Twitter : un jour après sa montée au capital, Elon Musk met déjà la pression
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Ils n’ont pas dû apprécier ça non plus:
@duJambon a dit dans Twitter : un jour après sa montée au capital, Elon Musk met déjà la pression :
Elon Musk a lui publié un meme (image parodique) représentant une voiture baptisée «Elon» qui prend une sortie d’autoroute en direction de «déclarer la guerre», au lieu de continuer tout droit vers «payer 30%», la commission d’Apple sur les dépenses des utilisateurs effectuées via l’App Store.
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Le mec se la joue mais il devrait balayer devant sa porte.
Mais quel bouffonhttps://www.begeek.fr/twitter-une-fuite-expose-les-donnees-de-54-millions-dutilisateurs-376033
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Il ne faut pas lire que le titre, d’après l’article la fuite date de quelques mois
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Je ne lis pas que les titres @Pollux
Le hack en lui même date oui (confirmé il y a quelques mois) mais il n’y avais aucune preuve de l’exploitation de la faille dans l’API, donc aucune données disponibles.
Les datas exploité de ce hack ont fuitées il y a peu sur un forum de hacker donc on a les preuves maintenant
C’est dans le premier paragraphe.
Alors ce n’est pas de sa faute mais ça le concerne
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@Violence a dit dans Twitter : un jour après sa montée au capital, Elon Musk met déjà la pression :
Alors ce n’est pas de sa faute mais ça le concerne
Ah ok vu comme ca, pourquoi pas, mais du coup ca devient chaud de racheter une boite s’il faut assumer les erreurs antérieures
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Kanye West place Musk face aux limites de la liberté d’expression totale
Le compte du rappeur a été suspendu par Elon Musk, vendredi, une décision qui tranche avec les récentes prises de position du nouveau patron du réseau social à l’oiseau bleu.
La suspension vendredi du compte Twitter de Kanye West «pour incitation à la violence» révèle les limites de la vision absolue de la liberté d’expression prônée par Elon Musk depuis sa prise de contrôle du réseau social, selon les experts interrogés par l’AFP.
«Désolé, mais tu es allé trop loin, ce n’est pas de l’amour»: après la publication d’une image représentant une croix gammée entrelacée avec une étoile de David, ainsi que de propos admiratifs pour Hitler, le patron de Twitter a recadré le célèbre rappeur américain dans un message privé. «Qui a fait de vous le juge»?, a répondu celui qui se fait désormais appeler «Ye» sur un air de défi, dans cet échange que l’artiste a rendu public.
Quelques heures plus tard, Elon Musk annonçait sa suspension du réseau social «pour incitation à la violence», en réponse à l’image associant les symboles du régime nazi et du judaïsme postée par Kanye West, de plus en plus isolé après ses récentes remarques antisémites. Un brusque retour à la réalité pour la politique de modération du milliardaire, qui prônait depuis son arrivée à la tête de la plateforme en octobre, une vision absolue de la liberté d’expression, estimant que cette dernière ne devait connaître quasi aucune limite.
Il était même allé jusqu’à envisager, fin novembre, une «amnistie générale» pour les comptes suspendus, après avoir déjà réhabilité celui de l’ancien président américain Donald Trump, banni du réseau de microblogs, après l’assaut du Capitole, à Washington, en janvier 2021.
«Le problème, c’est qu’Elon Musk a une philosophie de la liberté d’expression en demi-teinte. D’un côté, il parle de liberté d’expression totale, de l’autre de respect de la loi», estime auprès de l’AFP Jacob Mchangama, avocat danois spécialiste des questions liées à la liberté d’expression et auteur de «Free Speech: A History From Socrates to Social Media». «La meilleure façon de progresser est de donner aux utilisateurs les moyens de filtrer davantage ce qu’ils n’aiment pas, plutôt que de laisser les gouvernements ou les grandes entreprises technologiques prendre ces décisions à un niveau centralisé», complète-t-il.
Car, dès «les premières semaines» après la prise de pouvoir d’Elon Musk, «on a vu une augmentation de 25% à 30% des contenus haineux» sur Twitter avec le retour des gens qui avaient été bannis, constate auprès de l’AFP, Charles Cohen, cofondateur de Bodyguard, une entreprise spécialisée dans la protection des individus contre les attaques sur les réseaux sociaux et la modération contre les propos haineux.
Malgré «un léger retour à la normale» ces derniers jours, «on est à +10% ou +15% de contenus haineux», relève-t-il, ajoutant que la vision idéale de la modération sur Twitter de Musk «n’est pas viable techniquement, économiquement, éthiquement». A l’origine de licenciements massifs au sein de Twitter, celui qui est aussi le patron de Tesla et SpaceX va être obligé de reculer, «car il va se rendre compte qu’il n’a pas les outils technologiques pour faire ce qu’il veut», estime encore le dirigeant de Bobyguard
«L’arbre qui cache la forêt», la suspension du compte de Kanye West met en lumière le risque d’une modération «à double vitesse», en défaveur des personnes «lambda», prévient Asma Mhalla, enseignante à Sciences Po et Polytechnique, spécialiste des enjeux politiques du numérique. «Parce que Kanye West est très influent, vous avez une réactivité par Elon Musk ‘’himself’’. Mais cela ne résout pas le problème de fond: la modération à l’échelle industrielle du réseau qui est parfaitement insuffisante aujourd’hui», ajoute-t-elle.
Source: https://www.20min.ch/fr/story/kanye-west-place-musk-dans-l-embarras-551596359905
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#TwitterFiles : Elon Musk fait publier des communications internes accablantes sur la censure politique, notamment l’affaire Hunter Biden, et en publiera encore
C’est tordu/foireux [“f-ed”].
Twitter a “simplement improvisé” sa décision sans fondement de censurer peu avant l’élection de 2020 le scoop du New York Post à propos de l’ordinateur portable de Hunter Biden. Des cadres de haut niveau du géant des réseaux sociaux convenant que cette décision controversée était tordue/foireuse [“f-ked”], comme le révèlent des communications internes accablantes publiées par le PDG Elon Musk vendredi.
Le chaos et la confusion qui ont régné à huis clos chez Twitter immédiatement après la révélation de l’affaire Hunter Biden en octobre 2020 montrent qu’un petit groupe de cadres supérieurs a décidé de qualifier l’histoire du Post de “matériel piraté” sans aucune preuve – ce derrière le dos du fondateur et PDG de l’époque, Jack Dorsey.
Peu après 18 heures, M. Musk a tweeté un lien vers le compte du journaliste indépendant Matt Taibbi, qui a mis en lumière la décision de censure louche de Twitter en publiant ce qui semblait être des courriels expurgés entre des employés de Twitter.
La décision de censurer l’histoire du Post a été prise “aux plus hauts niveaux de l’entreprise”, selon Taibbi, mais sans l’implication de Dorsey.
“Dire que c’était du piratage était l’excuse, mais en quelques heures, à peu près tout le monde a compris que ça ne tiendrait pas. Mais personne n’a eu le courage de faire marche arrière”, ajoute l’ex-employé.
“Ils se sont contentés d’improviser ça”, a déclaré un ancien employé à Taibbi à propos de la façon dont la décision a été prise.
La décision a laissé des cadres de haut niveau perplexes.
“J’ai du mal à comprendre le fondement politique de la décision de marquer ce site comme dangereux”, avait écrit Trenton Kennedy, un responsable de la communication, dans un courriel interne adressé à ses collègues.
Selon [le journaliste indépendant] Matt Taibbi, Twitter a même eu recours à une tactique rarement utilisée pour arrêter la diffusion de l’information – bloquer le partage de liens vers l’histoire par message direct, un outil habituellement utilisé uniquement dans des “cas extrêmes”, comme pour stopper la diffusion de pornographie infantile.
La censure de l’histoire par Twitter avait conduit le compte de Kayleigh McEnany, alors attachée de presse de la Maison-Blanche, à être bloqué à quelques semaines de l’élection de 2020.
Dans un courriel partagé par Taibbi, Mike Hahn, membre du personnel de la campagne Trump, avait envoyé une missive furieuse au géant des médias sociaux, exigeant de savoir quand elle serait débloquée.
“Mais faites au moins semblant de vous y intéresser pendant les 20 prochains jours”, avait écrit Hahn.
Matt Taibbi a également révélé des courriels de l’entreprise répondant à une demande “de l’équipe de Joe Biden” pendant la période précédant l’élection de 2020 – peu de temps après que l’entreprise eut sévi contre l’histoire sur Hunter Biden du New York Post.
Un autre, daté du 24 octobre 2020, indiquait “Un signalement supplémentaire du DNC”, une référence apparente au Comité national démocratique.
Un autre, daté du 24 octobre 2020, indiquait “Encore d’autres à examiner à la demande de l’équipe Biden”, accompagné d’une liste de tweets.
En réponse, quelqu’un a répondu : “Je les ai traités.”
Matt Taibbi a également tweeté : “Les deux partis avaient accès à ces outils. Par exemple, en 2020, des demandes de la Maison Blanche de Trump et de la campagne de Biden ont été reçues et honorées.”
Mais l’ancien rédacteur de Rolling Stone a déclaré que le “système n’était pas équilibré” et “était basé sur des contacts.”
“Parce que Twitter était et est très majoritairement composé de personnes d’une seule orientation politique, il y avait plus de canaux, plus de moyens de se plaindre, ouverts à la gauche (enfin, aux démocrates) qu’à la droite”, écrit-il.
Avant son rachat pour 44 milliards de dollars, Musk avait déjà exprimé clairement sa position sur la débâcle du Post contre Twitter, en déclarant en avril que la décision de la plateforme était “évidemment incroyablement inappropriée”.
Twitter, ainsi que Facebook, ont pris des mesures de censure extraordinaires à l’encontre du Post lorsqu’il a publié pour la première fois son exposé sur le florilège d’e-mails découvert sur l’ordinateur portable de M. Hunter en octobre 2020.
La plateforme a interdit aux utilisateurs de partager l’article – et a également bloqué le New York Post de son compte Twitter pendant plus de deux semaines en raison d’allégations sans fondement selon lesquelles l’article utilisait des informations piratées.
Jack Dorsey, le PDG de Twitter à l’époque, a admis plus tard, lors d’une audience du Congrès sur la désinformation et les réseaux sociaux en mars de l’année dernière, que le blocage de l’article du Post était une “erreur totale”.
Il n’a pas voulu révéler qui était responsable de cette erreur.
Alors que de nombreux médias grand public ont d’abord ignoré ou cherché à saper les informations du Post, le New York Times et le Washington Post ont fini par authentifier le contenu de l’ordinateur portable, 18 mois plus tard.
[link removed]/2022/12/03/twitterfiles-elon-musk-fait-publier-des-communications-internes-accablantes-sur-la-censure-politique-notamment-laffaire-hunter-biden-et-en-publiera-encore/
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[Ce que révèlent les document internes de Twitter sur la censure de l’affaire Hunter Biden]([link removed]/international/102791-que-revelent-document-internes-twitter-censure-affaire-hunter-biden)
Peu avant la présidentielle de 2020, des cadres de Twitter ont décidé d’entraver l’accès à des révélations du New York Post sur le fils de Joe Biden. Le nouveau chef de Twitter Elon Musk a décidé de révéler des documents internes sur cette décision.
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[Nouvelles révélations sur les mécanismes de censure utilisés ces dernières années par Twitter]([link removed]/international/102927-nouvelles-revelations-sur-mecanismes-censure-utilises-twitter)
Selon l’enquête journalistique portant sur les dessous de Twitter, des «listes noires secrètes» ont été établies pour limiter l’audience et la visibilité de certains comptes, notamment chez les conservateurs et critiques des restrictions sanitaires.
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Twitter suspend les comptes de journalistes couvrant Elon Musk
Certains des journalistes avaient tweeté à propos de la décision de Twitter mercredi de suspendre le compte qui rapportait automatiquement les trajets du jet privé d’Elon Musk. Parmi les journalistes suspendus figurent des employés de médias comme CNN, le «New York Times», ou le «Washington Post», d’autres étant des journalistes indépendants.
«La suspension impulsive et injustifiée d’un certain nombre de reporters comme celui (du journaliste) de CNN Donie O’Sullivan est inquiétante mais pas surprenante», a réagi dans un communiqué la chaîne américaine. «L’instabilité et la volatilité croissante de Twitter sont particulièrement préoccupantes pour quiconque utilise la plateforme. Nous avons demandé une explication à Twitter, et nous réévaluerons notre relation en fonction de cette réponse», ajoute CNN.
Un compte Twitter de Mastodon, concurrent du réseau social, a également été suspendu, selon NBC News. Elon Musk a tweeté mercredi qu’une voiture à Los Angeles avec son enfant à bord avait été suivie par «un harceleur cinglé», et semblait pointer du doigt le suivi de son jet privé comme en étant la raison. Il annonçait dans ce tweet qu’il allait poursuivre en justice la personne derrière le compte @ElonJet, désormais suspendu.
Pas de censure qu’il disait…
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and now ?
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@Guardian Ah 57% quand même Au revoir Elon Musk
On me chuchote à l’oreille qu’un nouveau compte: Melon husk, viens d’être créé…
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@Guardian a dit dans Twitter : un jour après sa montée au capital, Elon Musk met déjà la pression :
and now ?
“vox populi vox Dei” ?
Au passage, il a dit lui-même dans un autre message que Twitter était au bord de la faillite ! (bon, d’après-lui, ça date d’avant le rachat, et ce n’est pas forcément faux d’ailleurs, même s’il n’a pas dû aider)
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@ALRBP ses affirmations ne sont pas à prendre au pied de la lettre c’est aussi une façon pour lui de justifier tout les changements qu’il tente d’imposer.
Pour ce qui est de la succession selon certains il se pourrait qu’il ait profiter de la finale de CdM pour en discuter avec l’autre principal investisseur de pioupiou, un Qatari – décidément sont partout – de fait, sa question posée dans la foulée de cette rencontre ne serait donc pas anodine, une simple méthode de distraction pour redorer l’image par la suite, c’est tout à fait envisageable. -
Elon Musk annonce qu’il va quitter son poste à la tête de Twitter
Elon Musk a annoncé mardi sur Twitter son intention de quitter la tête du réseau social dès lors qu’il aura «trouvé quelqu’un d’assez fou» pour le remplacer, expliquant que le milliardaire se concentrera dès lors sur les «équipes logiciel et serveurs».
Le propriétaire de la plateforme de microblogging réagissait au résultat du sondage qu’il avait lui-même initié lundi sur Twitter, demandant s’il devait se retirer de la tête de l’entreprise ou non, 57% des 17 millions de votants répondant par l’affirmative. S’il avait affirmé dans un premier temps qu’il se plierait au résultat de son sondage, Elon Musk avait envoyé ces dernières heures des signaux plutôt contradictoires, semblant dans un premier temps estimer que le résultat avait été faussé par le vote de bots.
Moins de huit semaines après sa prise de contrôle du réseau social pour 44 milliards de dollars, Twitter ne voit pas la tempête s’apaiser. L’entreprise est au bord du gouffre financier ayant perdu un certain nombre d’annonceurs face au risque que représente pour les marques la volonté du milliardaire de réduire la modération des contenus. Un peu plus tôt dans la journée, Elon Musk avait retweeté le résultat d’une enquête d’opinion réalisée par l’institut HarrisX, auprès de son propre échantillon d’utilisateurs de la plateforme, et qui donnait 61% des personnes interrogées en faveur de son maintien au poste de directeur général.
«Intéressant, cela semble suggérer que nous avons bien un léger problème de bots sur Twitter» avait alors réagi le propriétaire de la plateforme en réponse au tweet de l’institut présentant les résultats. Un commentaire intervenu après qu’Elon Musk a approuvé un autre tweet suggérant que son sondage avait été victime de bots. Il a aussi estimé que tout nouveau sondage serait désormais réservé aux utilisateurs payants de Twitter.
Dans le passé, l’homme d’affaires s’était déjà appuyé sur des sondages pour soutenir des décisions faisant débat, telles que la réactivation du compte de l’ancien président américain Donald Trump, ainsi que d’autres utilisateurs ayant été suspendus. Le résultat de son dernier sondage a entraîné dans un premier temps une hausse du titre de Tesla, dont les investisseurs sont de plus en plus critiques de l’attention accordée à Twitter depuis le rachat, au détriment du constructeur automobile estiment-ils.
Plusieurs médias américains avaient de leur côté assuré qu’Elon Musk s’était mis en quête d’un remplaçant, citant des sources anonymes, une information que le propriétaire de Twitter avait alors rejetée par une simple émoticône moqueuse sur le réseau social.
Source: https://www.tdg.ch/elon-musk-met-en-doute-le-resultat-du-sondage-twitter-quil-a-initie-730495569082
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En attendant que le nouveau patron du réseau social, Elon Musk, quitte son poste de PDG… ou pas, les divulgations se poursuivent. Cette fois-ci, c’est un autre journaliste d’investigation, Lee Fang, qui prend le relais. La partie 8 s’intéresse à la relation entre Twitter et le Pentagone.
Dans ce thread, Lee Fang explique comment Twitter a aidé les campagnes d’opérations d’influence psychologique en ligne du Département américain de la Défense, en faisant fi de ses promesses - devant le Congrès notamment - de déployer des “efforts concertés” pour faire obstacle aux réseaux secrets de propagande gérés par l’État.
“Dans les coulisses, Twitter a donné son approbation, voire “une protection spéciale aux opérations d’influence psychologique en ligne de l’armée américaine. Sachant que les comptes de propagande du Pentagone utilisaient des identités secrètes, Twitter n’en a pas suspendu beaucoup pendant environ 2 ans ou plus”, écrit le journaliste d’investigation.
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