L’infidélité serait héréditaire: “Cela arrive souvent entre 40 et 49 ans”
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“Un groupe de chercheurs a identifié le gène de l’infidélité, tandis qu’une autre enquête révèle que ça arrive surtout entre 40 et 49 ans”, déclare Alex Fantini, fondateur du portail ExtraConjugales. Il explique que selon ces études, six hommes et quatre femmes sur dix seraient infidèles à cause de leur patrimoine génétique.
D’après une autre étude australo-suédoise qui s’intitule “Genetic analysis of human extrapair mating: heritability, between-sex correlation, and receptor genes for vasopressin and oxytocin”, basée sur un échantillon de 7.378 jumeaux âgés de 18 à 49 ans en couple depuis plusieurs années, les scientifiques ont réussi à identifier un gène spécifique — le gène Avpr1A —responsable de l’infidélité. La recherche, menée par Brendan P. Zietsch (Université du Queensland), Lars Westberg(Université de Gothenburg), et Pekka Santtila et Patrick Jern (Université Åbo Akademi), a été publiée dans le journal scientifique “Evolution And Human Behavior”, édité par Elsevier, l’un des plus gros éditeurs mondiaux de littérature scientifique.
“Le gène en question permet la production de l’arginine-vasopressine, une hormone qui influe sur le comportement social et impacte l’attachement entre les partenaires sexuels”, précise Alex Fantini. Donc, selon les chercheurs, l’adultère serait héréditaire: 63% des hommes et 40% des femmes infidèles le seraient à cause de leur patrimoine génétique. Dans l’échantillon examiné, 9,8% des hommes et 6,4% des femmes avaient été infidèles, c’est-à-dire qu’ils avaient eu au moins un rapport sexuel avec quelqu’un qui n’était pas leur conjoint, au cours de l’année précédente.
“Entre 40 et 49 ans”“Les chercheurs se sont intéressés aux gènes du récepteur de la vasopressine et de l’ocytocine, connus pour modifier la sociosexualité des campagnols des prairies et des montagnes, modèles des études sur la biologie de l’infidélité”, ajoute le fondateur d’ExtraConjugales. “L’étude australo-suédoise est la première à chiffrer la responsabilité de l’ADN dans l’infidélité masculine.” Selon cette étude, 63% de l’infidélité masculine est imputable à la génétique — surtout entre 40 et 49 ans — et 37% à l’environnement et l’éducation. Du côté des femmes, 40% d’entre elles succomberaient à l’adultère à cause de leur génétique.
Un petit test génétique avant le mariage, ça vous dit ?
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Par contre, le gène de la connerie, toujours pas trouvé
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Une de mes connaissances m’avait dit tous simplement que tous le monde trompait tous le monde et je lui ai tous simplement rabâché qu’il disait de la merde en barre (mais effectivement ceux qui sont abonnés adultère et qui ont des enfants…il y’en a à la pelle, j’en connais beaucoup).
Personnellement si tu as des enfants, tu n’as pas le droit de jouer avec ça, faut vraiment être un con fini (surtout, surtout si il n’ya aucun reproche à faire sur ta femme ou ton homme ). -