprendre, un poil capillotracté
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@Pollux On a du mal à se comprendre.
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@ake
J’ai le cerveau lent
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A l’aéroport de Tel Aviv, un couple de Belges refuse de payer un billet pour leur bébé et l’abandonne
Selon le média israélien, le couple, qui dispose de passeports belges, avait l’intention de se rendre à Charleroi sur un vol de la compagnie Ryanair mais aurait refusé d’acheter un billet d’avion pour leur fils en bas âge. Arrivés en retard, les parents ont alors purement et simplement abandonné leur enfant dans son landeau au comptoir d’enregistrement et se sont précipités vers le contrôle de sécurité.
Le personnel de Ryanair a immédiatement prévenu la police. “Tout le personnel a été choqué, nous n’en croyions pas nos yeux”, a déclaré le responsable du comptoir de Ryanair.
Les deux parents ont été emmenés par la police pour être interrogé. Ils auraient été arrêtés.
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@duJambon
Sûrement des barakis (les belges comprendront)…
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Police : Une note interdit les policiers de poursuivre les délinquants.
La note 89, qui encadre les interventions des forces de l’ordre en cas de courses-poursuites, provoque la colère des syndicats de police. Ils dénoncent une forme «d’impunité» pour les délinquants et réclament son aménagement.
Les policiers interdits de courses-poursuites ? Une vidéo publiée par le syndicat de police Alliance dénonce l’application d’une note de service encadrant les interventions des agents.
Cette vidéo, réalisée à partir d’images de synthèse et d’un authentique échange radio des forces de l’ordre, montre des policiers poursuivant un homme au volant d’une voiture volée. «Pour la note 89, vous cessez de suivre» peut-on entendre d’une part. «J’accuse réception, c’est magnifique cette note», répond un des agents en intervention. La poursuite du délinquant est alors interrompue.
Selon les instructions de cette note 89, les poursuites d’un véhicule ne doivent être liées qu’à des faits d’une grande gravité comme la fuite ou l’évasion d’un individu dangereux ou encore la traque d’un auteur d’un crime de sang. Pour les autres situations, jugées moins graves, il ne doit pas y avoir de prise en charge systématique.
Les syndicats dénoncent une forme d’impunité et réclament l’aménagement de cette note.
«On a même des individus qui nous narguent sur des motos volées», témoigne Alain Barberis, secrétaire départemental du Rhône Alliance, auprès de CNEWS. «C’est insupportable. Les policiers sont là pour faire régner l’ordre», poursuit-il.
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Un ballon espion chinois survole les États-Unis, selon le Pentagone
Le Pentagone a indiqué jeudi suivre à la trace les mouvements d’un ballon espion chinois volant à haute altitude au-dessus du territoire des États-Unis et de sites militaires sensibles, précisant qu’il ne représentait pas de menace directe. Cet incident intervient à quelques jours d’une visite prévue du chef de la diplomatie américaine Antony Blinken en Chine, grande rivale de Washington.
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À la demande du président Joe Biden, le Pentagone a examiné la possibilité de l’abattre mais la décision a été prise de ne pas le faire en raison des risques posés par les débris pour les personnes au sol, a indiqué à des journalistes un haut responsable américain de la Défense, sous le couvert de l’anonymat. «Nous n’avons aucun doute sur le fait que le ballon provient de la Chine», a-t-il précisé. «Nous prenons des mesures afin de nous protéger contre la collecte d’informations sensibles», a-t-il encore dit, tout en insistant sur «la valeur ajoutée limitée en termes de collecte d’informations» de l’engin décrit comme un ballon aux dimensions assez larges. «Nous avons considéré qu’il était suffisamment gros pour que les débris provoquent des dégâts» s’il avait été abattu dans une zone habitée, selon la même source.
Le porte-parole du Pentagone, Pat Ryder, a précisé que le commandement de la défense aérospatiale des États-Unis et du Canada (Norad) surveillait la trajectoire du ballon. «Le ballon vole actuellement à une altitude bien au-dessus du trafic aérien commercial. Il ne présente pas de menace militaire ou physique pour les personnes au sol», a-t-il dit dans un communiqué.
«Clairement, ce ballon est destiné à la surveillance et sa trajectoire actuelle l’amène au-dessus de sites sensibles» notamment des bases aériennes et des silos de missiles stratégiques, a indiqué le premier responsable américain, évoquant l’État du Montana, dans le nord-ouest des États-Unis.
Le ballon est entré dans l’espace aérien des États-Unis «il y a plusieurs jours» mais le renseignement américain le surveillait déjà, a-t-on indiqué de même source, en ajoutant que ce n’était pas la première fois que l’armée américaine constatait une telle intrusion. Cette fois, le ballon est resté dans l’espace aérien des États-Unis beaucoup plus longtemps.
Mis au courant, Joe Biden a aussitôt demandé à son secrétaire à la Défense Lloyd Austin, qui se trouvait mercredi aux Philippines, de lui fournir des options. Ce dernier a ensuite tenu des discussions avec les chefs d’état-major du Pentagone. Des avions de chasse se sont approchés de l’engin au-dessus du Montana, selon la même source.
Washington a évoqué l’affaire avec les autorités chinoises. «Nous leur avons communiqué la gravité de l’incident», a affirmé le responsable américain. «Nous leur avons dit clairement que nous ferons tout ce qui est nécessaire pour protéger notre peuple sur notre territoire.»
Le président républicain de la Chambre des représentants Kevin McCarthy a dénoncé jeudi soir une «action déstabilisatrice» d’une Chine qui «méprise éhontément la souveraineté des États-Unis.» Il a appelé Joe Biden à «ne pas rester silencieux» et demandé à ce que des membres du Congrès soient informés.
Le déplacement d’Antony Blinken en Chine, prévu pour dimanche et lundi, doit constituer la première visite dans le pays d’un secrétaire d’État américain depuis octobre 2018. Elle intervient au moment où les deux grandes puissances cherchent à éviter que les tensions ne dégénèrent en conflit ouvert.
Parmi les nombreux sujets de litiges figure Taïwan, que la Chine revendique comme faisant partie intégrante de son territoire, et les activités de la Chine en Asie du Sud-Est. Aux Philippines, Lloyd Austin a justement signé plus tôt jeudi des accords visant à y renforcer la présence militaire américaine face à la montée en puissance de la Chine.
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Un deuxième ballon espion chinois survole l’Amérique latine
L’incident ne se dégonfle pas, bien au contraire. Le ballon qui traverse le ciel américain en ce moment n’est pas le seul: un second survole l’Amérique latine, a annoncé le Pentagone vendredi soir. «Nous sommes au courant des informations faisant état d’un ballon survolant l’Amérique latine. Nous considérons qu’il s’agit d’un autre ballon espion chinois», a déclaré dans un communiqué Pat Ryder, porte-parole du Pentagone, sans préciser sa localisation exacte.
Vendredi matin, le Pengatone avait rejeté l’explication de la Chine, qui assurait que le premier aérostat était une sonde météorologique qui aurait dérivé « par erreur ». Un clash diplomatico-militaire qui a poussé le secrétaire d’Etat Antony Blinken à repousser sa visite en Chine prévue ce week-end.
« Le fait est qu’il s’agit d’un ballon espion. Nous savons que c’est un ballon de surveillance », a insisté Pat Ryder, en refusant de donner davantage de détails. Il a indiqué que le ballon se trouvait à environ 60.000 pieds d’altitude (18.3 km), plus haut que le trafic aérien commercial, et survolait à la mi-journée le centre des Etats-Unis, en se dirigeant vers l’est.
Le ballon est, assure le porte-parole, « manœuvrable » et n’a pas simplement suivi les jet-streams. Pour l’instant, le Pentagone refuse d’indiquer s’il tentera d’abattre ou de capturer l’aérostat une fois qu’il se trouvera au-dessus de l’Atlantique. Selon NBC News, le ballon fait la taille de « trois bus » et embarque des instruments alimentés par des panneaux solaires.
À la frontière entre l’espace aérien, où circulent les avions sous le contrôle des autorités nationales, et l’espace exoatmosphérique, où orbitent les satellites, un autre champ de bataille intéresse les armées mondiales. La «très haute altitude», définie entre 20 km et 100 km, est le domaine des missiles hypersoniques qui rebondissent sur les couches de l’atmosphère, des drones et des aéronefs stratosphériques, comme l’avion espion américain U-2, ou encore des ballons de surveillance, comme celui d’origine chinoise identifié vendredi au-dessus du territoire américain. Difficile à maîtriser, à surveiller, et quasiment pas régulé, puisque la réglementation du trafic aérien s’arrête à 20 km au-dessus du sol.
