Actualités High-Tech

1.4k Sujets 7.4k Messages
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    Du peu que l’article est dispo, 2 chose me taquinent.

    Des datas publico-étatiques devraient rester dans des “coffres” étatiques, non ? et pas confiées à du privé. Même si on pourrait débattre de cette volonté à tout vouloir planquer/secretiser. J’ai pas de mots poli pour exprimer ce que je pense de ces entreprises qui ne peuvent pas te garantir le côté secret de ce que tu leur confie.
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    J’ai retrouvé ce lien intéressant

    https://www.leto.legal/guides/comment-securiser-votre-utilisation-doffice-365-vis-a-vis-du-rgpd

    Office 365 : hébergement des données en France

    Microsoft a ouvert des datacenters en France afin que les données des utilisateurs d’office 365 y soient hébergés. Vous n’avez rien à faire pour cela. En effet, dès qu’un utilisateur souscrit un abonnement, ses données sont automatiquement hébergées en France, sans surcoût et avec le même niveau de service.

    De plus, la firme a indiqué qu’elle s’opposerait à toute demande d’accès aux données de la part des autorités gouvernementales Américaines.

    En proposant le traitement et le stockage des données sur des serveurs situés dans l’ union européenne, Microsoft montre sa volonté de se conformer au RGPD et de protéger la vie privée de ses utilisateurs.

    ⚠️ Cependant, si vous utilisez Microsoft 365, il s’agit d’un transfert vers les états unis même si les données sont hébergées sur des serveurs localisés en Europe.

    Perso je bloque toute La suite office dans les écoles et ça gueule fort (ça va aller jusqu’en conseil d’école, on va voir si les élus portent leur couilles, ce qui m’étonnerait fort). Seule l’appli en ligne est toléré mais si ils se font choper par leur employeur, c’est leur problème, pas le mien 😁

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    En même temps c’est du bon sens j’ai envie de dire, un logiciel potentiellement installé sur des millions de PC Américains, vu ce qu’il se passe en ce moment, perso il n’y a rien qui me choque…

  • SFR continue de creuser ses pertes, à tous les niveaux

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    @Ashura
    Ca existait déjà et j’étais pas encore né… :mrpurple:
    (Argot) Argent que l’on a épargné, économisé avec l’idée d’avoir dissimulé celui-ci.
    "Et puis ici, à Compiègne, la taule est moins grande qu’à Fontainebleau, les pièces se chauffent mieux : confort et éconocroques ! (Pierre Devaux, La Reine mère, éditions Pierre Trémois, 1945, page 80)

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    @Violence espérons que ça passe pas, le peu de vie privée qui nous restent

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    Leur message est assez bien réalisé et relativement crédible. On pourrait presque saluer la créativité derrière cette escroquerie…

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    Dans un an, après moult réunions, ils auront décidé du sigle officiel du bureau de l’IA, et pourront enfin commencer à se pencher sur le sujet. Confiants, en opinant du chef et tous sourires, ils se diront alors qu’ils n’étaient pas trop de trois.

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    Human Right Watch a analysé une partie de la base de données LAION-5B très utilisée pour entrainer des outils d’IA générateurs d’images et s’est rendu compte qu’elle contiendrait des liens vers des photos d’enfants brésiliens sans leur consentement.

    L’ONG Human right watch explique avoir repéré des photos personnelles d’enfants brésiliens dans la base de données LAION-5B. Créée le professeur de lycée allemand Christoph Schuhmann, celle-ci a été notamment utilisée par Stable Diffusion et par Google pour entrainer leurs modèles d’IA génératives de text-to-image.

    Une toute petite partie de la base de données explorée

    Ces photos ne figurent pas en tant que telles dans la base de données. LAION-5B liste notamment des liens vers diverses photos qui ont été mises en ligne qu’elle associe à du texte. Elle s’appuie sur l’autre base de données Common Crawl qui parcourt internet et stocke les contenus trouvés.

    La chercheuse de l’ONG, Hye Jung Han, a examiné une toute petite partie de LAION-5B (moins de 0,0001 % des 5,85 milliards d’images) mais a trouvé 170 photos d’enfants brésiliens venant d’au moins 10 États du pays.

    Des photos de moments intimes

    La plupart de ces photos n’ont été vues que par très peu de personne et « semblent avoir bénéficié auparavant d’une certaine intimité » explique Human Rights Watch, qui a vérifié en utilisant des moteurs de recherche.

    L’ONG affirme que LAION, l’association allemande fondée par Schuhmann pour gérer la base de données, a confirmé l’existence des liens vers ces photos dans sa base de données et a promis de les supprimer. Mais elle a ajouté qu’il incombait aux enfants et à leurs tuteurs de retirer les photos personnelles des enfants de l’internet, ce qui, selon elle, constitue la protection la plus efficace contre les abus.

    Dans une réponse à Wired, LAION a affirmé avoir supprimé les liens vers les contenus signalés par Human Right Watch. Mais un de ses représentants a ajouté que « la suppression des liens d’un ensemble de données LAION ne supprime pas ce contenu du web […] il s’agit d’un problème plus vaste et très préoccupant, et en tant qu’organisation bénévole à but non lucratif, nous ferons notre part pour y remédier ».

    Selon l’association, les photos listées par LAION représentaient « des moments intimes comme des bébés naissant entre les mains gantées de médecins, des jeunes enfants soufflant les bougies de leur gâteau d’anniversaire ou dansant en sous-vêtements à la maison, d’élèves faisant un exposé à l’école et d’adolescents posant pour des photos à carnaval du lycée ».

    Hye Jung Han explique à Wired que « leur vie privée est violée en premier lieu lorsque leur photo est récupérée et intégrée dans ces ensembles de données. Ensuite, ces outils d’intelligence artificielle sont entrainés à partir de ces données et peuvent donc créer des images réalistes d’enfants ». Elle ajoute que « la technologie est développée de telle sorte que tout enfant qui possède une photo ou une vidéo de lui en ligne est désormais en danger, car n’importe quel acteur malveillant pourrait prendre cette photo, puis utiliser ces outils pour la manipuler à sa guise ».

    LAION-5B plus accessible publiquement

    Depuis décembre dernier, LAION-5B n’est plus accessible publiquement. L’association a pris cette décision car des chercheurs de Stanford ont identifié 3 226 liens vers des images pédocriminelles potentielles. « La plupart d’entre elles ont été identifiées comme telles par des tierces parties » expliquaient-ils.

    Dans un communiqué sur son site, LAION affirmait qu’elle appliquait «  une politique de tolérance zéro à l’égard des contenus illégaux et, dans un souci de prudence, nous retirons temporairement les jeux de données de LAION pour nous assurer qu’ils sont sûrs avant de les republier ».

    Source : next.ink

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    Non non ne vous inquiétez pas, on aura jamais de modèle à la chinoise

    Yeet Cowboy GIF

    On y est

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    Mes chats se chargent très bien de genre de boulot 🙂

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    @Raccoon a dit dans Tesla : d’importants actionnaires contre les 56 milliards de dollars pour Elon Musk :

    Le fonds souverain de Norvège, le plus important au monde

    C’est pas Blackrock Le 1er ?

    En tout cas musk doit faire la gueule, passer à côté de 60 milliards ça doit enerver un peu

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    Comme déjà dit, c’est ce qu’internet est devenu qui s’est barré en fusée.
    Me souviens des débuts de facebook ou je trouvais l’idée innocemment géniale. Se partager nos nouvelles entre nous !
    Je n’ai pas besoin de vous dire ce qu’on partage finalement.

    Après, c’est vrai qu’il existe des espaces plus respectueux ^^
    Mais difficile d’organiser une rioule entre nous parce qu’on risquerait de vois débarquer une armée de poulaga.
    Nous sommes de vilains pirates qui partageons de la culture.
    Inadmissible !!!

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    C’est devenu une belle merde twitch, ça + les abonnements qui ont augmentés, le nue qui est autorisé vu que ça rapporte, les modos tendance gauchiste du coup c’est pas impartial…

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    osef le foot 😉

    y’a encore des pôv mecs qui vont trinquer Grrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr

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    Depuis le temps qu’on le dit c’est pas des dns fiable, go crypto dns, no logs, pas de censure, choix du pays

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    Depuis l’été 2023, l’application mobile Carte Vitale est proposée en test dans huit départements : Alpes-Maritimes, Bas-Rhin, Loire-Atlantique, Puy-de-Dôme, Rhône, Saône-et-Loire, Sarthe et Seine-Maritime.

    Disponible sur Android et iOS, elle peut désormais être utilisée dans quinze départements supplémentaires : Ain, Allier, Alpes-de-Haute-Provence, Ardèche, Bouches-du-Rhône, Cantal, Drôme, Hautes-Alpes, Haute-Loire, Haute-Savoie, Isère, Loire, Savoie, Var et Vaucluse.

    Comme le signalent nos confrères d’iGeneration, les conditions évoluent légèrement. Il faut toujours un smartphone sous Android 7 ou iOS 12 au moins, disposer d’une pièce d’identité en cours de validité et être affilié à un organisme de l’Assurance Maladie, de la MSA ou de la MGEN. Une condition supplémentaire a été ajoutée : avoir ouvert un compte ou un espace assuré sur le site de son organisme d’assurance maladie.

    La dernière mouture de l’application est disponible depuis hier et corrige certains problèmes. iGeneration ajoute en revanche que la photo de profil reste extraite automatiquement de la vidéo utilisée pour la reconnaissance faciale et n’est donc « pas toujours flatteuse ».

    En outre, l’application semble encore peu prise en charge par les médecins. La version Android permet de présenter sa carte Vitale par code QR ou NFC, quand celle pour iPhone doit se contenter du code QR, en tout cas pour l’instant.

    Source : next.ink

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    Voilà ça commence, les abus étaient courus d’avance

    Ça fait 5 photos par personnes qu’ils ont de nous 😁

  • L'I.A. Stable Diffussion 3 génère des horreurs

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    Ou alors une vision futuriste de ce que sera l’être humain dans quelques décennies :lol:

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    En amont des élections législatives européennes, les géants numériques financent les partis libéraux.

    Les élections européennes commenceront le 6 juin aux Pays-Bas et se poursuivront jusqu’au 9 juin, mais les géants de la tech sont déjà sur les rangs pour se trouver des soutiens.

    Selon les données de l’Autorité pour les partis politiques européens et les fondations politiques européennes, Google, Apple et Microsoft ont tous versé des dons aux principaux think-tanks politiques, voire aux partis politiques européens eux-mêmes. Cumulées, ces dons font de la tech l’industrie qui a le plus contribué en amont des élections parlementaires, relève Politico.

    L’alliance des libéraux et démocrates et son think tank, principaux bénéficiaires

    Dans le détail, c’est l’Alliance des libéraux et démocrates pour l’Europe (ALDE) et son think tank European Liberal Forum (ELF) qui ont attiré le plus de financement. Microsoft et Qualcomm (via sa branche française) ont respectivement versé 18 000 euros, soit le maximum légal, à l’ALDE. L’ELF a reçu 5 000 euros supplémentaires de Microsoft et 18 000 euros d’Apple et de la branche irlandaise de Google respectivement.

    Autre bénéficiaire : le Wilfried Martens Centre du Parti populaire européen (PPE) a reçu 8 000 euros de la branche belge de Google ainsi que d’Intel et d’Apple.

    Lobbying par financement

    Si ces dons sont parfaitement légaux, ils restent une manière d’influencer le champ politique européen. Divers travaux, dont l’ouvrage The Misinformation Age de Cailin O’Connor et James Weatherall (Yale University, 2019), ont souligné à répétition la propension des grandes entreprises en général – et des géants du numérique en particulier – à influencer la recherche académique et les décisions politiques par la simple orientation de leurs moyens financiers.

    Une autre manière de faire, toujours en s’aidant de fonds, consiste à utiliser des relais locaux. En mars, l’association Corporate Europe Observatory regrettait ainsi publiquement que des start-ups européennes comme Mistral AI ou Aleph Alpha aient, chacune, œuvré pour orienter la rédaction de l’AI Act en faveur des intérêts des géants états-uniens.

    En amont des élections parlementaires européennes, Corporate Europe Observatory a d’ailleurs publié un guide à destination des candidats aux européennes pour les aider à identifier et manœuvrer le lobbying des grandes entreprises.

    Source : next.ink