On ne se moque pas de ces choses là.
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Elle roule dans une voiture peu discrète… et sans permis

La police nationale de la région a publié des photos de l’interception haute en couleurs sur sa page Facebook en ajoutant que: lorsqu’on n’est pas en règle, on essaie de passer inaperçu. La conductrice a écopé d’une amende pour absence de permis en plus de 68 euros. Et elle s’est sans doute faite enguirlander.
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Trump prix Nobel de la paix: «Vengeance»: Donald Trump bombarde l’Etat islamique
Les Etats-Unis ont lancé une opération massive en Syrie contre l’EI, frappant plus de 70 cibles. Une «déclaration de vengeance» après l’attaque qui a tué 3 Américains.
L’armée américaine a débuté une opération en Syrie pour «éliminer des combattants du groupe Etat islamique, des infrastructures et des sites d’armement», a fait savoir le chef du Pentagone Pete Hegseth sur X. Il s’agit d’une «réponse directe» et d’une «déclaration de vengeance» après l’attaque qui a coûté samedi la vie à deux militaires américains et un traducteur en Syrie, a-t-il ajouté, en affirmant: «Aujourd’hui nous avons traqué et tué des ennemis. Beaucoup d’ennemis. Et nous allons continuer.»
Des avions de chasse, des hélicoptères et de l’artillerie ont frappé «plus de 70 cibles à de multiples endroits dans le centre de la Syrie», a précisé le commandement militaire américain pour le Moyen-Orient, le Centcom. Il a précisé que l’opération avait débuté à 16h00 heure de Washington (22h00 en Suisse) et que «plus de 100 munitions de précision» avaient été employées contre des positions du groupe Etat islamique.
Tirs dans le désert
Les frappes ont été menées dans le désert près de la ville de Homs et dans des zones rurales près de Deir ez-Zor et Raqqa, a affirmé à l’AFP une source sécuritaire syrienne. Aux explosions ont succédé «des éclats de tirs de calibre moyen dans le désert» au sud-ouest de Raqqa, a déclaré un responsable de la province, ajoutant qu’il s’agit de zones sous le contrôle du gouvernement syrien.
Ce dernier «réitère son solide engagement à combattre l’EI et à s’assurer qu’il ne bénéficie d’aucun refuge sur le territoire syrien,» a affirmé le ministère syrien des Affaires étrangères dans une déclaration publiée sur X peu après les frappes américaines, sans toutefois les mentionner directement. Le Centcom affirme que depuis l’attaque de samedi contre ses troupes, «les Etats-Unis et leurs forces alliées ont mené 10 opérations en Syrie et en Iraq, aboutissant à la mort ou au placement en détention de 23 terroristes.»
Première fois
L’homme qui a tué trois Américains dans la région désertique de Palmyre a été identifié comme étant un membre des forces de sécurité syriennes. C’est la première fois qu’un tel événement est rapporté en Syrie depuis la prise du pouvoir, il y a un an, d’une coalition islamiste qui a effectué un rapprochement avec les Etats-Unis.
Le groupe jihadiste Etat islamique avait contrôlé la région de Palmyre avant d’être défait en Syrie par une coalition internationale en 2019. Malgré sa défaite, ses combattants repliés dans le vaste désert syrien continuent épisodiquement de mener des attaques.
Lors de la visite du président intérimaire syrien, Ahmad al-Chareh, à Washington le mois dernier, Damas avait rejoint la coalition internationale antijihadiste menée par les Etats-Unis. Les forces américaines en Syrie sont notamment déployées dans les zones sous contrôle kurde dans le nord, ainsi que dans la base d’Al-Tanf, près de la frontière jordanienne.
Le retour au pouvoir de Donald Trump, sceptique de manière générale sur les déploiements de soldats américains à l’étranger, pose la question du maintien de cette présence militaire. Le Pentagone avait annoncé en avril que les Etats-Unis réduiraient de moitié le nombre de soldats américains en Syrie, dont l’effectif total actuel n’est pas officiellement connu.
Au moins cinq membres de l’EI tués
Au moins cinq membres du groupe Etat islamique ont été tués dans les frappes menées par les Etats-Unis, a indiqué samedi l’Observatoire syrien des droits de l’homme. Figure parmi eux «le chef d’une cellule» chargée des drones dans la zone, a précisé à l’AFP le responsable de l’ONG Rami Abdel Rahman, ajoutant qu’ils ont été tués dans la province de Deir ez-Zor (est).
Source: https://www.lematin.ch/story/syrie-donald-trump-bombarde-l-etat-islamique-103473222
Les cadeaux sont en avance cette année

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Australie: Les ados se réveillent privés de réseaux sociaux
Les moins de 16 ans n’ont plus accès à Instagram, TikTok, Reddit ou encore Snapchat.
Mais que vont-ils bien pouvoir faire de tout ce temps libre ?

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Leurs enfants n’avaient jamais vu de douche ni d’interrupteur: un couple vivant isolé dans la forêt italienne perd l’autorité parentale
En Italie, un couple vivant dans un isolement total dans les forêts a perdu la garde de ses enfants. Un juge a retiré l’autorité parentale aux parents. Le couple a fait appel, mais celui-ci a également été rejeté hier par un juge.
L’Australienne Catherine Birmingham et son mari britannique Nathan Trevallion vivaient depuis 2021 avec leurs trois jeunes enfants – une fille de 8 ans et des jumeaux de 6 ans – dans les bois des Abruzzes, à l’est de Rome.
Ils vivaient dans une petite maison en pierre sans eau courante ni électricité, au plus près de la nature. Il y a environ un an, les enfants ont été hospitalisés après avoir été intoxiqués par des champignons. Les autorités ont alors décidé de les placer dans un foyer.
Des enfants coupés du monde
Les enfants vivaient coupés du monde extérieur. Ils n’avaient pas de contacts sociaux avec d’autres enfants. Selon les médias italiens, les enfants ont découvert pour la première fois dans le foyer ce qu’étaient un interrupteur et une douche.
La mère peut rendre visite aux enfants tous les jours au foyer, et le père peut également leur rendre visite. Les deux parents ont fait appel contre la perte de leur autorité parentale, mais leur recours a été rejeté hier par un juge.
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Mon gars, si tu n’avais pas de bras, non seulement tu n’aurais pas de chocolat, mais tu ne pourrais rien faire avec un smartphone !
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Un couple de japonais retrouvé mort dans un sauna : le bouton d’urgence était désactivé
Les faits se sont déroulés le 15 décembre 2025 à Tokyo, au Japon, comme le rapporte le média japonais The Asahi Shimbun. Un homme de 36 ans et son épouse de 67 ans ont été retrouvés morts dans un sauna de l’établissement Sauna Tiger, situé dans le quartier d’Akasaka.
Les victimes auraient été piégées à l’intérieur : la poignée de la porte était tombée.
(ça me rappelle une scène d’un film avec Belmondo
Celui qui se souvient du titre a gagné)Le bouton d’urgence désactivé
Il y avait bien un bouton d’urgence déclenchable depuis l’intérieur de la cabine, (et déclenché, en vain) mais l’alimentation électrique était coupée depuis au moins 2023, date de la dernière inspection pendant laquelle « aucune défaillance majeure n’avait été constatée », d’après le centre de santé publique de Minato, interrogé par le média japonais.
Ce n’est qu’au moment où l’alarme incendie s’est déclenchée qu’un employé a pu alerter les secours.
La cause du décès pas encore bien établie
Pour le moment, la cause du décès n’est pas encore bien établie : le couple qui était entré aux alentours de 11 h avant de décéder aux alentours de 12 h, présente des brûlures, notamment aux épaules, mais pas mortelles.
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«Les gens sont prêts à tout pour ne pas avoir d’amende»
La police française enregistre un refus d’obtempérer toutes les 30 minutes. Pour limiter les accidents lors des courses-poursuites, elle s’entraîne sur des circuits spécialisés.
Les refus d’obtempérer en France sont devenus l’une des principales préoccupations des forces de l’ordre, avec près de 25’000 cas enregistrés l’année dernière, soit un toutes les trente minutes. Face à cette réalité, les policiers français bénéficient de formations spécifiques pour gérer les courses-poursuites qui en découlent, tout en minimisant les risques d’accidents.
L’évolution des motifs de fuite est particulièrement frappante pour les forces de l’ordre, rapporte France 2. Si autrefois les véhicules volés ou le transport de stupéfiants constituaient les principales raisons, aujourd’hui les infractions routières plus banales motivent également ces comportements dangereux. «Pour n’importe quel motif, un défaut de permis ou un défaut d’assurance, les gens sont prêts à tout pour ne pas avoir d’amende», constate un agent de la Brigade Anticriminalité (BAC), auprès de la chaîne de télévision française.
De folles courses-poursuites
Alors que les situations peuvent dégénérer rapidement, les forces de l’ordre suivent des formations spécialisées. Au nord de Nantes (Loire-Atlantique), un circuit de trois kilomètres accueille les effectifs de la BRI, du RAID et de la BAC pour des entraînements intensifs à la conduite opérationnelle.
Sur ce circuit, les policiers apprennent à optimiser leurs trajectoires, à placer leur regard et à gagner du temps sans jamais mettre quiconque en danger. «Ça nous apprend à bien prendre en compte notre véhicule. Ça nous met en confiance et on se sent plus en sécurité sur le terrain avec ce genre de conduite», explique à France 2 Mickael, policier de la BAC affecté en région parisienne.
Le programme est particulièrement rigoureux puisqu’en moyenne, seul un élève sur deux le valide du premier coup. Cette exigence reflète l’importance accordée à la sécurité lors des interventions, alors que les policiers doivent constamment évaluer le rapport bénéfice-risque d’une poursuite.
Source: https://www.tdg.ch/police-un-refus-dobtemperer-toutes-les-30-minutes-en-france-434139749236
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Aix : le rêve brisé de Yasin, enfant placé que la France refuse de naturaliser
Le courrier est tombé le 18 décembre, comme un couperet qui a laissé Yasin Mestre “abasourdi”. La direction des migrations, de l’intégration et de la nationalité y rejette la demande de naturalisation française de ce jeune étudiant d’Aix-en-Provence né en Espagne, installé en France depuis l’âge de six ans : “En effet, justifie l’administration, vous poursuivez actuellement des études et ne pouvez, de fait, être considéré comme ayant acquis votre autonomie par l’exercice d’une activité professionnelle”. C’est l’une des dispositions de la circulaire sur l’accès à la nationalité française signée par Bruno Retailleau le 2 mai dernier : si Yasin Mestre répond “en tous points” aux exigences d’exemplarité citoyenne ou de maîtrise de la langue contenues dans le texte, il ne peut de fait justifier d’une “insertion professionnelle avérée et durable” (soit un CDI d’au moins un an) ni de “ressources stables et suffisantes”, les revenus résultant en majorité de prestations sociales ou de l’étranger étant exclus. “Mais j’ai 19 ans, je ne suis qu’un étudiant, je vis de ma bourse de 633,50 euros !” s’exclame le jeune homme.
Yasin Mestre n’est pas n’importe quel étudiant : après un bac avec mention très bien obtenu l’an dernier au lycée Saint-Charles (1er), à Marseille, il a aussi brillamment réussi le sélectif concours de Sciences Po et poursuit actuellement ses études à Aix-en-Provence. Le résultat d’un “travail exemplaire”, “remarquable”, “démontrant une maturité et un sens des responsabilités rare à son âge” unanimement salué par ses enseignants et anciens enseignants, qui ont joint leurs courriers de soutien lors de sa demande de naturalisation.
Enfant battu par sa mère toute son adolescence, il n’a pu échapper à ses violences qu’en tentant de mettre fin à ses jours, à l’âge de 15 ans. “L’Aide sociale à l’enfance est venue m’interroger à l’hôpital et j’ai enfin pu dire ce que je vivais”, raconte, avec une extrême pudeur, ce jeune homme.
Depuis toujours, ce qui raccroche Yasin à la vie, à l’avenir, c’est son rêve de petit garçon : devenir officier d’infanterie. Pour cela, il vise une voie, celle de l’excellence, en entrant à l’Ecole militaire Saint-Cyr. Mais ce refus de naturalisation vient briser ce rêve : en effet, avant même de réussir son concours exigeant, après son master, il lui faudra pouvoir justifier de la nationalité française. “J’ai entendu M. Retailleau parler de la meilleure intégration et assimilation dont devaient faire preuve les personnes demandant leur naturalisation, est-ce que l’aspect financier ne devrait pas être secondaire ? Après tous mes efforts, alors que je suis en quelque sorte un enfant de l’État, j’ai l’impression que l’on me rejette de façon arbitraire et injuste”, observe-t-il, amer.
La déception est d’autant plus grande qu’avant le durcissement de la politique d’immigration par la circulaire Retailleau, son dossier aurait, selon certaines sources au sein même de l’État, probablement été accepté. “Le texte précédent permettait une certaine bienveillance envers les enfants placés et les étudiants : où est la méritocratie”, relève le jeune homme.
Article entier :
Il a pourtant plus sa place en France que des individus comme Sarkozy et autres pieds nickelés du même parti que Retailleau.

