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    Il ne faut pas qu’ils se plaignent la COP aurait pu se tenir en Roumanie

    Les soldats français en Roumanie ont « faim » et « froid »

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    Des plongeurs cherchant à retrouver les restes d’un avion disparu dans le triangle des Bermudes ont à la place découvert une partie de la navette spatiale Challenger.

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    En 1986, cette navette avait explosé quelques dizaines de secondes après son décollage en Floride, causant la mort des sept membres d’équipage, dont l’institutrice Christa McAuliffe.

    Le segment, remarquablement conservé au fond de l’Atlantique, est l’un des plus grands morceaux retrouvés après cette tragédie ayant marqué l’histoire spatiale, a confirmé la Nasa jeudi.

    Sur des images filmant leur découverte, faite au printemps 2022, deux plongeurs entourés de poissons font apparaître, de sous le sable, les emblématiques tuiles de protection thermique de la navette. Ces petits carrés noirs recouvraient tout le dessous du vaisseau, afin de lui permettre de résister à une infernale chaleur lors de son retour dans l’atmosphère.

    L’un des deux plongeurs, Mike Barnette, a raconté à l’AFP avoir vécu de véritables «montagnes russes émotionnelles» en réalisant ce qu’il était alors en train de toucher.

    «Quand on l’a trouvée, c’était beaucoup d’émotions différentes», s’est remémoré ce biologiste marin, dont le loisir est d’explorer des épaves au fond des eaux. «Je suis habitué à plonger autour d’épaves vieilles de dizaines, voire de centaines d’années, mais pas d’un bout du programme spatial!» «Rapidement, j’ai réalisé que c’était quelque chose que j’avais vécu. Quand (l’accident) s’est produit, je me rappelle exactement où j’étais, à le regarder en direct à la télévision», a-t-il expliqué.

    Après sa plongée, il montre les images tournées à un ami astronaute, qui le conforte dans sa découverte. Puis, quelques mois plus tard, la Nasa confirme qu’il s’agit bien de la navette Challenger. «Ils étaient stupéfaits de la taille du morceau», raconte-t-il.

    La partie apparente fait environ 4,5 mètres sur 4,5. Mais le morceau s’étend sous le sable, enterré, et on ne connaît donc pour le moment pas sa taille totale.

    Une chose est sûre, «c’est l’un des plus grands jamais retrouvés», a déclaré à l’AFP Mike Ciannilli, employé de la Nasa depuis plus de 25 ans, pour l’essentiel sur le programme de la navette spatiale. Six navettes ont été construites en tout, dont une n’ayant jamais été dans l’espace.

    Il s’agit sans aucun doute du dessous de Challenger, a expliqué Mike Ciannilli, mais difficile de savoir quelle partie du vaisseau exactement. Selon lui, l’analyse de ce morceau n’apportera a priori rien de nouveau à l’enquête sur l’accident lui-même, dont il «n’oubliera jamais» la vue, lorsqu’il était tout jeune. Les causes de la tragédie ont en effet déjà été bien établies (des joints avaient gelé durant la nuit précédente). Observer la façon dont les matériaux ont vieilli pourrait malgré tout être intéressant. Mais surtout, souligne-t-il, le souvenir de Challenger doit aider à raviver les «leçons tirées de cette mission».

    Après l’accident, le 28 janvier 1986, de vastes opérations avaient été menées pour retrouver des morceaux du vaisseau. Dix ans plus tard, deux nouveaux avaient resurgi sur une plage, après une tempête. Il s’agissait des derniers retrouvés jusqu’ici. Seul un morceau est exposé dans un mémorial ouvert au public au centre spatial Kennedy, en Floride, et les autres sont conservés non loin de là.

    Au printemps dernier, les deux plongeurs étaient en réalité à la recherche d’un avion datant de la Seconde Guerre mondiale, pour un documentaire sur les disparitions dans le triangle des Bermudes.

    Le premier épisode, qui sera diffusé sur la chaîne History Channel le 22 novembre, aura finalement un vaisseau spatial pour vedette. «C’est ce que j’aime avec ces aventures, vous allez chercher quelque chose et vous tombez sur un mystère complètement différent», a dit Mike Barnette.

    Il a expliqué choisir les sites explorés grâce aux informations des pêcheurs, qui devinent où se trouvent les épaves au fond de l’eau car celles-ci attirent les poissons. Le site en question se trouve légèrement à l’ouest du triangle des Bermudes, et non en son sein, mais il était sur le trajet de vol de l’avion recherché.

    Le lieu exact de la découverte n’a pas été révélé pour ne pas attirer les curieux, mais se trouve juste au large de la côte. Selon l’explorateur, il serait «très facile» pour la Nasa d’extraire le morceau de l’eau, mais un tel geste pourrait aussi «rouvrir des plaies». Des discussions sont en cours, a précisé Mike Ciannilli, mais «quoique nous fassions, notre objectif premier est de nous assurer que nous honorons la mémoire et l’héritage de l’équipage, et leurs familles».

    Source: https://www.lematin.ch/story/un-morceau-de-la-navette-spatiale-challenger-retrouve-au-fond-de-la-mer-662405712070

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    Selon le fabricant de téléphones Nokia, la réalité virtuelle et le métaverse vont très prochainement remplacer les smartphones, peut-être même avant 2030.
    À la fin de la décennie, les smartphones ne seront plus le principal outil de communication

    Alors qu’en début des années 2000, le géant des télécommunications Nokia se faisait une place dans le marché des portables en proposant des téléphones équipés de la technologie radio, l’entreprise mise désormais sur le métaverse pour se réinventer, et annonce la mort des smartphones comme principale forme de communication. “Notre conviction est que cet appareil sera dépassé par une expérience métaverse dans la seconde moitié de la décennie”, a déclaré le directeur de la stratégie et de la technologie de Nokia Nishant Batra.

    Nokia s’est réinventé depuis la fin des téléphones à clapet

    Le téléphone portable à clapet, le téléphone iconique des années 2000, a presque complètement disparu de nos jours, détrôné par les smartphones, malgré un timide mouvement de retour aux téléphones basiques appelés “dumb phones”. Depuis, Nokia s’est transformé en entreprise technologique à part entière, développant la reconnaissance faciale utilisée dans certains aéroports ou aidant les services publics de fourniture d’électricité à sécuriser leur réseau. Sept des principaux réseaux électriques aux États-Unis sont alimentés par les réseaux de l’entreprise scandinave. Nokia est donc loin d’être menacé de disparition, et a réalisé plus de 21 milliards de dollars de chiffre d’affaires l’an dernier, en opérant dans plus de 130 pays avec un effectif totalisant près de 88 000 personnes.

    Le metaverse, le secteur technologique d’avenir pour Nokia

    Selon l’entreprise de télécommunications, dans le monde de la consommation, il manque encore des idées complètes d’applications et de modèles commerciaux, ainsi que des technologies capables de supporter les applications du metaverse. Mais ces technologies vont se développer très rapidement. La taille, le facteur de forme, le coût des casques VR, leur manque de mobilité freine encore le développement du metaverse, mais cela est déjà en train de changer. La technologie 6G va aussi se développer, et permettre tous types d’application du metaverse. Des concepts comme l’augmentation humaine et la fusion numérique-physique permettront bientôt aux gens d’interagir avec le monde numérique. Les jeux, les interactions sociales et les voyages virtuels, permettront aux gens d’utiliser intuitivement le metaverse. “L’adoption généralisée de la technologie par les entreprises et les consommateurs sera essentielle pour qu’elle décolle vraiment, et cela dépendra également de la disponibilité d’appareils VR et AR abordables et ergonomiques connectés sans fil”, a déclaré Nishant Batra.

    Un futur qui mettra en danger la sobriété numérique

    Nokia n’est pas la seule entreprise à investir et à faire la promotion du metaverse. Meta et d’autres géants informatiques défendent le metaverse comme le futur des communications, grâce à des réseaux plus puissants et à un monde virtuel où il sera possible de tout faire. Mais malheureusement, ces développements viendront augmenter considérablement la consommation énergétique des plateformes numériques, ce qui augmente mécaniquement la pollution liée au numérique, principal argument des détracteurs de cette technologie.

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    Une petite vidéo explicative sur ce problème de taille sur les mappmondes/planisphères:

  • [Topic unique] Metavers

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    Metavers, Avatar ou ID numérique ? Le danger des avatars:

    Depuis le « rebranding » de Facebook devenu Meta, le mot « métavers » est devenu LE « buzzword » à la mode. Parce que polysémique, le mot est utilisé comme un outil marketing pour désigner tous les mondes virtuels ou immersifs. Pourtant, ce n’est pas un mot « à la recherche d’un sens », car au-delà de son histoire et de son étymologie, les professionnels du web 3.0 l’utilisent pour désigner quelque chose d’aussi précis que nouveau. Pour eux, le métavers constitue un monde virtuel ou en réalité augmentée où les objets digitaux disposent de valeurs uniques réelles et intermodales.

    Par conséquent, de la même manière qu’il n’existe pas de cryptoactifs sans technologie blockchain, il n’existe pas de métavers sans objets digitaux disposant de valeurs uniques réelles, autrement dit sans NFT. Les NFT sont même le caractère d’identification des métavers.

    Par définition, la question existentielle des métavers, c’est donc celle de l’identité. L’identité des objets qui disposent d’une valeur, mais également celle des personnes. En cela, ils ouvrent la porte à une transformation initialement pensée comme positive et cristallisée autour de la notion d’avatar.

    Initialement, la notion d’avatar (issue des jeux vidéos) apportait une promesse immense, celle de la fin des discriminations. Car chacun pouvait imaginer vivre dans le métavers comme il l’entendait. Les avatars devaient être la manière de rendre possible pour chacun d’être vraiment ce qu’il voudrait être. Pour la communauté queer, le métavers peut être envisagé comme un tremplin pour afficher son identité, être un outil d’affirmation de soi. Pour d’autres personnes, il pourrait même être un outil quasi thérapeutique. Pour ne donner qu’un exemple, il suffit d’imaginer comment il pourrait être mobilisé dans le traitement de phobies.

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    Imaginez-vous en train de parler à l’avatar d’un collègue, d’un prospect, d’un client. Et que la personne avec qui vous échangez soit en réalité un concurrent, ou tout simplement quelqu’un qui vous veut du mal. Hier, pour s’assurer que votre message était adressé à la bonne personne, la chose était facile : comptes certifiés, courriels authentifiés… La question se pose complètement différemment à l’ère du live, notion constitutive du métavers. Et dans ce cas, le concept d’avatar devient un frein à la confiance.

    La problématique n‘est pas nouvelle puisque les réseaux sociaux « classiques » (et même les outils de visioconférence) y étaient déjà confrontés. Sur ce terreau ont déjà fleuri les faux profils, les profils anonymes et nombre d’arnaques bien connues des utilisateurs du web 2.0. Mais dans le métavers, le problème – qui s’incarne à travers la notion d’avatar – est démultiplié.

    Si les risques liés aux avatars sont si importants dans le métavers, c’est parce qu’ils sont finalement moins ceux des réseaux sociaux que ceux des visioconférences. Avec comme amplification du risque la plus grande facilité de copier un avatar qu’un visage humain.

    Alors comment lever ce frein ? Faut-il encadrer par la loi ou normer les avatars ? Doit-on imaginer un métavers sans avatar ? La réponse est en plusieurs temps. D’abord, d’un point de vue technique, il s’agit de sécuriser les avatars ou d’en repenser le modèle. Ensuite, d’un point de vue juridique, il s’agit sans doute de les encadrer par la loi. Car il semble bien trop facile pour le moment de subtiliser des identités dans le métavers (ou du moins de se faire passer pour quelqu’un d’autre).

    Enfin, il est temps sans doute de réfléchir à un métavers sans avatar. À quoi pourrait-il ressembler ? L’hypothèse la plus simple serait sans doute celle de la duplication de la réalité par un scan de visage (par une utilisation des technologies de « know your customers » utilisées notamment par les banques en ligne), ce qui aurait de plus le mérite de permettre aux utilisateurs plus grand public de se reconnaître dans le métavers. Mais si le modèle est évident, il est déjà dépassé à l’heure du deepfake, avec la possibilité de répliquer des visages. En outre, il ferait revenir les discriminations du monde réel dans le virtuel.

    La solution parfaite n’existe pas encore. Reste donc à imaginer d’autres options et de nouvelles solutions qui s’ouvrent peut-être avec les identités décentralisées. Le territoire d’exploration reste entier, mais tant que le sujet des avatars ne sera pas réglé, le métavers restera sans doute de la science-fiction.

    Source: https://www.usinenouvelle.com/blogs/fabien-aufrechter/vers-un-metavers-sans-avatar.N2061037

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    Je vais me faire l’avocat du diable, mais il y a des gens assez stupides pour mettre sécher leur chien dans un micro-ondes, et qui ensuite porte plainte parce qu’il n’était précisé nul part que le chien n’allait pas apprécié.
    Certaines sociétés abusent c’est clair, mais je pense qu’on peut aussi leur accorder quelques circonstances atténuantes.

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    Je ne connaissais pas rumble, alors je suis allé y faire un tour, j’y ai vu Poutine se promener dans son palais sur la musique disco de Rasputin (Bonney M.), à part ça pas sur que la france soit vraiment perdante, mais qui sait…

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    Ah oui, et un pélican qui se promène dans un salon:

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  • Allons-nous prendre plus de drogues ?

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    @Violence a dit dans Allons-nous prendre plus de drogues ? :

    Autant les comprendre et les utiliser à bon escient comme le font certains peuples anciens plutôt que de les diaboliser à outrance.

    Tout à fait d’accord avec ça.
    En Birmanie (je crois) les vieux consomment du pavot pour soulager la douleur mais aussi planer tranquillement car ils n’ont plus qu’à attendre que le temps passe.

    Le rapport à la drogue est avant culturel, l’alcool qui est une drogue dure n’a finalement d’impact négatif que dans sa consommation avec outrance, sinon vu les milliers d’hectolitres consommés par l’humanité, avec modération) il n’y a pas tant que ça d’effets délétères.

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    Du sable radioactif a été détecté plus tôt en 2022 sur une plage de Saint-Nazaire, en Loire-Atlantique, a annoncé la Commission de recherche et d’information indépendantes sur la radioactivité (CRIIRAD) qui a analysé les échantillons prélevés sur le site.

    Par la suite, la commission a confirmé dans un rapport l’existence d’une “anomalie radiologique” dans le secteur de la plage ainsi que dans la crique située à l’est d’elle.

    “La présence de ces sables peut entraîner une exposition aux rayonnements, par exposition externe et par contamination (inhalation de particules solides ou d’isotopes du gaz radon, ou ingestion de grains de sable)”, a conclu la CRIIRAD.

    Suite aux premières analyses, les spécialistes de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) ont pu caractériser les radionucléides présents. Il s’agit d’éléments de la chaine de l’uranium 238 et de celle du thorium 232.
    Elle n’a pas jugé “nécessaire de recommander des mesures de protection de la population concernant la plage de Trébézy à Saint-Nazaire”, compte tenu des niveaux de radioactivité très localisés.

    D’après l’ASN, il s’agirait de Radionucléides naturels émetteurs de rayonnements gamma

    Source: [link removed]/20221101/du-sable-radioactif-decouvert-sur-une-plage-francaise-1056696630.html

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    @alain06 a dit dans Un peu d'histoire le la télévision analogique, ou séquence nostalgie :

    J’ai connu aussi « 36 Chandelles »

    Ah ! Jean Nohain ! On en fait plus des comme ça !

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    Plus de 40% des automobilistes concernés par les zones à faibles émissions

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    Les automobilistes français s’inquiètent déjà des conséquences des zones à faibles émissions dans les années à venir. Ces ZFE vont prochainement devenir obligatoire dans les grandes villes de plus de 150.000 habitants. Pour certains, ces ZFE pourraient agrandir un fossé social, obligeant les Français à soit changer de voitures soit ne plus rouler du tout. Pierre Chasseray délégué général de “40 millions d’automobilistes” y voit “une bombe à retardement sociale“. Les plus concernés par ces mesures ne disposent pas du budget nécessaire pour acheter un véhicule propre, malgré les aides gouvernementales

    Le Journal du Dimanche a révélé que les propriétaires de véhicules thermiques redoutent et anticipent déjà leur mise en place.

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    “On est tout simplement en train d’interdire à un Français sur deux, au 1ᵉʳ janvier 2025, de circuler avec sa propre voiture. C’est inacceptable.” affirme Pierre Chasseray.

    Selon le délégué général, une protestation pointe son nez à l’horizon. “Pour 0,03 € de plus sur les carburants, les Français sont tous sortis dehors avec des gilets jaunes. Alors on imagine bien, il y a quand même pas besoin d’avoir fait Polytechnique pour comprendre qu’en interdisant à un Français sur deux de rouler, ça va mal se passer.”

    Source: https://www.lemonde.fr/economie/article/2022/10/11/les-villes-face-au-defi-de-l-acceptation-sociale-des-zones-a-faibles-emissions_6145269_3234.html
    Et: [link removed]/2022/10/29/plus-de-40-des-automobilistes-concernes-par-les-zones-a-faibles-emissions-une-bombe-a-retardement-sociale-selon-pierre-chasseray-delegue-general-de-40-millions-dautomobi/

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    Tout le monde l’a compris The Line c’est beaucoup plus qu’une ville en longueur, c’est une manière de vivre différente, une révolution.

    NEOM est un projet pharaonique pour l’Arabie saoudite, lancé par le prince Mohammed Ben Salmane. Et the LINE, la cité futuriste recouverte de miroirs dans le désert, de 170km de long et 500m de haut, en est la pièce maitresse. Qu’est-ce que cette conception radicale de la ville post-fossile ? Peut-elle tenir ses promesses ? C’est ce qu’on verra dans cette première vidéo, la deuxième sera consacrée à la genèse théorique du projet.

  • L'écriture inclusive : bien ou pas ?

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    Nom: cochon
    Prénom: duJambon
    Sexe: Inclusif

    C’est vrai que c’est chiant à lire, mais au-delà de 250 mots, je sature de toute façon :lol: en passant en mode zig-zag, je n’avais même pas vu cette horreur.

    Quant à bouleverser les règles, ça ne me semble pas raisonnable pour le gain qu’on pourrait en obtenir, jusqu’à peu, personne ne disait rien, il a fallu les woke pour vouloir cacher la merde quitte à mentir sur le passé pour les pires, va-t’on aussi retirer de vilains mot du dico, comme esclave, où s’arretera-t’on si on commence ?

    Et il y a des problèmes plus grands dans le monde que celui de savoir nommer une personne qui couve un oeuf…

    L’écriture inclusive, une fausse bonne idée.

  • wikiarchives.space

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    Pour les amoureux de l’espace.

    La plus grande collection de photos spatiales du web, d’après son créateur.

    https://wikiarchives.space/

    La chaine du créateur.

    https://www.youtube.com/channel/UCdL3UpiseRlvxXuORJjmqZw

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    @Orphancia

    Perso j’aime la résolution d’énigme, mais la la question ne se posait pas, je n’ai pas les compétences nécessaires 😉

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    Traduire par : toute info vraie (qui deviendra fausse automatiquement) ou fausse qui déplaira au sieur Erdogan sera punie de prison.

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    Trump va être réélu et il annulera cette condamnation :ahah:

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    @Pollux

    Après lecture d’un article un peu plus complet je reviens modérer un peu mon commentaire précédent, l’histoire ne semble pas uniquement relever de l’hystérie anti-russe ambiante.

    La chute du “clown de la cybersécurité” à Bonn

    Dans la profession, on le surnommait « le clown de la cybersécurité ››. Arne Schönbohm va être révoqué de son poste de chef de l’agence allemande de cybersécurité, le BSI, soupçonné de liens avec les services de sécurité russes.

    Dimanche, une émission satirique et d’investigation de la télévision ZDF a mis au jour les collusions existant entre cette agence gouvernementale, dépendant du ministère de l’1ntérieur, et une association de lobbying, baptisée Conseil de cybersécurité(CSRD) - elle même fondée par ce haut fonctionnaire -, qui comptait parmi ses membres une société russe contrôlée par le FSB.

    L’affaire tombe au moment où l’Allemagne fait face à une série de menaces informatiques qui semblent trouver leur origine à Moscou. Après un piratage qui avait visé en 2015 les ordinateurs du Bundestag, et le récent sabotage des gazoducs Nord Stream. La piste russe est de nouveau évoquée dans le sectionnement de câbles de communication ayant paralysé la Deutsche Bahn, le week-end dernier. Elle illustre aussi l’extrême porosité existant entre milieux d’affaires et pouvoirs publics.

    Le CV d’Arne Schönbohm en témoigne. La nomination en 2016 à la tête du BSI de cet ancien consultant d’entreprise, chargé de promulguer des lois qu’il avait autrefois combattues, avait été très critiquée. “Nous vivons une crise de confiance fondamentale dans l’intégrité des structures informatiques. Placer un lobbyiste du privé à la tête du BSI par les temps qui courent témoigne d’une ignorance massive” avait critiqué le président du comite de contrôle parlementaire des services de renseignement, Konstantin von Notz (Die Grünen).
    Une fois installé. Arne Schönbohm a fondé une association de conseil, le CSRD, empruntant au BSI un logo ressemblant. Puis il a placé à la présidence du CSRD un de ses anciens associés d’une société de conseil, par ailleurs politicien CDU à Potsdam, Hans-Willhelrn Dünn. C’est dans cette ville, en 2007, que la société privée de sécurité informatique, Protelion, s’est juridiquement domiciliée. Celle par qui le scandale est né.

    Sous restrictions commerciales

    Protelion s’avère être un faux nez d’une société russe de cybersécurité, Infotecs, fondée après la chute de l’URSS, par Andreï Tchapchaev, ancien espion russe, diplômé de mathématiques de l’École Supérieure du KGB - voie royale d’infiltration des services secrets russes dans la surveillance informatique. Un simple clic sur le site d’Infotecs permet de comprendre que cette société moscovite de plus de 1000 salariés
    travaille sous contrôle de l’actuel FSB, ce qui ne l’a pas empêché d’avoir adhéré au CSRD, nouant des liens avec les structures occidentales. Aux États-Unis, soupçonnée de piratage, Infotecs a été placée sous restrictions commerciales en 2018.
    Hans-Witlel11m Ditnn a qualifié « d’absurdes ›› les allégations selon lesquelles son organisation serait sous influence russe. Trois grands énergéticiens allemands, Eon, Vattenfall, et EnBW, propriétaires d’infrastructures « critiques ›› ont annoncé leur retrait de l’organisation. Et les 1300 salariés de l’agence BSI attendent leur nouveau chef.

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    oh putain j’espère qu’ils ont pris leur précaution niveau traçage …

    ça risque de en pas être très apprécié 😞

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    @Ashura fini les coins tranquilles et secrets avec ces appli…