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    @duJambon
    Bonsoir, quelque soit la raison du problème les gens n’avaient rien à faire dans l’arène de démonstration, c’est une faute très grave. J’ai pratiqué des essais ou j’aurais pu y laisser ma peau si la procédure et l’agent chargé de la sécurité ne veillait pas au grain. Procédurier certes, mais aucune place au hasard. Des emmerdeurs sûr ! mais toutes les règles de sécurité étaient respectées.

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    Depuis la mutation de CentOS en branche en amont de Red Hat Linux Entreprise, de nombreuses distributions ont voulu lui succéder (dont Rocky et Alma Linux). Problème : elles ne pourront plus compter sur le code source de RHEL. Pourquoi ? Et quel impact ?

    Red Hat a annoncé le 21 juin que CentOS Stream sera bientôt le seul dépôt accessible pour les versions publiques du code source. Les portes de RHEL seront désormais fermées. De nombreuses distributions communautaires en dépendent et vont devoir changer de stratégie de développement. Analyse.

    Les causes

    Depuis la fin de l’année 2021, CentOS a complètement changé de visage pour devenir la branche upstream de Red Hat Entreprise Linux.

    Certains ont profité de cette transformation pour créer une distribution Linux entreprise entièrement compatible avec RHEL (dite “1:1 compatible niveau binaires”). On parle ici de Rocky Linux, par exemple, mais aussi d’Alma Linux ou d’Oracle Linux.

    Autant de solutions qui n’arrangent pas les affaires de Red Hat, qui vend sa distribution Entreprise Linux sous forme d’abonnement. D’où la décision prise cette semaine de modifier en profondeur l’accès aux sources de ses systèmes d’exploitation. Désormais, les sources de CentOS Stream seront les seules à rester accessibles. Pour ce qui est de RHEL, il faudra être client ou partenaire. Elles seront donc, en partie, fermées.

    « CentOS Stream sera désormais le seul dépôt pour les versions publiques du code source liées à RHEL. Pour les clients et partenaires de Red Hat, le code source restera disponible via le portail client de Red Hat. »

    Les conséquences

    Les développeurs d’Alma Linux ont été les premiers à réagir :

    « Étant donné que tous les clones RHEL s’appuient sur les sources publiées, cette situation perturbe une fois de plus l’ensemble de l’écosystème Red Hat. »

    Traduction : il va falloir trouver une solution alternative pour poursuivre le développement de la distribution tel qu’il était envisagé jusqu’ici. Se calquer sur CentOS n’est pas une option en raison de la nature même de la distribution.

    « À court terme, nous travaillerons avec d’autres membres de l’écosystème RHEL pour nous assurer que nous continuons à fournir des mises à jour de sécurité avec la rapidité et la stabilité qui ont fait notre réputation. À long terme, nous travaillerons avec ces mêmes partenaires et avec notre communauté pour identifier la meilleure voie à suivre pour AlmaLinux dans le cadre de l’écosystème Linux d’entreprise. »

    Du côté de Rocky Linux, on se montre un tantinet plus confiant. Son responsable, Gregory Kurtzer (ancien fondateur de CentOS), s’est lui aussi exprimé.

    « Je pense que les logiciels libres devraient toujours être disponibles gratuitement et totalement stables. Le code ne devrait jamais être caché derrière un paywall, ni être contrôlé par une seule entreprise. La décision de Red Hat de limiter la distribution de ses sources a créé un léger désagrément pour l’équipe Rocky Linux, mais grâce à un développement rapide et à un groupe extraordinaire, il n’y a pas de perturbation pour les utilisateurs de Rocky Linux. En allant de l’avant, nous continuerons de fournir stabilité, support et sécurité. »

    – Source

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    Eh bein ça va envoyer ce genre de matos !!! Vivement que cela puisse être utilisé par tous !!! :ok:

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    Après un premier coup de semonce en 2020, la Commission européenne revient à la charge sur la cybersécurité des réseaux 5G. Elle exhorte les États membres à agir au plus vite ; Huawei et ZTE sont directement cités cette fois-ci. La Commission annonce aussi des mesures pour « éviter d’exposer » ses communications professionnelles.

    Cela fait maintenant des années que les États-Unis sont en guerre ouverte contre Huawei et ZTE, deux fabricants qui sont d’ailleurs sur la « liste noire » (section 2 du Secure Networks Act) de la FCC. On y retrouve aussi Kaspersky, China Mobile et China Telecom pour ne citer qu’eux.

    En France : décret « anti-Huawei », l’ANSSI joue les prolongations

    En France, un décret « anti-Huawei » – dont la portée est bien plus large que le seul fabricant chinois Huawei – a été publié au Journal officiel en décembre 2019, puis validée par le Conseil Constitutionnel début 2021. Son but : « préserver les intérêts de la défense et de la sécurité nationale de la France dans le cadre de l’exploitation des réseaux radioélectriques mobiles ». Dans la pratique, il s’agit de soumettre à autorisation de l’ANSSI le déploiement de certains équipements sensibles.

    Le décret « anti-Huawei » détaillé au Journal officiel 5G : deux dispositions de la loi dite « anti-Huawei » validées par le Conseil constitutionnel

    Guillaume Poupard, alors directeur de l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information, précisait un peu les choses lors d’une interview à Les Échos : « les opérateurs qui n’utilisent pas Huawei, nous les incitons à ne pas y aller, car c’est un peu le sens naturel des choses. Ceux qui l’utilisent déjà, nous délivrons des autorisations dont la durée varie entre trois et huit ans ». Cela nous mène donc entre 2023 et 2028… autant dire que nous sommes en plein dans le début de la fin de cette période de « grâce ».

    « Nous ne sommes pas dans du Huawei bashing, ni dans du racisme antichinois. Nous disons juste que le risque n’est pas le même avec des équipementiers européens, qu’avec des non-européens. Il ne faut pas se mentir », ajoutait le patron de l’ANSSI.

    À l’occasion de la mise en ligne du deuxième rapport sur l’état d’avancement de la mise en œuvre de la boîte à outils de l’UE sur la cybersécurité des réseaux 5G (la première version date de janvier 2020), l’Europe revient sur le sujet et n’hésite pas à identifier noir sur blanc Huawei et ZTE.

    La mise en place des restrictions traine pour la Commission

    Selon ce rapport publié la semaine dernière, « 24 États membres ont adopté ou sont en train d’élaborer des mesures législatives conférant aux autorités nationales le pouvoir de procéder à une évaluation des fournisseurs et d’appliquer des restrictions ». Il en reste donc trois – l’Europe compte 27 États membres depuis le Brexit – qui n’ont pour le moment pas avancé sur le sujet.

    Dix États ont déjà imposé des restrictions, trois travaillent actuellement à les mettre en place. Il en reste donc 14 pour qui rien ne se passe, bien que certains aient déjà adopté des mesures législatives. Un bilan de la Commission met en balance avec le fait que tous les États disposent d’un service commercial 5G (au moins dans une partie du pays). De plus, en avril 2023, « environ 81 % de la population de l’UE était couverte par au moins un opérateur proposant des services 5G ».

    Or, « compte tenu de l’importance des infrastructures de connectivité pour l’économie numérique et de la dépendance de nombreux services critiques à l’égard des réseaux 5G, les États membres devraient mettre en œuvre la boîte à outils dans les plus brefs délais », martèle la Commission.

    Aux indécis, la Commission demande de « tenir compte des désignations faites par d’autres États membres en ce qui concerne les fournisseurs à haut risque, afin de promouvoir la cohérence et un niveau élevé de sécurité dans l’ensemble de l’Union ».

    Le message est on ne peut plus clair : « les États membres devraient imposer dans les plus brefs délais des restrictions aux équipementiers à haut risque ». L’enjeu est vital et nécessite une approche globale selon la Commission, « eu égard au caractère interconnecté des réseaux » et aux risques de dépendance. Une autre manière de dire que l’Union fait la force et que la sécurité d’un ensemble doit être étudiée via son maillon le plus faible, en l’occurrence les États n’ayant pas encore agi contre Huawei et ZTE selon le rapport de la Commission.

    Les restrictions contre Huawei et à ZTE « sont justifiées »

    En 2020, il n’était pas question de nommer directement des sociétés, même si tous les yeux étaient tournés vers les entreprises chinoises. Aujourd’hui, la Commission n’hésite plus à faire du « name & shame » et affirme que les décisions pour « appliquer des restrictions à Huawei et à ZTE ou pour les exclure des réseaux 5G sont justifiées ».

    Comme c’est le cas des États-Unis dans leur guerre contre les équipementiers chinois, l’Europe n’apporte pas de preuves concrètes, mais parle d’un « vaste faisceau de renseignements ». La Commission considère en effet « que Huawei et ZTE présentent en fait des risques sensiblement plus élevés que les autres fournisseurs 5G ».

    Les « précédents » de Huawei

    Sur la question des risques, il y a des précédents. Huawei pouvait par exemple écouter les clients du principal opérateur mobile néerlandais KPN. Ce dernier assure n’avoir aucune preuve qu’Huawei ait exploité ces vulnérabilités, mais a tout de même repris la main sur son cœur de réseau et changé de crémerie.

    Plus récemment, plusieurs sources prétendaient que le FBI aurait découvert que des équipements Huawei étaient « capables de capter et perturber » les communications militaires, « notamment celles utilisées par le commandement stratégique américain », en charge de l’arsenal nucléaire du pays.

    Le FBI, les antennes-relais Huawei et les missiles nucléaires Une question de souveraineté, la Commission « prendra des mesures »

    La Commission ne souhaite donc prendre aucun risque sur la sécurité des réseaux 5G, au cœur de nombreux services actuels et à venir : « Il s’agit d’une question essentielle pour la souveraineté, l’autonomie stratégique et la résilience de l’Union ».

    Elle s’inquiète des risques que font peser certains fournisseurs d’équipements et des (non) décision de certains États membre. Cela crée « un risque manifeste de dépendance persistante à l’égard des équipementiers à haut risque sur le marché intérieur, ce qui pourrait avoir des conséquences négatives graves pour la sécurité des utilisateurs et des entreprises dans l’ensemble de l’UE et des infrastructures critiques de l’UE ».

    Comme pour montrer l’exemple, dans le cadre de sa politique institutionnelle de cybersécurité, « la Commission prendra des mesures afin d’éviter d’exposer ses communications professionnelles à l’utilisation de réseaux mobiles qui comptent Huawei et ZTE parmi leurs équipementiers ». Elle compte aussi « transposer cette décision à tous les programmes et instruments de financement pertinents de l’UE ».

    En France, la situation est toujours compliquée. « Huawei reste bien présent en France, malgré son interdiction dans la 5G », titrait Le Monde en février. Les opérateurs nationaux sont pour rappel divisés en deux catégories : Orange et Free qui n’utilisent pas d’équipements Huawei dans leurs cœurs de réseaux (ils passent par Ericsson et Nokia), contrairement à Bouygues et SFR. Ces deux derniers ont d’ailleurs porté l’affaire devant le tribunal administratif de Paris, comme le rapporte l’Informé, afin d’obtenir une indemnisation pour le démantèlement de leurs milliers d’antennes Huawei.

    Et dans le reste de l’Europe ?

    Un rapport spécial de la Cour des comptes européenne rappelait l’année dernière que l’Allemagne est sur la même longueur d’onde que la France avec sa « la loi sur la sécurité informatique 2.0 de mai 2021 [qui] prévoit la certification obligatoire des composants critiques avant que leur utilisation puisse être autorisée ».

    En Autriche, « la loi sur les télécommunications actualisée, adoptée à la fin du mois d’octobre 2021, permet au ministre compétent de classer des fournisseurs parmi les équipementiers à haut risque et de leur appliquer des restrictions, voire de les exclure du marché ».

    La Hongrie est sur une tout autre ligne. En septembre 2021, elle « n’avait encore imposé aucune restriction à l’égard des équipementiers 5G, quels qu’ils soient, et elle ne le fera probablement pas dans un avenir proche », notait le rapport de la Cour des comptes européenne. « Elle a aussi officiellement refusé de s’associer au programme international 5G Clean Network, porté par les États-Unis, qui vise à limiter la présence d’équipementiers chinois dans les cœurs de réseaux 5G ».

    Bref, la situation est pour le moins floue, comme résumée par la Commission : certains États font part de préoccupations sur le plan de la sécurité nationale, « y compris des évaluations effectuées par les services de renseignement », d’autres « ont décidé d’appliquer des restrictions à certains fournisseurs de leurs réseaux 5G ou de les exclure de manière confidentielle ».

    La Commission à d’autres arguments pour étayer ses craintes : « la probabilité d’ingérence d’un gouvernement d’un pays tiers sans contraintes juridiques ou judiciaires appropriées », « le niveau d’activités malveillantes frappant la cybersécurité des institutions de l’UE », les « risques de perturbations pouvant affecter la chaîne d’approvisionnement », « l’importante présence de ces fournisseurs dans les réseaux 5G de l’UE », etc.

    Comme avec TikTok, les signaux convergent généralement tous vers la même conclusion : Huawei et ZTE représentent un danger pour la sécurité nationale. De son côté, Huawei a toujours farouchement réfuté être à la solde de Pékin et multiplie les opérations de séduction. À VivaTech par exemple, la société disposait d’un stand de 150 m² pour « célébrer les 20 ans de sa présence en France » et présenter ses dernières innovations… notamment en matière de 5G.

    TikTok tricard à la Commission européenne, au gouvernement Canadien et dans les agences fédérales américaines

    Source : nextinpact.com

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    Ça équilibre avec les back-doors de la NSA dans le matos Cisco…^^

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    “OOni soit qui mal y pense” pourrait on dire aux dirigeants qui ont quelques difficultés avec les libertés des individus de leurs région :haha:

  • Le nouveau fléau: Les messages vocaux

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    @Ashura a dit :

    @7cf148fd ba non le message vocal tu peux l’enregistrer aussi

    C’est vrai mais c’est beaucoup moins facile à enregistrer et à repartager qu’un screenshot.

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    Venant des Américains c’est étonnant

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    je savais pas que c’etait sony

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    Y’a pas mon Wiko!

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    Je suis toujours impressionné par l’ingéniosité des mecs qui arrivent à mettre au point de tels dispositifs avec du matériel qu’on a tous chez soi. MacGyver ne s’y serait pas pris autrement.

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    Il existe des sociétés de sauvegarde comme Backblaze qui utilisent des disques durs vieux de près de 8 ans. C’est peut-être pourquoi certains clients ont été paniqués, confus et/ou en colère de voir leur disque dur NAS Western Digital recevoir automatiquement l’étiquette d’avertissement dans DiskStation Manager (DSM) de Synology après avoir été allumé pendant trois ans. En l’absence d’autres facteurs pris en compte pour ces drapeaux automatiques, Western Digital est accusé de pousser les gens à acheter prématurément de nouveaux disques durs.

    L’action recommandée indique : “Le disque a accumulé un grand nombre d’heures d’alimentation [tout au long] de la durée de vie du disque. Veuillez envisager de remplacer le disque bientôt.” Sinon, il ne semble pas y avoir de problèmes discernables avec les disques durs.

    Synology l’a confirmé à Ars Technica et a noté que les étiquettes provenaient de Western Digital, et non de Synology. Un porte-parole a déclaré que “le sous-système de surveillance et de test WDDA est développé par Western Digital, y compris l’avertissement après avoir atteint un certain nombre d’heures de fonctionnement”.

    Cette pratique a poussé certains, comme YouTuber SpaceRex, à cesser de recommander les disques Western Digital dans un avenir prévisible. En mai, le YouTuber et consultant en technologie a décrit son indignation, affirmant que trois ans n’étaient “absolument rien” pour un lecteur NAS et déplorant que les drapeaux n’aient rien à voir avec autre chose que le fait qu’un lecteur soit utilisé ou non depuis trois ans.

    Un utilisateur de SynoForum a évoqué sa “panique” en voyant l’étiquette. Et SpaceRex a déclaré qu’un de ses clients avait également paniqué et avait rapidement remplacé les disques “d’avertissement” par peur de perdre des données critiques pour l’entreprise.

    “C’est clairement une tactique prédatrice de la part de Western Digital qui essaie de vendre plus de disques durs”, a déclaré SpaceRex dans une vidéo du 10 juin .

    Les utilisateurs craignent également que cela puisse empêcher les gens de remarquer de graves problèmes avec leur lecteur.

    De plus, vous ne pouvez pas réparer un pool avec un lecteur marqué d’une étiquette d’avertissement.

    “Seuls les disques avec un état sain peuvent être utilisés pour réparer ou étendre un pool de stockage”, a déclaré le porte-parole de Synology. “Les utilisateurs devront d’abord supprimer l’avertissement ou désactiver WDDA pour continuer.”

    Curieusement, Western Digital n’a pas de liste publique de ses appareils avec WDDA. Cependant, Synology a une liste partielle pointant vers le WD Red Pro, le WD Red Plus et le WD Purple, que Western Digital annonce pour une utilisation de surveillance, plutôt que pour une utilisation NAS.

    Du côté de Synology, le porte-parole de la société a déclaré que les étiquettes d’avertissement affectent “les appareils prenant en charge WDDA, qui incluent les modèles dont les numéros de modèle se terminent par -13 à -21 qui fonctionnent sur DSM 7.0, DSM 7.1 et DSM 7.2”. Cependant, WDDA n’est plus inclus dans les nouveaux modèles, à commencer par le DS1522+, qui a été lancé en juillet 2022. »

    SpaceRex a également déclaré que les disques QNAP pourraient bientôt prendre en charge WDDA, de sorte que les drapeaux d’avertissement automatiques pourraient bientôt affecter les utilisateurs non-Synology travaillant avec des disques durs Western Digital.

    Selon Western Digital, WDDA fournit des analyses de périphériques permettant aux administrateurs de “gérer de manière proactive le stockage et de maintenir des performances optimales pour anticiper les pannes inattendues”. Western Digital affirme que les avantages de WDDA incluent “des conseils de recommandation intelligents pour la résolution des problèmes” et “des instructions claires et concises pour l’assistance”.

    “Il y a de bonnes données là-dedans, mais beaucoup d’entre elles ne sont que des informations redondantes [basées sur SMART], et donc ce n’est vraiment même pas si utile”, a-t-il déclaré. “Vous pouvez obtenir à peu près toutes les informations de ces tests à partir du test SMART, et je pense en fait que c’est peut-être le cas.”

    Le porte-parole de Synology a déclaré que si WDDA est activé dans DSM, on pourrait désactiver WDDA dans Storage Manager et voir l’avertissement supprimé.

    "Étant donné que l’avertissement est déclenché par un nombre fixe d’heures de mise sous tension, nous ne pensons pas que [la désactivation de WDDA] soit un risque. Cependant, les administrateurs doivent toujours porter une attention particulière à leurs systèmes, y compris si d’autres avertissements ou E/S des perturbations se produisent », a déclaré le représentant de Synology. “Des indicateurs tels que des lectures/écritures beaucoup plus lentes sont des signes plus évidents que la santé d’un disque peut se détériorer.”

    SpaceRex, quant à lui, exhorte Synology à supprimer entièrement le test de ses systèmes d’exploitation. Mais comme l’a souligné NAS Compares , cela nécessiterait une coopération avec Western Digital.

    “Les utilisateurs affirment que si [Western Digital] fournit les informations via WDDA, il appartient au logiciel DSM de Synology de déterminer comment agir sur ces informations”, a déclaré NAS Compares. “L’impossibilité de désactiver l’avertissement WDDA [plutôt que WDDA entièrement] dans DSM 7, même si le lecteur réussit les tests SMART, a soulevé des inquiétudes parmi les utilisateurs qui estiment que l’avertissement peut provoquer une alarme inutile ou provoquer des remplacements prématurés du lecteur.”

    Western Digital n’a pas répondu aux demandes de commentaires pour cette histoire.

    Source: https://arstechnica.com/gadgets/2023/06/clearly-predatory-western-digital-sparks-panic-anger-for-age-shaming-hdds/

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    Dans mon ancienne boite il y avait que ca et ca fonctionne super bien, mais oui c’est lent en temps d’accès

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    Les modèles d’IA générative, tels que ChatGPT, sont connus pour générer des erreurs ou des “faux” (surtout à cause de leurs données). C’est pourquoi ils sont généralement accompagnés d’une clause de non-responsabilité clairement affichée pour signaler ce problème.

    Mais que feriez-vous si, malgré ces avertissements, vous voyiez le chatbot d’IA diffuser des informations erronées à votre sujet ?

    Mark Walters, un animateur de radio américain, a découvert que ChatGPT diffusait de fausses informations à son sujet, l’accusant d’avoir détourné de l’argent. Il a donc poursuivi OpenAI dans le cadre du premier procès en diffamation intenté à l’entreprise comme le rapporte la loi Bloomberg.

    Selon les documents judiciaires, la désinformation a commencé lorsque Fred Riehl, rédacteur en chef d’une publication sur les armes à feu nommée AnmoLand, a demandé à ChatGPT un résumé d’une affaire juridique (Second Amendment Foundation v. Ferguson) pour étayer un article qu’il était en train de rédiger.

    ChatGPT a fourni à Riehl un résumé de l’affaire qui indiquait que Walters était accusé d’avoir “fraudé et détourné des fonds pour des dépenses personnelles sans autorisation ni remboursement” et d’avoir “manipulé des documents financiers et des relevés bancaires pour dissimuler ses activités”. Et ce alors qu’il était directeur financier et trésorier d’une organisation.

    Problème, Mark Walters n’a jamais été impliqué dans ce procès. Il n’a jamais été accusé d’avoir fraudé et détourné des fonds, et n’a jamais occupé le poste de trésorier ou de directeur financier.

    M. Walters demande donc à OpenAI de lui verser des dommages-intérêts.

    Les questions qui se posent dans le cadre de cette action en justice sont les suivantes : qui doit être tenu pour responsable ? Et les clauses de non-responsabilité du site web concernant les hallucinations suffisent-elles à écarter la responsabilité, même si un préjudice est causé à quelqu’un ?

    L’issue de ce procès aura donc clairement un impact significatif sur l’établissement d’une norme dans le domaine de l’IA générative.

    Source: https://www.zdnet.com/article/chatgpts-hallucination-just-got-openai-sued-heres-what-happened/

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    @michmich

    Il a tout de même vécu 5 siècles, les Big Tech ont encore quelques beaux jours devant elles :ahah:

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    L’extension Firefox est en fait un proxy sans configuration.

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    Je vais tester. 🙂

    La config:

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    Et le dernier petit bout d’image après la liste d’exclusion:

    d0804a8f-95ad-4e75-b62d-1c78690ecf7a-image.png

    En cliquant sur l’icône de mullvad:

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    En cliquant sur connect:

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    A suivre 🙂

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    La plupart des gens utilisent les moteurs de recherche pour répondre à toutes leurs questions. Fait intéressant, Bing de Microsoft renverse également ce rôle, interrogeant les utilisateurs sur toutes sortes de sujets ; quel est leur client torrent préféré, quel type de films ils diffusent sur le site pirate Fmovies ou comment ils parviennent à se protéger tout en utilisant The Pirate Bay.

    Le succès de ChatGPT d’OpenAI a inspiré Microsoft à ajouter plus de fonctionnalités d’IA à son moteur de recherche Bing.

    L’idée est que cela permettra aux utilisateurs de recevoir des réponses plus élaborées par rapport à une liste de liens ordinaire.

    Reste à savoir si cette stratégie sera payante, mais lors de nos tests, quelque chose d’autre s’est démarqué. Les gens ne sont pas les seuls à se poser des questions. Bing lui-même est très intéressé d’entendre ce que ses utilisateurs pensent aussi.

    Comme prévu, une recherche par mot-clé régulière pour “Pirate Bay” renvoie beaucoup d’informations sur le site. En plus de l’URL correcte, qui était auparavant absente , Bing répertorie également un sondage intrigant. Plus précisément, il veut savoir comment les gens se protègent efficacement lorsqu’ils utilisent The Pirate Bay.

    Le sondage est dans le coin inférieur droit
    https://zupimages.net/up/23/23/4y6t.png

    Bing propose à ses utilisateurs quatre options parmi lesquelles choisir, notamment l’utilisation d’un VPN, d’un proxy, du navigateur Tor ou d’une adresse IP dédiée. Selon la définition de “sûr”, un VPN est la réponse la plus évidente, ce qui se reflète également dans les résultats .

    Ce sondage n’a bien sûr rien à voir avec ChatGPT, mais il est possible que Bing utilise d’une manière ou d’une autre les résultats pour améliorer sa fonctionnalité de recherche générale. Ou peut-être que ces questions sont générées par l’IA ?

    Comme petite expérience, nous avons décidé de poser à Bing la même question qu’il nous a posée ( Quel est le moyen le plus efficace de se protéger lors de l’utilisation de The Pirate Bay ? ). Et en effet, un VPN fait office de réponse dans une police massive.

    https://zupimages.net/up/23/23/knjb.png

    Les sondages des utilisateurs ne sont pas exclusifs à The Pirate Bay. Il existe plusieurs autres sujets liés au partage de fichiers et au piratage où d’autres sondages apparaissent. Lorsque nous tapons BitTorrent, par exemple, nous sommes interrogés sur notre client torrent préféré.

    Les options sont plutôt limitées mais avec 57%, uTorrent est le grand vainqueur, suivi de qBitTorrent avec près d’un quart des voix.

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    Lorsque nous recherchons Fmovies, l’un des sites de streaming pirates les plus populaires, Bing veut soudainement savoir quels genres de films nous regardons le plus souvent sur le site. Ici, “l’action” est la préférée du public avec près de la moitié des voix.

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    Pendant ce temps, la disparition de RARBG n’a pas encore été reflétée dans les données de Bing. Le moteur de recherche mentionne un site imitateur comme premier résultat et demande toujours si les gens pensent qu’un VPN est nécessaire pour accéder à RARBG.

    Enfin, il y a aussi un sondage sur le dark web, mais peut-être vaut-il mieux ne pas le mentionner explicitement.

    Source: https://torrentfreak.com/bing-asks-users-how-they-protect-themselves-on-the-pirate-bay-230610/

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    Vous le savez peut-être déjà, les IA prédictives de type GPT sont orientées et encadrées par des déclarations préalables de texte de manière à contenir les “prédictions”.
    Mais des chercheurs ont facilement contourné le problème sur une AI de NVidia.

    Nvidia a créé un système appelé «NeMo Framework», qui permet aux développeurs de travailler avec une gamme de grands modèles de langage, la technologie sous-jacente qui alimente les produits d’IA générative tels que les chatbots.

    Le cadre du fabricant de puces est conçu pour être adopté par les entreprises, comme l’utilisation des données exclusives d’une entreprise aux côtés de modèles de langage pour fournir des réponses aux questions - une fonctionnalité qui pourrait, par exemple, reproduire le travail des représentants du service client ou conseiller les personnes à la recherche de soins de santé simples.

    Les chercheurs de Robust Intelligence, basé à San Francisco, ont découvert qu’ils pouvaient facilement franchir les soi-disant garde-corps institués pour garantir que le système d’IA pouvait être utilisé en toute sécurité.

    Après avoir utilisé le système Nvidia sur ses propres ensembles de données, il n’a fallu que quelques heures aux analystes de Robust Intelligence pour obtenir des modèles de langage permettant de surmonter les restrictions.

    Dans un scénario de test, les chercheurs ont tout simplement demandé au système de Nvidia d’échanger la lettre « I » avec « J » (ce qui a permis d’échapper à la déclaration cadre). Cette décision a incité la technologie à publier des informations personnellement identifiables, ou PII, à partir d’une base de données.

    Les chercheurs ont découvert qu’ils pouvaient contourner les contrôles de sécurité d’autres manières, par exemple en faisant dévier le modèle d’une manière qu’il n’était pas censé faire.

    En reproduisant l’exemple de Nvidia d’une discussion étroite sur un rapport d’emploi, ils pourraient intégrer le modèle à des sujets tels que la santé d’une star de cinéma hollywoodienne et la guerre franco-prussienne, malgré les garde-fous conçus pour empêcher l’IA de dépasser des sujets spécifiques.

    La facilité avec laquelle les chercheurs ont vaincu les garanties met en évidence les défis auxquels sont confrontées les entreprises d’IA pour tenter de commercialiser l’une des technologies les plus prometteuses à émerger de la Silicon Valley depuis des années.

    “Nous constatons qu’il s’agit d’un problème difficile [qui] nécessite une expertise approfondie”, a déclaré Yaron Singer, professeur d’informatique à l’Université de Harvard et directeur général de Robust Intelligence. “Ces résultats représentent un récit édifiant sur les pièges qui existent.”

    À la suite des résultats de ses tests, les chercheurs ont conseillé à leurs clients d’éviter le produit logiciel de Nvidia. Après que le Financial Times ait demandé à Nvidia de commenter la recherche plus tôt cette semaine, le fabricant de puces a informé Robust Intelligence qu’il avait résolu l’une des causes profondes des problèmes soulevés par les analystes.

    Le cours de l’action Nvidia a bondi depuis mai, date à laquelle il prévoyait des ventes de 11 milliards de dollars pour les trois mois se terminant en juillet, soit plus de 50 % de plus que les estimations précédentes de Wall Street.

    Cette augmentation s’appuie sur une énorme demande pour ses puces, qui sont considérées comme les processeurs leaders du marché pour construire une IA générative, des systèmes capables de créer du contenu de type humain.

    Jonathan Cohen, vice-président de la recherche appliquée de Nvidia, a déclaré que son cadre était simplement un “point de départ pour créer des chatbots d’IA qui s’alignent sur les directives thématiques, de sécurité et de sécurité définies par les développeurs”.

    “Il a été publié en tant que logiciel open source pour que la communauté explore ses capacités, fournisse des commentaires et contribue à de nouvelles techniques de pointe”, a-t-il déclaré, ajoutant que les travaux de Robust Intelligence "ont identifié des étapes supplémentaires qui seraient nécessaires pour déployer une demande de production.

    Il a refusé de dire combien d’entreprises utilisaient le produit, mais a déclaré que la société n’avait reçu aucun autre rapport indiquant qu’il se comportait mal.

    Les principales sociétés d’IA telles que Google et OpenAI, soutenu par Microsoft, ont lancé des chatbots alimentés par leurs propres modèles de langage, instituant des garde-fous pour s’assurer que leurs produits d’IA évitent d’utiliser un discours raciste ou d’adopter une personnalité dominatrice.

    D’autres ont suivi avec des IA sur mesure, mais expérimentales qui enseignent aux jeunes élèves, dispensent des conseils médicaux simples, traduisent entre les langues et écrivent du code. Presque tous ont subi des problèmes de sécurité.

    Nvidia et d’autres acteurs de l’industrie de l’IA doivent “vraiment renforcer la confiance du public dans la technologie”, a déclaré Bea Longworth, responsable des affaires gouvernementales de la société en Europe, au Moyen-Orient et en Afrique, lors d’une conférence organisée par le groupe de pression industriel TechUK cette semaine. .

    Ils doivent donner au public le sentiment que “c’est quelque chose qui a un énorme potentiel et qui n’est pas simplement une menace, ou quelque chose dont il faut avoir peur”, a ajouté Longworth.

    Source: https://arstechnica.com/gadgets/2023/06/nvidias-ai-software-tricked-into-leaking-data/

    Une belle leçon de piratage 🙂

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    En Finlande, un projet censé résoudre l’épineux casse-tête du sort des déchets nucléaires touche à sa fin. Enjeux, fonctionnement, avenir européen…

    « Onkalo sera la première installation de stockage de combustible nucléaire usé au monde », explique à l’AFP la géologue Johanna Hansen, coordinatrice de la recherche et du développement chez Onkalo. (le centre de bure et tous les autres sites ne sont officiellement que des laboratoires de recherche)

    Sur l’île verdoyante d’Olkiluoto dans le golfe de Botnie, au large de la côte ouest de la Finlande – où se trouve déjà le plus grand réacteur nucléaire d’Europe -, le projet censé résoudre l’épineux casse-tête du sort des déchets nucléaires touche à sa fin.

    Y a-t-il là une solution miracle ? Peu carboné, le nucléaire représente une source d’énergie propre utile pour aider à contenir le réchauffement climatique. Mais son stockage à long terme plombe les projets nucléaires dans le monde.

    En effet, les délais considérables – quelque 250 000 ans pour les déchets les plus toxiques – nécessaires pour que les radiations retombent à des niveaux sûrs posent des défis de taille.

    À plus de 400 mètres de profondeur, le dépôt d’Onkalo est conçu pour abriter au total 6 500 tonnes d’uranium, soit assez pour couvrir la quantité de combustible usé par les cinq réacteurs nucléaires finlandais pendant toute leur durée de vie.

    Quelque 400 000 tonnes de combustible usé ont à ce jour été extraites des réacteurs, estime la World Nuclear Association, la plupart stockées dans des entrepôts temporaires.

    Selon la solution retenue par Posiva, l’exploitant d’Onkalo, conjointement avec les autorités suédoises, l’uranium usé sera enfermé dans d’épais étuis en cuivre et enfoui dans la roche, avant que le tunnel ne soit obturé avec un immense bouchon cunéiforme en acier renforcé.

    Les travaux à Onkalo (« creux » en finnois) ont démarré en 2004 et les ultimes essais auront lieu début 2024.

    Certains experts restent cependant dubitatifs. Des chercheurs de l’École polytechnique (KTH) suédoise ont régulièrement mis en doute la sûreté du dispositif, invoquant les risques de corrosion du cuivre qui pourraient entraîner une fuite.

    Des peurs balayées par les porteurs du projet. Pour l’Autorité de sûreté nucléaire finlandaise, Onkalo est conforme aux exigences.

    Professeure à l’université de la Colombie-Britannique, Allison Macfarlane juge qu’aucun projet n’est « sûr à 100 % » mais qu’Onkalo est « certainement la solution qui a été la plus fouillée ».

    L’alternative, dit-elle, serait de « laisser indéfiniment les déchets à la surface », une hypothèse beaucoup plus risquée.

    Des sites pour d’autres installations potentielles d’enfouissement ont été sélectionnés en Suède, en France et en Suisse. Une décision est aussi attendue sous peu au Canada.

    « C’est la solution qui fait l’unanimité dans le monde pour le problème des déchets nucléaires », estime Mme Macfarlane.

    Mais de nombreux projets se heurtent à des oppositions, comme Cigéo à Bure dans l’est de la France. « Les défis restants sont de nature politique », synthétise Allison Macfarlane.

    AFP.

    Sources: https://actu.fr/monde/nucleaire-en-quoi-consiste-onkalo-le-premier-cimetiere-de-dechets-au-monde_59693058.html
    Et: https://fr.wikipedia.org/wiki/Stockage_des_déchets_radioactifs_en_couche_géologique_profonde

    À noter que la faible densité démographique de la Finlande rendra tout problème moins dramatique. Au moins pour les 500 premières années sauf immigration massive suite aux problèmes climatiques 🙂