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  • Un pirate commercialise … 39 millions de Français

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    @michmich et ba voila tout rentre dans l’odre karim :bleh:

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    Mais ce système pourra-t-il réussir là où Firefox OS et d’autres ont échoué.

    Le système d’exploitation Android n’est pas à votre goût ? iOS vous rebute foncièrement ? Vous aimez Linux sur votre ordinateur, mais vous peinez à trouver un téléphone qui fournit un système aussi avantageux que Linux sur votre ordinateur ? Ne vous prenez plus la tête. Purism, le fabricant d’ordinateurs, de mini PC et de smartphones annonce que son téléphone Librem 5 est livré avec le système d’exploitation GNU/Linux PureOS par défaut. Et pour l’entreprise américaine, ce n’est pas une simple rhétorique ou un simple coup de marketing.

    PureOS est un système d’exploitation GNU/Linux basé sur Debian. Au-delà du fait qu’il soit open source, et non open source à lecture seule comme le précise Purism, PureOS intègre des avantages comme la sécurité, la protection de la vie privée et la liberté des utilisateurs. En parlant de liberté, Purism a tellement repoussé les limites de ses standards en matière de système libre qu’il est parvenu à faire intégrer PureOS parmi la liste très restreinte de la dizaine de distributions GNU/Linux « libres » approuvée par la Free Software Foundation (FSF). Pour faire partie de ce cercle restreint, il faut suivre un certain nombre de lignes directrices édictées par la FSF comme l’usage d’une licence libre appropriée, l’interdiction d’orienter les utilisateurs vers l’obtention d’informations non libres, ne pas intégrer de navigateurs qui implémentent EME, l’autohébergement, etc.

    Si vous choisissez d’utiliser Librem 5 qui est soutenu par PureOS, Purism garantit de vous offrir un système d’exploitation créé dans votre intérêt et non pour l’intérêt financier des entreprises. L’entreprise se targue même de conduire le seul projet basé sur une communauté de bonne foi plutôt qu’un modèle de gouvernance Big corp. En plus d’être facilement vérifiable, vous pouvez également supprimer PureOS et installer un autre système d’exploitation GNU/Linux compatible sur votre téléphone Librem 5. En somme, si vous estimez que le fait de basculer sur un système autre que celui installé par défaut sur ordinateur ne devrait pas être un luxe, alors vous adopterez facilement Librem 5 et PureOS qui va avec.

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    Purism ajoute que si vous utilisez PureOS avec Librem 5, vous aurez droit à des mises à jour soutenues de sécurité, des améliorations de la confidentialité, des corrections de bogues et de nouvelles fonctionnalités et surtout des mises à jour qui ne compromettront pas les performances de votre mobile. Un clin à Apple qui a été pris en flagrant délit de réduction des performances des vieux iPhone pour soi-disant préserver la batterie et les performances des iPhone. Contrairement aux mises à jour fournies par certaines entreprises et qui viennent réduire la.durée de vie des appareils ou détruire l’expérience utilisateurs, Purism promet qu’avec PureOS, l’expérience utilisateur sera comme du bon vin. À mesure que les mises à jour de fonctionnalités et d’applications seront ajoutées, cela viendra bonifier l’expérience utilisateur plutôt que de la détruire, avance le fabricant de téléphones.

    Pour pouvoir respecter de tels engagements, Purism explique que PureOS « s’appuie sur les épaules de géants. C’est le résultat de décennies d’ingénierie intelligente et de raffinement par une foule soucieuse de la qualité : la communauté free desktop, qui se soucie avant tout de l’excellence technique plutôt que de la pensée à court terme, c’est-à-dire de sortir rapidement une application et maximiser les profits ». « PureOS peut être une vitrine du meilleur travail que la communauté free desktop a à offrir pour la plate-forme téléphonique Librem », souligne Purism.

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    À en juger par les promesses faites avec PureOS, l’on pourrait se dire que ce système d’exploitation a tout pour attirer les utilisateurs et rencontrer le succès là où Firefox OS, le système d’exploitation open source mobile de Mozilla, ainsi que d’autres systèmes open source ont échoué. Mais en dépit des fonctionnalités alléchantes de PureOS, celui-ci ne pourrait pas gagner du terrain auprès des utilisateurs si les applications les plus populaires ne sont pas portées et de nouvelles applications développées sur le système. C’est ce qui a fait défaut à Firefox OS et même à des systèmes propriétaires comme BlackBerry OS.

    Conscient de ce problème, Purism invite les développeurs indépendants de la communauté mondiale à créer leurs propres applications, à porter leurs applications existantes et à améliorer l’expérience globale de la boutique d’applications. Si PureOS arrive à surmonter cette difficulté qui a eu raison même des plus grands projets, Purism devra également régler un problème persistant et qui pourrait être un frein à l’expansion de PureOS : la disponibilité de Librem 5. En effet, nombreux sont les utilisateurs qui déclarent avoir commandé le Librem 5 depuis plusieurs années, mais sont toujours en attente de la livraison.

    Source : PureOS, https://mobiles.developpez.com/

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    @violence

    C’est juste qu’en vous lisant je pensais à ce topic

    Mais tu as deux fois raison, je suis taquin et hors-sujet :haha:

  • Le réseau Tor en passe d'être réécrit en Rust

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    Excellent merci pour le papier

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    ça fait des dizaines d’années qu’on nous bassine avec l’évolution technologique et la robotisation à outrance !! mais comme dit @Pat la nature humaine bloquera naturellement cette évolution.
    On a décidé donc de se réfugier dans le virtuel pour faire exploser nos fantasmes et donc les robots .comme on aimerait les voir … ça ne sera que dans les films, comme la conquête spatiale ou autres … :loool:

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    Le monde part en cou***…

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    Xiaomi se lance dans la robotique avec son CyberDog, un engin mi-robot mi-chien qui sera lancé en Chine dans un premier temps.

    Ce robot quadrupède, qui n’est pas sans rappeler celui de Boston Dynamics, est un compagnon robot open source à destination des développeurs du monde entier.

    Le CyberDog est propulsé par des servomoteurs développés en interne par Xiaomi qui permettent vitesse, agilité et large gamme de mouvements. Avec un couple de sortie maximal et une vitesse de rotation jusqu’à 32 N·m/220 tr/min, CyberDog est capable d’effectuer une gamme de mouvements rapides allant jusqu’à 3,2 m/s et des actions plus compliquées telles que des backflips !

    Le cerveau de CyberDog est alimenté par la plate-forme NVIDIA Jetson Xavier NX, un supercalculateur IA pour les systèmes embarqués et périphériques qui comprend 384 cœurs CUDA, 48 cœurs Tensor, 6 CPU Carmel ARM et 2 moteurs d’accélération NVDLA. Pour modéliser son environnement, CyberDog est équipé de 11 capteurs de haute précision qui fournissent un retour instantané pour guider ses mouvements. Capteurs tactiles, caméras, capteurs à ultrasons, modules GPS, etc., lui permettent d’être en capacité de détecter, analyser et interagir avec son environnement.

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    CyberDog est livré avec une gamme de capteurs et de caméras comprenant des caméras interactives AI, des caméras fisheye binoculaires ultra-grand angle et le module Intel RealSense D450 Depth, le tout permettant de voir les obstacles et de discerner la profondeur. Cela signifie que CyberDog peut analyser son environnement en temps réel, créer des cartes de navigation, tracer sa destination et éviter les obstacles. Il est même capable de suivre son propriétaire grâce à la reconnaissance faciale ! Compatible avec certains assistants vocaux, le robot peut même être appelé pour effectuer certaines tâches, ou simplement venir vous voir comme un véritable animal de compagnie.

    Enfin, CyberDog est équipé de 3 ports USB type C et 1 port HDMI, ainsi que d’une capacité de 128Go (SSD), et peut intégrer différents add-ons matériels ou logiciels comme un projecteur, une caméra panoramique, une caméra de mouvement, un LiDAR, etc. L’engin peut courir à 3,2 mètres par seconde, environ 11,5 km/h, et peut porter une charge de 3 kg. Projet open source du constructeur chinois, le CyberDog est lancé dés aujourd’hui en Chine avec 1000 unités disponibles pour environ 1300 euros (9999 Yuans).

    Source: Le journal du geek

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    @violence a dit dans Norton et Avast fusionnent pour former un empire antivirus de 8 milliards de dollars :

    Comme ça, ils pourront faire de la daube à plusieurs 😉

    🤣

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    Pour une fois, ce ne serait pas une mauvaise idée si nos dirigeants imitaient la Chine et interdisaient ces saletés de cryptomonnaies, mais ils préfèrent copier le pire (la surveillance de masse) plutôt que le meilleur (la régulation de l’économie).

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    @dujambon

    Ou télécharger illégalement le dernier Bruel ?

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    c’est marrant parce que tout ce que vous décrivez ça a été des révolutions pour les soixantenaires … Dites cous qu’on s’est tout pris dans la gueule, de l’écran de 24 lignes de 80 caractères à l’écran 4k g-sync hdr blablabla !

    et que dire alors de la puissance des machines, une chaine de comptabilité complète tenait sur une disquette 8 pouces de 64ko, une deuxième pour les data, un processeur à coté duquel un 8086 fut une bombe quelques années après, et 64ko de mémoire et les sociétés étaient très satisfaite … c’était magique !

    et je ne parlerais pas du développement parce que je vais lever des polémiques lol

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    Merci Microsoft …

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    @ze-lol a dit dans Risques d'espionnage, emprise des Gafam... Ces projets qui cherchent à refonder le Web :

    ça à l’odeur d’un P2P ou Blockchain non ?

    Oui c’est du blockchain. Cette architecture DSNP semble correcte sur papier, mais les détails sont brumeux. J’espère que ce ne sera pas une utopie de plus.

    Plus de détail ici.

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    Beau leak !

  • Mort du père du Minitel

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    Directeur technique du Centre Commun d’Études de Télévision et Télécommunications à Rennes, Bernard Marti a coordonné les travaux d’une équipe à l’origine du Minitel, le projet Minitel étant supervisé par Jean-Paul Maury, directeur du projet “Annuaire Électronique et Minitel” (1979 - 1985). D’après Bernard Marti, le nom “Minitel” serait l’abréviation de “Médium Interactif par Numérisation d’Information Téléphonique”.

    L’origine du Minitel ? Cet ingénieur diplômé de Polytechnique n’en fait pas mystère : c’est en creusant une idée anglaise que les Français sont devenus les leaders de la télématique. Au début des années 1970, nos voisins d’outre-Manche ont inventé le système du télétexte, un texte qui défile sur la télévision. Quelques années plus tard, les Français reprennent cette invention et font transiter les données textuelles par le réseau téléphonique : le Minitel est né.

    Outre les messageries roses qui ont rapporté des milliards de francs a France Télécom, il y avait aussi des messageries très conviviales (3515 Eliott, 3614 Ness) mais aussi un annuaire et tout un tas de services qui sont grosso modo les ancètres très lointains de ce que l’on peut trouver aujourd’hui sur le net.

    On pouvait faire du graph à coup de code étrange en utilisant ce tableau :

    ou en pratiquant le DRCS

    Les plus assidus pratiquaient aussi un sport étrange : entrer en 3614 (voire 3613) sur les serveurs 3615. A titre d’exemple (et de mémoire) : le 3615 RESO était accessible via le 3614 113020720

    Enfin je n’oublierais jamais le bruit étrange de la porteuse :

    Merci Monsieur Marti pour toutes les belles rencontres que vous m’avez permis de faire, merci pour les les fous de rire que vous m’avez permis. Vous resterez dans ma mémoire 🙂

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    Merci d’avoir fusionné la carte. J’avais pas vu qu’elle était déjà présente depuis quatre jours. En tout cas elle mériterait d’être ramenée régulièrement en surface, tant elle est riche d’infos;:happy:

  • Le procès Haurus

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    @deadpunk

    Cristalline, Évian, Vittel…:pas_taper:

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    L’armée américaine poursuivit pour piratage de logiciel

    Nous avons plutôt l’habitude de voir le gouvernement américain du côté des défenseurs du droit d’auteur et de la lutte contre le piratage. Pourtant cette fois-ci c’est bien le gouvernement lui même qui est attaqué en justice, et c’est assez ironique pour être souligné. Le gouvernement américain, et plus précisément les Marines, sont accusés par la société éditrice de logiciels Bitmanagement d’avoir violé le droit d’auteur. Bitmanagement réclame 155 millions de dommages et intérêts.

    Le gouvernement américain poursuivit depuis 5 ans pour piratage
    Nous apprenons grâce à nos confrères de TorrentFreak que l’action en justice intentée par la société allemande Bitmanagement date d’il y a 5 ans. L’armée américaine est en effet accusée d’avoir installée des copies pirates de logiciels de réalité virtuelle 3D sur des centaines d’ordinateurs, sans autorisations de la part de l’éditeur du logiciel… Apprenant cela, l’éditeur Bitmanagement a poursuivi en 2016 le gouvernement américain en l’accusant de violation délibérée du droit d’auteur et réclamait à l’époque 600 millions de dollars de dommages et intérêts.

    L’histoire commence même encore plus tôt, en 2011 précisément, lorsque l’US Navy commence à tester l’application de réalité virtuelle « BS Contact Geo ». Après quelques essais concluant, et pensant qu’elle en avait l’autorisation, la Marine a installé le logiciel sur plusieurs ordinateurs de son réseau. La société allemande a accepté ce petit déploiement, sur 38 ordinateurs uniquement, cependant avant qu’un accord plus large ne soit conclu l’armée américaine avait déployé le logiciel sur tout son parc informatique, soit 560 000 ordinateurs…

    Une condamnation de 155 millions de dollars de dommages et intérêts
    En réponse à l’utilisation frauduleuse de son logiciel, l’éditeur a donc déposé plainte en juillet 2016 devant la Cour Fédérale des réclamations, pour violation massive du droit d’auteur, et a exigé le versement de 600 millions de dollars en dommages et intérêts. L’installation d’une seule licence du logiciel coutait en effet à l’époque 1067$, donc multiplié par le nombre d’ordinateurs sur lesquels le logiciel a été installé, nous arrivons bien à 600 millions de dollars de frais de licence impayés.

    Si la Cour Fédérale a d’abord rejeté la plainte de la société allemande, Bitmanagement a interjeté appel de cette décision, et la Cour d’appel vient de lui donner raison. La Cour d’appel fédérale a conclue que le gouvernement américain est bien coupable de violation du droit d’auteur.

    Depuis 2016, Bitmanagement a néanmoins revu son calcul de ses dommages et intérêts à la baisse, et est prêt à octroyer un important rabais au gouvernement américain, en passant le prix d’une licence à 260$. Avec ce nouveau prix, Bitmanagement réclame donc au gouvernement américain plus de 155 millions de dollars de dommages et intérêt, ce qui reste une très belle somme !

    La décision finale appartient maintenant à la Cour Fédérale des réclamations, qui doit statuer sur le montant des dommages et intérêts. Affaire à suivre.

    Source : NextWarez