Abayas à l'école
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Hérétiques !!!
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Merci pour le compliment @El-Bbz, mais n’en fait pas trop, ça va se voir
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On tourne un peu en rond là, s’il n’y a pas de nouveau arguments ou de commentaires intéressants, nous allons clore le débat (le topic, en fait), je vous suggère donc d’attendre les résultats de cette interdiction pour éventuellement poursuivre les discussions.
Merci.
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Il semble plus facile pour les gouvernements européens de pinailler sur des questions vestimentaires que de mettre en place une instruction digne du 21è siècle, en accord avec notre époque et les défis futures.
Tout le monde tout nu non di dju et plus de problème -
@hodor L’instruction publique avait déjà tellement de retards et de sous-effectifs avant l’immigration massive que ce retard n’est même pas comblé. Je ne suis même pas sur qu’il s’arrange depuis quelques années, au contraire.
Mais l’éducation et l’enseignement du respect doit se faire par la famille et pas par l’école.
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@Psyckofox SIGNIFICATION DE LA MAIN DE FATIMA DANS L’ISLAM
Dans l’islam, la main de Fatma est couramment appelée « main de Fatima ». Le symbole a été découvert lorsque l’islam s’est rependu en Afrique du Nord et au Moyen-Orient dans la première moitié du 7e siècle. Depuis sa découverte, ce symbole porte le nom de « Fatima » (l’une des filles du prophète Mahomet). C’est pourquoi, cette main est moins rencontrée dans les pays islamiques, car selon la religion islamique, il n’est pas possible d’idolâtrer un être humain.
Néanmoins, il existe bien une représentation du Hamsa dans l’islam : la main a l’allure d’une main de Fatma ordinaire, mais avec un remplacement de l’œil central par un sceau islamique. Bien que rien ne prouve la liaison de ce symbole au culte, il est tout de même présenté comme une représentation des cinq piliers de l’islam.
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Representé par certains peut etre mais pas par les musulmans praticants.
Je me suis renseigné par la source…les potos de confession musulmane (pour dire ils s’en foutent carrément de la main de Fatma ).Chez nous les cathos c’est une croix, les juifs l’étoile de David et chez les musulmans…rien.
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@Psyckofox a dit dans Abayas à l’école :
Representé par certains peut etre mais pas par les musulmans praticants.
Je me suis renseigné par la source…les potos de confession musulmane (pour dire ils s’en foutent carrément de la main de Fatma ).Je me souviens dans la série Schitt’s Creek, ils avaient fait porter une main de fatima en pendentif à une fille juive (le personnage, pas l’actrice). Oui, c’est un symbole d’origine islamique, mais pas un symbole islamique en soi. En pratique, c’est juste un porte-bonheur du même niveau qu’un trèfle à quatre feuilles.
“”"
Selon une tradition chrétienne chaque feuille du trèfle, porté par Ève chassée de l’Éden2 et de forme rappelant la Croix, représente une des vertus théologales. La première feuille est pour l’espérance, la seconde est pour la foi et la troisième est pour la charité ; la quatrième feuille serait donc pour la chance6.
“”"C’est tellement la même histoire que pour la main de fatima, et pourtant personne ne sort que le trèfle à quatre feuille, c’est religieux.
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@ALRBP voilà tu as tout bien résumé.
Si je porte une main de Fatma moi qui est catho, c’est comme porter un collier à trèfle à 4 feuilles…rien d’autre
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j’ai créé un nouveau sujet pour continuer la discussion sur les métiers de la santé et l’immigration.
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Au moins, ça a l’avantage d’enrichir notre vocabulaire… et d’enrichir les médias.
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L’abaya qui cache la forêt
TRIBUNE - « L’abaya ne doit pas être l’arbre qui cache la forêt, celle des manques criants de l’école publique et de la crise profonde du monde éducatif. Gabriel Attal ne construira pas une politique éducative sérieuse en brandissant uniquement des mesures totems devant l’opinion publique. »
POLITIQUE - La rentrée scolaire se fera sous haute tension. L’annonce phare du nouveau ministre de l’Éducation nationale ne concernera que 0,3 % des établissements scolaires. En aucun cas, l’interdiction de l’abaya ne doit occulter les nombreuses problématiques qui accompagneront cette rentrée scolaire.
Contrairement aux grandes promesses du président de la République, il semble impossible d’avoir cette année encore un enseignant devant chaque élève, encore moins dès la rentrée.
Impossible, car ce sont 2700 postes d’enseignants qui n’ont pas été pourvus à la suite des derniers concours de recrutement.
Dans le premier degré, ce sont 16 % des postes ouverts à la suite du concours de professeur des écoles qui sont restés vacants. Une injustice s’ajoute à cette problématique, ce sont quatre académies qui concentrent à elles seules ces postes manquants : Mayotte, Guyane, Créteil et Versailles. Pour le second degré, même difficulté : les résultats du CAPES montrent qu’un poste sur quatre reste vacant en mathématiques, un poste sur cinq en lettres modernes et plus d’un poste sur deux en allemand. Un trou béant, qu’aucune mesure choc n’a su combler ces dernières années.
Le gouvernement lui-même a fait cet aveu de faiblesse pendant l’été, sortant un décret en catimini en plein mois d’août et cette fois-ci sans annonce médiatisée. Si le président promettait un professeur devant chaque élève dès la rentrée, via notamment le remplacement des professeurs absents au pied levé par un de leurs pairs, il a discrètement laissé la possibilité aux chef.fes d’établissement de faire appel aux assistants d’éducation (AED) pour ces remplacements, si les enseignants manquaient. Finalement, le gouvernement invente ce que les élèves et enseignants connaissent depuis bien longtemps… les heures de permanence.
Sans surprise, si les candidat.e.s font défaut, c’est que le métier souffre d’un fort manque d’attractivité lié notamment à une rémunération jugée peu séduisante. Le président de la République promettait une revalorisation de 10 % pour tous les enseignants durant sa campagne, cette annonce semble aujourd’hui bien lointaine. Désormais, le ministre Gabriel Attal martèle que, « tous les enseignants toucheront entre 125 et 250 euros net de plus par mois » : en réalité, il n’en sera rien. Pour environ deux-tiers des enseignants, cette augmentation d’indemnité et non de salaire - qui ne sera donc pas prise en compte pour la retraite - sera plafonnée à 95 € par mois. Pas de quoi soulever les foules, ni convaincre nos étudiants de devenir les enseignants de demain.
Si le métier souffre d’un grand manque d’attractivité, c’est aussi parce que l’enseignant est devenu un véritable couteau suisse qui doit pallier tous les manques : manque de médecins scolaires - presque 1 poste sur 2 n’est pas pourvu -, d’infirmier.e.s scolaires, d’assistant.e.s sociales… Quand l’élève a un problème, c’est à l’équipe éducative de trouver des solutions.
Source et plus: https://www.huffingtonpost.fr/politique/article/l-abaya-qui-cache-la-foret_222468.html
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Un peu d’histoire sur le sujet.
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Merci Monsieur le Ministre d’avoir autorisé les chefs d’établissement a faire n’importe quoi. J’espère que cette jeune fille va attaquer son bahut pour discrimination vestimentaire sous le droit de la liberté d’expression!
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