Nécro
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J’ai vu ça qu’aujourd’hui.
Qu’elle repose en paix -
Un briscard d’Hollywood s’en est allé, R.I.P. Clu Culager
Clu Culager (À bout portant) est décédé à l’âge de 93 ans. Ce comédien hétéroclite (western, polar, drame, comédie… il a tout fait) a notamment participé à une ribambelle d’œuvres horrifiques et/ou fantastiques au cours de sa longue carrière : on citera La Revanche de Freddy, Hidden, The Initiation ou encore le classique Le Retour des morts-vivants de Dan O’Bannon qui reste sans doute son titre de gloire dans le genre.
Culager avait plus récemment tenu des rôles dans la trilogie Feast (réalisé par son fils John) et le Once Upon a Time in Hollywood de Quentin Tarantino. Une vie bien remplie.
One love Culager
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Un briscard d’Hollywood s’en est allé, R.I.P. Clu Culager
Clu Culager (À bout portant) est décédé à l’âge de 93 ans. Ce comédien hétéroclite (western, polar, drame, comédie… il a tout fait) a notamment participé à une ribambelle d’œuvres horrifiques et/ou fantastiques au cours de sa longue carrière : on citera La Revanche de Freddy, Hidden, The Initiation ou encore le classique Le Retour des morts-vivants de Dan O’Bannon qui reste sans doute son titre de gloire dans le genre.
Culager avait plus récemment tenu des rôles dans la trilogie Feast (réalisé par son fils John) et le Once Upon a Time in Hollywood de Quentin Tarantino. Une vie bien remplie.
One love Culager
Clu Gulager était un drôle de type. Dans The Killers (A bout portant) de Don Siegel, avec Lee Marvin, il joue le rôle du jeune tueur accompagnant un vieux briscard, et ne comprenant absolument pas le questionnement de Lee Marvin (Pourquoi le personnage joué par John Cassavetes s’est-il laissé tuer sans rien faire ?).
Il avait des trouvailles de dingue, comme d’avoir renversé le vase de fleurs sur le bureau de la secrétaire aveugle de l’institution. Ce n’était pas dans le scénario…
RIP Clu Gulager -
Wolfgang Petersen, le réalisateur allemand, est décédé à l’âge de 81 ans des suites d’un cancer du pancréas. On lui devait plusieurs blockbusters comme Troie ou Air Force One ou l’excellent En pleine tempête… Mais il est aussi le réalisateur de L’Histoire sans fin.
Wolfgang Petersen, est décédé à l’âge de 81 ans, comme le révèlent plusieurs médias américains. Il s’est éteint dans son sommeil, le vendredi 12 août 2022, dans sa résidence de Brentwood des suites d’un cancer du pancréas, précise le site Variety. Il était accompagné dans ses derniers instants par Maria-Antoinette son épouse depuis cinquante ans. La nouvelle a été confirmée par sa société de production.
Le réalisateur de L’histoire sans fin
Né le 14 mars 1941 à Emden en Allemagne, Wolfgang Petersen y démarre sa carrière de cinéaste. Il réalise dans les années 60 et 70 des courts-métrages et des téléfilms dans son pays natal, dont plusieurs épisodes de la série policière Tatort. C’est à à Das Boot, son film phare de 1981, que le réalisateur doit ses débuts à Hollywood. Le film, qui met en scène un sous-marin pendant la seconde guerre mondiale, est alors nommé six fois aux Oscars, notamment pour le meilleur scénario adapté ou le meilleur réalisateur. En 1984, il réalise et coécrit le film fantastique qui a marqué toute une génération, L’histoire sans fin. Il raconte l’histoire d’un petit garçon qui découvre le monde magique de Fantasia en s’immergeant dans un livre magique trouvé dans une mystérieuse librairie. Il tourne ensuite Enemy, un film de science-fiction avec Dennis Quaid. Ce projet est boudé par les spectateurs et la critique. Le réalisateur met alors six ans avant se remettre à la réalisation. Il revient en 1991 avec Troubles.
Des blockbusters dans les années 90
Dans les années 90, ils enchaînent les succès et les blockbusters. En 1993, il réalise dans La ligne de mire avec Clint Eastwood, film acclamé à par la critique, puis en 1995 Alerte avec Dustin Hoffman, un long-métrage sur un virus mutant qui menace de décimer la planète. En 1997, il met en scène Harrison Ford dans Air Force One, puis en 2004, Brad Pitt dans Troie, l’adaptation sur grand écran de l’Iliade. C’est en 2016, qu’il a réalisé son dernier long-métrage, dix ans après Poséidon, Braquage à l’allemande. Il laisse une femme Maria-Antoinette et un fils, le scénariste et réalisateur Daniel Petersen.
One love Wolfgang
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L’histoire sans fin, La grande tempête, Dans la ligne de mire, Air Force One, Poséïdon, Alerte, Troie etc
RIP Monsieur Petersen
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La reine Elizabeth II est décédée à l’âge de 96 ans
En signe d’hommage : une image drôle, un dessin touchant, et une blague pourrave :
Mais qui va-t-il rester à part Drucker ?
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@Galadriel la soupe de fœtus n’aura pas été de grande aide cette fois
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Moi ça me touche quand même, je l’ai toujours connue
Et puis le nombre de gens éminents qu’elle a pu rencontrer, et je ne parle pas des présidents de toutes nationalité.
Elle a anobli l’homosexuel le plus poudré de histoire de la pop.
j’sais pas, c’était quelqu’un quand même. Elle menait son p’ti combat pour la modernité.
Elle a rempli son contrat, elle a toujours été au service de son peuple.
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@Mister158 a dit dans Nécro :
Elle a rempli son contrat, elle a toujours été au service de son peuple.
Effectivement, et non l’inverse comme c’est parfois le cas, c’est pratiquement le personnage le plus connu au monde!
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Décès de Peter Eckersley, l’inconnu qui a changé la face du web
Un architecte du web moderne n’est plus. Peter Eckersley, qui a œuvré toute sa vie pour construire un Internet ouvert et sécurisé, est décédé le 2 septembre 2022 à l’âge de 43 ans. Ses travaux ont changé la façon dont on navigue sur la toile.
Peter Eckersley.
EFF / Creative CommonsPeter Eckersley nous a quittés le 2 septembre 2022. Le nom de cet ingénieur informaticien ne vous dit certainement rien, mais il y a de fortes chances que vous ayez au moins une fois profité d’une de ses inventions. Né en Australie à la fin des années 1970, le “pape du web chiffré” a collaboré avec l’Electronic Frontier Foundation pour défendre un web à la fois libre et ouvert. Il s’est aussi battu contre les très polémiques projets de loi SOPA/PIPA et a aidé à sécuriser le web d’aujourd’hui.
Architecte du web moderne
Relativement discret, Peter Eckersley a transformé Internet grâce à l’un de ses projets les plus ambitieux : Let’s Encrypt. Organisme à but non lucratif, cette autorité de certification a permis à de très nombreux sites web de chiffrer leurs données, passant du protocole HTTP au bien plus sécurisé HTTPS. Lancé en 2015 sous l’impulsion de l’ingénieur australien — en collaboration avec la fondation Mozilla et l’EFF —, cet outil a pour ambition de chiffrer tout le web grâce à l’obtention et le renouvellement d’un certificat gratuit et simple d’accès.
La bascule du protocole HTTP vers le HTTPS (poussée largement par Google et Mozilla) permet aux internautes de vérifier l’identité d’un site web grâce à ce fameux certificat. Le HTTPS (S pour Secure) garantit aussi que les échanges entre un site web et son visiteur sont chiffrés, là où le HTTP faisait transiter ces informations en clair.
Un ingénieur à “l’énergie acharnée”
Ainsi, des pages web comme celles de VLC, FranceInfo ou ZDNet.fr sont sécurisées grâce à Let’s Encrypt et au travail de Peter Eckersley, dont l’association a distribué plus d’un milliard de certificats auprès de 280 millions de sites.
“L’impact de Peter sur le chiffrement du web ne peut être sous-estimé. Le fait que le TLS soit si omniprésent qu’il en est presque devenu invisible est dû au travail que Peter a commencé, salue l’Electronic Frontier Foundation dans un billet de blog. Il ne fait aucun doute que sans l’énergie acharnée de Peter, sa stratégie de persuasion joyeuse et son intelligence créative, le projet n’aurait même pas été lancé, et encore moins réussi avec autant de succès.”
La vie militante de Peter Eckersley ne se résume pas à Let’s Encrypt. L’ingénieur a aussi travaillé sur des projets tels que PrivacyBadger ou HTTPS Everywhere, deux extensions qui visent à protéger les données des internautes sur le web. Son héritage est important autant en matière de cybersécurité que d’engagement politique en faveur d’un Internet libre et transparent. Il est à placer aux côtés de John Perry Barlow et Aaron Swartz (dont il était l’ami) au panthéon du web contemporain.
Source : lesnumeriques.com
Un mec qui a fait bien plus pour nous tous que Lizzie le mouton britannique et qui est mort jeune dans l’anonymat le plus total.
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@Raccoon Putain 43 ans! ce topic commence a me déprimer, par contre j’aurais au moins appris un truc.
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@Galadriel Certaines mauvaises langues affirment que ce n’est pas Elisabeth II, mais sa mère !
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Le réalisateur Jean-Luc Godard est mort à 91 ans.
Source -
Mort de Louise Fletcher, l’infirmière Ratched de « Vol au-dessus d’un nid de coucou »
Décédée à l’âge de 88 ans, l’actrice américaine avait marqué de son talent le film de Miloš Forman, décrochant la précieuse statuette dorée pour son rôle de Mildred Ratched.
DÉCÈS - Un souvenir impérissable de Mildred Ratched. Le monde du 7e art a appris ce vendredi 23 septembre la mort à l’âge de 88 ans de l’actrice américaine Louise Fletcher, dont le rôle de la célèbre infirmière lui avait ouvert les portes des Oscars en 1976.
Comme l’annonce sa famille à la revue spécialisée Variety, l’actrice est décédée ce vendredi chez elle à Montdurausse dans le Sud de la France. Une nouvelle qui oblige au souvenir du film de Miloš Forman dans lequel la comédienne offrait une prestation plus que remarquée.
Dans Vol au-dessus d’un nid de coucou du réalisateur américain d’origine tchécoslovaque, Louise Fletcher partageait l’affiche avec Jack Nicholson pour cette revisite du roman éponyme de Ken Kesey. Un film sorti en 1975 où Louise Fletcher incarnait l’infirmière en chef Ratched, femme glaciale et autoritaire dont la cruauté sur les patients sera rapidement remise en cause par Randall McMurphy, incarné par Jack Nicholson, un nouveau patient du Salem State Hospital, un établissement psychiatrique où il se fait interner, après avoir simulé l’aliénation afin d’échapper à la prison.
La formidable Louise Fletcher est décédée à l’âge de 88 ans Elle jouait l’inoubliable infirmière Mildred Ratched da… https://t.co/6PEHq7v0qg
— Colonel Farès (@LeColonelFares)
Ce qui reste peut-être comme le seul grand film de la carrière de l’actrice avait toutefois permis une vague de statuettes pour ce classique hollywoodien, à commencer par celle de la Meilleure actrice pour Louise Fletcher (qui obtiendra aussi le Golden Globe et le BAFTA), mais aussi Meilleur film, Meilleur réalisateur, Meilleur scénario adapté et enfin Meilleur acteur pour l’interprète principal de The Shining et d’Easy Rider.
Louise Fletcher avait d’ailleurs utilisé la langue des signes pour remercier ses parents sourds en recevant son Oscar. Avec ce rôle d’infirmière coriace, elle a également eu la chance de figurer parmi les plus prestigieux classements américains des plus grands méchants de l’histoire du cinéma pour son incarnation à la fois subtile et démonstrative de celle qui a tous les pouvoirs sur les patients de son asile. Un rôle qui avait pourtant été adouci par rapport à l’œuvre originale sortie en 1962.
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@Raccoon Quel film, et quelle interprétation, à voir absolument.
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Raccoon Admin Seeder I.T Guy Windowsien Apple User Gamer GNU-Linux User Teama répondu à michmich le dernière édition par
@michmich je l’ai revu il y a quelques mois. Il n’a pas pris une ride.
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Y’a de ces films qui n’ont pas pris une ride qui même revu plusieurs fois tu te dis “Bordel ce film est un pure chef d’oeuvre”