Twitter : un jour après sa montée au capital, Elon Musk met déjà la pression
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[Ce que révèlent les document internes de Twitter sur la censure de l’affaire Hunter Biden]([link removed]/international/102791-que-revelent-document-internes-twitter-censure-affaire-hunter-biden)
Peu avant la présidentielle de 2020, des cadres de Twitter ont décidé d’entraver l’accès à des révélations du New York Post sur le fils de Joe Biden. Le nouveau chef de Twitter Elon Musk a décidé de révéler des documents internes sur cette décision.
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[Nouvelles révélations sur les mécanismes de censure utilisés ces dernières années par Twitter]([link removed]/international/102927-nouvelles-revelations-sur-mecanismes-censure-utilises-twitter)
Selon l’enquête journalistique portant sur les dessous de Twitter, des «listes noires secrètes» ont été établies pour limiter l’audience et la visibilité de certains comptes, notamment chez les conservateurs et critiques des restrictions sanitaires.
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Twitter suspend les comptes de journalistes couvrant Elon Musk
Certains des journalistes avaient tweeté à propos de la décision de Twitter mercredi de suspendre le compte qui rapportait automatiquement les trajets du jet privé d’Elon Musk. Parmi les journalistes suspendus figurent des employés de médias comme CNN, le «New York Times», ou le «Washington Post», d’autres étant des journalistes indépendants.
«La suspension impulsive et injustifiée d’un certain nombre de reporters comme celui (du journaliste) de CNN Donie O’Sullivan est inquiétante mais pas surprenante», a réagi dans un communiqué la chaîne américaine. «L’instabilité et la volatilité croissante de Twitter sont particulièrement préoccupantes pour quiconque utilise la plateforme. Nous avons demandé une explication à Twitter, et nous réévaluerons notre relation en fonction de cette réponse», ajoute CNN.
Un compte Twitter de Mastodon, concurrent du réseau social, a également été suspendu, selon NBC News. Elon Musk a tweeté mercredi qu’une voiture à Los Angeles avec son enfant à bord avait été suivie par «un harceleur cinglé», et semblait pointer du doigt le suivi de son jet privé comme en étant la raison. Il annonçait dans ce tweet qu’il allait poursuivre en justice la personne derrière le compte @ElonJet, désormais suspendu.
Pas de censure qu’il disait…
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and now ?
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@Guardian Ah 57% quand même Au revoir Elon Musk
On me chuchote à l’oreille qu’un nouveau compte: Melon husk, viens d’être créé…
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@Guardian a dit dans Twitter : un jour après sa montée au capital, Elon Musk met déjà la pression :
and now ?
“vox populi vox Dei” ?
Au passage, il a dit lui-même dans un autre message que Twitter était au bord de la faillite ! (bon, d’après-lui, ça date d’avant le rachat, et ce n’est pas forcément faux d’ailleurs, même s’il n’a pas dû aider)
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@ALRBP ses affirmations ne sont pas à prendre au pied de la lettre c’est aussi une façon pour lui de justifier tout les changements qu’il tente d’imposer.
Pour ce qui est de la succession selon certains il se pourrait qu’il ait profiter de la finale de CdM pour en discuter avec l’autre principal investisseur de pioupiou, un Qatari – décidément sont partout – de fait, sa question posée dans la foulée de cette rencontre ne serait donc pas anodine, une simple méthode de distraction pour redorer l’image par la suite, c’est tout à fait envisageable. -
Elon Musk annonce qu’il va quitter son poste à la tête de Twitter
Elon Musk a annoncé mardi sur Twitter son intention de quitter la tête du réseau social dès lors qu’il aura «trouvé quelqu’un d’assez fou» pour le remplacer, expliquant que le milliardaire se concentrera dès lors sur les «équipes logiciel et serveurs».
Le propriétaire de la plateforme de microblogging réagissait au résultat du sondage qu’il avait lui-même initié lundi sur Twitter, demandant s’il devait se retirer de la tête de l’entreprise ou non, 57% des 17 millions de votants répondant par l’affirmative. S’il avait affirmé dans un premier temps qu’il se plierait au résultat de son sondage, Elon Musk avait envoyé ces dernières heures des signaux plutôt contradictoires, semblant dans un premier temps estimer que le résultat avait été faussé par le vote de bots.
Moins de huit semaines après sa prise de contrôle du réseau social pour 44 milliards de dollars, Twitter ne voit pas la tempête s’apaiser. L’entreprise est au bord du gouffre financier ayant perdu un certain nombre d’annonceurs face au risque que représente pour les marques la volonté du milliardaire de réduire la modération des contenus. Un peu plus tôt dans la journée, Elon Musk avait retweeté le résultat d’une enquête d’opinion réalisée par l’institut HarrisX, auprès de son propre échantillon d’utilisateurs de la plateforme, et qui donnait 61% des personnes interrogées en faveur de son maintien au poste de directeur général.
«Intéressant, cela semble suggérer que nous avons bien un léger problème de bots sur Twitter» avait alors réagi le propriétaire de la plateforme en réponse au tweet de l’institut présentant les résultats. Un commentaire intervenu après qu’Elon Musk a approuvé un autre tweet suggérant que son sondage avait été victime de bots. Il a aussi estimé que tout nouveau sondage serait désormais réservé aux utilisateurs payants de Twitter.
Dans le passé, l’homme d’affaires s’était déjà appuyé sur des sondages pour soutenir des décisions faisant débat, telles que la réactivation du compte de l’ancien président américain Donald Trump, ainsi que d’autres utilisateurs ayant été suspendus. Le résultat de son dernier sondage a entraîné dans un premier temps une hausse du titre de Tesla, dont les investisseurs sont de plus en plus critiques de l’attention accordée à Twitter depuis le rachat, au détriment du constructeur automobile estiment-ils.
Plusieurs médias américains avaient de leur côté assuré qu’Elon Musk s’était mis en quête d’un remplaçant, citant des sources anonymes, une information que le propriétaire de Twitter avait alors rejetée par une simple émoticône moqueuse sur le réseau social.
Source: https://www.tdg.ch/elon-musk-met-en-doute-le-resultat-du-sondage-twitter-quil-a-initie-730495569082
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En attendant que le nouveau patron du réseau social, Elon Musk, quitte son poste de PDG… ou pas, les divulgations se poursuivent. Cette fois-ci, c’est un autre journaliste d’investigation, Lee Fang, qui prend le relais. La partie 8 s’intéresse à la relation entre Twitter et le Pentagone.
Dans ce thread, Lee Fang explique comment Twitter a aidé les campagnes d’opérations d’influence psychologique en ligne du Département américain de la Défense, en faisant fi de ses promesses - devant le Congrès notamment - de déployer des “efforts concertés” pour faire obstacle aux réseaux secrets de propagande gérés par l’État.
“Dans les coulisses, Twitter a donné son approbation, voire “une protection spéciale aux opérations d’influence psychologique en ligne de l’armée américaine. Sachant que les comptes de propagande du Pentagone utilisaient des identités secrètes, Twitter n’en a pas suspendu beaucoup pendant environ 2 ans ou plus”, écrit le journaliste d’investigation.
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Oui je sais, ca explique bien qu’ils soient tous en mode panique, E Musk est venu foutre le bordel dans leurs petites affaires.
J’ai bien aimé l’analyse faite par cet historien.
TWITTER : LE SAFE SPACE DES ÉLITES LEUR ÉCHAPPE
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Pfizer a poussé Twitter à censurer l’idée «corrosive» d’une immunité naturelle contre le Covid
Lorsque le directeur de la FDA a souligné sur Twitter que l’immunité naturelle était nettement supérieure à celle conférée par le vaccin, un membre du conseil d’administration de Pfizer a demandé – et obtenu – la censure de son message «corrosif».
Les révélations sur le fonctionnement de Twitter avant la prise de fonction d’Elon Musk se poursuivent, le journaliste américain Alex Berenson ouvrant le 9 janvier le volet de la censure des informations concernant le Covid 19 sur le réseau social.
A ce sujet, le journaliste, qui a eu accès aux échanges internes de la plateforme, se concentre sur une discussion entre un responsable de Twitter et Scott Gottlieb. Directeur de la Food and Drug Administration (FDA) de 2017 à 2019, Gottlieb est ensuite devenu membre du conseil d’administration de Pfizer (payé 365 000 dollars par le laboratoire pharmaceutique en 2021) et était un intervenant fréquent de la chaîne CNBC sur le Covid et les mesures dites sanitaires.
C’est à ce titre qu’il contacte le réseau social le 27 août 2021, pour se plaindre d’un message du docteur Brett Giroir, son successeur à la tête de la FDA. Commentant les résultats d’une étude menée en Israël, Brett Giroir expliquait qu’il était désormais «clair que l’immunité naturelle contre le Covid [était] supérieure à l’immunité [conférée] par le vaccin, de beaucoup». «Il n’y a aucune justification scientifique [de la nécessité d’apporter] la preuve d’une vaccination si une personne a eu une infection antérieure», poursuivait-il à l’attention des autorités sanitaires, alors en pleine réflexion sur le pass vaccinal.
Même s’il concluait son tweet d’une injonction favorable à la vaccination – «Si aucune infection antérieure ? Faites-vous vacciner !» –, l’opinion exprimée par Brett Giroir était visiblement dangereuse aux yeux de Scott Gottlieb. «Voici le genre de chose qui est corrosive. […] Son tweet va finir par devenir viral et va être couvert par les médias», écrit-il à Todd O’Boyle, lobbyiste de Twitter à Washington et point de contact de l’entreprise avec la Maison Blanche, pour en demander la censure.
Ce dernier transmet alors la requête à l’équipe «Réponse stratégique» de Twitter, leur demandant de «consulter ce rapport de l’ancien directeur de la FDA»… sans mentionner que Scott Gottlieb est un membre du conseil d’administration de Pfizer, et a donc un intérêt financier dans la promotion de la vaccination contre le Covid-19.
Bien qu’un analyste de l’équipe «Réponse stratégique» de Twitter constate que le tweet ne viole aucune des règles de désinformation de l’entreprise, le réseau social s’exécute rapidement, empêchant le partage et la visibilité du tweet et y apposant une étiquette «trompeur», toujours en vigueur à ce jour
[Source]([link removed]/international/103534-pfizer-a-pousse-twitter-combattre-idee-corrosive-immunite-naturelle-contre-covid)