On ne se moque pas de ces choses là.
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@duJambon (Je n’ai pas lu) Tesla a tellement dévissé par les conneries de Musk que les investisseurs trouvent normal que la marque se prenne une surtaxe…
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Une babysitteuse tente de convaincre un enfant qu’il n’y a pas de “monstre” sous le lit et découvre… un homme allongé
Les faits ont eu lieu à Great Bend, dans l’État américain du Kansas ce lundi 24 mars lors de la garde d’une babysitteuse. Quelques heures après avoir mis les enfants au lit, l’un d’entre eux l’interpelle et lui demande, apeuré, si elle peut vérifier en dessous du lit qu’il n’y a “pas de monstre”. Elle s’exécute pour tenter de le rassurer et… tombe nez à nez avec un homme allongé, relate ABC News. Stupeur.
Pris en flagrant délit, l’intrus bouscule la femme et l’enfant et prend la fuite. Elle alerte la police et il s’avère rapidement, après vérifications, que le “monstre” du lit est Martin Villalobos, 27 ans, un ancien locataire de la résidence qui faisait l’objet d’une mesure d’éloignement pour des faits de violences.
La police du comté de Barton l’a finalement retrouvé le lendemain matin dans les environs, après une brève course-poursuite. Il a été incarcéré à la prison locale et devra répondre de nombreuses chefs d’accusation, dont mise en danger d’enfants, intrusion aggravée d’un domicile privé et violation d’une ordonnance de protection. Sa caution a été fixée à 500.000 dolars.
Bouh !!!
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Là où il y a de la gêne…
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@duJambon Quid de la mariée… Bezos fera un geste pour la planète s’il empêche sa future femme de se balader… Limiter le rejet de micro-plastique! La c’est la robe qui respecte le mieux la Nature
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“Une faveur pour les super-riches”: monsieur Porsche réclame un tunnel privé dans une colline protégée pour accéder à sa villa
Un tunnel privé pour accéder à sa villa: le projet de Wolfgang Porsche, petit-fils du fondateur de la marque automobile de luxe, provoque des remous dans la ville autrichienne de Salzbourg, qui doit en discuter mi-mai.
Certains élus sont vent debout depuis qu’ils ont appris l’existence d’un accord entre l’héritier de 81 ans et le précédent maire conservateur pour creuser une cavité souterraine dans le Kapuzinerberg, colline située sur un terrain municipal. À la pointe de la fronde, l’écologiste Ingeborg Haller dénonce un contrat conclu “en catimini, dans la plus grande opacité”, rejetant toute “faveur pour les super-riches”. Qui plus est dans un environnement naturel “sensible, au coeur d’un site classé au patrimoine mondial de l’Unesco”.
Grâce à ce tunnel de 500 mètres, M. Porsche veut accéder plus facilement à sa demeure acquise en 2020 et en pleine rénovation, le “Paschinger Schlössl”, sans avoir à emprunter la route étroite menant au sommet, verglacée l’hiver et très empruntée l’été par les touristes et randonneurs.
Cachez-moi tous ces pauvres, c’est très laid, je suis blindé de thune, ce n’est pas à moi de faire un effort.
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@duJambon faut aimer ce genre de poupée siliconée quand même!
Y’en a de partout.
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@duJambon a dit dans On ne se moque pas de ces choses là. :
Porsche, petit-fils du fondateur de la marque automobile
A propos quand c’est qu’il nous pond un char d’assaut lui?
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@michmich a dit dans On ne se moque pas de ces choses là. :
faut aimer ce genre de poupée siliconée quand même
Une bouche à pipe et des nibards accueillants, que veux-tu de plus ?
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Caca sur le sol et piqûre dans le pénis: ce policier leur fait vivre un enfer
Un chef de police du New Jersey est accusé de harcèlement moral et physique par cinq inspecteurs. Et la liste de ses actes présumés est ahurissante. Si l’avocat des plaignants parle d’un «zoo de l’horreur», la ville «défend fermement» l’individu, selon NBC News.
Même dans une série Netflix, on aurait sans doute de la peine à le croire. Les accusations de cinq agents de police du commissariat de North Bergen, dans le New Jersey, laissent entendre que leur chef leur fait vivre un véritable enfer. Dans la plainte pour harcèlement qu’ils viennent de déposer, on a droit au détail des faits présumés et il faut s’accrocher.
«J’ai représenté des milliers de policiers au fil des ans. Je n’ai jamais rien vu de tel. C’est tout simplement impossible à décrire»
Patrick Toscano, avocat des plaignantsVoici tout ce qui lui est reproché:
- Le chef de police aurait baissé plusieurs fois son pantalon dans le commissariat, avant de déféquer sur le sol et devant des collègues.
- Il aurait fait de même dans la poubelle de nouveaux agents, comme une sorte de bizutage.
- Idem sur le sol des toilettes, «sans doute dans l’espoir que quelqu’un marche dedans».
- Il aurait également glissé en douce de l’Adderall et du Viagra dans la cafetière du bureau.
- Il aurait mis des tonnes de piments forts dans la nourriture d’autres employés.
- Il se serait rasé les bras sur le bureau d’un employé.
- Sans oublier les insultes racistes et homophobes et les sextoys et drapeaux LGBT envoyés au domicile de certains agents.
- Pire encore: notre homme aurait piqué un officier dans le pénis, à travers son jean, avec une aiguille hypodermique.
Le témoignage de la victime présumée:
«Après m’avoir coincé dans les archives sans que je puisse m’enfuir, il a enfoncé une aiguille hypodermique à travers mon jean jusqu’à piquer le bout de mon pénis»
L’un des plaignants«Le chef se rasait les poils sur la nourriture des employés. Il aimait aussi frotter les fluides de ses sous-vêtements sur le personnel»
Selon l’avocat des cinq inspecteurs, ce commissariat du New Jersey serait devenu progressivement un «zoo de l’horreur». Situé en face de Manhattan, sur l’autre rive de l’Hudson, ce poste de police abrite pas moins de 123 employés, qui sont sous les ordres de ce chef accusé d’harcèlement et d’agression depuis février 2024. A noter que ce dernier gagne 228 000 dollars par année et que son père et son grand-père ont été chefs adjoints du département de police de North Bergen.
De son côté, le maire de la ville assure se ranger «totalement» du côté du chef de police.
«La municipalité de North Bergen a pleinement confiance dans la direction du service de police de North Bergen par le chef Robert Farley et nous nions fermement ces allégations fausses et scandaleuses faites par des officiers mécontents qui ont recours à l’attaque de la réputation d’un fonctionnaire dévoué pour atteindre leurs propres objectifs égoïstes»
Selon un porte-parole de la ville de North Bergen.Alors que cette affaire est loin d’être terminée, on se demande simplement comment toute cette équipe va un jour pouvoir (re)bosser ensemble dans le calme et la bonne humeur. Surtout quand leur boulot est précisément de faire respecter l’ordre et la loi.
Heureusement que ce type charmant ne s’est pas défoulé sur des femmes, il aurait fait passer Depardieu pour un gentil boy scout…
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Bill Gates prédit que nous pourrions avoir une semaine de travail de deux jours d’ici 2035, grâce à l’IA
Gates a fondé sa prédiction sur son expérience des changements informatiques qu’il a observés tout au long de sa carrière. Les ordinateurs étaient chers, et ils ne le sont plus aujourd’hui. Il est convaincu que ce sera également le cas pour l’IA. Il a certes expliqué qu’il existe une grande incertitude, mais son optimisme concernant l’IA n’est pas partagé par beaucoup à travers le monde.
Source et plus: https://www.iflscience.com/bill-gates-predicts-we-could-have-a-two-day-work-week-by-2035-thanks-to-ai-78611
Cet article m’inspire deux deux choses:
- Bill Gates n’est pas un plombier
- Combien va-t-on gagner pour un travail de deux heures par semaine ?
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Si dans son cas l’informatique lui a permis d’arrêter de travailler tôt ce n’est pas le cas de tout le monde.
L’informatique a permis d’améliorer la productivité partout où il y en a mais sans pour autant réduire la durée de travail et au détriment d’un certain confort. Le sentiment de perte de sens dans le travail, les bullshit jobs, les burn out et autres malaises au travail viennent en partie de l’informatisation à outrance. -
Vous vous souvenez peut-être de ce couple qui ne voulait pas répondre à la police, car ils n’avaient signé aucun contrat ?
En voilà un autre:
“Je récuse le tribunal”: un adepte français de la théorie des “citoyens souverains” ne reconnaît pas sa condamnation
Le procès lunaire d’un conspirationniste lié au mouvement des “citoyens souverains” s’est clôt ce mardi à Dunkerque avec le refus de cet homme de reconnaître l’autorité du tribunal.
Un adepte de la mouvance complotiste des citoyens souverains a été condamné mardi à cinq mois de prison avec sursis à Dunkerque (Nord) pour avoir refusé un contrôle de gendarmerie: “Je ne reconnais pas le jugement”, a-t-il déclaré après l’audience, fidèle à ses convictions.
“Je n’ai pas à me soumettre à qui que ce soit”“Je reste sur ma position, je ne reconnais pas le jugement” et “je récuse le tribunal”, a lancé cet homme de 53 ans qui se définit comme “non-citoyen” en quittant la salle d’audience, à l’issue d’un procès aux débats lunaires.
Selon la théorie de la mouvance des citoyens souverains, l’État français n’existerait pas en tant qu’entité publique mais serait en réalité une entreprise de droit privé créée en 1947. Les adeptes de cette théorie apparue dans les années 1970 aux États-Unis et depuis dix ans en France estiment qu’ils n’ont pas consenti à entrer en interaction avec cette entreprise, et n’auraient donc pas besoin de se soumettre aux lois.
Pierre L., qui n’avait pas pris d’avocat pour assurer sa défense, a été condamné à 5 mois de prison avec sursis et 500 euros de dommages et intérêts pour refus de se soumettre aux vérifications du véhicule et du conducteur, au contrôle d’alcoolémie et de stupéfiants, défaut d’assurance et violences volontaires sur un militaire de la gendarmerie sans incapacité.
“Je n’ai pas à me soumettre à qui que ce soit”, “même pas à vous”, a-t-il lancé au début de l’audience à la juge. Laquelle lui a patiemment répondu qu’il vivait “parmi les citoyens français”, et donc qu’il devait se “soumettre aux mêmes règles que les autres”.
“Le code de la route n’existe pas”
Une vidéo de son contrôle par les gendarmes le 1er avril 2024 à Esquelbecq (Nord), filmée par sa compagne de l’intérieur de leur véhicule, avait largement circulé sur internet l’an dernier, suscitant la stupéfaction ou l’hilarité des internautes. On y voyait Pierre L. et sa conjointe refusant d’obtempérer, répétant “on ne contracte pas”, avant que les gendarmes brisent la vitre de leur véhicule.
“La direction générale de la gendarmerie nationale est enregistrée comme entreprise et pas comme société publique comme ils le disent. C’est pour ça que j’ai dit que je ne voulais pas contracter”, s’est-il justifié mardi. “Le code de la route n’existe pas, il est caduc”, a-t-il encore prétendu à la barre.
“Si la procureure reste là, ça veut dire qu’il n’y a pas de séparation des pouvoirs (…) donc plus de Constitution, donc je vous récuse”, a encore déclaré le prévenu. Cette instance est là “pour appliquer le droit” et n’est “en aucun cas une tribune politique ou idéologique”, a répliqué la procureure, qui avait requis une peine plus sévère, dix mois d’emprisonnement avec sursis.
“Je me porte constitution partie civile”, a aussi déclaré confusément le prévenu au début de l’audience en coupant la juge. “Vous avez le droit de vous constituer partie civile mais cette plainte suivra d’autres voies” car le tribunal n’est pas saisi de cette plainte aujourd’hui, lui a-t-on répondu. “Donc je ne peux pas faire valoir mes droits”, en a conclu le prévenu.
“Un irresponsable n’est plus un citoyen”
Plutôt que de faire appel, il a dit vouloir déposer plainte contre le tribunal de Dunkerque et sa présidente auprès du “tribunal de Strasbourg” et de la Cour européenne des droits de l’homme. Pourquoi? Parce que “le tribunal de Strasbourg travaille avec la Common Law Court”, croit savoir Pierre L., en faisant référence à une pseudo-juridiction internationale admise par certains “citoyens souverains”.
Avant son procès, il avait aussi affirmé à l’AFP que ce ne serait pas lui en tant qu’”être vivant” qui serait jugé à Dunkerque, mais sa “personnalité juridique”, qu’il a décrit comme étant une “marque déposée à l’Inpi” (l’Institut national de la propriété intellectuelle, NDLR) dont il serait “le mandataire exclusif”.
Cet ancien entrepreneur, actuellement au chômage, a déclaré avoir découvert la théorie des citoyens souverains sur les réseaux sociaux fin 2022. Non-vacciné au moment de la pandémie de Covid-19, il a dit avoir “pris à la lettre” les propos du président Emmanuel Macron, qui avait déclaré qu’”un irresponsable n’est plus un citoyen” dans un entretien accordé au Parisien début 2022.
Par contre, je suppose qu’il estime normal de rouler gratuitement sur une route qu’il n’a ni construit, ni payé, d’avoir la sécu, les pompiers et un tas d’autres miracles du même acabit.