Actualités High-Tech

1.4k Sujets 7.4k Messages
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    Entre la génération d’articles qui ne veulent rien dire et de photos/vidéos qui ne ressemblent à rien. L’IA nous pique nos boulots !
    C’est cool !!! On va pouvoir rester à la maison à mater les millions d’épisodes de plus belle la vie :edente:

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    Et bien sûr, les “incidents” ne se sont pas arrêtés en 2019 🙂

    De toute façon, Google vend ses données à qui veut payer (même à des escrocs), personne n’est à l’abri.

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    Vous souhaitez utiliser des outils d’IA sans compromettre votre confidentialité ? Voici comment protéger votre vie privée en utilisant le plus fameux des chatbot. (sans garantie)

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    Dans quelle mesure vos conversations avec ChatGPT sont-elles privées ? Il est difficile de répondre à cette question.

    OpenAI affirme que personne ne peut voir vos conversations à moins que vous ne choisissiez spécifiquement de les partager. Cependant, l’entreprise stocke et conserve un historique de vos conversations et reconnaît que leur contenu peut être utilisé pour la formation.

    Si vous êtes préoccupé par le respect de votre vie privée lorsque vous utilisez ChatGPT, vous pouvez prendre quelques mesures. Les deux options sont disponibles pour les utilisateurs gratuits et payants - voici comment elles fonctionnent.

    Utiliser un chat éphémère

    Vous pouvez lancer une discussion temporaire pour des conversations uniques. Ces chats ne seront pas sauvegardés dans votre historique ni utilisés pour l’entraînement au modèle. De plus, ChatGPT ne se souviendra pas de ce dont vous avez discuté. Cependant, OpenAI peut conserver des copies de vos discussions temporaires pendant 30 jours afin de surveiller tout abus.

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    Comment utiliser un chat éphémère ?

    Vous pouvez démarrer un chat éphémère dans ChatGPT pour le web ou dans l’application mobile pour iOS ou Android. Dans une nouvelle fenêtre de chat, appuyez sur l’en-tête ChatGPT en haut et sélectionnez l’option Chat éphémère.

    L’écran de chat éphémère s’affiche et explique le fonctionnement de l’option.

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    ChatGPT : question en mode chat éphémère. Capture d’écran Moctar KANE/ZDnet France.

    Pour quitter le mode temporaire, cliquez sur le titre ChatGPT en haut de la page et désactivez son interrupteur. Dans l’application mobile, démarrez une nouvelle discussion et vous ne serez plus en mode temporaire.

    Désactiver l’entraînement au modèle

    Vous pouvez également protéger votre vie privée en désactivant l’entraînement du modèle d’OpenAI. Comme vous pourrez toujours accéder à l’historique de vos conversations, cette option est pratique si vous souhaitez consulter et reprendre des conversations antérieures tout en conservant un certain degré de confidentialité sur ce que vous dites.

    Comment déactiver l’entraînement au modèle ?

    Désactiver l’entraînement au modèle est assez simple et rapide. Sur le site de ChatGPT, cliquez sur l’icône de votre profil en haut à droite et sélectionnez Paramètres. Dans l’application mobile, cliquez sur l’icône du menu hamburger en haut à gauche, puis sélectionnez votre icône de profil en bas.

    Dans la fenêtre Paramètres, sélectionnez Gestion des données et désactivez l’option Améliorer le modèle pour tous.

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    ChatGPT : paramètres dont “Améliorer le modèle pour tous”. Capture d’écran Moctar KANE/ZDnet France.

    Fermez l’écran de configuration pour revenir à votre chat. Vous pouvez maintenant reprendre vos conversations avec ChatGPT, Open AI n’utilisera plus votre contenu à des fins d’entraînement, et vos chats seront toujours accessibles dans votre liste d’historique.

    Source: https://www.zdnet.fr/pratique/chatgpt-comment-limiter-les-donnees-que-vous-partagez-avec-openai-392766.htm

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    @Indigostar a dit dans D’anciens salariés d’OpenAI et Google demandent un droit d’alerter sur les risques des IA :

    Je reste donc perplexe, surtout que l’évolution de l’IA tend vers la capacité de se mettre à jour elle-même et d’ajuster ses algorithmes.

    On devrait lui confier la gestion d’un pays imaginaire histoire de voir. :ahah:

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    ben ça tombe bien, mais la twingo est connectée !

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    Des humains qui “valident” de l’incitation à la violence ?
    narmol !

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    Le professeur d’économie et auteur Mathias Binswanger déconstruit les belles promesses de la tech

    L’intelligence artificielle devrait bientôt nous submerger et révolutionner la société, prédisent certains géants de la tech. L’économiste Mathias Binswanger tempère cette vision qui révèle surtout les enjeux financiers qui se cachent derrière le battage médiatique.

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    L’IA est aujourd’hui présentée comme un remède miracle pour pratiquement tous les problèmes économiques: analyser un énorme ensemble de données? ChatGPT le fait en quelques secondes. Communiquer avec des clients et des partenaires en Chine? Un jeu d’enfant grâce aux outils de traduction dopés à l’IA.

    L’économie suisse est d’ailleurs à la pointe de la révolution de l’IA! Dans un sondage réalisé par l’agence de placement Manpower, 67% des cadres suisses déclarent que l’IA a une influence positive sur leur travail. 57% des entreprises suisses se considèrent comme des early adopters, c’est-à-dire qu’elles utilisent déjà l’IA dans leur travail quotidien – une augmentation de 27% par rapport à l’année précédente. Et contrairement à ce que l’on pourrait penser, l’étude montre que l’IA n’est pas perçue comme une menace pour l’emploi.

    Des attentes élevées envers l’IA en tant que nouveau collaborateur

    De son côté, Mathias Binswanger ne voit pas cet engouement pour l’IA d’un très bon œil. L’économiste enseigne à la Haute école spécialisée du Nord-Ouest de la Suisse (FHNW) et vient de publier un livre sur la révolution de l’IA. «Die Verselbstständigung des Kapitalismus» (traduisez «L’autonomisation du capitalisme») fait actuellement partie des best-sellers parmi les livres d’économie, selon Bilanz.

    «Nous sommes naïfs en ce qui concerne l’IA», prévient Mathias Binswanger. Par exemple lorsque les entreprises peinent à trouver suffisamment de personnel en raison de la pénurie de main-d’œuvre qualifiée et qu’elles espèrent pouvoir utiliser l’IA comme «main-d’œuvre supplémentaire». «La numérisation et l’IA n’atténueront guère la pénurie de main-d’œuvre qualifiée», rétorque Mathias Binswanger. Certes, on économise effectivement du personnel dans certains domaines. «En revanche, il faut davantage de personnes qui s’y connaissent en technologies numériques ailleurs.» Au final, cela équivaut à un jeu à somme nulle.

    Cela signifie aussi que nous ne devons effectivement pas craindre un chômage à grande échelle dû à l’IA. Et si vous pensez que l’IA effectuera des tâches routinières ennuyeuses, nous permettant de consacrer davantage de temps à des tâches plus passionnantes et plus créatives, vos espoirs vont être douchés. Le professeur d’économie Mathias Binswanger estime qu’il s’agit d’un leurre. «Les emplois traditionnellement peu attractifs sont remplacés par de nouveaux emplois qui ont tendance à être également peu attractifs.» Au lieu d’avoir plus de temps pour la créativité, l’IA engendrerait plus de bureaucratie sur le marché du travail. «Des départements entiers de conformité seront créés, des questions de protection des données et de responsabilité se poseront, l’IA renforcera la bureaucratie du contrôle de gestion», prévoit-il.

    Les consultants en IA font de bonnes affaires

    Une vision moins optimiste que dans les promesses mirobolantes des entreprises de la tech. «Il y a des intérêts économiques évidents derrière le fait de nous présenter les choses comme si l’IA était une sorte de tsunami qui allait nous submerger», explique Mathias Binswanger. «Les entreprises de conseil qui soutiennent les entreprises dans le domaine de l’IA poussent comme des champignons.» Elles font de bonnes affaires en profitant de l’engouement pour l’IA.

    De nombreuses entreprises suisses peuvent se permettre d’adopter l’IA. Mais va-t-elle vraiment transformer notre économie à grande vitesse? Mathias Binswanger reste sceptique. «Il y a dix ans, on pensait qu’aujourd’hui, nous serions tous sur la route avec des voitures qui se conduisent toutes seules», rappelle-t-il. Les cryptomonnaies devaient supplanter l’argent traditionnel, le métavers devenir la nouvelle place du marché virtuelle. Ces scénarios ne se sont pas réalisés, malgré le battage médiatique.

    Source: https://www.blick.ch/fr/news/tech/nous-sommes-na-fs-en-ce-qui-concerne-lia-le-professeur-deconomie-et-auteur-mathias-binswanger-deconstruit-les-belles-promesses-de-la-tech-id19835170.html

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    La CNIL espagnole vient de décider la suspension de l’implémentation sur son territoire des fonctionnalités prévues par Meta. L’entreprise voulait les ajouter à Instagram et Facebook à l’occasion des élections européennes pour « empêcher la collecte de données, le profilage des utilisateurs et le transfert d’informations à des tiers ».

    L’Agencia Española de Protección de Datos (AEPD) annonce avoir décidé le blocage préventif de l’implémentation des fonctionnalités que Meta voulait intégrer à Facebook et Instagram pour les élections européennes.

    L’entreprise de Mark Zuckerberg a prévu de lancer deux outils appelés « Election Day Information » (EDI) et Voter Information Unit (VIU). Et, selon l’autorité, Meta récupérerait et traiterait des données concernant l’utilisation de ces outils.

    L’AEPD veut, par cette mesure, empêcher « la collecte de données, le profilage des utilisateurs et le transfert d’informations à des tiers, afin d’éviter que les données personnelles ne soient utilisées par des tiers inconnus et à des fins non explicites ». Cette interdiction aura une durée maximale de trois mois. Meta ne devrait donc pas pouvoir les mettre en place en Espagne lors du scrutin européen.

    La CNIL espagnole considère que le traitement des données prévu par Meta implique une action contraire au RGPD. Au minimum, elle « violerait les principes de protection des données que sont la licéité, la minimisation, et la limitation du stockage ».

    Selon l’agence, ces deux fonctionnalités traiteraient des données personnelles « telles que, entre autres, le nom de l’utilisateur, l’adresse IP, l’âge et le sexe ou des informations sur la manière dont l’utilisateur interagit avec ces fonctionnalités ».

    Éviter un nouveau Cambridge Analytica

    Pour l’autorité, cette récupération et ce stockage des données « mettraient gravement en péril les droits et libertés des utilisateurs d’Instagram et de Facebook, qui verraient augmenter le volume d’informations que Meta collecte à leur sujet, permettant un profilage plus complexe, détaillé et exhaustif, et générant un traitement plus intrusif ».

    Elle ajoute que donner accès à ces informations à des acteurs tiers « entraînerait une ingérence disproportionnée dans les droits et libertés des personnes concernées ».

    Si l’autorité ne le mentionne pas, cette peur qu’elle évoque rappelle l’utilisation des données de millions d’utilisateurs de Facebook lors du scandale de Cambridge Analytica.

    Prévues dans toute l’Europe à l’exception de l’Italie

    L’AEPD explique que Meta lui a indiqué vouloir lancer ces fonctionnalités pour tous les utilisateurs de ses services qui pourront voter aux élections européennes, « _à l’exception de l’Italie, dont l’autorité de protection des données a déjà entamé une procédure à ce suje_t ».

    En effet, en septembre 2022, l’autorité italienne (GPDP) avait déjà mis en place une procédure contre Meta à propos des élections nationales. Elle y évoquait d’ailleurs plus explicitement le scandale Cambridge Analytica.

    Interrogée par TechCrunch, Meta a répondu : « nos outils électoraux ont été expressément conçus pour respecter la vie privée des utilisateurs et se conformer au RGPD. Bien que nous ne soyons pas d’accord avec l’évaluation de l’AEPD, nous avons coopéré ».

    Source : next.ink

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    Abrutissons l’I.A. avec des données fantaisistes, c’est à notre portée! et ça pourrait même être drôle :ahah:

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    Et hop une base de plus sur le net en circulation

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    Microsoft retire la version préliminaire de Windows 11 24H2 après une controverse sur recall

    Ce n’est probablement pas une coïncidence si Microsoft a également discrètement retiré la version de la mise à jour Windows 11 24H2 qu’il avait testée dans son canal Release Preview pour Windows Insiders. Il n’est pas rare que Microsoft arrête de distribuer une version bêta de Windows après sa publication, mais le canal Release Preview est généralement le dernier arrêt pour une mise à jour de Windows avant une version plus large.

    La version extraite de Windows 11 24H2 continuera de fonctionner si vous l’avez déjà téléchargée et installée, mais elle ne sera plus proposée aux personnes qui optent pour le canal Release Preview sur les PC exécutant une ancienne version de Windows 11 comme 22H2 ou 23H2. Vous pouvez toujours télécharger une version légèrement plus ancienne, version 26100.560, au format ISO sur le site Web Windows Insider ; cette version pourra toujours être mise à jour vers la nouvelle version Release Preview chaque fois que Microsoft jugera opportun de la publier.

    Source et plus: https://arstechnica.com/gadgets/2024/06/microsoft-pulls-release-preview-build-of-windows-11-24h2-after-recall-controversy/

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    @Popaul Aucun risque, je ne fréquente pas les zéros sociaux 🙂

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    @Indigostar a dit dans Une nouvelle salve de 22 satellites Starlink lancés en orbite basse :

    L’homme a tendance à privilégier ses intérêts à court terme.

    Ça doit venir de notre faible durée de vie :ahah: quand on vivra 600 ans on fera plus gaffe, promis. :mouhaha:

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    Ben on y est, il faut une IA pour résumer les articles ici … krkrkrkrkrkrkr

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    @Violence a dit dans Regardez un moteur à 6 axes résoudre un Rubik's Cube en moins d'un tiers de seconde :

    Il est surtout hpi, il en joue même des fois.

    Moi je trouve ça très bien, trop, souvent en souffrent, alors autant en jouer parfois.

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    –Rien de très étonnant au regard des exigences posées par windows 11, même si elles sont encore contournables.–

    Le support prend fin l’année prochaine, mais Windows 10 reste la version du système d’exploitation la plus utilisée.

    En octobre 2025, Microsoft cessera de prendre en charge Windows 10 pour la plupart des utilisateurs de PC, ce qui signifie plus de support technique et (surtout) plus de mises à jour de sécurité, à moins que vous ne décidiez de les payer . Pour encourager l’adoption, la grande majorité des nouveaux développements Windows se déroulent dans Windows 11, qui recevra l’une de ses plus grandes mises à jour depuis sa sortie cet automne.

    Mais Windows 10 projette une ombre longue. Il reste la version la plus utilisée de Windows selon toutes les mesures accessibles au public, y compris Statcounter (où la croissance de Windows 11 a largement stagné toute l’année) et Steam Hardware Survey . Et en novembre dernier, Microsoft a décidé de publier un lot assez important de mises à jour de Windows 10 qui introduisaient le chatbot Copilot et d’autres modifications du système d’exploitation vieillissant.

    Ce n’est peut-être pas la fin du chemin. Microsoft a annoncé la réouverture d’un canal bêta Windows Insider pour les PC exécutant toujours Windows 10, qui sera utilisé pour tester “de nouvelles fonctionnalités et d’autres améliorations de Windows 10 si nécessaire”. Les utilisateurs peuvent opter pour le canal bêta de Windows 10, que leur PC réponde ou non aux exigences de Windows 11 ; si votre PC est compatible, l’inscription aux canaux Dev ou Canary les moins stables mettra toujours à niveau votre PC vers Windows 11.

    Toutes les nouvelles fonctionnalités de Windows 10 publiées seront ajoutées à Windows 10 22H2 du système d’exploitation , la dernière mise à jour annuelle majeure . Comme d’habitude pour les versions de Windows Insider, Microsoft peut choisir de ne pas publier toutes les nouvelles fonctionnalités qu’il teste, et de nouvelles fonctionnalités seront publiées pour la version publique de Windows 10 “quand elles seront prêtes”.

    Une chose que ce nouveau programme bêta ne change pas est la date de fin de support pour Windows 10, qui, selon Microsoft, est toujours le 14 octobre 2025. Microsoft affirme que rejoindre le programme bêta ne prolonge pas le support. La seule façon de continuer à recevoir les mises à jour de sécurité de Windows 10 au-delà de 2025 est de payer pour le programme Extended Security Updates (ESU) ; Microsoft prévoit de proposer ces mises à jour aux utilisateurs individuels mais n’a toujours pas annoncé de tarifs pour les particuliers. Les entreprises paieront jusqu’à 61 $ par PC pour la première année de mises à jour, tandis que les écoles ne paieront que 1 $ par PC.

    Programme bêta ou non, nous ne nous attendons toujours pas à ce que Windows 10 change radicalement d’ici sa date de fin de support. Nous pensons que la plupart des changements concerneront l’assistant Copilot, étant donné l’agressivité avec laquelle Microsoft a décidé d’ajouter l’IA générative à tous ses produits. Par exemple, la version Windows 11 de Copilot perd sa balise « aperçu » et devient une application qui s’exécute dans une fenêtre normale plutôt que dans une barre latérale persistante, des changements que Microsoft pourrait également choisir d’implémenter dans Windows 10.

    Source: https://arstechnica.com/gadgets/2024/06/microsoft-reopens-beta-program-to-test-new-features-for-windows-10/$¨

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    32 millions de possibilités 500 000 candidats après filtrage par une I.A. spécialisée 800 Après calculs Hautes performances 150 après simulation 18 avec une A.I. Assistée 1 seul candidat retenu

    Reste les problèmes de faisabilité, de coût, d’approvisionnement, de fabrication en masse, de risques (chimiques, explosifs).

    La vidéo est très intéressante et rentre dans les détails tout en restant à un niveau général.

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    L’intelligence artificielle et surtout les grands modèles de langage ont des conséquences directes sur la consommation électrique du numérique. Deux pistes sont mises en avant par le CNRS pour limiter ses effets. Améliorer l’efficacité des algorithmes et des datacenters, et/ou revoir les usages.

    Qui dit en ce moment intelligence artificielle, dit obligatoirement amoncellement de données, entraînement et, en ce moment, (grands) modèles de langage. Pour gérer tout ce petit monde, il faut des datacenters, qui consomment de l’électricité et des ressources (eau par exemple).

    En quelques mois, les agents conversationnels sont devenus omniprésents. Les annonces pleuvent durant les conférences des géants du Net. Dernier exemple en date : Ignite de Microsoft. Face à ces changements importants, le CNRS soulève une question plus compliquée qu’il n’y parait : « quel est le véritable poids de l’IA ? ».

    Comment trier la consommation du numérique ?

    Le numérique est présent dans quasiment tous les secteurs, ce qui n’est pas sans conséquences sur les études d’impact environnemental. En quelques questions, Denis Trystram (Institut polytechnique de Grenoble et membre du Laboratoire d’informatique de Grenoble) met en lumière une partie du problème.

    « Par exemple, faut-il entrer la consommation des véhicules Tesla dans la catégorie du transport ou du numérique ? Est-ce que l’énergie utilisée pour la commande de billets en ligne doit aller dans le bilan du transport ferroviaire ou rester dans celui d’Internet ? ». On peut certainement trouver d’autres exemples à la pelle, mais vous avez l’idée.

    De manière globale, les études estiment que le numérique représente 4 à 5 % (parfois avec ± 1/2 % d’écart, mais l’idée reste la même) de la consommation électrique mondiale. L’intelligence artificielle pourrait provoquer une augmentation plus rapide que prévu de ce pourcentage. Il n’avait pas besoin de l’IA pour grimper.

    « Déjà plus consommateur que l’aviation civile, le numérique pourrait peser autant que le secteur des transports dès 2025. À eux seuls, les datacenters (centre de données) absorbent 1 % de l’électricité planétaire », affirme le chercheur Denis Trystram. Suivant les études, les chiffres bougent un peu, mais toutes pointent du doigt de fortes augmentations dans les années à venir.

    L’Edge computing à la rescousse ?

    Le chercheur Denis Trystram travaille aussi sur l’Edge computing, ou informatique en périphérie. Nous avons pour rappel publié un dossier sur les principales notions du cloud. Le but est de rapprocher le stockage et le traitement des données de l’endroit où elles sont produites. Cela pour éviter la circulation de grandes quantités d’informations sur les réseaux.

    Dans [un article de septembre](https://next.ink/117857/usages-et-frugalite-quelle-place-pour-les-ia-dans-la-societe-de-demain//http://La quantité de données numériques créées ou répliquées dans le monde ne cesse de gonfler. Entre 2010 à 2020, elle est passée de deux zettaoctets (Zo) – soit 2 000 milliards de gigaoctets (Go) – à 64 Zo. Pis, les prévisions annoncent 181 Zo en 2025), le CNRS donnait quelques chiffres, en se basant sur une étude Statista de 2021. « La quantité de données numériques créées ou répliquées dans le monde ne cesse de gonfler. Entre 2010 à 2020, elle est passée de 2 zettaoctets (Zo) – soit 2 000 milliards de gigaoctets (Go) – à 64 Zo ». Pour 2025, les prévisions tablent sur… 181 Zo, soit presque trois fois plus.

    Les serveurs et objets connectés en Edge sont bien moins puissants que les gros datacenters, mais « ils sont aussi et surtout moins coûteux et moins énergivores ». Selon le chercheur, « il n’est pas possible d’y entraîner des modèles d’IA complexes, mais on peut néanmoins y faire tourner des algorithmes déjà opérationnels ».

    « Savoir ce que coûtent réellement des pratiques à présent courantes »

    L’Edge computing permet donc de proposer des IA plus frugales par rapport à tout centraliser dans des datacenters. La mutualisation permet aussi d’optimiser les ressources. Comme souvent dans ce genre de situation, il n’est pas évident de trouver le bon équilibre. D’autant plus difficile que le point d’équilibre peut varier suivant les besoins et les usages.

    « En l’absence de solution technique miracle qui gommera d’un coup la demande énergétique du numérique, la responsabilisation des usagers est vue comme une piste essentielle. Et pour cela, il est nécessaire de savoir ce que coûtent réellement des pratiques à présent courantes », explique le CNRS. Un sujet déjà abordé à de nombreuses reprises, mais ô combien délicat.

    Première réaction : « continuer comme avant » et optimiser

    Pour Denis Trystram, il y a deux réactions possibles face à la folle augmentation de la consommation du numérique.

    « La plus simple, celle des géants du Web, est de continuer comme avant, tout en affirmant que les centres de données sont plus verts. Or, le zéro carbone n’est jamais atteint si l’on prend en compte tous les paramètres matériels ». Il ajoute que « l’optimisation des performances permet de réduire jusqu’à 30 à 40 % de l’impact énergétique des grandes plateformes numériques ».

    Le problème étant que ces gains sont rapidement « effacés par l’accélération des usages ». Un sujet que l’on retrouve aussi dans le monde de la téléphonie mobile : la 5G permet de diminuer la consommation et l’empreinte des réseaux, mais décuple les usages et donc la consommation…

    Deuxième réaction : revoir les usages

    L’autre solution, plus radicale, est de « remettre en cause le modèle tout entier, interroger les comportements et déterminer quels usages sont véritablement nécessaires ». Une piste déjà évoquée par le GDS EcoInfo, un groupement de service du CNRS.

    Le discours était exactement le même : « On ne pourra pas maîtriser la consommation énergétique des réseaux mobiles sans imposer une forme de limitation dans les usages […] Malgré des gains considérables en termes d’efficacité énergétique, force est de constater que l’augmentation du trafic de données a au moins compensé ces gains ».

    Rien d’étonnant… puisque Denis Trystram est un des membres actifs du GDS EcoInfo. Ce n’est pas la première fois que ce discours apparait dans les publications du CNRS, le Centre souhaite-t-il faire passer un message ?

    L’IA est aussi un vecteur de croissance économique

    Le CNRS donne aussi la parole à Gilles Sassatelli (directeur de recherche au Laboratoire d’informatique, de robotique et de microélectronique de Montpellier). Il ajoute une dimension économique à la question de la consommation et des usages. « Il ne faut pas se leurrer, l’IA est considérée comme un vecteur de croissance économique par beaucoup de secteurs d’activité. En l’état, tous les progrès scientifiques en l’efficacité énergétique des IA seront annulés par effet rebond ».

    Pour simplifier, au lieu de réduire la consommation du numérique, les économies sont « perçues comme une opportunité d’utiliser davantage les outils numériques ». Cette manière de voir les choses est la conséquence directe d’une croyance populaire : « plus un modèle est gros, meilleur il est ». Pour preuve, la surenchère de gros chiffres lorsqu’il est question de grands modèles de langage, avec celui qui aura le plus de milliards de paramètres dans son communiqué.

    Les mathématiques à l’aide pour réduire la consommation ?

    Pour le CNRS, il faut axer la recherche sur l’efficacité énergétique des modèles. Le Centre donne une piste : « on peut réaliser des économies significatives en identifiant les endroits où l’on peut réduire drastiquement la précision des calculs dans les réseaux de neurones ».

    Augmenter la précision permet d’avoir des résultats plus proches de la réalité (voire exacts), mais ce n’est pas toujours nécessaire et quelques approximations peuvent considérablement changer la puissance de calcul nécessaire. Diviser par deux la précision peut doubler les performances.

    Sur le papier, l’idée est séduisante, mais aucun modèle du genre « ne passe réellement à l’échelle et ne peut rivaliser avec ceux d’IA conventionnels en production », tempère Gilles Sassatelli.

    Alors que revoilà les perfs et la « conso » du cerveau

    Et on en arrive comme souvent en pareille situation à une comparaison avec un formidable outil dont tout le monde dispose et que les chercheurs aimeraient dupliquer : le cerveau humain. Il nous montre « que les possibilités de progrès sont énormes, car il parvient à accomplir toutes ses tâches avec seulement une dizaine de watts, soit moins que l’énergie nécessaire à une lampe de chevet ».

    La conclusion soulève une question au cœur du sujet. Elle n’est pas scientifique ou informatique, mais sociétale : « quelle place souhaitons-nous que les IA occupent dans la société de demain ? ».

    Source : next.ink

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    @Violence Damned, mais c’est la fission nucléaire que tu nous décris là! :ahah: la chaîne du bonheur qui aurait abouti. :ahah:

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    L’idée a été reprise d’un film allemand,

    un mec branleur comme pas deux, qui se retrouve prof en lycée et ça part en cacahuète lol