[Topic Unique] Actualités cinéma & séries
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I saw the TV Glow
Présenté aux festivals de Sundance, Berlin et South by Southwest, I Saw the TV Glow, coproduit par A24, a été écrit et réalisé par Jane Schoenbrun, qui avait signé un premier long-métrage remarqué, We’re All Going to the Word’s Fair, en 2021, où seule dans sa chambre mansardée, Casey est plongée dans un jeu de rôle d’horreur en ligne, dans lequel elle commence à documenter les changements qui peuvent lui arriver. Cette lente descente dans les tourments psychologiques d’une adolescente passionnée de légendes urbaines avait propulsé la réalisatrice transgenre comme étoile montante du cinéma queer.
Son nouveau film, doté d’un budget plus conséquent, questionne encore une fois l’influence des médias sur fond de recherche identitaire et voit le retour de l’acteur Michael C. Marrona, probablement mieux connu sous le nom de Big Pete Wrigley de la série Nickelodeon des années 90, «The Adventures of Pete & Pete».Lors d’une soirée électorale organisée par leur établissement, Owen et Maddy se rencontrent. Liés par une passion commune pour un programme télévisé fantastique pour enfants, «The Pink Opaque», il-elles deviennent amis. Mais, au fil des semaines, la limite entre fiction et réalité se réduit toujours plus. Un jour, la série est annulée et Maddy disparaît…
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Boy Kills World : Bill Skarsgård vedette d’un film futuriste produit par Sam Raimi
Diffusé le 26 avril aux USA, Boy Kills World est un thriller d’action dystopique situé dans une société future (style Hunger Games), produit par Sam Raimi (Evil Dead) pour Roadside Attractions et Lionsgate.
Boy jure de se venger après le meurtre de sa famille par Hilda Van Der Koy, la matriarche dérangée d’une dynastie post-apocalyptique corrompue qui a laissé le garçon orphelin, sourd et muet. Poussé par sa voix intérieure, qu’il a récupérée dans son jeu vidéo d’enfance préféré, Boy, doté d’une imagination débordante, s’entraîne avec un mystérieux chaman pour devenir un instrument de mort et est libéré à la veille de l’élimination annuelle des dissidents. Alors qu’il tente de se repérer dans cet univers délirant, Boy se retrouve bientôt dans un groupe de résistants désespérés, tout en se chamaillant avec le fantôme apparent de sa petite sœur rebelle.
Réalisé par Moritz Mohr d’après un scénario de Arend Remmers (Sløborn) et Tyler Burton Smith (Kung Fury : The Movie), ce film d’action inspiré de romans graphiques, séries B et jeux vidéo type Mortal Kombat, bénéficie du talent du chef cascadeur, directeur de la seconde équipe, coordinateur de combat et concepteur d’action David Szatarski (Wonder Woman, Kingsman : The Secret Service, Ong Bak 3).
Bill Skarsgård domine un casting composé de la vedette de Happy Birthdead, Jessica Rothe, aux côtés de Yayan Ruhian (John Wick 3, The Raid, The Raid: Redemption, The night Come For Us), Andrew Koji (Warrior, Snake Eyes), Isaiah Mustafa (It : Chapter Two), Famke Janssen (The Postcard Killings), Sharlto Copley (District 9), Michelle Dockery (Downton Abbey), et Brett Gelman (Stranger Things).
– Source : https://ecranfantastique.fr/de-laction-a-sang-pour-sang/
–> Les passionnés de Pencak-Silat et de cinéma Indonésien auront reconnus Yayan Ruhian (je le trouve excellent). Hâte de voir la chose.
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@Violence a dit dans [Topic Unique] Actualités cinéma & séries :
Boy Kills World
Il me dit bien celui là, ça a l’air de tabasser dans tout les sens et déjanté
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Sur Netflix, “House of Ninjas” revisite la tradition des ninjas dans un Japon moderne
Gros carton d’audience depuis sa mise en ligne sur Netflix le 15 février, “House of Ninjas” déroule la vie des Tawara, une famille de ninjas qui, après avoir mis ses talents sur pause durant plusieurs années, va devoir reprendre du service. Une série qui séduit par une mise en scène rythmée et inventive.
La famille Tawara n’a, en apparence, rien de particulier. Le père est propriétaire d’une distillerie de saké, la mère est femme au foyer, le fils aîné remplit des distributeurs automatiques et la fille est étudiante. Mais tout n’est qu’apparence, parce qu’en réalité les Tawara sont des shinobis, terme traditionnel pour désigner les ninjas.
A l’exception du petit dernier, un enfant de dix ans qui n’est au courant de rien, la famille a travaillé durant plusieurs années pour le BNM, soit le bureau de gestion des ninjas. Mais lors d’une mission périlleuse, l’un des fils Tawara a disparu dans des circonstances tragiques et les autres membres de la famille ont alors décidé de raccrocher les sabres et de vivre comme des gens normaux, mettant ainsi fin aux missions d’espionnage et aux assassinats.
Retour aux affaires
Sauf qu’ils ont de la peine à décrocher totalement. Notamment la fille, qui s’amuse à piquer des oeuvres d’art dans les musées et à les rendre trois jours plus tard. Ou la mère, qui s’adonne au vol à l’étalage dans les supermarchés pour passer le temps. Pourtant, selon le règlement ninja, on ne doit pas utiliser ses talents si l’on n’est pas en mission.
Mais finalement, ce n’est pas inutile qu’ils soient restés en alerte et entraînés puisqu’une menace plane sur le Japon. La famille Tawara va être obligée de reprendre du service pour affronter un redoutable ennemi.
Entre drame familial et série d’action
Tout au long des huit épisodes de cette première saison, on prend le temps de connaître les membres de cette famille, de les suivre dans leurs pérégrinations respectives ou encore de découvrir leurs talents grâce à des combats très bien ficelés et chorégraphiés.
Comme dans un bon thriller qui se densifie au fil des épisodes et des découvertes, l’histoire évolue de manière rythmée. Et il faut dire qu’il y a du suspense dans cette fiction que l’on pourrait placer quelque part entre le drame familial et la série d’action. Les Tawara doivent à la fois faire le deuil de l’un des leurs tout en assumant leur rôle de ninjas, combattants de l’ombre dans une société contemporaine qui ne partage plus ses valeurs ancestrales.
Moderne et traditionnel
Réalisateur américain d’une série tournée entièrement au Japon avec des acteurs et actrices nippons, Dave Boyle a injecté plusieurs thèmes à tendance dramatiques dans “House of Ninjas”. Mais l’ambiance générale n’est pas sombre pour autant et même parsemée de quelques touches d’humour. On reste ainsi dans le divertissement à la fois sensible et musclé, moderne et traditionnel.
Ainsi, tous les ingrédients sont réunis pour que la série puisse plaire au plus grand nombre et ça marche, puisqu’“House of Ninjas” cartonne. Ce qui est plutôt mérité, car même si sa trame ne brille pas par son originalité, cette première saison est bien réalisée. C’est vif, inventif et cela se laisse regarder sans effort.
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@duJambon C’est dans ma boîte mais j’ai pas encore maté, j’en ai plein d’autres à voir avant, j’ai pris du retard…
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The Watchers (Les guetteurs): premier long métrage pour la fille de M. Night Shyamalan
Les Guetteurs, sortant en France le 5 juin, marque les débuts de la réalisatrice Ishana Shyamalan, fille de de M. Night Shyamalan qui adapte le best-seller «Watcher» de A.M. Shine.
Le film a pour vedettes Dakota Fanning, Georgina Campbell, Oliver Finnegan et Olwen Fouere.Perdue dans un forêt, Mina trouve refuge dans une maison déjà occupée par trois personnes. Elle va alors découvrir les règles de ce lieu très secret : chaque nuit les habitants doivent se laisser observer par les mystérieux occupants de cette forêt. Ils ne peuvent pas les voir, mais eux regardent tout.
– Source : https://ecranfantastique.fr/les-guetteurs/
–> Pourquoi pas, mais je suis surtout intrigué de voir ce que peux nous pondre la fille de Shyamalan, comme Jennifer lynch en son temps (son Surveillance était sympa)
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Fini la série il y’a une semaine.
Niveau combat c’est propre et nerveux mais sinon à part ça, l’histoire ne m’a pas plu (c’est lent à se mettre en place).
C’est pas mauvais du tout mais l’histoire… voilà quoi (avis perso). -
Vous ne voleriez pas un épisode de la série télévisée « Pirate Bay » ?
The Pirate Bay fera ses débuts en tant que série télévisée sur la télévision publique suédoise plus tard cette année. Il y a sans aucun doute de bonnes histoires à raconter sur l’histoire de ce célèbre site torrent. On ne sait pas encore si la série sera diffusée mondialement sur un service de streaming international. Inutile de dire que certains pourraient être tentés de le pirater.
Lorsque des copies piratées de « Grand Theft Auto : San Andreas » sont sorties il y a près de deux décennies, The Pirate Bay a changé son logo en première page.
The Pirate Bay est devenu le « Grand Theft Bay », illustrant la position déviante sur laquelle le site a bâti sa réputation depuis l’année de son lancement .
Le logo inspiré de GTA était le premier des nombreux « doodles » qui distinguaient le « site torrent le plus résilient » de ses concurrents. Au lieu de se cacher des forces de l’ordre ou des groupes anti-piratage des grands médias, The Pirate Bay est souvent passé à l’offensive, affrontant de front tous les défis.
Beaucoup pensaient que c’était révolutionnaire, tandis que d’autres pensaient que c’était naïf. Ce qui est clair, cependant, c’est que The Pirate Bay a répondu à une demande non satisfaite.
Pionniers du piratage
À l’époque, il était presque impossible pour les gens de consommer des médias en ligne. Les services de streaming musical n’existaient tout simplement pas encore, les jeux étaient vendus emballés dans du plastique et Netflix n’avait pas encore démarré son activité de streaming. Pendant ce temps, tout était disponible gratuitement sur The Pirate Bay.
Les temps ont changé, mais même les plus ardents défenseurs du droit d’auteur ne peuvent nier que le piratage a contribué à conduire les industries du divertissement vers de nouveaux modèles commerciaux. Sans les Napsters , Limewires et Pirate Bays de l’époque, la consommation médiatique n’aurait pas évolué aussi rapidement.
Il n’y a cependant aucune récompense pour cette réalisation. Au contraire, les visages publics de l’équipe fondatrice de The Pirate Bay ont tous purgé des peines de prison. Hollywood n’a jamais réussi à mettre complètement le site à genoux, mais a fait payer ses pères fondateurs avec l’atout le plus précieux de la vie : le TEMPS .
Curieusement, l’histoire de Pirate Bay elle-même sert désormais d’inspiration pour une production télévisée. B-Reel Films a commencé à travailler sur une série télévisée Pirate Bay pour la chaîne publique suédoise SVT il y a quelques années.
Aucun des fondateurs de Pirate Bay n’est étroitement impliqué dans le projet télévisé, et ils ne sont certainement pas non plus rémunérés. Au lieu de cela, les producteurs ont utilisé des entretiens avec d’autres personnes impliquées, ainsi que la grande quantité d’informations publiques disponibles sur Internet.
Tournage terminé
La nouvelle série Pirate Bay devrait être diffusée à la télévision suédoise plus tard cette année. Le tournage vient de terminer et les premières images, ainsi que les personnages principaux, ont été récemment dévoilées au public.
La production a eu lieu à Stockholm, en Suède, mais s’est également étendue dans d’autres pays, notamment au Chili et en Thaïlande, où Fredrik Neij a été arrêté et exhibé devant la presse en 2014.
Le temps nous dira comment les producteurs et le réalisateur ont décidé de raconter cette histoire ; il y a de nombreux terriers à poursuivre après tout. Le réalisateur Jens Sjögren le décrit comme un thriller, mais avec humour.
"The Pirate Bay est un thriller centré sur des personnages, raconté avec beaucoup de cœur, de chaleur, de courage, de volonté et d’humour, qui nous emmène d’un sous-sol de banlieue à des bureaux chics à Hollywood. Une histoire sur la façon dont une étincelle dans un couloir étudiant décolle et risque de mettre le feu à tout un établissement au loin à Hollywood », dit Sjögren.
Sortie mondiale incertaine
Avec des millions d’utilisateurs anciens et actuels du site torrent, la série suscitera probablement également un certain intérêt de la part d’un public international. Jusqu’à présent, aucun accord n’a été annoncé et, à ce stade, il n’est pas certain que la série soit disponible en dehors de la Suède cet automne.
Dynamic Television a acquis les droits de distribution mondiaux de la série. S’adressant à TorrentFreak, la publiciste Marylou Johnston a déclaré que la série était désormais en post-production et qu’il était donc “beaucoup trop tôt” pour annoncer des ventes internationales.
« Les ventes internationales débuteront lorsque nous pourrons montrer la série à des acheteurs potentiels. Je doute que nous ayons une sortie mondiale, mais cela pourrait arriver », note Johnston.
Inutile de dire que vendre à Hollywood une série télévisée qui documente l’histoire de son ennemi juré est une proposition intrigante. Même si les initiés du cinéma sont suffisamment intelligents pour reconnaître le potentiel lorsqu’ils le voient, il existe un certain obstacle à surmonter.
Vous ne pouvez pas arrêter les pirates ?
Ironiquement, si la série The Pirate Bay n’est pas disponible dans le monde entier, les gens pourraient être incités à télécharger une copie de The Pirate Bay à la place. Cela montrerait que, bien qu’il ait été déclaré illégal il y a longtemps, le site répond toujours à la demande aujourd’hui.
Au contraire, l’histoire de The Pirate Bay a montré qu’il est impossible d’empêcher les gens de pirater. Les personnes impliquées ne l’ignorent pas non plus. Cependant, ce n’est pas différent de toutes les autres productions sur lesquelles ils travaillent et Johnston ne s’attend pas à ce que le piratage nuise aux ventes.
« Nous ne pouvons jamais garantir qu’une version ‘pirate’ ne circulera pas mais cela s’applique à tous les spectacles ! Heureusement, cela n’affecte pas les ventes", explique-t-elle.
Il existe bien sûr des moyens de minimiser le piratage. Une première mondiale sur un service de streaming par exemple. Si les gens peuvent regarder la série légalement sur un service auquel ils sont déjà abonnés, ils sont moins incités à aller à The Pirate Bay ; sentiment de côté.
Bien que cela semble simple ; y parvenir n’est pas facile.
Les sorties mondiales sont encore rares aujourd’hui pour les contenus appartenant à un tiers, qui les vend généralement au plus offrant. Ces négociations prennent du temps et, dans certains cas, les offres ne sont tout simplement pas suffisantes.
En théorie, un service de streaming opérant à l’échelle mondiale pourrait reprendre la série, soit cette année, soit après sa première suédoise.
Ce serait vraiment révolutionnaire si tous les services de streaming accordaient une licence à l’émission en même temps, la rendant disponible partout et pour tout le monde ; Style Pirate Bay. Cette vision utopique est probablement un peu naïve.
Source: https://torrentfreak.com/you-wouldnt-steal-an-episode-of-the-pirate-bay-tv-series-240310/
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Quand Spielberg kiffe Ken, mais pas Barbie
The Fall Guy : le prochain film de Ryan Gosling, validé par Steven Spielberg !
Quoi de plus gratifiant que d’être complimenté par un cinéaste de renom ? Ryan Gosling en a fait la douce expérience lors de la cérémonie des Golden Globes. L’acteur a eu la chance d’y croiser le réalisateur Steven Spielberg qui est considéré comme le meilleur des meilleurs. Autant dire qu’un mot gentil de sa part ferait pousser des ailes à n’importe qui, y compris une grande star du cinéma !
S’adressant à Variety, Ryan Gosling a raconté que le célèbre cinéaste avait complimenté son prochain film « The Fall Guy ». Un véritable bonheur pour l’acteur qui n’a pourtant plus rien à prouver.
Ryan Gosling est aux anges
Rapporté par CinemaBlend, Ryan Gosling a raconté qu’il ne s’attendait pas du tout à échanger quelques mots avec un « dieu » comme Steven Spielberg. La surprise est d’autant plus grande, car c’est ce dernier qui s’est approché pour lui parler, il lui a même fait un câlin !
Un moment que Ryan Gosling n’est pas près d’oublier, surtout lorsque le célèbre réalisateur lui a dit : « Je viens de voir ‘Fall Guy’ et j’ai adoré. » L’acteur a dû se retenir pour ne pas sauter au plafond !
Ce compliment est d’autant plus important pour Ryan Gosling, car il se sent désormais plus serein par rapport à la sortie en salles du film : en effet, peu importe si les avis venaient à être négatifs, Steven Spielberg, lui, l’a adoré et c’est tout ce qui compte. « Le reste n’a plus aucune importance », a solennellement déclaré l’acteur. « Steven Spielberg a aimé. C’était un moment inoubliable pour moi. J’ai vraiment hâte que les gens le voient. Je pense que c’est un film vraiment spécial. »
De quoi parle The Fall Guy ?
Porté par Ryan Gosling, Emily Blunt et Aaron Taylor-Johnson, « The Fall Guy » raconte les périples de Colt Seavers, un cascadeur d’action dont la carrière n’est plus vraiment au top. Le personnage désabusé décroche un boulot sur le tout premier film de Jody Moreno, son ancienne petite amie. Mais lorsque l’acteur principal disparait (menaçant de ruiner le projet), Colt se porte volontaire pour le retrouver. Il ne s’attendait pas à ce que les recherches soient aussi intenses et dangereuses !
La bande-annonce de The Fall Guy annonce un film aussi drôle que riche en action. La sortie en salles est prévue pour ce mois de mai, le 1er en France et le 3 aux États-Unis.
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Terrifier 3 : Art The Clown de retour
Le tournage se poursuit pour Terrifier 3, de Damien Leone, qui sortira le 25 octobre aux U.S.A. pour profiter de la campagne Halloween (comme le second volet). Le second volet, rappelons-le, avait rapporté plus de 15 millions de dollars dans le monde avec un budget de seulement 250 000 dollars. “Il a généré des revenus environ 60 fois supérieurs au coût de production et a été alimenté presque exclusivement par le marketing social”, a commenté Chris McGurk, président-directeur général de Cineverse, à propos de Terrifier 3.
“Nous sommes ravis que Damien et Phil aient choisi de rester fidèles à la franchise et garder le film intact et indépendant plutôt que de suivre la voie du studio. Nous visons à faire de ce film la pièce maîtresse de notre stratégie de sortie qui se concentre sur une collaboration conviviale avec les créateurs pour générer des franchises et des remakes préférés des fans qui fonctionnent en salles et génèrent des revenus d’abonnement au streaming».
Le réalisateur affirme que plusieurs grands studios se sont montrés intéressés à financer ce film sur la base du succès inattendu de Terrifier 2 (2022), même sans scénario complet. Cependant, il les a tous refusés car il est certain qu’ils ne l’auraient jamais laisser filmer la scène d’ouverture, qu’il qualifie de « très controversée ». Leone a commenté que la seule raison pour laquelle il peut être si intransigeant dans sa représentation de l’horreur et du gore est qu’il finance ses films de manière indépendante, crée lui-même tous les effets spéciaux pour réduire les coûts et n’a pas de grand studio derrière lui pour réaliser un film plus grand public.
« Si vous pensiez que Terrifier 2 était extrême, vous n’avez rien vu », déclare désormais Damien Leone, l’homme à l’origine de la production et des effets spéciaux de cette franchise d’horreur. Ainsi, Terrifier 3 mettra derechef en scène le tandem que forme le réalisateur avec le producteur Phil Falcone, misant une nouvelle fois sur une liberté de création illimitée – la grande motivation derrière le succès du deuxième opus.
Pour Terrifier 3, Leone affirme avoir concocté un nouveau festin : «Nous avons un budget plus important. Nous tournons en grand écran anamorphique, donc je veux que cela ressemble davantage à un film de John Carpenter. Ça va avoir toujours cette sensation épique, mais maintenant ça va avoir le ton de la première partie avec le thème de Noël. Ce sera un opus complètement différent mais il contiendra tout ce que vous aimez dedans». Leone a déclaré qu’il avait réfléchi à l’intrigue de Terrifier 3 tout en travaillant sur le deuxième film. “Il y a tellement de questions soulevées dans la ‘Partie 2’ qui restent sans réponses». Le film reprend là où la deuxième partie s’est arrêtée, dans l’asile d’aliénés. «Donc, vous allez voir ce qui s’y transpose, quel grabuge se produit, parce que voir comment Art et Victoria ont fini, c’est tellement fou, et voir comment ils se sortent de cette situation et ce qui se passe ensuite, ça va être vraiment sauvage ».
– Source : https://ecranfantastique.fr/le-temps-du-massacre-2/
–> Pour l’instant, j’aime assez cette franchise. Le premier m’avait marqué pour son côté pervers et la fameuse scène du meurtre à la scie qui reste encore gravée dans ma tête (ceux qui ont vu le film comprendront ). Le second volet, vu le succès phénoménal qu’il a rencontré pour une franchise d’horreur/gore, impossible de passé à côté, et j’ai bien aimé malgré sa durée trop longue et son côté un peu trop torture porn, mais l’étirement de la durée des meurtres donnaient le vertige… Assez curieux de voir ce qu’à en réserve Damien Leone, mais le fait qu’il n’ai pas céder aux sirènes des studios est, il me semble, un bon présage.
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patricelg PW Addict DDL Rebelle Windowsien Ciné-Séries Cluba répondu à Violence le dernière édition par
Pareil, bien aimé les deux premiers, suis assez fan de ce genre. Merci @Violence pour l’info
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@patricelg mais de rien !
Art à une putain de gueule et une putain d’attitude face à ses victimes je trouve, c’est simple efficace et ça fait un très bon Boogeyman
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Ce message a été supprimé !
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The Gentlemen : La série de Guy Ritchie
Eddie Horniman hérite soudainement du vaste domaine de son père, avant de découvrir qu’elle fait partie d’un véritable empire du cannabis. Pour couronner le tout, de dangereuses figures du crime organisé veulent leur part du gâteau.
Sortie récemment comme Le problème à trois corps, la série The Gentlemen avec Guy Ritchie (Snatch, Arnaque crimes et botanique, The Gentlemen…) aux commandes du reboot de son propre film en série.
–> Après avoir maté les 2 premiers épisodes, ça passe crème. On retrouve le Guy Ritchie des débuts un poil déjanté et sa mise en scène reconnaissable entre 1000, on retrouve Vinnie Jones, un de ses acteurs fétiches et Giancarlo Esposito. Bref, très sympa.
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patricelg PW Addict DDL Rebelle Windowsien Ciné-Séries Cluba répondu à Violence le dernière édition par
Bien pour Vinnie Jones qui a tourné dans pas de navets ces dernières années. Du Guy Ritchie ne se refuse point, à mettre dans mes favoris. Merci @Violence
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Je trouve que la première moitié de la série passe bien, alors que la seconde est lourde. Ça rame sans trop avancer.