Discussions générales

On parle de tout le reste

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    Le plus simple ne plus acheter des Iphones.
    Comme disait un humoriste célèbre “il suffirai que l’on achète pas pour que ça se vende plus”

  • Passerelle multimedia avec choix des sous titres

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    @duJambon Merci pour la réponse.
    J’en ai testé plusieurs, et pour pouvoir regarder mes vidéos sous titrées, il fallait effectivement que je passe par une appli (par forcément terrible d’ailleurs) ou alors vlc que je devais rajouter, et pour faire tout ça, obligée de passer par une compte google. Je vais continuer mes recherches 🙂 Bonne soirée 🙂

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    Lobbying, recrutement, financement : les géants américains du numérique ont tissé ces dernières années une “toile d’influence” en France, dénoncée dans un rapport d’une trentaine de pages publié mardi par l’Observatoire des multinationales, une association qui milite pour l’encadrement des activités de lobbying.

    “Les filiales françaises des Gafam (Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft) ont déclaré en 2021 la somme de 4,075 millions d’euros de dépenses de lobbying en France, contre 1,35 million en 2017, soit une multiplication par trois”, affirme l’association en se fondant sur les données de la Haute autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP). L’association se donne comme mission d’éclairer les relations entre grands acteurs économiques et pouvoir politique.

    Google est la plus dépensière, avec plus d’1,6 million d’euros, devant Microsoft (1,1 million) et Amazon (850 000 euros).

    Les cinq entreprises “ont également déclaré un total de 72 activités de lobbying (rendez-vous avec des décideurs publics, échanges téléphoniques…) en 2021, contre 15 en 2017”, un ordre de grandeur qui les situe “au même niveau que les plus actifs des groupes du CAC40 en matière de lobbying en France”.

    Autre pratique signalée par l’Observatoire : les “portes tournantes”, qui consistent pour les géants du numérique “à recruter du personnel passé par le secteur public”.

    Parmi une foule de noms, l’association cite par exemple Yohann Bénard, directeur des affaires publiques Europe d’Amazon France passé par Bercy et Matignon, ou Sébastien Gros, directeur des affaires gouvernementales d’Apple et “proche collaborateur” de l’ancien Premier ministre Manuel Valls.

    “Le cas le plus emblématique est cependant celui de Benoît Loutrel, directeur des relations institutionnelles et des politiques publiques chez Google France de 2018 à 2020, qui est l’ancien directeur général de l’autorité de régulation Arcep”, regrette l’Observatoire.

    L’influence des géants du numérique passe aussi par leurs liens financiers avec les médias ou les think tanks, pointe l’association, qui prend notamment l’exemple de l’Institut Montaigne, soutenu financièrement par Google, Amazon et Microsoft, ou des contrats conclus par Google avec la presse française (l’AFP a aussi un accord avec Google, NDLR).

    “Dans ses prises de décision relatives au secteur numérique, l’État ne dispose souvent que d’une expertise limitée” et serait donc obligé de s’en remettre aux “industriels” du numérique, ce que l’Observatoire qualifie de “lobbyisme passif”.

    En conclusion, l’association appelle les pouvoirs publics à “muscler leur expertise numérique, soutenir véritablement les alternatives aux Gafam et favoriser la montée en puissance de la société civile sur ces sujets”.

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    On espère que la Corée du Nord va faire pareille pour la Russie

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    Pendant la campagne électorale 2022, l’équipe d’Éric Zemmour s’est démarquée par son industrialisation des techniques de manipulation de l’information sur les réseaux sociaux. Mais un regard sur les quelques années écoulées montre qu’à peu près toutes les forces politiques françaises utilisent ou ont utilisé des tactiques de distorsion des discours en ligne.

    Le 10 avril 2022, à 20 heures, Emmanuel Macron et Marine Le Pen sortent vainqueurs du premier tour des élections présidentielles françaises, avec 27,85 et 23,15 % des voix respectivement. Derrière eux, Jean-Luc Mélenchon, 21,95 %, et Éric Zemmour, 7,07 % des voix. Ce dernier score tranche avec la surreprésentation du candidat d’extrême droite sur les réseaux sociaux pendant la campagne.

    Une des explications possibles à l’échec du polémiste le jour du vote a commencé à être documentée dès février 2022, alors que Le Monde révélait l’usage que faisait l’équipe de Reconquête de techniques de distorsion des discours sur les réseaux sociaux : en ligne, une bonne partie de l’engouement pour l’ex-chroniqueur du Figaro était faussée.

    Un rapport de l’Institute for Strategic Dialogue (ISD) vient détailler les ressorts du phénomène : dès janvier 2021, soit 18 mois avant le scrutin, le groupe Les Amis d’Éric Zemmour a publié des pétitions utilisées ensuite sur Twitter et Facebook pour tenter d’influencer le discours médiatique en faveur du candidat. Appelée astroturfing, la pratique va à l’encontre des conditions d’utilisation des grands réseaux sociaux, puisqu’elle constitue une activité dite « inauthentique ».

    Si Reconquête s’est distingué par l’industrialisation de son usage, c’est loin d’être le seul mouvement à recourir à ces tactiques de manipulation difficiles à repérer pour l’internaute.

    L’astroturfing, une technique ancienne

    De même que la présence en ligne des politiques ne date pas d’hier – le site web du Front National, premier parti français à se lancer sur Internet, en 1996 – l’astroturfing date de bien avant l’avènement des réseaux sociaux. Issue d’un jeu de mots en anglais, l’expression oppose la marque de gazon artificiel AstroTurf au terme grassroot, « populaire », qui désigne aussi, littéralement, les racines d’un gazon.

    En communication, cela consiste à monter de toutes pièces un mouvement pour faire croire à l’observateur extérieur à un engouement civique légitime. « Ça existait avec le collage, l_’envoi en masse de courrier aux électeurs,_ souligne le chercheur Nicolas Vanderbiest, spécialiste des phénomènes d’influence en ligne. Simplement, le numérique et les réseaux sociaux ont rendu ces opérations beaucoup plus simples à réaliser. »

    De fait, le chercheur décortique depuis une dizaine d’années le bruit en ligne pour en évaluer la pertinence. « Vers 2016-2017, j’ai vu mon environnement d’étude, Twitter, muter vers une tendance extrêmement polémique et militante ».

    En France, les premiers signes en sont l’explosion du hashtag #TelAvivSurSeine, qui provoque rapidement des articles dans Le Monde, 20 Minutes ou l’Express quand bien même le sujet n’est poussé que par un très faible nombre de militants pro-palestiniens.

    Un an plus tard, c’est le sujet du burkini qui est poussé par l’extrême droite jusqu’à être commenté sur les plateaux télé. Chaque fois, la logique est la même : quelques comptes tweetent abondamment sur un sujet précis, ils sont repris par un ou des journaux qui leur donnent une forme de crédibilité, puis la polémique enfle jusqu’à occuper tout l’espace.

    Une tactique de désinformation en ligne courante…

    Depuis, la pratique s’est répandue. Au tournant de l’élection de Donald Trump et du scandale Cambridge Analytica, des cas d’ingérence étrangère inquiètent. À deux jours du premier tour de la présidentielle 2017, la publication sur Wikileaks de 9 Go de données provenant du piratage d’En Marche! soulève les craintes d’une manipulation russe – lors de cette campagne, l’alt-right américaine a aussi tenté d’influencer les débats pour promouvoir Marine Le Pen.

    Mais se tourner automatiquement vers des groupes étrangers pour analyser ces déformations serait se bercer d’illusion. Auteur de Toxic Data et créateur du Politoscope, qui analyse l’activité politique française sur Twitter, le mathématicien David Chavalarias a noté dès les débuts de la campagne de 2017 un mouvement d’amplification des discours anti-Macron et anti-Mélenchon orchestré par des comptes français pour privilégier les thématiques d’extrême droite. Le phénomène a touché jusqu’à l’UMP, puisque la brusque apparition du hashtag #AliJuppé, très principalement tweeté par la droite et l’extrême droite, a servi à déstabiliser les primaires de l’UMP et à pousser la candidature de François Fillon.

    Déformer la discussion, que ce soit dans ou hors des périodes électorales, « tout le monde le fait, souffle Nicolas Vanderbiest. Et c’est parce que tout le monde le fait que chacun peut se défendre en disant “si je ne le fais pas, je ne survivrai pas”. »

    Effectivement, en 2018, le hashtag #BenallaGate suscite en quelques jours plus de tweets que le seul #BalanceTonPorc, une manipulation que Nicolas Vanderbiest détecte comme faussée – certains comptes proches du Front National tweetent jusqu’à 1 000 messages par heure, ce qui laisse supposer des pratiques automatisées.

    En 2019, Le Monde et Mediapart montrent comment des militants marcheurs multiplient les faux comptes pour augmenter la visibilité des informations qui les intéressent ou harceler des « cibles ». En 2021, c’est sur les pratiques virulentes du Printemps Républicain que revient Slate. En 2022, les militants Insoumis organisent des raids pour faire grimper leur candidat dans les tendances…

    … aux contours débattus

    Si bien que, pour le spécialiste des médias sociaux Fabrice Epelboin, lorsqu’on parle d’un nombre réduit de militants qui s’organisent pour rendre visible un sujet qui les arrange, ce n’est même plus de l’astroturfing, « c’est devenu une tactique classique de militantisme. »

    Pour lui, les pratiques consistant à reprendre et amplifier un message, tant qu’elles ne sont pas assistées de bots, de faux comptes et/ou de personnes payées pour amplifier le bruit comme dans l’affaire Avisa Partners, sont un nouveau mode d’action politique et non une déformation de l’usage des réseaux. Et les deux experts en la matière, parce qu’ils savent si bien « utiliser des discours clivants pour se propulser dans les discussions médiatiques, sont Éric Zemmour et Sandrine Rousseau » estime l’entrepreneur.

    Sauf que la propension à cliver ne vient pas des seules forces politiques, elle est ancrée dans l’architecture des plateformes sociales. « Celles-ci sont construites pour favoriser les contenus sensationnels, promotionnels, qui divisent » rappelle David Chavalarias. En cinq ans, cela s’est traduit par une « polarisation nette des échanges pour observer, en 2022, un pôle d’extrême-droite et un autre autour de la gauche radicale » alors que toutes les couleurs politiques étaient représentées de manière relativement équilibrée en 2017.

    Par ailleurs, les conditions d’utilisation des plateformes sont claires : chez Twitter, il est interdit d’utiliser le réseau « d’une manière qui vise à (…) amplifier artificiellement des informations, et d’adopter un comportement qui manipule ou perturbe l’expérience des utilisateurs ». Côté Meta, l’authenticité est déclarée « pierre angulaire de notre audience » et les usagers ont interdiction de « mentir sur leur identité sur Facebook, utiliser de faux comptes, augmenter de manière artificielle la popularité de leur contenu ».

    L’architecture numérique source d’oppositions

    Co-autrice du rapport de l’ISD, la coordinatrice de recherche Zoé Fourel note pourtant que lesdites plateformes n’ont absolument pas réagi aux violations de leurs règles par les militants proches d’Éric Zemmour. L’immense majorité des tweets et publications qui ont permis de propulser en trending topic (sujet tendance sur Twitter) étaient non pas le fait d’une foule de citoyens engagés, mais d’un minuscule nombre de profils sur le réseau social – dans un cas sur dix, c’était le responsable de la stratégie numérique Samuel Lafont qui twittait lui-même les contenus destinés à attirer l’attention du public et des médias.

    Et cela a fonctionné un temps : en septembre 2021, comptait Acrimed, l’éditorialiste multi-condamné pour provocation à la haine raciale était cité 4 167 fois dans la presse française, soit 139 fois par jour. En janvier 2022, les sondages lui annonçaient 14 % des voix d’électeurs.

    Ce que les médias et les internautes doivent comprendre, estime David Chavalarias, c’est à quel point « les plateformes sociales ont un effet structurel sur les interactions sociales elles-mêmes : non seulement elles prennent vos données, mais elles façonnent aussi la discussion et les interactions. »

    Cela finit par créer des stratégies d’influence à part entière, indique le chercheur : « promouvoir des idées aussi clivantes que la théorie du grand remplacement ou l’existence d’un islamo-gauchisme, c’est forcer le positionnement de l’internaute dans un camp : celui du pour ou celui du contre ». Par ailleurs, des chercheuses comme Jen Schradie ont montré la tendance des plateformes à favoriser les idées conservatrices, ce qu’un rapport interne à Twitter est venu confirmer fin 2021. L’architecture de nos arènes numériques, conclut David Chavalarias, « a pour effet de simplifier le business politique pour le rendre bipolaire. »

    Que faire, face à ces phénomènes dont on commence tout juste à prendre la mesure ? Dans le discours politique, une réaction pourrait venir des partis et des militants eux-mêmes. L’équipe de Joe Biden, aux États-Unis, puis celle d’Emmanuel Macron, en France, ont adopté de nouvelles stratégies dans les campagnes présidentielles récentes : celle de ne plus communiquer, sur Twitter, que sur des éléments positifs (c’est-à-dire peu ou non clivants) et actions de leurs candidats. Ce faisant, ils s’éloignent de la machine à clash instituée par le réseau social.

    « Il faudrait que les plateformes commencent par implémenter leurs propres règles », pointe par ailleurs Zoé Fourel, qui plaide pour une ouverture de leurs données pour faciliter le travail des chercheurs et les audits extérieurs.

    « Ajouter des étiquettes sur l’activité suspectée d’illégitimité pourrait aussi aider les utilisateurs à s’y retrouver. Sans parler du besoin de coopération entre plateformes : quand une campagne est menée sur Twitter, elle a aussi des échos sur Facebook et ailleurs en ligne ». La chercheuse suggère de reproduire les partenariats existant pour lutter contre certains contenus extrêmes.

    Source : nextinpact.com

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    En mars de cette année, Dyson a présenté le “Zone”. Les spécifications du casque le plus spécial sont désormais connues. L’année prochaine, ce modèle supra-auriculaire avec filtre à air sera disponible en Suisse.

    Selon Dyson, l’autonomie de la batterie de la “Zone” est de 50 heures pour écouter de la musique. Mais cela n’est valable que si la purification de l’air n’est pas activée. Il existe trois niveaux différents qui affectent l’autonomie de la batterie de manière différente : Un débit d’air faible donne 4 heures d’autonomie, un débit moyen 2,5 heures et un débit élevé 1,5 heure. La batterie est complètement rechargée en trois heures.

    La visière de purification de l’air, qui se trouve devant la bouche et le nez, est amovible. Cela signifie que vous pouvez utiliser le “Zone” comme un casque normal. Une fois la visière de purification d’air montée, elle filtre 99% des particules de l’air que vous respirez, selon Dyson.

    En revanche, “Zone” n’a pas été testé pour détecter les agents pathogènes COVID-19. Ceci parce que la propagation des coronavirus est due à “une multitude complexe de variables”, écrit Dyson dans son communiqué de presse. Cependant, le virus de la grippe H1N1 (Influeza) et les bactériophages MS ont été testés.

    Le système de filtration et l’arrivée d’air élimineraient spécifiquement les gaz acides et nocifs largement répandus dans les villes, selon le fabricant. De plus, Dyson indique que la “Zone” filtre les gaz suivants : NO₂, SO₂, O₃ - c’est-à-dire l’oxyde d’azote, le dioxyde de soufre et l’ozone. Les filtres, qui se trouvent dans les oreillettes avec les mini-ventilateurs, durent un an.

    Un capteur intégré aux écouteurs détermine également les niveaux d’oxyde d’azote dans l’environnement et les affiche sur l’application MyDyson. Le niveau de bruit ambiant peut également être consulté dans l’application.

    Pour que le porteur du “Zone” ne soit pas seulement protégé de l’air vicié, mais aussi du bruit, Dyson a intégré onze microphones au casque, qui doivent réduire le bruit ambiant de 38 décibels grâce à la réduction active du bruit. De plus, le “Zone” doit également avoir un bon son, Dyson le décrit comme un casque haute fidélité avec un spectre de fréquences de 6 Hz-21 kHz.

    Sans la visière, le “Zone” pèse 595 grammes. C’est lourd - à titre de comparaison, les AirPods Max d’Apple ne pèsent que 385 grammes. Avec la visière, le casque de purification d’air pèse 670 grammes.

    Source et plus: https://www.digitec.ch/fr/page/dyson-zone-le-casque-de-purification-dair-arrive-25807

  • Les studios Ghibli font recette

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    Hop une idée cadeau pour noël

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    Covid-19 : contamination animale, fuite d’un laboratoire… 3 ans après le premier cas, où en est l’enquête sur l’origine du virus ?

    https://www.ladepeche.fr/2022/12/02/covid-19-contamination-animale-fuite-dun-laboratoire-3-ans-apres-le-premier-cas-ou-en-est-lenquete-sur-lorigine-du-virus-10839803.php

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    vu que c’est en Belgique,ils pourraient lancer le black Frieday !

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    @Orphancia impossible macron a reçu ces nouveaux blindés anti gilets jaunes

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    Il y a des pirates dans tous les milieux :lol:

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    Je suis tout à fait d’accord avec toi (ça fait depuis que j’ai 20 ans que leur sort me préoccupait et je ne me suis pas réveillé avec des évènements comme la coupe du monde…ça fait des années que ça existe).
    Toute infrastructure gigantesque quel soit dans le monde, construit par la main d’oeuvre étrangère, ont vu des morts par milliers (j’ai la chance d’habiter une tour dans une banlieue depuis des années et j’en ai vu des migrants, réfugiés politiques etc, racontant leur vie et ce qu’ils déplorent dans tous ça, c’est l’hypocrisie qui pullule dans tous ce m*rdier) quand t’as 20 ans (j’en ai 42) et que tu écoutes tous ça, ça fait de l’effet.

    Et pour en revenir à la FIFA, ça fait depuis des années que la morale, ils s’en foutent carrément (seul l’argent des dessous de table, les sponsors etc etc les intéressent).
    Donc je le répète encore aujourd’hui, les fautifs dans tous ça n’est pas le Qatar (pour l’organisation de la cdm) mais bien la FIFA qui a accepté les dessous de table pour l’organisation de la cdm en Russie, Qatar (en Argentine en 78 alors qu’il y’avait une dictature comme pas possible avec des tortures, tueries faites à la populace).

    En + de tous ce tapage, le truc qui me fait grincer les dents, c’est plutôt le réveil soudain que certains ont eu pour ses travailleurs indiens, malaisiens, indonésiens et bengalis…c’est venu d’un coup d’un seul (très Zarbi comme situation).
    Donc oui vivement le premier match de la cdm pour le côté sportif (et pour le reste ?..c’est dans la main des élites corrompus de ce monde)

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    Le 17 mai 2020, le drone spatial militaire X-37B, alors passé sous le contrôle de la nouvelle US Space Force, décollait de Cap Canaveral grâce à une fusée Atlas V pour sa sixième mission depuis 2010. Et la question était de savoir combien de temps il resterait en orbite… On a désormais la réponse : il vient en effet d’atterrir en Floride, après 908 jours passés dans l’espace.

    Pour rappel, issu d’un précédent programme appelé X-40, le X-37B a été conçu par la division Phantoms Works de Boeing. Ayant l’allure d’une mini-navette spatiale, il mesure 8,38 m de long pour une envergure de 4,57 m et une hauteur de 2,9 m. Propulsé par un moteur Pratt&Whitney Rocketdyne, il a affiche une masse à vide d’environ 5 tonnes.

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    Officiellement, et grâce à un module de service, le X-37B est utilisé pour « tester et valider » de nouvelles technologies. Mais, pour la plupart, ses activités en orbite sont confidentielles alors qu’il a été établi qu’il a la capacité de manoeuvrer et donc de changer d’altitude pour échapper aux curieux. Cela « frustre nos adversaires » et « nous savons que cela les rend fous », avait ainsi admis Heather Wilson, ex-secrétaire à l’US Air Force, lors de l’édition 2019 du Forum sur la sécurité d’Aspen [Colorado].

    Toutefois, et afin, sans doute, de ne pas donner trop de prise aux spéculations, le Pentagone a livré quelques détails sur la nature des expériences menées à son bord. Ainsi, lors de sa cinquième mission, qui dura 789 jours, il avait indiqué que le X-37B allait mettre en orbite de « petits satellites » et embarquer une charge utile appelée « Advanced Structurally Embedded Thermal Spreader », afin d’éprouver des systèmes électroniques [non spécifiés] ainsi qu’un dissipateur thermique. Il aurait même été utilisé pour tester un moteur ionique, plus puissant et moins gourmand en énergie que les propulseurs chimiques, ainsi que de nouveaux matériaux.

    En tout cas, le X-37B bat des records de temps passé dans l’espace à chacun de ses vols. Depuis son premier lancement, en 2010, il aura ainsi évolué en orbite pendrant près de dix ans.

    Lors de la mission qu’il vient d’achever, ce drone spatial a de nouveau permis de tester « certains matériaux » et d’évaluer le rayonnement cosmique sur des semences de végétaux. Deux expériences qui auraient très bien pu effectuées à bord de la Station spatiale internationale [ISS]… Mais sans doute auront-elles été trop « confidentielles » pour cela…

    En outre, le X-37B a également placé sur orbite le micro-satellite FalconSat-8 de l’US Air Force Academy [il s’agit d’une « plateforme éducative », a expliqué le Pentagone] et mis en oeuvre un système expérimental qui, développé par le Naval Research Laboratory, consiste à capter l’énergie solaire et la renvoyer vers la Terre sous la forme d’un faisceau laser ou de micro-ondes afin de produire de l’électricité. Un tel principe avait été imaginé par l’écrivain Isaac Asimov [voir la nouvelle « Raison »], avant d’être théroisé par Peter Glaser, dans les années 1960.

    Probablement que le X-37B a servi à d’autres expériences. Ainsi, quelques mois avant sa sixième mission, le Pentagone avait dit vouloir connecter le drone spatial à ses avions de combat de 5e génération [F-35 et F-22].

    Connecter le X-37B aux F-22 et F-35 donnerait « la capacité d’opérer dans tous les domaines » et « cela inclut le partage d’informations pendant les missions de guerre », avait avancé un responsable de l’US Air Force, sans livrer plus de détails.

    Par ailleurs, dans un rapport sur les activités spatiales de défense, Oliver Becht et Stéphane Trompille, alors députés, avaient émis l’hypothèse que le X-37B pouvait être utilisé comme « arme anti-satellite, engin de renseignement spatial ou plateforme d’emport et de lancement de charges militaires ».

    Quoi qu’il en soit, selon le lieutenant-colonel Joseph Fritschen, directeur du programme X-37B, « la capacité de mener des expériences en orbite et de les ramener à la maison en toute sécurité pour une analyse approfondie s’avère précieuse » pour le Pentagone et la communauté scientifique. « L’ajout du module de service sur OTV-6 [désignation du drone spatiale pour sa sixième mission, ndlr] nous a permis d’héberger plus d’expériences que jamais », a-t-il dit.

    Source: http://www.opex360.com/2022/11/13/le-drone-spatial-militaire-americain-x-37b-est-revenu-sur-terre-apres-908-jours-passes-en-orbite/

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    Malheureusement, l’argent n’est plus là !

    Les gens s’informent et lisent sur internet, peu achète encore le journal…

    Le monde évolue et maintenant le rentable passe avant tout … qui parle de Taylorisme lol

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    Excellent Banksy j’aime beaucoup,c’est un artiste très engagé et ses oeuvres ont toujours beaucoup de sens,mais qui est-il ?
    Son anonymat contribue beaucoup aussi à sa renomée et il y a un docu “Banksy most wanted” pour ceux qui ne connaissent pas.

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    je préfère être comme je suis avec mal à la nuque et au dos !!!

  • 8 Millards de terriens

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    @Aurel S’il n’y avait que ça, pour moi le pire, ce sont les industriels qui continuent à produire des emballages plastiques ou des projets de toutes sortes sans tenir le moindre compte de la situation actuelle, sans parler de la complicité des gouvernements.

    Il est plus que temps de stopper la croissance et de se tourner vers le durable.

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    https://actu.fr/planete/pollution/coca-cola-largement-en-tete-des-entreprises-les-plus-polluantes-en-matiere-de-plastique_55237065.html

  • Cop27 et lobbyistes

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    @arcturien Mais qui ne sert pas non plus comme biogaz 😉

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    Il ne faut pas qu’ils se plaignent la COP aurait pu se tenir en Roumanie

    Les soldats français en Roumanie ont « faim » et « froid »

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    Des plongeurs cherchant à retrouver les restes d’un avion disparu dans le triangle des Bermudes ont à la place découvert une partie de la navette spatiale Challenger.

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    En 1986, cette navette avait explosé quelques dizaines de secondes après son décollage en Floride, causant la mort des sept membres d’équipage, dont l’institutrice Christa McAuliffe.

    Le segment, remarquablement conservé au fond de l’Atlantique, est l’un des plus grands morceaux retrouvés après cette tragédie ayant marqué l’histoire spatiale, a confirmé la Nasa jeudi.

    Sur des images filmant leur découverte, faite au printemps 2022, deux plongeurs entourés de poissons font apparaître, de sous le sable, les emblématiques tuiles de protection thermique de la navette. Ces petits carrés noirs recouvraient tout le dessous du vaisseau, afin de lui permettre de résister à une infernale chaleur lors de son retour dans l’atmosphère.

    L’un des deux plongeurs, Mike Barnette, a raconté à l’AFP avoir vécu de véritables «montagnes russes émotionnelles» en réalisant ce qu’il était alors en train de toucher.

    «Quand on l’a trouvée, c’était beaucoup d’émotions différentes», s’est remémoré ce biologiste marin, dont le loisir est d’explorer des épaves au fond des eaux. «Je suis habitué à plonger autour d’épaves vieilles de dizaines, voire de centaines d’années, mais pas d’un bout du programme spatial!» «Rapidement, j’ai réalisé que c’était quelque chose que j’avais vécu. Quand (l’accident) s’est produit, je me rappelle exactement où j’étais, à le regarder en direct à la télévision», a-t-il expliqué.

    Après sa plongée, il montre les images tournées à un ami astronaute, qui le conforte dans sa découverte. Puis, quelques mois plus tard, la Nasa confirme qu’il s’agit bien de la navette Challenger. «Ils étaient stupéfaits de la taille du morceau», raconte-t-il.

    La partie apparente fait environ 4,5 mètres sur 4,5. Mais le morceau s’étend sous le sable, enterré, et on ne connaît donc pour le moment pas sa taille totale.

    Une chose est sûre, «c’est l’un des plus grands jamais retrouvés», a déclaré à l’AFP Mike Ciannilli, employé de la Nasa depuis plus de 25 ans, pour l’essentiel sur le programme de la navette spatiale. Six navettes ont été construites en tout, dont une n’ayant jamais été dans l’espace.

    Il s’agit sans aucun doute du dessous de Challenger, a expliqué Mike Ciannilli, mais difficile de savoir quelle partie du vaisseau exactement. Selon lui, l’analyse de ce morceau n’apportera a priori rien de nouveau à l’enquête sur l’accident lui-même, dont il «n’oubliera jamais» la vue, lorsqu’il était tout jeune. Les causes de la tragédie ont en effet déjà été bien établies (des joints avaient gelé durant la nuit précédente). Observer la façon dont les matériaux ont vieilli pourrait malgré tout être intéressant. Mais surtout, souligne-t-il, le souvenir de Challenger doit aider à raviver les «leçons tirées de cette mission».

    Après l’accident, le 28 janvier 1986, de vastes opérations avaient été menées pour retrouver des morceaux du vaisseau. Dix ans plus tard, deux nouveaux avaient resurgi sur une plage, après une tempête. Il s’agissait des derniers retrouvés jusqu’ici. Seul un morceau est exposé dans un mémorial ouvert au public au centre spatial Kennedy, en Floride, et les autres sont conservés non loin de là.

    Au printemps dernier, les deux plongeurs étaient en réalité à la recherche d’un avion datant de la Seconde Guerre mondiale, pour un documentaire sur les disparitions dans le triangle des Bermudes.

    Le premier épisode, qui sera diffusé sur la chaîne History Channel le 22 novembre, aura finalement un vaisseau spatial pour vedette. «C’est ce que j’aime avec ces aventures, vous allez chercher quelque chose et vous tombez sur un mystère complètement différent», a dit Mike Barnette.

    Il a expliqué choisir les sites explorés grâce aux informations des pêcheurs, qui devinent où se trouvent les épaves au fond de l’eau car celles-ci attirent les poissons. Le site en question se trouve légèrement à l’ouest du triangle des Bermudes, et non en son sein, mais il était sur le trajet de vol de l’avion recherché.

    Le lieu exact de la découverte n’a pas été révélé pour ne pas attirer les curieux, mais se trouve juste au large de la côte. Selon l’explorateur, il serait «très facile» pour la Nasa d’extraire le morceau de l’eau, mais un tel geste pourrait aussi «rouvrir des plaies». Des discussions sont en cours, a précisé Mike Ciannilli, mais «quoique nous fassions, notre objectif premier est de nous assurer que nous honorons la mémoire et l’héritage de l’équipage, et leurs familles».

    Source: https://www.lematin.ch/story/un-morceau-de-la-navette-spatiale-challenger-retrouve-au-fond-de-la-mer-662405712070