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    Dans ma boite on vend une solution de MFA pour déverrouiller les postes utilisateurs, les logs indiquent donc chaque verrouillage et déverrouillage de session. Heureusement, nos commerciaux ne mettent pas ça en avant car plus d’un employeur serait intéressé de savoir quand et combien de temps leurs employés ont verrouillé leurs sessions.

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    OpenAI qui va se fournir en puces AMD, Anthropic qui va utiliser celles de Google, Qualcomm qui séduit l’Arabie saoudite : un vent nouveau souffle sur le marché des puces pour l’intelligence artificielle, ultra-dominé par Nvidia. Une concurrence attisée par la diversification des technologies et le marché de l’inférence.

    Résumé:

    Nvidia conserve un quasi-monopole grâce à son avance technologique et logicielle. AMD et Qualcomm cherchent à briser cette domination. Les géants du cloud développent leurs propres puces pour plus d’autonomie. Le marché se diversifie avec l’essor des accélérateurs d’inférence.

    La Chine reste freinée par les restrictions américaines.

    Plus de 80% de parts de marché sur les puces pour l’IA, et même 94% pour les seules GPU (puces graphiques) selon le cabinet d’analyse Jon Peddie Research. L’américain Nvidia est le leader incontesté du marché des semi-conducteurs dédiés à l’intelligence artificielle. Un marché où souffle pourtant un vent nouveau. Spécialiste des processeurs pour les smartphones, le géant Qualcomm a dévoilé, lundi 27 octobre, ses deux premières puces dédiées à l’IA. Destinées à équiper les centres de données et prévues pour 2026 et 2027, elles ont déjà trouvé un premier client : l’Arabie saoudite, dont les investissements dans l’IA s’accélèrent.

    Début octobre, c’est AMD, le numéro deux des GPU qui plafonne à 5% de parts de marché, qui avait signé deux gros contrats. La société californienne va fournir pour six gigawatts de GPU à OpenAI, l’un des leaders de l’IA générative, et 50000 GPU au géant Oracle pour l’un de ses futurs clusters d’IA. Une belle victoire pour cette entreprise fondée en 1969, qui a pris plus tardivement que Nvidia le virage vers l’IA et les datacenters. «Avec les puces de sa série MI400, AMD montre sa capacité à sortir des produits équivalents à ceux de Nvidia, juge John Lorenz, directeur de l’activité Calcul et mémoire du cabinet Yole group, spécialisé dans les semi-conducteurs. Désormais, son objectif va être de confirmer cette inflexion de marché.»

    Julia Hess, chercheuse sur les semi-conducteurs au sein du think tank européen Interface, salue elle aussi «le signe positif d’une plus forte concurrence dans les puces». Mais elle nuance le rattrapage d’AMD. «S’il peut être un concurrent crédible en terme de performance des puces, sur la partie logicielle il n’est pas encore au niveau de Nvidia, malgré tous les efforts engagés ces dernières années.»

    L’écosystème logiciel Cuda, la force de Nvidia

    La partie logicielle, c’est la grande force de Nvidia. Et la clé pour comprendre son quasi-monopole. «Nvidia a compris avant toute autre entreprise que les GPU seraient essentiels pour l’IA et il a investi des milliards dans le développement d’un écosystème logiciel appelé Cuda, qui facilite le développement de systèmes d’IA, rappelle l’historien Chris Miller, auteur du livre de référence “La guerre des semi-conducteurs”. Aujourd’hui, la plupart des modèles d’IA dans le monde sont développés à partir de Cuda.»

    De la même manière, Nvidia a voulu simplifier la vie des grands fournisseurs de cloud, que sont les hyperscalers Google, AWS (Amazon) et Microsoft. «Grâce à sa position de précurseur, Nvidia n’a pas seulement innové au niveau du GPU, il a eu le temps et les moyens financiers de réfléchir à son intégration avec tous les autres composants, comme le serveur, le rack, la connectivité et la partie stockage des données. Il a ainsi construit son propre écosystème de produits, devenu la norme dans les centres de données grâce à une stratégie de partenariats engagée très tôt avec les hyperscalers», observe Julia Hess. Voilà ce qui a poussé les développeurs d’IA et les hyperscalers à se ruer sur du Nvidia. Avant de réaliser leur dépendance et de vouloir en sortir.

    OpenAI veut sa première puce maison en 2026

    Pour ce faire, OpenAI a aussi signé un contrat avec Broadcom, une société qui facilite le design des puces. Le père de ChatGPT, l’agent conversationnel désormais utilisé par plus de 800 millions de personnes chaque semaine, entend ainsi disposer de sa première puce maison en 2026, selon les informations du Financial Times. Cette démarche a déjà été celle des hyperscalers. Google a développé une puce appelée TPU (Tensor Processing Unit), celles d’Amazon se nomment Trainium et Inferentia. «Meta et Microsoft disposent également de leurs propres puces, éclaire Chris Miller. Toutes ces puces ne sont pas vendues à des clients externes, seulement utilisées en interne et par les partenaires proches, comme Anthropic pour les puces d’AWS.»

    Mais pour l’historien, «ces projets internes représentent une concurrence sérieuse» à Nvidia car ils répondent en partie aux besoins de ses grands clients : ce sont donc autant de puces qu’il ne vend pas. Surtout, la tendance montre que les hyperscalers louent de plus en plus les capacités de calcul de ces puces via leur plateforme cloud. En témoigne le contrat signé fin octobre par Anthropic, une autre start-up de l’IA générative, avec Google pour l’utilisation d’un million de puces TPU. Un contrat qui se chiffre en dizaines de milliards de dollars.

    Le nouveau marché des accélérateurs d’inférence

    «La logique des hyperscalers, c’est de vendre de la puissance de calcul à leurs clients, donc de leur offrir le choix de la meilleure puce pour leur usage, sans gâcher de puissance, contextualise John Lorenz de Yole Group. On s’oriente donc vers une diversification des technologies.» Une référence au fait que de plus en plus de puces pour l’IA sont conçues pour un type d’applications spécifique. C’est ce qu’on appelle les ASICs (application-specific integrated circuit), dont font par exemple partie les TPU de Google. Une catégorie particulièrement intéressante pour l’inférence de l’IA, la phase qui suit l’entraînement et qui correspond aux calculs faits par les modèles en fonctionnement.

    «Les GPU de Nvidia et d’AMD sont capables de tout faire, mais ce n’est pas toujours optimal, considère également Eric Eppe, directeur technologique du calcul avancé chez Eviden. De plus en plus de start-up développent donc des puces dites accélérateurs d’inférence, un marché qui devrait rapidement être plus important que celui de l’entraînement.» On y trouve par exemple la start-up californienne Groq, fondée en 2016 par un ancien de Google, considéré comme le père de TPU. Et de plus jeunes acteurs, comme Tsavorite, dont les accélérateurs d’inférence devraient arriver sur le marché en 2026, et Tenstorrent, fondée au Canada et dirigée par Jim Keller, un grand nom des semi-conducteurs passé par Apple, Tesla et AMD.

    Les start-up européennes lorgnent aussi ce marché en pleine ébullition. A l’image de la hollandaise Axelera, de l’allemande SpiNNcloud, de l’espagnole OpenChip et de la française Vsora. Fondée par Khaled Maalej, cette dernière propose une puce dont l’architecture intègre un maximum de mémoire, habituellement séparée du calcul. Elle a démarré sa production fin octobre chez le fondeur taïwanais TSMC et vise une mise sur le marché en 2026. Crédibles, ces acteurs n’en sont pas moins très petits. Et ne rattraperont pas Nvidia avant au moins une décennie.

    En Chine, des progrès limités par les capacités de production

    Pour freiner le développement technologique de son grand rival, Washington interdit les exportations de puces avancées vers la Chine, qu’elle prive aussi de machines de fabrication de pointe. Forçant Pékin à innover. Au point que le PDG de Nvidia, Jensen Huang, a estimé que la Chine est «à quelques nanosecondes derrière» les États-Unis dans la fabrication de puces. Une affirmation nuancée par Chris Miller. «Huawei est l’entreprise chinoise la plus crédible, mais elle n’est pas en mesure de produire des puces à l’échelle requise, juge l’historien. Elle n’a pas accès aux capacités de fabrication avancées de TSMC, ce qui la place plusieurs années en retard dans ce domaine. Son écosystème logiciel est aussi considéré comme beaucoup moins performant.» Les contraintes de fabrication freinent aussi Alibaba et ByteDance qui, comme les hyperscalers américains, conçoivent leurs propres puces. Et la start-up Cambricon Technologies, régulièrement citée comme une start-up chinoise prometteuse dans les puces pour l’IA.

    Source: https://www.usinenouvelle.com/editorial/amd-google-qualcomm-dans-les-puces-pour-l-intelligence-artificielle-la-concurrence-a-nvidia-emerge-lentement.N2240392

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    Disney+ rejoint Netflix et Apple TV dans la prise en charge de ce format concurrent du Dolby Vision.

    La compatibilité est pour l’instant assez limitée. Seuls certains contenus de Hulu, racheté par The Walt Disney Company en juin, sont disponibles en HDR10+. Dans un communiqué publié aujourd’hui, Samsung a annoncé que plus de 1 000 titres Hulu sont disponibles en HDR10+ et que d’autres contenus Disney+ seront compatibles HDR10+ ultérieurement. Auparavant, Disney+ ne prenait en charge que les formats HDR10 et Dolby Vision.

    D’après une annonce faite aujourd’hui par Samsung, les téléviseurs sont les premiers appareils compatibles avec la diffusion de contenu HDR10+ depuis Disney+. Le fabricant d’électronique a précisé que ses téléviseurs Samsung Crystal UHD et supérieurs, sortis à partir de 2018, notamment les téléviseurs OLED, The Frame, QLED et Micro RGB , prennent en charge le HDR10+.

    L’application Disney+ sur tvOS d’Apple mentionne également la compatibilité HDR10+, le site FlatpanelsHD . comme l’a souligné

    Hulu a commencé à proposer du contenu en HDR10, HDR10+ et Dolby Vision en 2021. Maintenant que Disney possède Hulu et a créé une application unifiée regroupant le contenu de Disney+ et de Hulu , Disney+ est également en mesure de proposer un nombre limité de titres en HDR10+.

    L’annonce d’aujourd’hui s’adresse également aux utilisateurs de téléviseurs Samsung, car ces derniers ne prennent pas en charge le Dolby Vision. En proposant le HDR10+, Disney+ peut séduire davantage les nombreux passionnés de home cinéma qui possèdent un téléviseur Samsung, la marque de téléviseurs la plus vendue au monde.

    HDR10+ en streaming

    Comparé au HDR10, qui repose sur des métadonnées statiques, le HDR10+ est plus avancé et utilise des métadonnées dynamiques, permettant aux créateurs de contenu de contrôler l’apparence de chaque image. Le HDR10+ et son concurrent Dolby Vision contribuent tous deux à améliorer les niveaux de noir et autres faiblesses de qualité d’image sur un écran HDR. Cependant, Dolby Vision va encore plus loin en offrant un contrôle plus précis des couleurs grâce à la profondeur de couleur de 12 bits et à différents profils et niveaux , ou, comme le précise Dolby, « la fréquence d’échantillonnage maximale, la largeur maximale du flux vidéo décodé et le débit binaire maximal pris en charge par un produit au sein d’un profil de flux binaire donné » .

    Les capacités avancées de Dolby Vision, combinées à son ancienneté de trois ans par rapport à HDR10+, ont favorisé son adoption plus large. Toutefois, la compatibilité HDR10+ peut s’avérer avantageuse pour les services de streaming comme Disney+, de plus en plus scrutés par les consommateurs face à une concurrence accrue et à la hausse des prix .

    Netflix a ajouté la compatibilité HDR10+ en mars. Les services de streaming Amazon Prime Video et Apple TV la prennent également en charge. Si certains services, comme Netflix et Prime Video, exigent un abonnement plus cher pour accéder au HDR, les abonnés à la formule la moins chère de Disney+ peuvent visionner du contenu en HDR.

    L’amélioration du rendu HDR de Disney+ fait suite à l’augmentation des prix de son service de streaming le mois dernier.

    Source: https://arstechnica.com/gadgets/2025/10/disney-gets-hdr10-through-over-1000-hulu-titles/

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    Nvidia dépasse maintenant les 5000 milliards de dollars de valorisation, une première mondiale

    https://www.rts.ch/info/economie/2025/article/nvidia-franchit-les-5000-milliards-de-dollars-une-premiere-mondiale-29043224.html

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    Ils iront braquer Amazon

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    Ces styles de vidéo proposées après en avoir regardé une du même genre, t’en trouve sur toutes les plateformes… et ça peut être vicieusement bizarre.
    typiquement sur youtube, j’ai du en regarder une ou deux sur des touristes en suisses… puis ça te propose des trucs sur les décors/paysages… et je sais pas s’il y a un rapport mais je suis tombé sur des vidéo RTS de suisses qu’en ont marre des frontaliers (et vla les commentaires sous les vidéo). J’en ai maté une en pensant qu’il pourrait y avoir un turn-over ou quelque chose du style mais j’ai terminé bouche-bée tellement c’était foireux.

    Sinon, la consommation de ces plateformes c’est comme de mon age avec le club dorothée et les jeux vidéo -> c’est aux parents de faire en sorte de limiter la chose.

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    L’ia qui conseille comment faire pour zigouiller, violer ou se flinguer…
    mouais mouais mouais… Ya encore quelques progrès à faire 🙂

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    Donald Trump débloque 80 milliards dans de nouveaux réacteurs nucléaires pour les besoins de l’IA

    Washington investira au moins 80 milliards de dollars dans de nouveaux réacteurs nucléaires via un partenariat avec le groupe américain Westinghouse Electric Company. Une étape clé du renouveau du nucléaire américain, porté par la demande croissante en électricité des géants de la tech et de l’intelligence artificielle.

    L’accord constitue le prolongement d’un décret pris fin mai par Donald Trump et intitulé “redynamiser le parc nucléaire industriel”, dans lequel le président fixait l’objectif de dix réacteurs conventionnels en chantier d’ici 2030.

    “Ce partenariat incarne la vision du président Trump, à savoir retrouver notre souveraineté énergétique, créer des emplois bien rémunérés et placer les Etats-Unis aux avant-postes de la renaissance du nucléaire”, a déclaré le ministre du Commerce Howard Lutnick, cité dans le communiqué.

    Une première depuis 2009

    Les Etats-Unis n’ont plus mis en chantier de nouvelle centrale nucléaire depuis 2009 et avaient, durant plus d’une décennie, délaissé cette source d’énergie, du fait notamment de son image dégradée auprès du grand public, après plusieurs accidents dont ceux de Three Mile Island (1979), Tchernobyl (1986) et Fukushima (2011).

    Les deux derniers réacteurs mis en service aux Etats-Unis ont ainsi coûté plus de 30 milliards de dollars, soit plus du double des 14 milliards projetés au départ. Mais l’invasion de l’Ukraine par la Russie a entraîné un bouleversement des équilibres du marché de l’énergie, qui a incité les Etats à diversifier leurs approvisionnements.

    Montée en puissance des centres de données

    A cela s’est ajoutée l’accélération de la consommation d’électricité aux Etats-Unis sous l’effet de la montée en puissance des centres de données avec la révolution de l’informatique à distance (cloud) et de l’intelligence artificielle.

    Outre les nouveaux réacteurs, les nouveaux besoins en électricité ont incité opérateurs et groupes technologiques à relancer des centrales existantes. Google a dévoilé lundi un accord avec l’énergéticien américain NextEra Energy qui débouchera sur la remise en service, début 2029, de la centrale nucléaire Duane Arnold, dans l’Iowa.

    C’est le troisième projet de réouverture de centrale dévoilé récemment, après ceux concernant les sites de Palisades (Michigan) en 2023 et Three Mile Island (Pennsylvanie) en 2024.

    Vers un partage des bénéfices entre les partenaires privés et l’Etat

    Depuis le grave incident du site de Three Mile Island (Pennsylvanie), qui a failli provoquer, en mars 1979, la rupture de la cuve d’un réacteur et la contamination radioactive de toute une région, un seul permis a été délivré aux Etats-Unis. Il concernait les unités 3 et 4 du site Vogtle, situé près de Waynesboro (Géorgie). L’unité 3 a été mise en service en juillet 2023 et l’unité 4 en avril 2024.

    Westinghouse Electric Company est une émanation de l’énergéticien historique Westinghouse Electric Corporation, fondée en 1886 à Pittsburgh (nord-est). L’entreprise a déposé le bilan en 2017 avant d’être rachetée en 2018 par la société d’investissement Brookfield Corporation, qui en est l’actionnaire majoritaire tandis que le géant canadien de l’uranium Cameco possède une participation minoritaire.

    L’accord passé entre le gouvernement américain et Westinghouse inclut un mécanisme de partage des bénéfices entre les partenaires privés et l’Etat. Selon un porte-parole de Brookfield, une fois construites, les centrales ne devraient pas être propriété de l’Etat mais de promoteurs ou de compagnies d’électricité.

    Source: https://www.rts.ch/info/monde/2025/article/trump-debloque-80-milliards-pour-des-reacteurs-nucleaires-face-aux-besoins-de-l-ia-29042280.html

    Comment minimiser les coûts, s’affranchir des risques et maximiser les profits, merci joyeux contribuables…

  • 25 ans de données de l'ISS en ligne

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    À l’occasion du 25ᵉ anniversaire de la présence humaine ininterrompue sur la Station spatiale internationale (ISS), deux sous-traitants de la NASA, Ben Feist et David Charney, ont créé « ISS in Real Time », un site web qui retrace chronologiquement la vie à bord depuis le 2 novembre 2000.

    🌐 Un portail unique

    Le site rassemble pour la première fois :

    6,9 millions de photos,

    4,5 millions d’appels audio en 69 langues,

    930 vidéos,

    10 908 articles,
    soit 99 % des 9 131 jours d’occupation humaine.
    Tout le contenu provient de sources publiques existantes, mais auparavant éparpillées.

    🧩 Un travail colossal

    Feist et Charney ont réalisé ce projet sur leur temps libre, en 11 mois.
    Ils ont dû :

    extraire et trier d’innombrables fichiers dispersés sur Internet,

    recourir à l’intelligence artificielle pour distinguer les photos prises dans l’espace,

    combiner données, images et communications avec leur date précise.

    🛰️ Un défi technique et historique

    La difficulté principale concernait les données des débuts de l’ISS, souvent stockées sur bandes magnétiques et non encore numérisées.
    Les créateurs ont aussi veillé à n’utiliser que des données publiques, respectant les règles strictes de la NASA sur la diffusion d’informations.

    💻 Une expérience immersive

    L’interface permet aux utilisateurs de :

    revivre chaque jour de l’ISS, avec position orbitale, équipage, vaisseaux amarrés, photos et sons,

    écouter les communications espace-Terre,

    suivre la chronologie complète de 25 ans d’activité, en temps réel.

    Même les journées pauvres en données offrent du contenu (articles, infos techniques, etc.).
    Les créateurs prévoient d’ajouter de nouvelles données, notamment de la télémétrie (état des systèmes à bord).

    🌟 Une œuvre vivante

    Feist et Charney voient dans « ISS in Real Time » l’expérience interactive la plus longue jamais conçue : si on la lançait au 2 novembre 2000 et qu’on la laissait jouer en continu, elle durerait aussi longtemps que la vie opérationnelle prévue de la station elle-même.

    https://issinrealtime.org/2025-09-08

  • Youtubeurs contre industriels, ça peut mal tourner

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    David et Goliath, j’adore !!!

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    Une équipe suédoise (Uppsala/Chalmers) vient de publier dans Nature une avancée majeure : un « papier électronique rétinien » à 25 000 PPI. C’est la limite théorique de perception humaine.

    Au lieu d’émettre des couleurs, comme dans les TV, on les réfléchis comme le papier, meilleure résolution, plus faible consommation, rien que des avantages.

    https://www.frandroid.com/produits-android/hardware/affichage/2845581_25-000-pixels-par-pouce-ce-papier-electronique-retinien-atteint-la-limite-physique-de-loeil-humain-pour-lecran-des-futurs-casques-et-lunettes

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    Le prochain téléphone star de Samsung s’est montré lors d’un salon en Corée. Le fameux Galaxy « Trifold » est apparu pour la première fois avant sa présentation officielle dans quelques semaines, sans doute.

    https://www.frandroid.com/marques/samsung/2845617_les-premieres-images-du-triple-pliant-de-samsung-sont-la-voila-le-galaxy-z-trifold

    Le Z Trifold devrait être annoncé officiellement d’ici à la fin du mois de novembre ou au début du mois de décembre. Il devrait coûter environ 3 millions de won sud-coréens (soit un peu moins de 2000 € en conversion brute). Malheureusement, le téléphone ne devrait pas quitter les frontières du territoire asiatique, Samsung préférant sans doute tâter le terrain avant de se lancer dans le grand bain.

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    Les entreprises sont confrontées à une hausse des reçus de dépenses falsifiés à l’aide de l’intelligence artificielle. Depuis le lancement de modèles d’IA générative comme GPT-4o d’OpenAI, les plateformes de gestion des dépenses (AppZen, Ramp, Medius, SAP Concur, Rydoo) signalent une explosion de faux reçus réalistes créés en quelques secondes par des employés.

    256529e0-741e-4f91-b867-c1aa0cf95df9-image.png

    AppZen estime que 14 % des documents frauduleux en septembre provenaient d’images générées par IA, contre aucun l’année précédente. Ramp a détecté plus d’un million de dollars de factures frauduleuses en trois mois. Près de 70 % des directeurs financiers pensent que leurs employés ont déjà utilisé l’IA à cette fin.

    Ces faux reçus sont si réalistes (plis, menus authentiques, signatures) qu’ils échappent souvent à la vigilance humaine. Les entreprises utilisent désormais l’IA pour détecter l’IA, en vérifiant les métadonnées et les incohérences contextuelles. Mais ces indices peuvent être contournés, rendant la fraude toujours plus difficile à repérer.

    Selon les experts, ce phénomène n’en est qu’à ses débuts et représente déjà un risque majeur pour les organisations, car il ne requiert aucune compétence technique contrairement à la falsification manuelle d’autrefois.

    Source: https://arstechnica.com/ai/2025/10/ai-generated-receipts-make-submitting-fake-expenses-easier/

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    Des gouvernements aux start-ups en passant par les investisseurs internationaux, une foule record venue des quatre coins du monde s’est rendue au salon GITEX Global à Dubaï pour découvrir les dernières technologies de pointe.

    Plus de 6 800 exposants venus du monde entier se sont rendus à Dubaï pour la 45e édition du salon GITEX Global, qui était axé sur les technologies émergentes et l’IA.

    Parmi les innovations présentées figurait une nouvelle mise à jour de la super application TAMM du gouvernement d’Abu Dhabi, présentée comme le premier fonctionnaire public IA au monde.

    Ce logiciel alimenté par l’IA peut effectuer de manière autonome des transactions pour les citoyens, notamment le renouvellement de permis, la prise de rendez-vous médicaux et le paiement de factures.

    « Vous n’aurez plus jamais à vous soucier des services administratifs », a déclaré à Euronews Ruba Youssef Al Hassan, directrice générale du département Government Enablement d’Abu Dhabi.

    Au programme figurait également North Star, le plus grand rassemblement mondial de start-ups et d’investisseurs. Cette année, l’événement a attiré 2 000 start-ups et 1 200 investisseurs venus de près de 180 pays.

    Déjà considéré comme le plus grand événement mondial dédié à la technologie et à l’IA, GITEX Global prévoit d’ajouter de nouvelles éditions en Inde et au Brésil en 2027, selon les organisateurs.

    Source: https://fr.euronews.com/business/2025/10/24/gitex-global-2025-attire-une-foule-record-a-dubai-pour-la-45e-edition-du-salon-technologiq

    TAMM: D’autres pays devraient clairement s’en inspirer :lol:

    T A M M: Toute l’Administration Moins la Merde

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    En fait je le trouve très sympa ce Zorin OS mais mais mais attention, ce n’est pas du tout un OS léger !!!

    j’oserais même dire que windaube 11 en version tiny est aussi lent/rapide lol

    a la finale son seul avantage est de bien tourner sur les machines qui ne passent pas sur 11.

    après quand on voit la facilité à détourner les contrôles avec Rufus … est ce que ça vaut la peine ???

    je dirais oui, pour le fun, le dépaysement sympathique mais jamais perturbant. Par contre c’est niveau application qu’on est un peu perdu, mais sur Zorin il y a ce qu’il faut pour les installer facilement ou même simplement savoir ce qu’elle font.

    Pour tout le reste je suis quand même bien mieux sur mon w11 😉

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    Dans un communiqué daté du 17 octobre, Europol avertit du démantèlement d’une infrastructure comprenant 1 200 appareils de type SIM-box, qui géraient un total de 40 000 cartes SIM. Ce réseau pouvait être utilisé pour des activités criminelles comme le phishing et le smishing (contraction de SMS et phishing).

    L’opération, baptisée SIMCARTEL, a été menée par les polices autrichienne, estonienne et lettone, soutenues par Europol et Eurojust. Elle a donné lieu à 26 perquisitions et à l’arrestation de 7 personnes, dont 5 lettones. Les 1 200 appareils ont été saisis, de même que les 40 000 cartes SIM qu’ils contenaient et plusieurs centaines de milliers d’autres cartes qui attendaient d’être utilisées.

    Les forces de l’ordre ont également saisi cinq serveurs, pris le contrôle de deux domaines (gogetsms.com et apisim.com), gelé 431 000 euros sur des comptes bancaires et 333 000 dollars en cryptomonnaies, et saisi quatre véhicules de luxe.

    « Le service en ligne créé par le réseau criminel offrait des numéros de téléphone enregistrés à des personnes de plus de 80 pays pour les utiliser dans des activités criminelles. Il a permis aux auteurs de créer de faux comptes sur les réseaux sociaux et les plateformes de communication, qui ont ensuite été utilisés pour des cybercrimes tout en masquant leur véritable identité et leur emplacement », explique Europol.

    Parmi les activités criminelles citées, on trouve la fraude, l’extorsion, le passage de clandestins et la distribution de matériel pédopornographique. Europol donne plusieurs exemples de fraudes : faux comptes sur le marché de la seconde main, escroqueries fille-fils (votre enfant vous annonce avoir changé de numéro de téléphone et prétexte des problèmes urgents pour se faire envoyer de l’argent), des fraudes à l’investissement, de fausses boutiques, de faux sites bancaires, etc.

    La structure est décrite comme sophistiquée avec un haut niveau d’organisation. Toujours selon Europol, elle est responsable de 1 700 cas de fraude en Autriche et 1 500 en Lettonie. Dans la seule Autriche, le montant des pertes financières s’élève à 4,5 millions d’euros. Europol indique cependant que l’ampleur exacte du réseau criminel reste à déterminer.

    Ce type d’opération est courant, comme on avait pu le voir fin septembre aux États-Unis.

    Source : next.ink

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    Ya encore quelques progrès à faire mais pourquoi pas…
    Tant que ces machins ne se garent pas sur une piste cyclable, c’est vendu ^^

  • La panne mondiale d'Amazon ? Un simple couac de dns...

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    Une panne mondiale de 15 h 32 min a touché Amazon Web Services (AWS), paralysant des services comme Snapchat, Roblox et Signal. Selon Amazon, un bug logiciel dans le système DNS de DynamoDB a déclenché une situation de concurrence entre deux composants internes (« DNS Enactor » et « DNS Planner »), provoquant la suppression accidentelle des adresses IP et rendant le système incohérent.

    Cette erreur a entraîné :

    L’interruption du point de terminaison régional US-East-1, le plus utilisé d’AWS ;

    Des pannes en cascade sur EC2, les équilibreurs de charge réseau et des services dépendants comme Lambda, Redshift ou Fargate ;

    Des perturbations signalées par plus de 17 millions d’utilisateurs dans 3 500 organisations à travers les États-Unis, le Royaume-Uni et l’Allemagne.

    AWS a depuis désactivé temporairement le planificateur DNS DynamoDB et l’automatisation associée afin de corriger le bug et renforcer les protections.

    Ookla, via DownDetector, a qualifié l’événement d’une des plus grandes pannes Internet jamais enregistrées et a souligné un problème structurel :
    la dépendance excessive au hub US-East-1, utilisé même par des applications « mondiales ». Cette centralisation a amplifié les effets de la panne.

    Enfin, Ookla recommande de repenser l’architecture du cloud :
    → multirégionalité, diversification des dépendances et gestion proactive des incidents, afin d’obtenir non pas « zéro échec », mais des échecs contenus.

    La mécanique de la panne

    DNS DynamoDB est un système qui surveille la stabilité des équilibreurs de charge, notamment en créant régulièrement de nouvelles configurations DNS pour les points de terminaison du réseau AWS. Une situation de concurrence est une erreur qui rend un processus dépendant d’événements temporels ou séquentiels variables et indépendants de la volonté des développeurs. Il peut en résulter un comportement inattendu et des pannes potentiellement dangereuses.

    Dans ce cas, la situation de concurrence résidait dans DNS Enactor, un composant DynamoDB qui met constamment à jour les tables de correspondance de domaine des points de terminaison AWS individuels afin d’optimiser l’équilibrage de charge en fonction de l’évolution des conditions. Pendant son fonctionnement, DNS Enactor a subi des retards anormalement élevés, nécessitant de réessayer sa mise à jour sur plusieurs points de terminaison DNS. Pendant ce temps, DNS Planner, un autre composant DynamoDB, continuait de générer de nouveaux plans. Un autre DNS Enactor a ensuite commencé à les implémenter.

    Le timing de ces deux actionneurs a déclenché la situation de concurrence, qui a fini par détruire l’intégralité de DynamoDB. Comme l’expliquent les ingénieurs d’Amazon :

    Lorsque le deuxième Enactor (appliquant le plan le plus récent) a terminé ses mises à jour de point de terminaison, il a lancé le processus de nettoyage des plans, qui identifie les plans nettement plus anciens que celui qu’il venait d’appliquer et les supprime. Parallèlement à ce processus de nettoyage, le premier Enactor (dont l’application avait été anormalement retardée) a appliqué son plan beaucoup plus ancien au point de terminaison DDB régional, écrasant le plan plus récent. La vérification effectuée au début du processus d’application du plan, qui garantissait que le plan était plus récent que le plan précédemment appliqué, était obsolète à ce moment-là en raison des délais anormalement élevés de traitement d’Enactor. Par conséquent, cela n’a pas empêché l’ancien plan d’écraser le nouveau. Le processus de nettoyage du deuxième Enactor a ensuite supprimé cet ancien plan, car il était plusieurs générations plus ancien que le plan qu’il venait d’appliquer. Lors de la suppression de ce plan, toutes les adresses IP du point de terminaison régional ont été immédiatement supprimées. De plus, la suppression du plan actif a laissé le système dans un état incohérent, empêchant les mises à jour ultérieures du plan par les DNS Enacters. Cette situation a finalement nécessité l’intervention manuelle d’un opérateur pour la corriger.

    La panne a provoqué des erreurs empêchant la connexion des systèmes s’appuyant sur DynamoDB du point de terminaison régional US-East-1 d’Amazon. Le trafic client et les services AWS internes ont été affectés.

    Les dommages causés par la panne de DynamoDB ont ensuite mis à rude épreuve les services EC2 d’Amazon situés dans la région US-East-1. Cette pression a persisté même après la restauration de DynamoDB, car EC2 dans cette région devait gérer un important retard de propagation de l’état du réseau. Les ingénieurs ont ajouté : « Si de nouvelles instances EC2 pouvaient être lancées avec succès, elles ne disposaient pas de la connectivité réseau nécessaire en raison des retards de propagation de l’état du réseau. »

    À son tour, le retard dans la propagation de l’état du réseau s’est répercuté sur un équilibreur de charge réseau dont dépendent les services AWS pour leur stabilité. Par conséquent, les clients AWS ont rencontré des erreurs de connexion dans la région US-East-1. Les fonctions réseau AWS affectées comprenaient la création et la modification de clusters Redshift, les appels Lambda et le lancement de tâches Fargate, telles que les workflows gérés pour Apache Airflow, les opérations de cycle de vie Outposts et le centre de support AWS.

    Pour le moment, Amazon a désactivé le planificateur DNS DynamoDB et l’automatisation DNS Enactor dans le monde entier, le temps de corriger la situation de concurrence et d’ajouter des protections pour empêcher l’application de plans DNS incorrects. Les ingénieurs modifient également EC2 et son équilibreur de charge réseau.

    Source et plus: https://arstechnica.com/gadgets/2025/10/a-single-point-of-failure-triggered-the-amazon-outage-affecting-millions/

  • Moscou coupe internet aux étrangers dès leur arrivée

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    Depuis octobre, la Russie bloque toutes les cartes SIM étrangères. Le Kremlin parle de défense antidrones, les experts dénoncent un verrouillage numérique sans précédent.

    Parallèlement, l’achat de cartes SIM russes est devenu quasi impossible pour les étrangers depuis janvier 2025. Le cabinet de conseil Van Rhijn & Partners révèle qu’ils doivent franchir plusieurs étapes: faire traduire leur passeport par un notaire, s’enregistrer biométriquement auprès d’une banque russe et demander un numéro de sécurité sociale. L’ensemble de la procédure peut s’étendre sur deux semaines et s’avère difficile à mener sans maîtriser le russe.

    Un mur antidrones selon la Russie

    D’après le quotidien, le ministre de la Communication, Maksut Shadaev, justifie ces blocages par des mesures de défense contre les drones, qui seraient pilotés à l’aide de cartes SIM étrangères. Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a déclaré que «tout ce qui a trait à la sécurité des citoyens est justifié et prioritaire».

    Les spécialistes considèrent cette explication comme un prétexte. Selon le journal allemand «TAZ», ces blocages constituent une «restriction sans précédent du droit à l’intégrité numérique».

    Le média letton en exil Meduza, classé comme «organisation indésirable» par la Russie, critique également ces mesures. L’analyste moscovite en télécommunications Eldar Murtazin a déclaré au portail en ligne qu’il n’existait «aucun précédent mondial pour des restrictions de services d’une telle ampleur».

    L’expert russe en sécurité informatique Igor Bederow souligne que les blocages ne peuvent «pas éliminer complètement le danger des drones». «Ils relèvent surtout du fait que la Russie cherche à exercer un contrôle total sur les communications mobiles.» Les organisations de défense des droits humains comme Access Now mettent en garde contre de telles interventions, qui risquent d’ouvrir la voie à une surveillance et une censure permanentes.

    Verrouillage numérique de Poutine

    Le blocage des cartes SIM s’inscrit dans une stratégie plus large de verrouillage numérique. Depuis le printemps 2025, plus de 2000 coupures internet ont été recensées, selon des observateurs internationaux.

    Pour Euronews, plus de 70 des 83 régions ont été touchées à un moment ou à un autre. Meduza a par ailleurs documenté l’élaboration de ce qu’on appelle les «listes blanches». Ces accès internet sont contrôlés par le Kremlin et limitent la navigation aux seuls sites russes autorisés, notamment les portails gouvernementaux et les médias d’État.

    D’après des experts de l’Institute for the Study of War interrogés par Euronews, ces blocages constituent peut-être une étape vers la souveraineté numérique – un «runet» qui pourrait être séparé techniquement et politiquement d’internet.

    Le Kremlin teste ainsi jusqu’où il peut isoler son pays des échanges d’informations avec l’Occident. L’expression «rideau de fer numérique» s’est imposée dans les médias internationaux pour désigner cette évolution. Cette information provient du média en ligne américain The Realist Juggernaut, qui a également rapporté le blocage des cartes SIM occidentales. Le magazine a donc repris la métaphore du rideau de fer de Churchill pour décrire la politique de fermeture digitale de la Russie.

    Source: https://www.24heures.ch/russie-le-pays-coupe-internet-aux-etrangers-des-leur-arrivee-965831644320

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    @Raccoon
    Il y’en a carrément qui vendent pour exemple un pc portable haut de gamme dans le boncoin alors qu’ils n’ont même pas encore fini de payer le crédit sur cet objet…je trouve un peu con comme histoire (chacun fait ce qu’il veut mais je trouve quand même la chose abusée)