[Topic Unique] Actualités cinéma & séries
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The Shrouds (Les Linceuls) de David Cronenberg
La sortie d’un nouveau David Cronenberg est toujours un évènement et The Shrouds, son petit dernier, ne déroge pas à la règle.
Avec ce film, l’auteur de La Mouche tente d’exorciser le décès de sa femme en imaginant une histoire barrée sur fond de commerce d’immortalité. Et pour l’accompagner dans l’aventure, Cronenberg s’est attaché les services de comédiens aussi divers que Vincent Cassel, Guy Pearce et Diane Kruger. Après une présentation à Cannes pendant la quinzaine, The Shrouds sortira en France le 25 septembre prochain sous le titre Les Linceuls.
– Source :
https://www.mad-movies.com/articles-1/immortality-inc
–> Je suis curieux, puis un film du maitre Cronenberg ne se refuse pas, puis le casting est pas mal. Son dernier long, Les crimes du futur était sympa.
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Un trailer pour Longlegs avec Nicolas Cage en tueur en série
Enfin ! Après nous avoir mis l’eau à la bouche avec une salve de teasers aussi cryptiques que réussis, les pontes de Neon ont dévoilé la première bande-annonce du très attendu Longlegs, le dernier effort en date d’Oz Perkins (Gretel & Hansel).
Un trailer pas trop spoilerisant (tant mieux !) et qui permet notamment d’entendre la voix de Nicolas Cage (Mandy) dans le rôle d’un « insaisissable tueur en série » traqué par une agente du FBI plutôt tenace (Maika The Guest Monroe).
Difficile de garder son calme face à ce Longlegs qui s’annonce comme l’un des titres majeurs de cette année 2024.)
– Source :
https://www.mad-movies.com/articles-1/nicopathe-1
–> Trop trop hâte de le voir celui-là. Avec ce très bon duo d’acteurs, ça risque d’être fort et j’aime beaucoup ce que produit la boite NEON, tout comme A24
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Arachnid : Matilda Lutz en vedette du nouveau projet d’Ángel Gómez avec les producteurs de ‘John Wick’
Thunder Road (Monkey Man, John Wick) s’associe à Scott Strauss, dirigeant de longue date de Screen Gems, pour lancer un tout nouveau label indépendant appelé Bandlands.
Deadline rapporte la nouvelle cette semaine, précisant que la bannière indépendante prévoit de produire deux à trois films par an.Leur premier sera Arachnid, mettant en vedette Matilda Lutz, qu’on a pu voir dans Revenge, Rings et A Classic Horror Story. Elle sera donc à la tête du casting de la nouvelle œuvre du réalisateur de N’écoute pas et, l’an dernier, de ‘El Hombre del Saco’, qui explore les origines espagnoles de l’histoire du personnage-titre, où il s’agit d’un patient tuberculeux d’Almeria qui fera tout pour guérir, même en consommant le sang des enfants qu’il kidnappe dans un sac.
Le tournage du film, dont le scénario a été écrit par Jayson Rothwel (Le Silent Night de John Woo qui à fait débat sur le forum) débutera en ces jours-ci à Madrid. Aucun détail de l’intrigue n’a été révélé mais d’après le titre, il semble que le film continuera à étendre le sous-genre des arachnides devenu à la mode ces derniers mois grâce à des titres tels que Vermines ou l’australien Sting de Kiah Roachez-Furner
– Sources :
https://ecranfantastique.fr/arachnid-suite/
–> Intrigant. En tout cas je vous recommande Revenge , le survival/rape and revenge de la frenchie Coralie Fargeat.
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@Violence a dit dans [Topic Unique] Actualités cinéma & séries :
Pas sur que ce soit une bonne idée
Répète le trois fois pour voir
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“Beetlejuice Beetlejuice Beetlejuice”
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The Substance : teaser du film de Coralie Fargeat qui a réveillé la Croisette
A chaque Festival de Cannes son film « choc » attendu par des festivaliers en manque de sensations fortes. Et cette année c’est au tour de Coralie Fargeat, invitée en compétition avec The Substance, de tenir le rôle de défibrillateur.
En 2017, dans un élan salutaire du cinéma « de genre » français laissant enfin un peu de place à des réalisatrices, on découvrait Revenge, premier long métrage de Coralie Fargeat. Un petit revenge movie pas nécessairement mémorable mais franchement sympathique pris pour ce qu’il était : une série B honnête, plutôt humble et violente bien comme il faut.
Il aura fallu attendre quelques années pour retrouver la réalisatrice aux commandes d’un nouveau long métrage et c’est donc avec The Substance, film tourné complètement en langue anglaise, qu’elle fait son retour. Et quel retour ! Directement au Festival de Cannes, et pas en séance de minuit mais carrément en compétition. Pour un film de body horror. Serait-ce pour essayer de profiter d’un effet Titane ? Pas impossible, mais toujours est-il que le film, présenté hier soir, est le premier à bénéficier d’un enthousiasme aussi général. Coralie Fargeat est bien entendu également scénariste de The Substance, qui réunit à l’écran Demi Moore, Dennis Quaid et Margaret Qualley. La photographie est signée Benjamin Kracun.
AVEZ-VOUS DÉJÀ RÊVÉ D’UNE MEILLEURE VERSION DE VOUS-MÊME ?
Vous devriez essayer ce nouveau produit: The Substance
CA A CHANGÉ MA VIE.
Avec The Substance, vous pouvez générer une autre version de vous-même, plus jeune, plus belle, plus parfaite…
Il suffit de partager le temps.
Une semaine pour l’une, une semaine pour l’autre.
Un équilibre parfait de sept jours.
Facile n’est-ce pas ?
Si vous respectez les instructions, qu’est ce qui pourrait mal tourner ?– Source :
https://furyosa.com/the-substance-teaser-du-film-de-coralie-fargeat-qui-a-reveille-la-croisette/
–> Ha ba tiens, j’en parlais justement plus haut de Coralie Fargeat avec son Revenge. Je regarderais celui-là à coup sur.
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@Violence a dit dans [Topic Unique] Actualités cinéma & séries :
Horizon: An American Saga : teaser de l’ambitieux western de Kevin Costner
Après une vingtaine d’années à se consacrer uniquement à son métier d’acteur, le légendaire Kevin Costner repasse enfin derrière la caméra pour un projet complètement fou et qui lui ressemble tellement : Horizon: An American Saga, une fresque qui s’annonce pour l’instant en 2 chapitres et qui s’impose déjà comme l’un des grands évènements cinématographiques de 2024.
S’il est un immense acteur, comme il le prouve régulièrement depuis une quarantaine d’années, au cinéma et dernièrement à la TV, Kevin Costner est également un immense réalisateur, et peut-être même un des plus grands à Hollywood. Il lui a suffi d’un film pour en faire la démonstration, le chef d’œuvre Danse avec les loups, avant de se perdre un peu avec Postman, pour revenir d’autant plus fort avec le merveilleux Open Range.
C’était en 2003, et depuis nous n’avons vu que Kevin Costner l’acteur. Mais depuis la fin des années 80, il porte en lui son grand projet, celui de toute une vie, celui de raconter l’histoire des Etats-Unis sur une période bien précise, à travers son regard si humaniste. Ce projet est Horizon: An American Saga, et il lui aura fallu 20 ans pour le concrétiser. Mais ce n’est clairement pas un projet comme les autres. En effet, l’idée de Costner est d’en faire 4 films, 4 chapitres. Pour l’instant, les deux premiers sont terminés et sortiront à quelques mois d’écart.
Pour les deux suivants, Warner risque d’attendre les résultats des premiers, même si la production du troisième était déjà bien entamée avant la grève des scénaristes. En plus de réaliser, Kevin Costner produit, et finance même en partie cette fresque, et a écrit le scénario avec l’auteur Jon Baird.
Côté casting, il se donne évidemment le premier rôle, et il a réuni autour de lui une impressionnante bande d’actrices et acteurs : Abbey Lee, Danny Huston, Isabelle Fuhrman, Jamie Campbell Bower, Jeff Fahey, Jena Malone, Luke Wilson, Michael Rooker, Sam Worthington, Sienna Miller, Tatanka Means et Will Patton. Costner retrouve son directeur de la photographie J. Michael Muro, qui avait déjà signé Open Range, et la bande originale a été confiée à John Debney.
Le chapitre 1 de Horizon: An American Saga sortira aux USA le 28 juin 2024, et le chapitre 2 le 16 août 2024.
Synopsis
L’attrait du Far West et comment il a été gagné – et perdu – à travers le sang, la sueur et les larmes de nombreuses personnes. Couvrant les quatre années de la guerre civile, de 1861 à 1865, l’ambitieuse aventure cinématographique nous entraîne dans un voyage émotionnel à travers un pays en guerre contre lui-même, vécu à travers le prisme de familles, d’amis et d’ennemis qui tenteront tous de découvrir ce que signifie réellement être les États-Unis d’Amérique.
–> Je ne sais pas vous mais moi, il me fait méchamment bander ce projet
Horizon: an American Saga : nouveau trailer pour l’épopée de Kevin Costner
20 ans qu’on attend le retour de Kevin Costner à la réalisation. Et on n’a pas attendu pour rien. Le réalisateur de Danse avec les loups revient avec un projet constitué de 4 films sous la bannière Horizon: an American Saga. Un projet titanesque qui s’annonce comme définitif par cet amoureux du western qui n’a pas fini de lui redonner ses lettres de noblesse.
Et oui, déjà plus de 20 ans depuis le merveilleux Open Range, le 3ème long métrage de Kevin Costner, officiellement. Quel bonheur de le retrouver cette année avec les 2 premiers films de son projet Horizon: an American Saga qui en comportera 4 pour former une immense épopée. La saga est écrite par Kevin Costner et Jon Baird, qui se sont lancés dans une aventure presque anachronique à l’époque des blockbusters bien propres sur eux et qui se ressemblent tous. Une ambition probablement communicative et qui aura permis à Kevin Costner, également devant la caméra, de s’entourer d’Abbey Lee, Danny Huston, Isabelle Fuhrman, Jamie Campbell Bower, Jeff Fahey, Jena Malone, Luke Wilson, Michael Rooker, Sam Worthington, Sienna Miller, Tatanka Means et Will Patton. Costner retrouve le directeur de la photographie J. Michael Muro, et la bande originale a été confiée à John Debney.
Horizon : une saga américaine sortira en France le 3 juillet 2024 pour le chapitre 1 et le 11 septembre pour le chapitre 2.
L’attrait du Far West et comment il a été gagné – et perdu – à travers le sang, la sueur et les larmes de nombreuses personnes. Couvrant les quatre années de la guerre civile, de 1861 à 1865, l’ambitieuse aventure cinématographique nous entraîne dans un voyage émotionnel à travers un pays en guerre contre lui-même, vécu à travers le prisme de familles, d’amis et d’ennemis qui tenteront tous de découvrir ce que signifie réellement être les États-Unis d’Amérique.
– Source :
https://furyosa.com/horizon-an-american-saga-nouveau-trailer-pour-lepopee-de-kevin-costner/
–> Je bande toujours autant
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patricelg PW Addict DDL Rebelle Windowsien Ciné-Séries Cluba répondu à Violence le dernière édition par
@Violence a dit dans [Topic Unique] Actualités cinéma & séries :
Voilà, démerdez-vous avec ça (mode je m’en bat les couilles)
(à coups de patte d’alligator femelle)
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J’avais maté un long interview sur C+ il y’a 2 jours et il parlait de ce long projet.
Il s’est mis à écrire le scénario avec Jon Baird et ça a abouti à non un film, mais plutôt 4.
Aucune maison de prod n’a voulu suivre donc il a mis de sa poche pour aboutir à tous ça.
4 scènes de tournage par jour, 52 jours pour finir le premier chapitre.Ha que je kiffe l’acteur perso (et très sympa en + de ça).
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The fall guy
Des cascades incroyables, une histoire pitoyable, on ne peut croire à la romance du film une seule seconde, même si le film n’est qu’un prétexte à l’action pure et dure, le reste n’est que de la mauvaise colle.
Dommage, mais à voir quand même pour le boulot incroyable des cascadeurs.
Par contre, excellente auto-critique des productions américaines avec le navet tourné dans le film
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@Psyckofox a dit dans [Topic Unique] Actualités cinéma & séries :
Aucune maison de prod n’a voulu suivre donc il a mis de sa poche pour aboutir à tous ça.
il a même hypothéqué sa maison pour ça. Il était en larmes à Cannes.
Grand bonhomme ce Kevin -
Vu ce soir, techniquement génial, une planète crédible et intéressante, une histoire intelligente, mais des combats, GROTESQUES, quel dommage, ce truc aurait pu être un des meilleurs films de SF de la décennie.
L’image du gros cul de Jennifer Lopez à la fin aurait pu-être évitée.
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Voila un peu le sentiment que j’ai eu. La réflexion est très Asimovienne. Tout à fait dans sa démarche, à croire que ce mec était prédicateur.
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@duJambon le mieux est souvent l’ennemi du bien! mais je le regarderais pour les points positifs que tu as nommé, et j’irais pissé pendant les combats.
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@michmich C’est très exactement ce qui s’est passé pour moi
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Ne pas oublier le gros uc de Jennifer Lopez à la fin (je n’ai pas vu le film mais ça m’a piqué ma curiosité ^^)
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LA critique de l’EF :
Brillante analyste de données, Atlas Shepherd a développé une profonde aversion envers l’I.A. Elle va néanmoins se retrouver à prendre part à une mission visant à mettre hors d’état de nuire un cyborg renégat qui menace d’anéantir l’Humanité. Pour cela, elle est contrainte de faire équipe avec un intelligence artificielle et de lui faire confiance. Exploitant le thème de l’Intelligence Artificielle, très à la mode à l’heure actuelle, Atlas est un honnête film de SF qui, en dépit d’un manque criant d’originalité scénaristique, se laisse regarder avec plaisir. Réalisé par Brad Peyton à qui l’on doit notamment Rampage : Hors de contrôle, avec Dwayne Johnson, cette production Netflix remplit en effet le cahier des charges (pas plus) et propose un spectacle divertissant à défaut d’être mémorable. Truffé de références (à Terminator 2 par exemple), le film, qui cite Isaac Asimov dès son générique, relate la lutte que mène une héroïne, au fort tempérament, contre une IA qui menace l’Humanité. Sur cette trame très classique, Peyton va tenter d’apporter un soupçon de singularité en orientant son métrage vers le buddy movie. Le duo formé par Atlas et le robot s’avère ainsi assez savoureux notamment dans la deuxième partie du film qui prend une dimension plus intime et dramatique alors qu’au début du film l’action est largement présente, en témoigne la scène de fusillade contre le cyborg dans l’immeuble ou encore l’attaque du vaisseau spatial. Les décors, en particulier ceux qui prennent pour cadre la Terre, sont de qualité, même si la planète inconnue où atterrit la mission aurait gagné à être plus hostile et mieux conçue. Les effets spéciaux, de leur côté, sont de facture correcte même si sur certains passages, ils montrent parfois leur limite. L’interprétation, enfin, est à la hauteur, Jennifer Lopez (coproductrice du film) portant le film sur ses épaules avec une belle conviction, au risque de reléguer les seconds rôles au statut de simple faire-valoir. Bref, Atlas est une production sympathique et qui n’a d’autre ambition que celle de divertir, malgré le sujet qu’elle aborde et qui aurait pu conduire à une réflexion plus profonde.
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Irati : Un formidable film de fantasy médiévale
Au VIIIe siècle, Eneko, fils d’un souverain défunt, revient sur les lieux de son enfance dans l’espoir de régner sur les terres de sa famille. Pour cela, il va devoir retrouver la dépouille de son géniteur qui avait passé un pacte avec les esprits de la forêt. Il sera aidé, dans sa quête, par Irati, une jeune et belle païenne dont il s’éprend rapidement.
Récompensée au festival de Sitges en 2022, Irati est une œuvre de fantasy médiévale somptueuse qui démontre que les Américains n’ont pas le monopole du genre. Ce film, réalisé par cinéaste Paul Urkijo Alijo, s’inspire ainsi des légendes et de la mythologie basque pour entraîner le spectateur dans monde de magie et de sorcellerie fascinant.
Ce qui saute immédiatement aux yeux, à la vision d’Irati, sont ses qualités esthétiques, éblouissantes à plus d’un titre et qui contribuent grandement à la réussite du film. La magnifique photographie, aux couleurs contrastées, met ainsi en valeur de magnifiques paysages forestiers et parvient à capter la dimension envoûtante de cette foisonnante végétation. L’auteur connait bien cet environnement qu’il parvient, sans mal, à mettre en valeur et dont il fait un personnage à part entière.
Le Fantastique est, ici, introduit par petites touches dans un premiers temps avant de devenir de plus en plus palpable au fur et à mesure que l’histoire se développe. Le réalisateur convoque alors quelques créatures de la mythologie basque, à commencer par les lamies, des sortes de nymphes aux pieds d’oiseau qui incarnent l’un des esprits de la Nature.
Car le métrage, au-delà d’être un formidable film d’aventures (aux scènes de combats violentes et sanglantes, à l’image de celle qui se déroule sous le déluge en début de récit) doublé d’une belle histoire d’amour impossible, nous questionne également sur notre rapport à la faune et à la flore qui nous entourent.
Porté par des effets spéciaux remarquables et jamais envahissants, le métrage est, en outre, truffé de séquences admirables, à l’image de ce long passage dans la grotte et celui dans l’antre de Mari. L’interprétation, dominée par Eneko Sagardoy et Edurne Azkarate, excellents dans les deux rôles principaux, ne sont pas pour rien dans la réussite incontestable de cette œuvre qui est bien meilleure que de nombreuses productions d’outre-Atlantique au budget nettement plus élevés. À découvrir sans hésiter.
– Source :
https://ecranfantastique.fr/irati/
–> Me botte pas mal, j’aime ben le genre
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@Violence a dit dans [Topic Unique] Actualités cinéma & séries :
Sans un bruit : Jour 1
Une affiche et un trailer pour la préquelle de Sans un Bruit.
Une saga que j’ai bien appréciée.Lupita Nyong’o (12 Years a Slave, US, …) est le personnage central de cette préquelle, l’histoire étant centrée sur le début de l’invasion d’une espèce extraterrestre vicieuse qui chasse – et tue – par le son.
Sans un bruit: jour 1
Après deux films à succès, la franchise Sans un bruit (A Quiet Place en VO) s’offre un premier spin-off dont l’action se déroule avant celle de ses prédécesseurs. Et pour remplacer le scénariste, acteur & réalisateur John Krasinski, les producteurs ont eu la bonne idée de confier le bébé à Michael Sarnoski, auteur de l’excellent Pig.
Après une série de bandes-annonces ces derniers mois, Paramount vient de se fendre d’une nouvelle featurette donnant la parole aux comédiens principaux comme Lupita Nyong’o ou Joseph Quinn.
La sortie en salle de ce Sans un bruit: jour 1 est prévue le 26 juin chez nous.
– Source :