[Topic Unique] Actualités cinéma & séries
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Racontant les derniers jours d’un couple dont la femme perd la tête, Vortex (en salles depuis le 13 avril) est terriblement touchant et résume tous les précédents films du réalisateur Gaspar Noé.
Au dernier Festival de Cannes, Vortex de Gaspar Noé a pris au dépourvu celles et ceux qui s’attendaient à un remake tapageur du Amour de Michael Haneke. C’est tout l’inverse, soit un film à la fois très doux (on y parle de rêve, de mémoire, de cinéma) et très cruel (la fin est connue de tous) où sont réunis, en couple vieillissant, le réalisateur de Suspiria (Dario Argento, pour ne pas le nommer) et l’actrice de La maman et la putain, l’un des films préférés de Noé (Françoise Lebrun). Ensemble, dans un lit. Une nuit paisible. Puis une détonation, quelque chose se passe dans la tête de la femme jouée par Françoise Lebrun, qui, à ce moment-là, perd la tête, et l’écran de se scinder en deux.
Vortex ne racontera que la lente et douloureuse scission d’un couple âgé, ses derniers jours. Il fallait bien cette durée (2h22) pour raconter ce quotidien, cette rouille, ce déraillement. Cette fichue culture aussi, dont on se sert comme rempart face à l’horreur du monde, et qui n’y peut rien, ne protège plus. Elle, Françoise Lebrun, soudain perdue chez elle, soutenue par son fils (Alex Lutz, père junkie d’un petit garçon); lui, Dario Argento, qui se rattache à ses illusions et rêve de nouveaux films s’ouvrant avec les vers d’un poème de Edgar Allan Poe, exactement comme dans Pique-Nique à Hanging Rock de Peter Weir
Laisse-moi t’embrasser sur le front / Et maintenant que je te quitte, Laisse-moi t’avouer ceci: / Tu n’as pas tort, toi qui estimes / Que mes jours ont été un rêve; / Mais si l’espoir s’est envolé / En une nuit, ou en un jour, / Dans une vision, ou dans aucune / N’a-t-il pas moins disparu? / Tout ce que nous voyons ou paraissons / N’est qu’un rêve dans un rêve).
Lors d’une scène déchirante qui capte quelque chose de très juste sur la communication et la décrépitude du couple âgé au sein d’une famille, le personnage joué par Dario tend les mains pour fendre le split-screen telle une créature fantastique, le temps d’une caresse apaisante. Elles sont nombreuses, les images fortes, elles s’accumulent comme on regarderait un diaporama, autant d’instantanés ravivant des souvenirs du passé. Tout fonctionne parfaitement, pour la simple et bonne raison que le vécu de tous entre en jeu: celui du réalisateur, comme il l’explique dans notre interview; celui des acteurs, trimballant ce qu’ils incarnent dans l’inconscient cinéphile, mais arrivant aussi avec ce qu’ils sont (leur visage, leur corps, leur manière de se déplacer etc.); et évidemment, celui du spectateur qui sera touché en plein cœur par cette intimité saisie.
C’est le film le plus émouvant de son auteur, l’un de ses plus beaux aussi, où les grands mouvements de caméra sont suffisamment rares pour faire tourner la tête lorsqu’ils surgissent et où résonne longtemps dans la ville une chanson triste et belle de Françoise Hardy (Mon amie la rose, dont on réécoutera attentivement les paroles), qu’on entend au début. La vie est une courte fête qu’on aura vite oubliée.
Alexandre VERNIER
SOURCE: chaosreign.fr
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Uncharted
Nathan Drake, voleur astucieux et intrépide, est recruté par le chasseur de trésors chevronné Victor « Sully » Sullivan pour retrouver la fortune de Ferdinand Magellan, disparue il y a 500 ans. Ce qui ressemble d’abord à un simple casse devient finalement une course effrénée autour du globe pour s’emparer du trésor avant l’impitoyable Moncada, qui est persuadé que sa famille est l’héritière légitime de cette fortune. Si Nathan et Sully réussissent à déchiffrer les indices et résoudre l’un des plus anciens mystères du monde, ils pourraient rafler la somme de 5 milliards de dollars et peut-être même retrouver le frère de Nathan, disparu depuis longtemps… mais encore faudrait-il qu’ils apprennent à travailler ensemble.
Mon avis: Une bonne surprise, suffisamment différent des jeux pour ne pas subir du réchauffé, plutôt dynamique, mais pas irréel, sauf peut-être le combat naval final qui laisse loin derrière les vieux films de pirates (il fallait déjà y penser), un bon moment à passer pourvu qu’on laisse le cerveau au vestiaire.
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Je le mate cette nuit en 4K, je vous dirais
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Un film pour ados (Et encore, ado je regardais pas ce genre de daube) … J’ai passé l’âge.
J’ai trouvé un scénario insipide et des scènes exagérées à l’extrême. Je regrette d’avoir perdu mon temps pour cette daube. -
tudikoi Ciné-Séries Club Rebelle Windowsien Torrent user DDL PW Addicta répondu à tudikoi le dernière édition par
@tudikoi a dit dans [Topic Unique] Actualités cinéma & séries :
Je le mate cette nuit en 4K, je vous dirais
Bon ben , le film casse pas 3 pattes à un canard ^^
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@ze-lol a dit dans [Topic Unique] Actualités cinéma & séries :
Un film pour ados (Et encore, ado je regardais pas ce genre de daube) … J’ai passé l’âge.
J’ai trouvé un scénario insipide et des scènes exagérées à l’extrême. Je regrette d’avoir perdu mon temps pour cette daube.Tu me rassure, j’osais pas donner mon avis, je me disais que je devais vraiment avoir un problème parce que j’avais fait le même constat, film pour ados.
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Un jeune homme est accusé d’avoir violé une jeune femme. Qui est ce jeune homme et qui est cette jeune femme ? Est-il coupable ou est-il innocent ? Est-elle victime ou uniquement dans un désir de vengeance, comme l’affirme l’accusé ? Les deux jeunes protagonistes et leurs proches vont voir leur vie, leurs convictions et leurs certitudes voler en éclat mais… N’y a-t-il qu’une seule vérité ?
Un sujet difficile à l’heure ou les accusations de viols et de harcèlement se multiplient, mais il est traité intelligemment même si l’on peut se dire qu’il souffre peut-être d’un parti pris masculin.
En tout cas, à part la prestation de Ben Attal que je trouve moyenne, j’ai bien aimé. -
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@warezb47 Le fait d’y avoir joué (aux trois) doit modifier considérablement la perception du film…
Le troisième jeu est d’ailleurs terriblement mature, avec une fin à la Spielberg de la meilleure cuvée.
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En faites je pense que le film marche plutôt pour ceux qui ont fait la série de jeux (perso, je les ai tous poncé…même celui sur vita )… maintenant y’a plus qu’à mater le film (je vais voir ça ce soir pour me faire une idée).
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Suite/reboot du remake d’Evil Dead tourné par Fede Alvarez en 2013, Evil Dead Rise sera finalement écrit et mis en scène par Lee Cronin (The Hole in the Ground), Sam Raimi et Bruce Campbell restant producteurs exécutifs.
Cette fois, l’histoire s’intéresse à Beth (Lily Sullivan, la série Picnic at Hanging Rock), une jeune femme qui débarque chez sa sœur aînée Ellie (Alyssa Sutherland, Vikings), laquelle élève seule ses trois gosses dans un petit appartement de Los Angeles. Dans l’immeuble, les deux sœurs vont découvrir un Livre des Morts qui va réveiller des démons voraces et précipiter leur famille dans un chaos infernal.
Signe des temps, le film ne sortira pas en salles mais sur HBO Max dans le courant de l’année. À vue de nez, ça ressemble plus à Poltergeist Ill qu’à du Evil Dead, mais on verra bien.
Et puis, Poltergeist III, c’était bien mieux que le remake de l’original, alors bon.
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Everything Everywhere All at Once
En attendant que Scarlett réalise son nouveau Marvel et que Charlize se relooke pour Fast X, Michelle Yeoh utilise
son art martial et (“ses nouveaux pouvoirs pour combattre les dangers étranges et déroutants du multivers…”) -
@fel1x1a a dit dans [Topic Unique] Actualités cinéma & séries :
Everything Everywhere All at Once
https://planete-warez.net/post/13236
Faut suivre ou faire une recherche C’est gratuit !
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Qu’est-ce qui m’empêcherait d’en faire un petit rappel ?
Dsl, si je n’ai pas une aussi bonne mémoire que toi pour retenir autant d’infos ^^
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Tiens d’ailleurs, tjrs en production A24, je viens de mater le dernier Ti West que j’ai trouvé assez sympatoche… Au dessus des prod de genre actuelles
Puis comme j’ai une bonne mémoire
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Avatar 2
Les participants au festival CinemaCon ont été invités à chausser des lunettes 3D pour s’immerger dans la bande-annonce d’«Avatar: The Way of Water» et retourner sur la planète Pandora où ils ont pu voir ses habitants à la peau bleue nager et s’élancer dans les airs. «Je peux vous assurer que ça valait le coup d’attendre», a déclaré le responsable de la distribution de Disney, Tony Chambers, en confirmant le titre choisi pour ce deuxième volet d’Avatar.
«Avatar: The Way of Water» sera sur les écrans en décembre prochain et devrait être suivi par trois autres épisodes de cette saga, dont le film original a récolté quelque 2,8 milliards de dollars (2,7 milliards de francs) depuis sa sortie en 2009. Chaque volet constituera un film indépendant des autres, avec sa propre intrigue. Les quatre épisodes ne feront pas partie d’un arc narratif mais, pris ensemble, représenteront «une saga épique d’encore plus grande envergure», a déclaré le producteur Jon Landau.
https://www.tdg.ch/les-premieres-images-de-la-suite-davatar-devoilees-361317210029
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Nouvelle bande-annonce pour Jurassic world 3
Malheureusement beaucoup trop de surenchère tapageuse, espérons qu’il y ait aussi une bonne histoire secondaire, sinon, il restera juste le spectacle…
Mais au vu de la bande-annonce, ça sent seulement le réchauffé amélioré.