Le gouvernement veut pouvoir accéder aux conversations WhatsApp, Telegram, Signal, etc.
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La phrase était mal formulée, on est d’accord, avec une virgule mal placée. J’ai reformuler
mais je sens que je vais devoir éditerDONEMais compréhensible en analysant :
aucun
objet connecté chez moimis à part
mon Linky. Le alexa et autres conneries allant de paire…Alexa étant dans des objets connectés, aucun et mis à part me semblait suffisant.
Mais que nenni, je pars de suite me fouetter
@michmich a dit dans Le gouvernement veut pouvoir accéder aux conversations WhatsApp, Telegram, Signal, etc. :
je l’aurais formulé tel que: aucuns objets connectés de type Alexa ou autres mis à part mon Linky. (même pas besoin de virgules)
Tout à fait, notre belle langue française. Et vu que je réponds souvent en tapant au Km sans trop me relire, voilà ce qui arrive.
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@Violence a dit dans Le gouvernement veut pouvoir accéder aux conversations WhatsApp, Telegram, Signal, etc. :
Mais que nenni, je pars de suite me fouetter
A mon humble avis, ça ne mérite pas flagellation…
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@Aerya ok je comprends et évidemment que personne n’a envie d’être espionné,même si on a rien à se reprocher,mais sans être naif,vous partez du principe où il y aura forcément des dérapages alors qu’on est quand même loin de ce qui se fait en Chine… On peut se dire aussi que en cas d’abus,il y aura toujours des associations ou citoyens vigilants pour donner l’alerte en cas surveillance abusive ? Car en France tout cela est encadré par des lois… C’est toujours le même dilemme entre le verre à moitié plein et à moitié vide,ou comment prévenir un attentat ou un crime avant que ça se passe et sans empiéter sur la vie privée des citoyens…?
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Perso pas d’alexa ou ok google pour ma part (déjà tres chelou pour ma part de parler à une boîte ou un objet… j’attendrai la démence pour cela lol).
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Ce n’est pas tant de se demander “est ce qu’il y aura des abus?” @Nick2, c’est “quand?”
Il y a à peine 2 ans, le Ministère de l’intérieur a mis 25 journalistes sur écoute en toutes illégalités. Le journaliste qui a révélé l’affaire a été arrêté et perquisitionné par les sbires du Ministère sans mandat judiciaire, mais pour atteinte à la sureté de l’État et tout ça pour avoir le nom de sa source. Nous ne sommes pas en Chine, non… ici, nous avons la Liberté de la Presse… mais pour combien de temps. Et tu voudrais qu’on leurs laisse un peu plus de marge de manœuvre?Comme dit plus haut, les vraiment méchants ont d’autres moyens de communication et le Ministère le sait.
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C’est justement là que tu fais fausse route @Nick2. S’intéresser aux journalistes, c’est s’intéresser à Mr tout le monde par ricochet. Entraver le travail des uns pour contrôler la pensée des autres.
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Et oui @Nick2 , sans nous ils ne sont rien, nous sommes le maillon (faible) indispensable à leur mégalomanie.
L’infoxation est leur meilleur moyen de contrôler tout ça avec la peur entretenue à grand renfort de news sensationalistes et la culture du débile pour anesthésier les foules, merci M C. Han… et Les Marseillais.
On peut compter facilement les rares résistants, la grande masse des intervenants médiatiques est devenue le valet du pouvoir, ça a commencé avec Guy Lux sous De Gaulle (michmich, tais toi !). -
De 2 choses l’une:
- Soit ça ne se fera jamais car la confidentialité c’est le nerf de la guerre de ce genre d’applis…
- Soit ils savent déjà le faire et “communiquent” comme si cela ne leur est pas possible en mode “on aimerait bien…” pour que les gens soient en confiance et échangent sans filtre sur ce genre d’applications.
Le soucis c’est qu’on ne saura jamais (enfin pas dans l’immédiat…).
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Perso je ne suis pas favorable à une telle mesure, même si c’est “pour la bonne cause”…
C’est toujours la différence entre ce qui est public et ce qui est privé. Mettre des caméras de surveillance dans la rue, par exemple, ne me choque pas du tout. Dans la rue, c’est une zone publique. Ce qu’on y fait peut être vu de toute façon, que ce soit par un policier de l’autre côté de la rue ou par une caméra, il n’y a pas grande différence.
Deux terroristes qui prépareraient un attentat dans une zone publique pourrait être “espionnés” par une caméra de surveillance, pas de soucis.
Par contre imaginons que des caméras de surveillances soient faites pour filmer l’intérieur des domiciles privés. Certes ce serait bien pratique pour “espionner” deux terroristes qui prépareraient un attentat dans le salon, mais bon. On voit bien l’idée. Cela ne se fait pas, et tout le monde comprend pourquoi.
Même si, comme pour les caméras de surveillance dans les rues, on pourrait dire qu’une backdoor aux outils de communication ne gêne que les criminels, ce n’est pas pareil. Ce qu’on échange avec ces outils, selon moi, est du domaine du privé. Ca ne me choque pas que, dans le cadre d’une enquête, la police ait un mandat de justice pour fouiller un domicile suspect. Dans ce cas ils rassemblent des preuves trouvées sur place. Des téléphones, avec les communications signal/whatsapp/etc décryptées en ferait partie. Par contre, même dans le cadre d’un mandat de justice, pouvoir décrypter les communications de ces outils en ligne ne me semble pas du tout de la même échelle, cela ressemble plus à installer des caméras / micros dans un domicile. On ne le fait pas, et à juste titre – on imagine bien le scandale – alors pourquoi dans l’espace numérique ?En plus de n’être pas une bonne idée sur ce plan, disons “éthique”, ce n’est pas une bonne idée sur le plan opérationel. Si la confidentialité des échanges via ces outils n’était plus garantie, les terroristes en utiliseraient d’autres. Ce n’est pas comme si internet en fournissait pleins ! pgp, openvpn, ssh… les possibilités sont nombreuses.
En bref, je vote contre. Ceci dit, je n’ai pas de droit de vote là-dessus, alors de toute façon…