On ne se moque pas de ces choses là.
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«À qui appartient cette addition? Nous aimerions en parler»
Une note de plus de 63’000 euros fait sensation sur le compte Instagram d’un restaurant majorquin.
Vous avez demandé une addition faramineuse? Le restaurant Annabel, situé à Palmanova à Majorque, a un impressionnant spécimen à proposer. Sur son compte Instagram, l’établissement se décrivant comme méditerranéen et luxueux a posté une photo de cette facture hors du commun. «À qui appartient cette addition? Identifiez-les ici, nous aimerions en parler», peut-on lire sous le cliché, posté samedi.
La table en question s’est vu facturer la somme astronomique de 63’237,90 euros. Le restaurant explique au «Diario de Mallorca» que 18 personnes ont partagé ce repas, ce qui veut dire que chaque convive en a eu pour environ 3500 euros. En y regardant de plus près, on relève que 45’000 euros ont été dépensés pour «divers plats de poisson», sans que l’on sache exactement quels produits ont été servis.
«J’ai besoin d’amis comme ça»
Cette publication a bien fait rire les internautes: «Ma femme vient de découvrir que j’ai dépensé ça dans votre restaurant, et maintenant je vais devoir dormir sur le canapé», plaisante l’un d’entre eux. «J’ai besoin d’amis comme ça», peut-on aussi lire dans les commentaires. Envieux, plusieurs autres restaurants ont aussi réagi, invitant avec humour ces clients à venir manger chez eux la prochaine fois.
Certains, cependant, n’ont pas apprécié la démarche de l’établissement: «Un restaurant respectueux ne publie pas ce qui se passe en son sein, encore moins avec de tels clients», s’insurge un internaute. L’identité des personnes ayant réglé cette addition stratosphérique n’est pas connue, mais certains évoquent le nom d’Eva Longoria. Selon des médias locaux, l’actrice américaine séjourne actuellement sur l’île espagnole.
Pourboire automatique
Le «Diario de Mallorca» rappelle que l’Annabel avait déjà fait parler de lui récemment, pour avoir ajouté automatiquement un pourboire de 10% à toutes les additions. Dans ce cas-là, la bonne main s’élèverait donc à 5748,90 euros. L’établissement a toutefois précisé que ce montant restait volontaire et que le client avait connaissance de la somme à payer avec pourboire, tout comme sans pourboire.
Le resto en question ne doit pas figurer dans le guide du routard, ou alors indiqué comme à éviter
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Un article ra(va)geur de Russia Today (journal de propagande), m’a bien fait rigoler:
Tchap : le «cyber-goulag» change d’adresse
La France impose dès septembre à ses agents publics d’abandonner WhatsApp, Signal ou Telegram pour adopter Tchap, messagerie nationale «sécurisée». Hier encore, Paris dénonçait Moscou pour MAX, présenté comme un outil de contrôle. Deux réalités identiques, deux jugements opposés : modernité ici, dictature là-bas. Alors que, pendant des mois, les médias français s’indignaient de l’apparition en Russie du messager national MAX, présenté comme une nouvelle prison numérique, voilà que Paris décide tranquillement d’imposer… son propre équivalent. Officiellement, il ne s’agit pas de censure mais de « souveraineté numérique ». La nuance est subtile : lorsqu’un État étranger développe sa solution, c’est un « cyber-goulag » ; mais lorsque la France force ses fonctionnaires à abandonner WhatsApp, Signal ou Telegram au profit de Tchap, l’initiative devient soudain une preuve de clairvoyance technologique.
Le reste tente de démontrer que la frontière numérique de Tchap et celle imposée globalement en russie sont comparables, peine perdue les gars, mais merci pour l’amas de mauvaise foi.
Je ne comprends même pas qu’on aie pu permettre à des fonctionnaires d’état français de communiquer via des services gratuits et non protégés, excepté pour des affaires privées et non confidentielles.
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Ça “pique”: Paris, deux hommes interpellés, l’un avec 10 millions d’euros de bijoux dans son slip
Deux hommes ont été placés en garde à vue samedi 30 août. Ils ont été interpellés à leur descente de train, venu de Lyon, avec de la haute joaillerie et une disqueuse.
Deux mineurs ont été interpellés à leur descente de train, samedi 30 août, à la gare de Lyon (Paris XIIe), a appris le Parisien de sources concordantes.
Le parquet de Paris, contacté, indique avoir ouvert une « enquête pour recel de vol en bande organisée ». Les investigations ont été confiées à la Brigade de répression du banditisme (BRB) de Paris. Une information judiciaire pourrait être ouverte ce lundi 1er septembre.
