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    En lançant son offre promotionnelle début juillet en France, Starlink, la société d’Elon Musk présente dans notre pays depuis 2021, met un coup de projecteur sur l’internet par satellite et va certainement bousculer les autres acteurs. Car Starkink est loin d’être le seul sur ce secteur en plein.

    Nordnet

    Le premier concurrent de l’Américain est Orange. L’opérateur historique propose des offres de connexion internet satellitaire via sa filiale NortdNet, acquise en 1998. Elle propose trois offres d’abonnement Neosat de 34,90 €/mois pendant un an (39,90 € ensuite sans engagement) à 74,90 €/ mois (79,90 €) pour l’offre la plus complète.

    Des abonnements tripleplay (Internet, TV, Téléphonie) et quadrupleplay qui se rapprochent le plus des box internet ADSL et fibre que nous connaissons. Les débits vont de 50 Mb/s à 100 Mb/s. NordNet n’utilise pas une constellation de satellites comme Starlink mais un seul satellite géostationnaire, KA-SAT, lancé par EutelSat en 2010.

    Orange

    En février dernier, Orange a annoncé qu’elle « renforcera courant 2023 son offre satellitaire avec une offre commerciale nouvelle génération, sous sa marque, en France Métropolitaine. Le partenariat conclu avec Eutelsat permettra aux clients particuliers et entreprises les plus isolés de bénéficier d’une expérience Très Haut Débit améliorée pour le prix d’une offre fibre optique grâce au nouveau satellite Konnect VHTS. »

    La directrice générale Christel Heydemann a confirmé le 13 juillet le lancement imminent de l’offre « Le Satellite Orange avec NordNet ».

    SkyDSL

    Autre acteur important, l’allemand SkyDSL, qui utilise la flotte de satellites d’Eutelsat dont KA-SAT. SkyDSL propose trois forfaits pour les particuliers à partir de 16,90 €/mois (débit de 12 Mb/s en réception, 2 en émission, 15Go de données) à 29,90 €/mois pour deux ans (débit de 40 Mb/s en réception, 2 en émission, volume de données illimitées).

    Ouisat

    Enfin dernier acteur en France, Ouisat, une marque de l’opérateur Numérisat, appartenant au britannique Avanti Communications Group. Le satellite utillisé, Hylas 2, ne couvre que 35 % du territoire français, soit 50 départements, dans l’Est et le Nord.

    Source: https://www.ladepeche.fr/2023/08/04/internet-par-satellite-ce-que-proposent-les-operateurs-en-france-11377494.php

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    J’ai vu qqes vidéo à ce sujet, j’avoue avoir été impressionné par la vitesse et l’intensité des flammes !

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    pareil, j’ai cette adresse depuis les premiers abonnements à internet, ceux où on payait à la minute lol

    ça doit être en 1990 ou un peu avant je ne saurais plus dire

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    L’Italie valide le blocage par DNS des sites d’IPTV et des amendes de 5 000 € pour leurs utilisateurs

    Approuvée à l’unanimité par la Chambre des députés en mars dernier puis par le Sénat au début du mois, la nouvelle loi italienne contre le piratage vient d’être approuvée, là encore « à l’unanimité », relève TorrentFreak, par l’autorité de régulation des télécommunications, l’AGCOM.

    La nouvelle loi, qui entrera en vigueur le 8 août, autorise le blocage des événements en direct par les fournisseurs d’accès Internet, et permet à l’État d’infliger des amendes « pouvant aller jusqu’à 5 000 euros » aux utilisateurs de flux pirates :

    « Grâce à ces mesures, il sera possible de désactiver l’accès aux contenus piratés dans les 30 premières minutes de la diffusion de l’événement en bloquant la résolution DNS des noms de domaine et en bloquant l’acheminement du trafic réseau vers des adresses IP destinées exclusivement à des activités illicites. »

    Le non-respect des instructions de l’AGCOM entraînera une amende administrative de 10 620 à 265 000 euros. Les personnes impliquées dans la fourniture ou la distribution de flux en infraction risqueront désormais jusqu’à trois ans d’emprisonnement et une amende pouvant atteindre 15 000 euros.

    TorrentFreak souligne que des recherches menées par IPSOS au cours des dernières années ont révélé qu’environ 25 % de la population adulte consomme des flux IPTV piratés en Italie. L’AGCOM, elle, se félicite d’être « à l’avant-garde de la scène européenne dans la lutte contre le piratage en ligne ».

    Source : nextinpact.com

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    quel frotte manche celui là :cryhappy:

  • Le lancement du plus gros satellite au monde retardé

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    samedi à 2 h 45 HAE: Falcon Heavy de SpaceX a lancé avec succès le satellite de communication Jupiter 3.

    Le satellite Jupiter 3, parfois appelé EchoStar 24, fournira jusqu’à 500 gigabits par seconde de capacité totale, transmettant des signaux Internet aux foyers ruraux, aux entreprises, aux passagers d’avions et aux utilisateurs gouvernementaux et militaires.

    “Quand vous pensez à ce qu’il faut pour prendre en charge un satellite à débit de 500 gigabits, en termes de puissance et de panneaux solaires, etc., c’est ce qui détermine sa taille, son échelle et sa portée”, a déclaré Wymer à Ars dans une interview avant le lancement.

    Ce sont les types de missions qui conviennent au Falcon Heavy de SpaceX . Un satellite aussi lourd ne pourrait pas se lancer sur la même orbite sur une fusée Falcon 9, même si SpaceX dépensait le premier étage. Le Falcon Heavy combine trois boosters Falcon 9 pour tripler la puissance de la fusée au décollage.

    Lors de la mission de vendredi soir, SpaceX a renvoyé les deux propulseurs latéraux aux atterrissages à la station de la Force spatiale de Cap Canaveral en Floride, à quelques kilomètres au sud de la rampe de lancement du Falcon Heavy. Le propulseur du noyau central a brûlé tout son propulseur liquide pour donner à sa charge utile le plus de vitesse possible avant de s’éteindre et de rentrer dans l’atmosphère pour s’écraser dans l’océan Atlantique.

    Les propulseurs latéraux jumeaux, tous deux réutilisés lors de missions précédentes, se sont détachés de l’étage central environ deux minutes et demie après le décollage. Ces propulseurs se sont retournés pour voler la queue en premier, puis ont rallumé leurs moteurs pour faire marche arrière et retourner vers la côte de la Floride. Descendant verticalement, les propulseurs latéraux sont retournés dans leurs zones d’atterrissage juste après huit minutes de mission, accompagnés du claquement sec des bangs soniques.

    La chorégraphie unique d’un lancement Falcon Heavy - avec trois fusées en vol contrôlé simultanément - devient un spectacle familier sur la Space Coast de Floride. Il s’agissait du septième lancement Falcon Heavy de SpaceX et du troisième des cinq prévus cette année. Il s’agissait du 51e lancement de la fusée Falcon de SpaceX en 2023, ou du 52e lancement si vous comptez le vol d’essai de la méga-fusée Starship depuis le Texas en avril.

    Une fois que les trois boosters du Falcon Heavy ont terminé leur travail, l’étage supérieur de la fusée a allumé son moteur trois fois en plus de trois heures pour placer le satellite Jupiter 3 sur une orbite de transfert elliptique ou ovale. La combustion finale de l’étage supérieur a soulevé le périgée, ou point bas, de l’orbite, raccourcissant le temps nécessaire à Jupiter 3 pour utiliser sa propre propulsion pour manœuvrer sur son orbite opérationnelle finale.

    La fusée a déployé le satellite Jupiter 3 tôt samedi, environ trois heures et demie après le décollage. Après s’être séparé de la fusée, Jupiter 3 étendra ses panneaux solaires et ses antennes. Une série de brûlures avec un moteur embarqué déplacera le satellite sur une orbite géostationnaire circulaire, où sa vitesse correspondra à la rotation de la Terre. Ensuite, Jupiter 3 s’installera dans une place de stationnement le long de l’équateur à 95 degrés de longitude ouest, remplaçant un satellite obsolète de 16 ans dans la flotte d’EchoStar.

    D’ici la fin de l’année, Jupiter 3 devrait être en service commercial. Il fonctionnera aux côtés de deux autres satellites de la flotte Hughes, fournissant ensemble plus d’un térabit de capacité.

    “Avec chacun de nos satellites que nous avons mis sur le marché… nous avons vu nos vitesses passer de 5 mégabits par seconde à 25 mégabits par seconde et maintenant, avec celui-ci, nous fournirons 100 mégabits par seconde”, a déclaré Wymer.

    Hughes Network Systems est en concurrence avec plusieurs autres réseaux Internet par satellite, dont la constellation Starlink de SpaceX. Les satellites Starlink volent beaucoup plus près de la Terre que les satellites géostationnaires comme Jupiter 3, réduisant la latence des signaux Internet acheminés vers les consommateurs au sol. Mais un réseau géostationnaire n’a besoin que de quelques satellites pour fournir une connectivité Internet, alors que SpaceX lance des milliers de plateformes Starlink.

    Le réseau Starlink et Hughes Network Systems ont des nombres de clients comparables - tous deux revendiquent plus de 1,5 million d’abonnés - mais Hughes avait une longueur d’avance sur SpaceX.

    Ce n’est pas la première fois que SpaceX lance la charge utile d’un concurrent sur le marché du haut débit depuis l’espace. SpaceX a lancé des satellites pour le réseau Internet de OneWeb, et en mai, une fusée Falcon Heavy a lancé un grand satellite géostationnaire à large bande pour Viasat dont l’architecture est similaire à Jupiter 3.

    “Le marché est grand et vaste, et je pense qu’il y a beaucoup d’opportunités partagées pour nous tous”, a déclaré Wymer.

    “Tous nos services sont conçus, vraiment, pour les mal desservis et les non desservis”, a déclaré Wymer. “Ce sont généralement les zones rurales et à faible densité. Avec Jupiter 3 et la capacité supplémentaire qu’il apporte, avec environ 300 faisceaux ponctuels, nous sommes en mesure de vraiment concentrer plus de capacité et plus de débit dans ces marchés et zones donnés.”

    Wymer a déclaré que le satellite Jupiter 3 utilise une conception d’antenne différente de celle du satellite de Viasat, qui pourrait être déclarée perte totale après que son réflecteur maillé ait rencontré des problèmes lors d’un déploiement après le lancement.

    “Nous sommes vraiment convaincus que nous n’aurons aucun problème à cet égard”, a déclaré Wymer.

    Source: https://arstechnica.com/space/2023/07/worlds-heaviest-commercial-communications-satellite-will-launch-tonight/

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    Apologie de la piraterie ou célébration de la diffusion du savoir scientifique en ligne ?

    L’Electronic Frontier Foundation (EFF) va décerner un prix à Alexandra Elbakyan, la fondatrice du site “pirate” Sci-Hub, pour ses efforts visant à fournir un accès aux connaissances scientifiques. Selon l’EFF, le site d’Elbakyan est une ressource essentielle pour des millions d’étudiants et de chercheurs. La preuve : certains professionnels de la santé ont déclaré que Sci-Hub aide à sauver des vies humaines ; certains étudiants ont dit qu’ils ne pourraient pas terminer leur éducation sans l’aide de Sci-Hub. Toutefois si l’utilité du site est incontestable, ce prix ne fait-il pas l’apologie de la piraterie des œuvres scientifiques ?

    Alexandra Elbakyan est une informaticienne et activiste kazakhstanaise connue pour être la fondatrice du site web Sci-Hub. Pour information, Sci-Hub est un site web controversé qui fournit un accès gratuit à des articles de recherche scientifique, souvent en contournant les paywalls des éditeurs scientifiques. Le site est devenu très populaire parmi les chercheurs et les étudiants qui n’ont pas accès à certaines publications scientifiques en raison de leur coût élevé.

    Elbakyan a justifié la création de Sci-Hub en critiquant le modèle économique des grandes maisons d’édition scientifiques, qu’elle considère comme injuste et restrictif pour la diffusion du savoir scientifique. Cependant, ses actions ont été sujettes à des controverses juridiques, car elles enfreignent les droits d’auteur et le droit de propriété intellectuelle de nombreux éditeurs.

    En raison de la nature illégale de ses activités, Elbakyan fait face à des poursuites judiciaires de la part de certains éditeurs scientifiques, mais elle reste une figure controversée, célébrée par certains pour son combat en faveur de l’accès ouvert à la recherche scientifique et critiquée par d’autres pour ses méthodes illégales.


    Alexandra Elbakyan

    Célébrée, Alexandra Elbakyan le sera encore, et cette fois, par l’Electronic Frontier Foundation (EFF), la bien connue organisation à but non lucratif basée aux États-Unis qui se consacre à la défense des droits numériques, de la liberté d’expression, de la vie privée, de l’accès à l’information et de l’innovation sur Internet.

    Alexandra Elbakyan sera récompensée lors de la cérémonie des EFF Awards 2023, qui aura lieu en direct le jeudi 14 septembre à San Francisco, et sera animée par Cory Doctorow, activiste, journaliste et conseiller spécial de l’EFF.

    Les EFF Awards reconnaissent des contributions spécifiques et substantielles sur les plans technique, social, économique ou culturel dans divers domaines, notamment le journalisme, l’art, l’accès numérique, la législation, le développement technologique et le droit.

    Avec la fondatrice de Sci-Hub, seront également récompensés le Library Freedom Project et la Fondation Signal.

    Le Library Freedom Project, en tant qu’initiative qui vise à promouvoir la confidentialité et la liberté d’information dans les bibliothèques, recevra le Prix EFF pour la démocratie de l’information. Tandis que la Fondation Signal recevra le Prix EFF pour la confidentialité des communications. Rappelons que la Foundation Signal est une organisation à but non lucratif créée pour soutenir et développer l’application de messagerie chiffrée Signal.

    L’Electronic Frontier Foundation (EFF) a l’honneur d’annoncer que Alexandra Asanovna Elbakyan, le Library Freedom Project et la Fondation Signal recevront les EFF Awards 2023 pour leur travail essentiel qui consiste à veiller à ce que la technologie soutienne la liberté, la justice et l’innovation pour tous.

    Depuis 30 ans, les EFF Awards, anciennement connus sous le nom de Pioneer Awards, ont reconnu et honoré les principaux acteurs de la lutte pour la liberté et l’innovation en ligne. Créés à l’époque où Internet était nouveau, les Awards reflètent désormais le fait que le monde en ligne est à la fois une nécessité de la vie moderne et un ensemble d’outils en constante évolution pour la communication, l’organisation, la créativité et l’augmentation du potentiel humain.

    « Le libre flux d’information et de connaissances, ainsi que la confidentialité de nos communications, sont des piliers importants d’un Internet qui favorise la liberté, la justice et l’innovation pour tous », a déclaré Cindy Cohn, directrice exécutive de l’EFF. « Les lauréats des EFF Awards de cette année sont des champions infatigables de ces valeurs et contribuent à construire un monde dans lequel chacun peut apprendre et s’exprimer librement et en toute sécurité. Ils sont une source d’inspiration pour nous, ainsi que pour les gens du monde entier. Nous sommes honorés de leur exprimer notre gratitude et de leur rendre hommage, ne serait-ce qu’en partie, pour la reconnaissance qu’ils méritent. »

    Si la reconnaissance du travail de la Fondation Signal et du Library Freedom Project sont évidentes, celle d’Alexandra Elbakyan peut être sujette à polémiques. Sa cause est certes noble, mais les méthodes utilisées pour mener son combat ne rallient pas tout le monde et sont même condamnées par les autorités.

    En France par exemple, la justice a ordonné en 2019 aux FAI de bloquer Sci-Hub, à la demande des éditeurs Elsevier et Springer Nature. Le tribunal de grande instance (TGI) de Paris a donné raison aux éditeurs qui auraient suffisamment démontré que les plateformes comme Sci-Hub sont entièrement dédiées ou quasi entièrement dédiées au piratage de leurs articles. Il a donc demandé à Orange, SFR, Free et Bouygues Telecom de mettre tout en œuvre pour bloquer l’accès aux domaines de Sci-Hub, un blocage qui était censé être en vigueur pendant un an.

    Quoi qu’il en soit, l’EFF estime qu’Alexandra Asanovna Elbakyan fait un travail formidable en ce qui concerne l’accès aux connaissances scientifiques.

    Electronic Frontier Foundation

    La programmeuse informatique kazakhstanaise Alexandra Asanovna Elbakyan a fondé Sci-Hub en 2011 pour offrir un accès gratuit et illimité à toutes les connaissances scientifiques. Lancé comme un outil permettant un accès rapide aux articles de revues scientifiques, Sci-Hub a développé une base de données de plus de 88,3 millions d’articles de recherche et de livres librement accessibles à la lecture et au téléchargement ; une grande partie de ces connaissances serait autrement cachée derrière des barrières tarifaires.

    Sci-Hub est utilisé par des millions d’étudiants, de chercheurs, de professionnels de la santé, de journalistes, d’inventeurs et de curieux du monde entier, dont beaucoup expriment leur gratitude pour cet accès aux connaissances. Certains professionnels de la santé ont déclaré que Sci-Hub aide à sauver des vies humaines ; certains étudiants ont dit qu’ils ne pourraient pas terminer leur éducation sans l’aide de Sci-Hub.

    À travers Sci-Hub, Elbakyan s’est efforcée de briser les mécanismes de monopole de la publication académique, dans lesquels les éditeurs facturent des prix élevés alors que les auteurs d’articles dans des revues académiques ne reçoivent aucune rémunération. Elle a été la cible de nombreuses poursuites judiciaires et actions gouvernementales, et Sci-Hub est bloqué dans certains pays, mais elle continue de défendre l’idée que restreindre l’accès à l’information et aux connaissances viole les droits de l’homme.

    Sources : https://www.eff.org/press/releases/electronic-frontier-foundation-present-annual-eff-awards-alexandra-asanovna-elbakyan, web.developpez.com

  • Un smartphone fabriqué en Allemagne sans Google

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    les chinois aussi on commencé par les smartphone :ahah:

  • Lenovo : cet ordinateur portable est doté de deux écrans

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    @Violence Le gars après 2h de taf

    text alternatif

  • AirTag : détourné pour suivre et harceler les femmes

    Déplacé
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    Black Mirror. On s’en rapproche chaque jour un peu plus.

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    c’est fait expres le dns cloudfare sur ygg c’est pour ne pas être indexé trop rapidement par google …

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    Une nouvelle faille de sécurité appelée “Zenbleed” permettrait à des attaquants de voler des mots de passe, des informations de carte de crédit et d’autres données. Les ordinateurs équipés d’un CPU AMD Ryzen Zen 2 sont concernés. Des millions d’utilisateurs sont potentiellement exposés.

    Le chercheur en sécurité de Google, Tavis Ormandy, a découvert une vulnérabilité appelée “Zenbleed” dans les processeurs Ryzen d’AMD. Tous les processeurs dotés de la microarchitecture Zen 2 sont concernés, à savoir les séries AMD Ryzen 3000, 4000, 5000, 7200 ainsi que les Ryzen Pro 3000, 4000 et les Epyc Rome utilisés dans les centres de données. Ormandy a signalé la faille à AMD le 15 mai et l’a expliquée cette semaine dans sonBlog.

    La nouvelle vulnérabilité permet des attaques par exploit sans qu’il soit nécessaire d’accéder physiquement à l’ordinateur. Il s’agit d’exploiter une mauvaise manipulation d’une technique spéculative qui augmente les performances du processeur. Selon le fournisseur de services Internet Cloudflare, une attaque peut par exemple être exécutée via Javascript sur un site Web. Si un attaquant réussit, il peut extraire des données de la mémoire - à un taux de 30 kilo-octets par cœur de processeur et par seconde.

    A présent, AMD a réagi en publiant un correctif microcode et en le distribuant aux fabricants de cartes mères. Reste à savoir à quelle vitesse les mises à jour de firmware contenant le correctif seront disponibles. Pour ceux qui ne sont pas en mesure d’appliquer directement la mise à jour du microcode d’AMD, Ormandy recommande dans son Blog une solution de contournement : “you can set the chicken bit DE_CFG[9]”. Cette mesure désactive la fonction CPU concernée. Il faut donc s’attendre à une baisse des performances.

    Source: https://www.digitec.ch/fr/page/une-nouvelle-faille-dans-les-processeurs-amd-met-en-danger-des-millions-dordinateurs-28912

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    c’est pour sourcer l’origine et les differenciers des publications réelles en résumé ?

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    Perso au boulot ça commence à être chaud de contourner le proxy pour la navigation.

    Aucun vpn ne fonctionnent, même les proxy web

  • Google laisserait-il tomber Bard pour ChatGPT ?

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    :blase:

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    dommage, PIA n’est pas dans la liste

    ps : ah si, pardon j’avais regardé la page Google Translate et il n’y figurait pas ^^

    ce serait cool s’ils pouvaient faire le même genre de comparatif avec les fournisseurs de proxy

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    J’avoue que, pareillement, je ne vois pas comment empêcher ces compagnies de récolter nos “préférences” lorsqu’on s’y ballade…

    La seule chose que je vois, c’est que ça rajoute une “couche” qui ne doit pas tomber en panne lorsqu’on en aurait besoin. Et qui ne doit pas se faire “attaquer” histoire que nos datas ne se retrouvent pas sur un marché quelconque.

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    @Indigostar a dit dans Disney et Netflix se battent contre la proposition “Click To Cancel” de la FTC visant à faciliter l’annulation des abonnements aux services numériques :

    le Millennial moyen disposait d’au moins 17 abonnements différents aux médias et aux divertissements

    ok j’ai pris un coup de vieux là!
    17! c’est dingue…