Actualités High-Tech

1.3k Sujets 6.6k Messages
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    Comme déjà dit, c’est ce qu’internet est devenu qui s’est barré en fusée.
    Me souviens des débuts de facebook ou je trouvais l’idée innocemment géniale. Se partager nos nouvelles entre nous !
    Je n’ai pas besoin de vous dire ce qu’on partage finalement.

    Après, c’est vrai qu’il existe des espaces plus respectueux ^^
    Mais difficile d’organiser une rioule entre nous parce qu’on risquerait de vois débarquer une armée de poulaga.
    Nous sommes de vilains pirates qui partageons de la culture.
    Inadmissible !!!

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    C’est devenu une belle merde twitch, ça + les abonnements qui ont augmentés, le nue qui est autorisé vu que ça rapporte, les modos tendance gauchiste du coup c’est pas impartial…

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    osef le foot 😉

    y’a encore des pôv mecs qui vont trinquer Grrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr

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    Depuis le temps qu’on le dit c’est pas des dns fiable, go crypto dns, no logs, pas de censure, choix du pays

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    Depuis l’été 2023, l’application mobile Carte Vitale est proposée en test dans huit départements : Alpes-Maritimes, Bas-Rhin, Loire-Atlantique, Puy-de-Dôme, Rhône, Saône-et-Loire, Sarthe et Seine-Maritime.

    Disponible sur Android et iOS, elle peut désormais être utilisée dans quinze départements supplémentaires : Ain, Allier, Alpes-de-Haute-Provence, Ardèche, Bouches-du-Rhône, Cantal, Drôme, Hautes-Alpes, Haute-Loire, Haute-Savoie, Isère, Loire, Savoie, Var et Vaucluse.

    Comme le signalent nos confrères d’iGeneration, les conditions évoluent légèrement. Il faut toujours un smartphone sous Android 7 ou iOS 12 au moins, disposer d’une pièce d’identité en cours de validité et être affilié à un organisme de l’Assurance Maladie, de la MSA ou de la MGEN. Une condition supplémentaire a été ajoutée : avoir ouvert un compte ou un espace assuré sur le site de son organisme d’assurance maladie.

    La dernière mouture de l’application est disponible depuis hier et corrige certains problèmes. iGeneration ajoute en revanche que la photo de profil reste extraite automatiquement de la vidéo utilisée pour la reconnaissance faciale et n’est donc « pas toujours flatteuse ».

    En outre, l’application semble encore peu prise en charge par les médecins. La version Android permet de présenter sa carte Vitale par code QR ou NFC, quand celle pour iPhone doit se contenter du code QR, en tout cas pour l’instant.

    Source : next.ink

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    Voilà ça commence, les abus étaient courus d’avance

    Ça fait 5 photos par personnes qu’ils ont de nous 😁

  • L'I.A. Stable Diffussion 3 génère des horreurs

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    Ou alors une vision futuriste de ce que sera l’être humain dans quelques décennies :lol:

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    En amont des élections législatives européennes, les géants numériques financent les partis libéraux.

    Les élections européennes commenceront le 6 juin aux Pays-Bas et se poursuivront jusqu’au 9 juin, mais les géants de la tech sont déjà sur les rangs pour se trouver des soutiens.

    Selon les données de l’Autorité pour les partis politiques européens et les fondations politiques européennes, Google, Apple et Microsoft ont tous versé des dons aux principaux think-tanks politiques, voire aux partis politiques européens eux-mêmes. Cumulées, ces dons font de la tech l’industrie qui a le plus contribué en amont des élections parlementaires, relève Politico.

    L’alliance des libéraux et démocrates et son think tank, principaux bénéficiaires

    Dans le détail, c’est l’Alliance des libéraux et démocrates pour l’Europe (ALDE) et son think tank European Liberal Forum (ELF) qui ont attiré le plus de financement. Microsoft et Qualcomm (via sa branche française) ont respectivement versé 18 000 euros, soit le maximum légal, à l’ALDE. L’ELF a reçu 5 000 euros supplémentaires de Microsoft et 18 000 euros d’Apple et de la branche irlandaise de Google respectivement.

    Autre bénéficiaire : le Wilfried Martens Centre du Parti populaire européen (PPE) a reçu 8 000 euros de la branche belge de Google ainsi que d’Intel et d’Apple.

    Lobbying par financement

    Si ces dons sont parfaitement légaux, ils restent une manière d’influencer le champ politique européen. Divers travaux, dont l’ouvrage The Misinformation Age de Cailin O’Connor et James Weatherall (Yale University, 2019), ont souligné à répétition la propension des grandes entreprises en général – et des géants du numérique en particulier – à influencer la recherche académique et les décisions politiques par la simple orientation de leurs moyens financiers.

    Une autre manière de faire, toujours en s’aidant de fonds, consiste à utiliser des relais locaux. En mars, l’association Corporate Europe Observatory regrettait ainsi publiquement que des start-ups européennes comme Mistral AI ou Aleph Alpha aient, chacune, œuvré pour orienter la rédaction de l’AI Act en faveur des intérêts des géants états-uniens.

    En amont des élections parlementaires européennes, Corporate Europe Observatory a d’ailleurs publié un guide à destination des candidats aux européennes pour les aider à identifier et manœuvrer le lobbying des grandes entreprises.

    Source : next.ink

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    Entre la génération d’articles qui ne veulent rien dire et de photos/vidéos qui ne ressemblent à rien. L’IA nous pique nos boulots !
    C’est cool !!! On va pouvoir rester à la maison à mater les millions d’épisodes de plus belle la vie :edente:

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    Et bien sûr, les “incidents” ne se sont pas arrêtés en 2019 🙂

    De toute façon, Google vend ses données à qui veut payer (même à des escrocs), personne n’est à l’abri.

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    Vous souhaitez utiliser des outils d’IA sans compromettre votre confidentialité ? Voici comment protéger votre vie privée en utilisant le plus fameux des chatbot. (sans garantie)

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    Dans quelle mesure vos conversations avec ChatGPT sont-elles privées ? Il est difficile de répondre à cette question.

    OpenAI affirme que personne ne peut voir vos conversations à moins que vous ne choisissiez spécifiquement de les partager. Cependant, l’entreprise stocke et conserve un historique de vos conversations et reconnaît que leur contenu peut être utilisé pour la formation.

    Si vous êtes préoccupé par le respect de votre vie privée lorsque vous utilisez ChatGPT, vous pouvez prendre quelques mesures. Les deux options sont disponibles pour les utilisateurs gratuits et payants - voici comment elles fonctionnent.

    Utiliser un chat éphémère

    Vous pouvez lancer une discussion temporaire pour des conversations uniques. Ces chats ne seront pas sauvegardés dans votre historique ni utilisés pour l’entraînement au modèle. De plus, ChatGPT ne se souviendra pas de ce dont vous avez discuté. Cependant, OpenAI peut conserver des copies de vos discussions temporaires pendant 30 jours afin de surveiller tout abus.

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    Comment utiliser un chat éphémère ?

    Vous pouvez démarrer un chat éphémère dans ChatGPT pour le web ou dans l’application mobile pour iOS ou Android. Dans une nouvelle fenêtre de chat, appuyez sur l’en-tête ChatGPT en haut et sélectionnez l’option Chat éphémère.

    L’écran de chat éphémère s’affiche et explique le fonctionnement de l’option.

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    ChatGPT : question en mode chat éphémère. Capture d’écran Moctar KANE/ZDnet France.

    Pour quitter le mode temporaire, cliquez sur le titre ChatGPT en haut de la page et désactivez son interrupteur. Dans l’application mobile, démarrez une nouvelle discussion et vous ne serez plus en mode temporaire.

    Désactiver l’entraînement au modèle

    Vous pouvez également protéger votre vie privée en désactivant l’entraînement du modèle d’OpenAI. Comme vous pourrez toujours accéder à l’historique de vos conversations, cette option est pratique si vous souhaitez consulter et reprendre des conversations antérieures tout en conservant un certain degré de confidentialité sur ce que vous dites.

    Comment déactiver l’entraînement au modèle ?

    Désactiver l’entraînement au modèle est assez simple et rapide. Sur le site de ChatGPT, cliquez sur l’icône de votre profil en haut à droite et sélectionnez Paramètres. Dans l’application mobile, cliquez sur l’icône du menu hamburger en haut à gauche, puis sélectionnez votre icône de profil en bas.

    Dans la fenêtre Paramètres, sélectionnez Gestion des données et désactivez l’option Améliorer le modèle pour tous.

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    ChatGPT : paramètres dont “Améliorer le modèle pour tous”. Capture d’écran Moctar KANE/ZDnet France.

    Fermez l’écran de configuration pour revenir à votre chat. Vous pouvez maintenant reprendre vos conversations avec ChatGPT, Open AI n’utilisera plus votre contenu à des fins d’entraînement, et vos chats seront toujours accessibles dans votre liste d’historique.

    Source: https://www.zdnet.fr/pratique/chatgpt-comment-limiter-les-donnees-que-vous-partagez-avec-openai-392766.htm

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    @Indigostar a dit dans D’anciens salariés d’OpenAI et Google demandent un droit d’alerter sur les risques des IA :

    Je reste donc perplexe, surtout que l’évolution de l’IA tend vers la capacité de se mettre à jour elle-même et d’ajuster ses algorithmes.

    On devrait lui confier la gestion d’un pays imaginaire histoire de voir. :ahah:

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    ben ça tombe bien, mais la twingo est connectée !

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    Des humains qui “valident” de l’incitation à la violence ?
    narmol !

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    Le professeur d’économie et auteur Mathias Binswanger déconstruit les belles promesses de la tech

    L’intelligence artificielle devrait bientôt nous submerger et révolutionner la société, prédisent certains géants de la tech. L’économiste Mathias Binswanger tempère cette vision qui révèle surtout les enjeux financiers qui se cachent derrière le battage médiatique.

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    L’IA est aujourd’hui présentée comme un remède miracle pour pratiquement tous les problèmes économiques: analyser un énorme ensemble de données? ChatGPT le fait en quelques secondes. Communiquer avec des clients et des partenaires en Chine? Un jeu d’enfant grâce aux outils de traduction dopés à l’IA.

    L’économie suisse est d’ailleurs à la pointe de la révolution de l’IA! Dans un sondage réalisé par l’agence de placement Manpower, 67% des cadres suisses déclarent que l’IA a une influence positive sur leur travail. 57% des entreprises suisses se considèrent comme des early adopters, c’est-à-dire qu’elles utilisent déjà l’IA dans leur travail quotidien – une augmentation de 27% par rapport à l’année précédente. Et contrairement à ce que l’on pourrait penser, l’étude montre que l’IA n’est pas perçue comme une menace pour l’emploi.

    Des attentes élevées envers l’IA en tant que nouveau collaborateur

    De son côté, Mathias Binswanger ne voit pas cet engouement pour l’IA d’un très bon œil. L’économiste enseigne à la Haute école spécialisée du Nord-Ouest de la Suisse (FHNW) et vient de publier un livre sur la révolution de l’IA. «Die Verselbstständigung des Kapitalismus» (traduisez «L’autonomisation du capitalisme») fait actuellement partie des best-sellers parmi les livres d’économie, selon Bilanz.

    «Nous sommes naïfs en ce qui concerne l’IA», prévient Mathias Binswanger. Par exemple lorsque les entreprises peinent à trouver suffisamment de personnel en raison de la pénurie de main-d’œuvre qualifiée et qu’elles espèrent pouvoir utiliser l’IA comme «main-d’œuvre supplémentaire». «La numérisation et l’IA n’atténueront guère la pénurie de main-d’œuvre qualifiée», rétorque Mathias Binswanger. Certes, on économise effectivement du personnel dans certains domaines. «En revanche, il faut davantage de personnes qui s’y connaissent en technologies numériques ailleurs.» Au final, cela équivaut à un jeu à somme nulle.

    Cela signifie aussi que nous ne devons effectivement pas craindre un chômage à grande échelle dû à l’IA. Et si vous pensez que l’IA effectuera des tâches routinières ennuyeuses, nous permettant de consacrer davantage de temps à des tâches plus passionnantes et plus créatives, vos espoirs vont être douchés. Le professeur d’économie Mathias Binswanger estime qu’il s’agit d’un leurre. «Les emplois traditionnellement peu attractifs sont remplacés par de nouveaux emplois qui ont tendance à être également peu attractifs.» Au lieu d’avoir plus de temps pour la créativité, l’IA engendrerait plus de bureaucratie sur le marché du travail. «Des départements entiers de conformité seront créés, des questions de protection des données et de responsabilité se poseront, l’IA renforcera la bureaucratie du contrôle de gestion», prévoit-il.

    Les consultants en IA font de bonnes affaires

    Une vision moins optimiste que dans les promesses mirobolantes des entreprises de la tech. «Il y a des intérêts économiques évidents derrière le fait de nous présenter les choses comme si l’IA était une sorte de tsunami qui allait nous submerger», explique Mathias Binswanger. «Les entreprises de conseil qui soutiennent les entreprises dans le domaine de l’IA poussent comme des champignons.» Elles font de bonnes affaires en profitant de l’engouement pour l’IA.

    De nombreuses entreprises suisses peuvent se permettre d’adopter l’IA. Mais va-t-elle vraiment transformer notre économie à grande vitesse? Mathias Binswanger reste sceptique. «Il y a dix ans, on pensait qu’aujourd’hui, nous serions tous sur la route avec des voitures qui se conduisent toutes seules», rappelle-t-il. Les cryptomonnaies devaient supplanter l’argent traditionnel, le métavers devenir la nouvelle place du marché virtuelle. Ces scénarios ne se sont pas réalisés, malgré le battage médiatique.

    Source: https://www.blick.ch/fr/news/tech/nous-sommes-na-fs-en-ce-qui-concerne-lia-le-professeur-deconomie-et-auteur-mathias-binswanger-deconstruit-les-belles-promesses-de-la-tech-id19835170.html

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    La CNIL espagnole vient de décider la suspension de l’implémentation sur son territoire des fonctionnalités prévues par Meta. L’entreprise voulait les ajouter à Instagram et Facebook à l’occasion des élections européennes pour « empêcher la collecte de données, le profilage des utilisateurs et le transfert d’informations à des tiers ».

    L’Agencia Española de Protección de Datos (AEPD) annonce avoir décidé le blocage préventif de l’implémentation des fonctionnalités que Meta voulait intégrer à Facebook et Instagram pour les élections européennes.

    L’entreprise de Mark Zuckerberg a prévu de lancer deux outils appelés « Election Day Information » (EDI) et Voter Information Unit (VIU). Et, selon l’autorité, Meta récupérerait et traiterait des données concernant l’utilisation de ces outils.

    L’AEPD veut, par cette mesure, empêcher « la collecte de données, le profilage des utilisateurs et le transfert d’informations à des tiers, afin d’éviter que les données personnelles ne soient utilisées par des tiers inconnus et à des fins non explicites ». Cette interdiction aura une durée maximale de trois mois. Meta ne devrait donc pas pouvoir les mettre en place en Espagne lors du scrutin européen.

    La CNIL espagnole considère que le traitement des données prévu par Meta implique une action contraire au RGPD. Au minimum, elle « violerait les principes de protection des données que sont la licéité, la minimisation, et la limitation du stockage ».

    Selon l’agence, ces deux fonctionnalités traiteraient des données personnelles « telles que, entre autres, le nom de l’utilisateur, l’adresse IP, l’âge et le sexe ou des informations sur la manière dont l’utilisateur interagit avec ces fonctionnalités ».

    Éviter un nouveau Cambridge Analytica

    Pour l’autorité, cette récupération et ce stockage des données « mettraient gravement en péril les droits et libertés des utilisateurs d’Instagram et de Facebook, qui verraient augmenter le volume d’informations que Meta collecte à leur sujet, permettant un profilage plus complexe, détaillé et exhaustif, et générant un traitement plus intrusif ».

    Elle ajoute que donner accès à ces informations à des acteurs tiers « entraînerait une ingérence disproportionnée dans les droits et libertés des personnes concernées ».

    Si l’autorité ne le mentionne pas, cette peur qu’elle évoque rappelle l’utilisation des données de millions d’utilisateurs de Facebook lors du scandale de Cambridge Analytica.

    Prévues dans toute l’Europe à l’exception de l’Italie

    L’AEPD explique que Meta lui a indiqué vouloir lancer ces fonctionnalités pour tous les utilisateurs de ses services qui pourront voter aux élections européennes, « _à l’exception de l’Italie, dont l’autorité de protection des données a déjà entamé une procédure à ce suje_t ».

    En effet, en septembre 2022, l’autorité italienne (GPDP) avait déjà mis en place une procédure contre Meta à propos des élections nationales. Elle y évoquait d’ailleurs plus explicitement le scandale Cambridge Analytica.

    Interrogée par TechCrunch, Meta a répondu : « nos outils électoraux ont été expressément conçus pour respecter la vie privée des utilisateurs et se conformer au RGPD. Bien que nous ne soyons pas d’accord avec l’évaluation de l’AEPD, nous avons coopéré ».

    Source : next.ink

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    Abrutissons l’I.A. avec des données fantaisistes, c’est à notre portée! et ça pourrait même être drôle :ahah:

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    Et hop une base de plus sur le net en circulation

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    Microsoft retire la version préliminaire de Windows 11 24H2 après une controverse sur recall

    Ce n’est probablement pas une coïncidence si Microsoft a également discrètement retiré la version de la mise à jour Windows 11 24H2 qu’il avait testée dans son canal Release Preview pour Windows Insiders. Il n’est pas rare que Microsoft arrête de distribuer une version bêta de Windows après sa publication, mais le canal Release Preview est généralement le dernier arrêt pour une mise à jour de Windows avant une version plus large.

    La version extraite de Windows 11 24H2 continuera de fonctionner si vous l’avez déjà téléchargée et installée, mais elle ne sera plus proposée aux personnes qui optent pour le canal Release Preview sur les PC exécutant une ancienne version de Windows 11 comme 22H2 ou 23H2. Vous pouvez toujours télécharger une version légèrement plus ancienne, version 26100.560, au format ISO sur le site Web Windows Insider ; cette version pourra toujours être mise à jour vers la nouvelle version Release Preview chaque fois que Microsoft jugera opportun de la publier.

    Source et plus: https://arstechnica.com/gadgets/2024/06/microsoft-pulls-release-preview-build-of-windows-11-24h2-after-recall-controversy/