[Topic Unique] Actualités cinéma & séries
-
Ah, tout pareil mise au chaud et se les matés d’un trait (une nuit très longue) je l’ais fait, une semaine non stop walking dead, enfin presque pipi mangé dormir un peut et rebelote le lendemain, à la fin de la semaine tu est comme les méchants , les yeux plus en face des trous et tu traîne les pieds comme eux…
-
The last of us démarre très bien, il est suffisamment différent du jeu et suffisamment fidèle pour avoir de l’intérêt.
-
Je te rejoins bien sûr le binge watching sauvage, impossible pour ma part…je peux pas lol (faut savourer la chose et non en mode goinfrage jusqu’à l’indigestion lol)
-
-
Moi côté série j’ai vu 2 épisodes de les disparus de la forêt noire de tf1 j’ai trouvé ça excellent.
Pour les films il parait que le film m3gan n’est pas top :x
Voilà bonne soirée
-
C’est lors de la dernière éditon de la Mostra de Venise que les Danois Lars von Trier et Nicolas Winding Refn, soit LVT et NWR, vaguement rivaux qui plus est, ont tenté leur grand retour en feuilleton télé. Et le moins que l’on puisse dire pour les deux, c’est qu’ils sont passés sous le radar sur le Lido. Et les échos se font fait attendre. Alors que The Kingdom: Exodus semble condamné à des limbes sélectifs (Mubi à l’étranger, niet pour la France), Copenhagen Cowboy vient squatter Netflix pile en début d’année, seconde expérience télé de Nicolas Winding Refn après Too Old to die young, que la plateforme Amazon a, avouons-le, assez peu soutenu (ce que NWR a récemment reconnu, d’ailleurs). Trop occupé à capitaliser sur la vilaine Mercredi ou le récent Glass Onion, Netflix ne lève pas non plus le petit doigt pour la nouvelle œuvre de NWR, elle aussi assez planquée. Un choix d’autant plus regrettable qu’elle rejoint sans problème ce qu’on a vu de plus excitant sur la dite plateforme…
Toute vêtue de bleu, impassible, mystérieuse, entre le petit garçon et l’Agnes Varda version butch, Miu rejoint le panthéon des héros Refnien, de ceux dont on ne sait rien, qui parlent peu, et laissent volontiers un sillage de mort derrière eux. Comme un météore, elle atterrit dans un bordel tenu par des filous venus d’Europe de l’Est, puis taille sa route à travers les différentes strates de la mafia, comme si elle voyageait elle-même à travers la filmo de Refn (allant jusqu’à retrouver Zlatko Burit, le Milo de Pusher). Ce qui aurait pu tanguer vers une version féminine de Drive sans les voitures prend une direction qu’on n’attendait pas : dans un climat à la Blue Velvet, la jeune femme attise toutes les convoitises par des pouvoirs dont on se demande longtemps s’ils sont réels ou pas. Un porte-bonheur pour beaucoup, un porte-malheur pour d’autres, parfaite karatéka à la fois crainte et désirée par tous: Angela Bundalovic offre une palette de regards stupéfiants dans ses faux airs impassibles, loin des œillades façon Droopy d’un Ryan Gosling. Sans trop en dire, on croise un maquereau qui fait des clips, un homme cochon, une famille de vampires aristos
et incestueux, un restaurant chinois au milieu de nulle part… Soit tous les ingrédients d’un vrai conte d’Andersen nourri de vapeurs vénéneuses et de néons baveux.En cela, NWR donne exactement tout ce qu’on peut attendre de lui : un mélange d’excitation grisante et de frustration brusque, des bleus et de rouges d’enfer, une galerie de personnages étonnamment touchants quand ils ne sont pas totalement effrayants, des moments de sidération absolus (la fuite fermant le premier épisode, un gunfight inoubliable dans l’obscurité d’une allée, un combat final qui laisse sans
voix…), une b.o synthwave plus efficace qu’une fusée pour aller dans l’espace… On pourrait l’accuser d’ouvertement ronronner. Mais le charme opère, l’hypnose fonctionne à plein tube, et Si les grands maîtres sont toujours cités avec ferveur (David Lynch, William Friedkin, Kenneth Anger…), on a quand même l’impression de n’avoir jamais vu ça ailleurs.Les détracteurs vont hurler, les habitués vont savourer, épisode après épisode, ensorcelés par cette virée dans un Copenhague imaginaire et magique où les poings visent le cœur. En bon parasite netflixien, NWR boucle le tout en laissant le portail ouvert, et c’est d’ailleurs le seul gros point noir de cette virée danoise dans l’autre monde: elle pourrait être tout autant un doigt d’honneur typique de son auteur.
-
-
Babylon
Un incontournable, semble-t-il: https://www.presse-citron.net/critique-babylon-la-merveille-du-monde-de-damien-chazelle/
-
pas convaincu de babylon
-
@duJambon bon il est temps que je parte dormir , j’ai cru que tu faisais référence à Babylon 5 lol
-
@Psyckofox Babylon 5 ? dans les actualités ? Quoiqu’il n’y a pas de topic vieilleries pour le cinéma…
Mais j’ai peut-être encore les dvd quelque part sous la poussière.
-
La casa de Papel / Money Heisst KOREA
Version coréenne de La Casa de Papel. Un génie du crime rassemble huit voleurs afin d’organiser une prise d’otages à la Maison de la monnaie.
Mon avis: Une seule saison, pas de tartinage, mais du suspense, et ça fini. A déguster.
-
Il pleut des séries coréen sur la plate forme j’espère que c’est bien traduit ou si piste son fr ^^
-
-
Surtout que bon la VF et les films asiatique, ça fait 2 (à croire que les films sont doublés par des acteurs de série Z)
-
exact mais ça me fatigue de lire les sub hé hé ^^
-
@Snoubi je comprends !!!
-
Mad Heidi https://planete-warez.net/topic/47/topic-unique-actualités-cinéma-séries/1032?_=1674846697473
Dispo sur tirexo
-
-
@duJambon
Et sur tout bon tracker également… -
@BahBwah Je préfère le prendre en DDL, je ne suis pas sûr qu’il vaille la peine d’être conservé