Actualités High-Tech

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    Nvidia a récemment publié une version bêta de Eye Contact , une fonctionnalité vidéo logicielle alimentée par l’IA qui maintient automatiquement le contact visuel pour vous lorsque vous êtes devant la caméra en estimant et en alignant le regard. Il est livré avec la version 1.4 de son Broadcast , et la société recherche des commentaires sur la façon de l’améliorer. À certains égards, la technologie peut être trop bonne car elle ne rompt jamais le contact visuel, ce qui semble parfois contre nature et effrayant.
    Lectures complémentaires
    Nvidia permet désormais l’annulation du bruit “RTX Voice” sur les cartes de niveau GTX

    Pour obtenir son effet, Eye Contact remplace vos yeux dans le flux vidéo par des globes oculaires simulés contrôlés par logiciel qui regardent toujours directement dans la caméra, même si vous regardez ailleurs dans la vraie vie. Les faux yeux tentent de reproduire la couleur naturelle de vos yeux et ils clignotent même lorsque vous le faites.

    Jusqu’à présent, la réponse à la nouvelle fonctionnalité de Nvidia sur les réseaux sociaux a été largement négative.

    Un ancien présentateur de nouvelles télévisées nommé Scott Baker a également parlé de Nvidia Eye Contact avec son analyse : " En tant que présentateur de nouvelles télévisées pendant des décennies… ce n’est pas tout à fait la bonne approche. Pour rendre la communication efficace… il faut naturellement rompre contact visuel avec la caméra (comme vous le feriez dans la vraie vie) assez souvent. Le pouvoir du contact visuel dans la communication humaine fait l’objet de recherches approfondies. Fixer les yeux sur quelqu’un pendant plus de 7 à 10 secondes est intuitivement considéré comme effrayant ou inconfortable. Vrai à travers à table, devant un groupe ou à travers une caméra."

    Ce n’est pas la première fois qu’une entreprise utilise des globes oculaires simulés pour maintenir le contact visuel lors d’appels vidéo ou de flux vidéo. En 2019, Apple a introduit sa fonction “Eye Contact” dans FaceTime qui a gardé vos mirettes toujours collées à l’appareil photo. Comme la version de la technologie de Nvidia, elle a également fait face à un accueil généralement négatif lors de son lancement.

    Mais bon, si le contact visuel ininterrompu et déchirant est votre truc, vous pouvez exécuter Eye Contact vous-même en téléchargeant gratuitement Nvidia Broadcast sur le site Web de la société. Cela nécessite Windows, une carte graphique Nvidia RTX et un profond désir de faire paniquer quiconque regarde votre vidéo.

    Source: https://arstechnica.com/information-technology/2023/01/with-nvidia-eye-contact-youll-never-look-away-from-a-camera-again/

  • Microsoft assure avoir réparé une panne mondiale

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    :" J’ai un devoir à rendre dans une demi-heure sur Teams et les serveurs ne fonctionnent pas en Inde"

    en même temps si c’est une panne générale les profs peuvent comprendre :x

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    Deux chercheurs de l’Université de Birmingham ont découvert que la carte mère Supermicro X11SSL, largement utilisée dans les serveurs, comportait des failles logicielles pouvant être exploitées à distance par des pirates informatiques pour induire des fautes matérielles sur le CPU principal. En injectant leur propre code, ils ont modifié les tensions envoyées au CPU, menant à sa destruction.

    Les cartes mères des serveurs modernes contiennent de nombreux composants, parmi lesquels des régulateurs de tension pour la gestion de l’alimentation. Ces composants sont connectés au processeur (CPU) et au contrôleur de gestion de carte mère (ou BMC, pour Baseboard Management Controller) via le PMBus, un protocole de communication basé sur I2C, destiné à la gestion de l’alimentation et adopté par plus de 40 constructeurs. Zitai Chen et David Oswald ont découvert qu’une carte mère couramment utilisée dans les serveurs (Supermicro X11SSL) comportait des failles particulièrement dangereuses.

    Dans un article de pré-impression, ils montrent comment des failles logicielles repérées dans le BMC (ou d’autres processeurs ayant accès au PMBus) peuvent être utilisées pour accéder au PMBus afin de lancer des attaques par injection de fautes matérielles sur le CPU principal. « Nos attaques, appelées PMFault ne nécessitent pas d’accès physique à la carte mère du serveur, ni la connaissance des informations d’identification du BMC », précisent-ils dans leur article. Ils ont évidemment signalé le problème à Supermicro.

    Prendre le contrôle du BMC pour viser le CPU

    « Le contrôleur de gestion de carte (BMC) dispose d’un bus de circuit inter-intégré (I2C), qui peut permettre aux changements de tension d’être en dehors de la plage de fonctionnement spécifiée pour le processeur et, par conséquent, d’affecter les calculs normaux », a déclaré Supermicro dans un communiqué, après avoir été avertie par les deux chercheurs. La société précise qu’il s’agit d’une faille de gravité « élevée » et que le BMC des cartes mères concernées doit être mis à jour pour éliminer cette vulnérabilité.

    connexions-carte-mere.jpg
    Aperçu des connexions entre les composants de la carte mère. © Z. Chen et al.

    D’autres constructeurs ont déjà fait les frais d’attaques ciblant directement le matériel : fin 2019, les puces Intel étaient la cible d’une attaque appelée Plundervolt, qui exploitait une fonction non documentée des processeurs pour modifier leur limite de tension d’alimentation et déclencher des erreurs de calcul. Par ce biais, il était possible de contourner les protections de sécurité fournies par la technologie Software Guard Extensions (SGX) — l’environnement d’exécution sécurisé d’Intel — intégrée aux processeurs.

    Cette technologie permet de créer des « enclaves », dans lesquelles le processeur chiffre une partie de la mémoire, qui devient dès lors inaccessible à tout programme extérieur à l’enclave. Mais le fait de modifier la tension fournie au processeur au moment du chiffrement entraîne un chiffrement moins robuste et permet aux pirates d’accéder plus facilement aux données sensibles de la mémoire. Bien d’autres attaques (comme CLKSCREW, V0ltPwn et VoltJockey) ont montré qu’une sous- ou surtension peut être utilisée pour créer des erreurs de calcul et ainsi briser les environnements d’exécution de confiance.

    Le type d’attaque mis en œuvre par Chen et Ostwald est assez similaire. Ils ont découvert que le BMC de la carte Supermicro X11SSL pouvait être exploité de façon malveillante, car il a été conçu pour permettre le contrôle à distance du serveur (via SSH) en cas de panne du CPU ; or, ce composant possède plusieurs connexions à d’autres bus et puces de la carte mère, y compris le bus I2C où se trouve le module de régulation de la tension.

    Une nouvelle possibilité d’attaque par survoltage

    « Les faiblesses sous-jacentes comprennent des mécanismes non sécurisés de chiffrement et de signature des micrologiciels, un manque d’authentification pour le processus de mise à jour des micrologiciels et l’interface de contrôle IPMI KCS, ainsi que la conception de la carte mère (avec le PMBus connecté au BMC et au SMBus par défaut) », détaillent-ils.

    Les deux chercheurs soulignent que la position privilégiée du BMC, combinée à sa grande surface d’action, rend intéressant — du point de vue d’un pirate informatique — d’exploiter les vulnérabilités du système par le biais des fonctions de gestion de l’énergie. Ils ont ainsi écrit un nouveau code qu’ils ont injecté dans le BMC pour en prendre le contrôle, de manière à envoyer via le PMBus des commandes arbitraires de contrôle de la tension du CPU.

    schema-attaque-pmfault.jpg
    Vue d’ensemble de l’attaque PMFault. Avec un accès root à l’OS ou un accès au BMC via Ethernet ou l’interface KCS (Keyboard Controller Style), l’attaquant peut effectuer une mise à jour malveillante du firmware (microprogramme) du BMC, puis prendre le contrôle du PMBus. Il peut également utiliser la commande ipmi i2c pour contrôler directement le PMBus via le BMC. L’attaquant peut ensuite appliquer une surtension pour endommager le processeur ou une sous-tension pour injecter des défauts dans le SGX. © Z. Chen et al.

    Ils ont montré que leur approche d’undervolting à travers le PMBus permet même de contourner les contre-mesures mises en place par Intel contre les attaques précédentes (telles que Plundervolt ou V0ltPwn) et donc, de briser les garanties d’intégrité des enclaves SGX — ce qui permet notamment d’accéder au clés de chiffrement. Enfin, ils ont mis en évidence une nouvelle possibilité d’attaque par survoltage : en envoyant une certaine séquence de commandes PMBus, ils peuvent appliquer une tension au CPU Intel Xeon bien supérieure à sa limite maximale (jusqu’à 2,84 V), pour l’endommager de façon permanente, rendant le serveur inopérant. Le détail de leurs expériences est disponible sur Github.

    Toutes les cartes mères Supermicro de 11e génération présentent ces faiblesses, mais les chercheurs estiment que d’autres fabricants sont sans doute concernés, notamment ASRock. « À notre connaissance, la 12e génération de cartes mères Supermicro, qui a été conçue avant que nous ne signalions la faille à Supermicro, n’est pas vulnérable », ajoutent-ils.

    Source

  • Kodi 20.0

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    @ALRBP a dit dans Kodi 20.0 :

    sérieux, ils auraient pu y penser

    Peut être qu’ils pensaient pour l’avenir avec les prochaines compressions 😁 (av2, av3 etc)

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    je suis dans un épisode du Davinci Jambon ^^

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    @Pollux a dit dans Miroki : le robot enchanteur de Enchanted Tools :

    Des robots !?
    Je ne suis pas certain que ce soit de cela dont l’hôpital a besoin.

    –> Certainement, nous sommes bien d’accord. L’hôpital a besoin dans un premier temps, de plus de soignants, de moyens, de salaires décents et moins d’agents administratif mais ce n’est pas le sujet principal du topic même si il y a une connexion.

    Ceci dit, je pense que dans un second temps, l’utilisation de robots peut être un complément et non pas une solution de remplacement de soignants.

    Il est stipulé ceci dans l’article :

    @Violence a dit dans Miroki : le robot enchanteur de Enchanted Tools :

    Il a été conçu pour être utilisé dans des environnements impliquant des rencontres avec du public tels que les hôpitaux, les maisons de retraite, les aéroports, les salons professionnels, les hôtels ou encore les restaurants.

    L’hôpital n’est donc pas forcément son utilisation unique.

    Dès qu’on parle de robots, il y a une défiance presque directe qui s’installe peu importe son utilisation et je peux le comprendre.

    Personnellement, je ne suis pas réfractaire à l’utilisation de robots pour certaines tâches. Concernant l’hôpital, je reciterai l’article :

    @Violence a dit dans Miroki : le robot enchanteur de Enchanted Tools :

    L’objectif est donc de décharger les personnels de tâches logistiques fatigantes et leur permettre de se concentrer sur les soins, les relations humaines, leur vrai boulot quoi.

    –> J’ai surtout partagé cet article pour saluer la performance technique de ce robot et de cette entreprise - française qui plus est. Je trouve ce projet hallucinant et bien que de telles choses émergent de la part de talents de notre pays. 😉

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    @Tristan-0 a dit dans Parution de la 6ᵉ édition du guide d’autodéfense numérique :

    Ceci dit, quand on se rappelle qu’il y a quelques mois, la majorité de la population a accepté sans broncher de se faire QRCoder/contact-tracer pour pouvoir aller au cinoche ou boire un café

    Face à une pandémie qui a fait 160 000 morts en France (sérieux, à côté de ça, les attentats qu’on utilise pour faire passer des tas de lois sécuritaires, c’est une vaste blague), c’était justifiable (et c’est resté temporaire ; je parle du QR code, le contact tracing lui est mort-né, personne n’en voulait ; j’ai même signé une pétition contre en tant que chercheur en informatique, comme beaucoup de mes pairs). Je n’en dirais pas autant de la soumission aux GAFAM juste pour des services “gratuits” à l’utilité discutable.

  • Comment les pixels espions surveillent nos messageries

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    Selon une nouvelle étude de la société suisse Proton, la moitié des e-mails reçus contiennent des trackers permettant de contrôler le comportement des internautes. Il existe des moyens pour tenter de s’en protéger

    Rien de bien nouveau sous le soleil, le procédé est bien connu, envoyer des liens dans des messages avec des images personnalisées composés de pixels invisibles à l’œil.

    S’en protéger, aussi est facile, il suffit de ne pas charger les images des messages reçus, c’est le cas de Thunderbird qui propose cette option et il faut encore moins de transmettre le message à autrui.

    Ce qui interpelle dans cette étude, c’est la proportion, La moitié des e-mails reçus.

    Vous avez dit vie privée ?

    Voir: https://proton.me/support/email-tracker-protection#spy-trackers

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    @michmich “Vous êtes le maillon faible, au revoir !” 🙂

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    SpaceX prépare le lancement de Starlink en Corée du Sud

    SEOUL, 13 jan. (Yonhap) – SpaceX, la société spatiale américaine appartenant à Elon Musk, a déposé une demande d’enregistrement commercial auprès des autorités sud-coréennes afin de déployer son réseau de service Internet par satellite Starlink, ont déclaré des sources ce vendredi.

    SpaceX a déposé la demande auprès du ministère des Sciences et des TIC au début du mois, selon les sources.

    L’entreprise devrait créer une filiale en Corée du Sud pour pouvoir s’enregistrer.

    Starlink utilise la bande 28 GHz pour fournir du haut débit aux zones rurales et éloignées.

    On ne sait pas encore si la société utilisera la même gamme de fréquences lorsqu’elle commencera à offrir ses services. Elle pourrait ne pas demander de fréquence et proposer un service utilisant des stations terrestres en Chine et au Japon.

    Starlink a déclaré sur son site Web qu’elle lancerait son service Internet dans le pays au cours du deuxième trimestre de cette année.

    Source: https://fr.yna.co.kr/view/AFR20230113003300884?section=news

  • «Mon IA m’a harcelé sexuellement»

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    @duJambon
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    Même si ça peut résoudre des enquêtes,ces technologies comme la vidéo n’empêchent pas les crimes à part les enregistrer au moment où ça se passe. Comme le gars qui a attaqué des gens a la gare du nord ya quelques jours,ça n’aurait pas pu l’empêcher. Donc à part pousser toujours plus loin le curseur de la dérive sécuritaire sous prétexte de prévenir le crime,tout ceci n’est qu’un business juteux pour ceux qui font leur beurre en attisant les peurs…

  • iTunes débarque enfin sur Windows grâce à Apple Music

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    ouai ça fait un bail.

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    Le Consumer Electronics Show de Las Vegas est la grand-messe annuelle des nouvelles technologies et de l’innovation. Voici les gadgets les plus remarquables de l’édition 2023, qui vient de se clôturer.

    Caméléon des routes
    La BMW i Vision Dee a fait énormément de bruit. Concept de voiture électrique, elle parle et est recouverte de plus de 200 panneaux qui lui permettent de changer de couleur à volonté. Son pare-brise est aussi un écran qui vous informe sur tout ce qui vous entoure (panneaux routiers, directions, commerces…) via la réalité augmentée. Des facultés qui semblent aussi impressionnantes qu’inutiles ou potentiellement dangereuses.
    https://www.moustique.be/wp-content/uploads/2023/01/63bd4958a5429-Belgaimage-578700041.jpg

    Toujours plus
    Lenovo, fabricant d’ordinateurs ­portables, a présenté au public son nouveau modèle, hybride entre la tablette et le laptop, mais avec deux écrans. Une idée a priori étrange qui a pourtant déjà séduit toute la presse spécialisée, emballée par ce concept et ses possibilités.
    https://www.moustique.be/wp-content/uploads/2023/01/63bd4957e4382-Belgaimage-579274091.jpg

    On s’y croirait
    La réalité virtuelle continue d’être un sujet majeur dans les allées du Salon. Certaines sociétés, comme OVR Technology, essaient de pousser le concept encore plus loin grâce à la synthétisation d’odeurs, afin qu’un autre de nos cinq sens puisse basculer dans cette nouvelle dimension.
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    Touche-pipi
    Potentiellement très utile mais surprenant, l’U-Scan de Withings est un appareil à coller dans la cuvette des toilettes. Ce petit palet va scanner vos urines et vous informera, via une application, sur votre état de santé et de potentielles anomalies.
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    Le sourcil du détail
    Il n’y avait pas que des entreprises technologiques au CES, L’Oréal aussi était présent avec un nouvel appareil surprenant: le Brow Magic. Un appareil qui utilise la réalité augmentée pour dessiner, ou plutôt tatouer, des sourcils avec une grande précision.
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    Taxis volants
    Côté mobilité, différentes entreprises ont dévoilé des eVTOL, “aéronefs à décollage et atterrissage verticaux électriques”. Plusieurs compagnies aériennes se sont montrées intéressées afin de relier rapidement plusieurs aéroports d’une même métropole.
    https://www.moustique.be/wp-content/uploads/2023/01/63bd49550222b-Belgaimage-578903321.jpg

    Cocorico
    Au CES, la Belgique a été primée championne de l’innovation. Parmi les projets présentés, O-Boy, une montre qui envoie un signal GPS aux secours en cas de détresse, ou Formyfit, application pour monitorer l’activité physique dans les ­écoles et les entreprises.
    https://www.moustique.be/wp-content/uploads/2023/01/63bd4932441fc-O-BOY-satellite-rescue-watch-011.jpg

    Source : https://www.moustique.be/tendances/high-tech/2023/01/11/7-gadgets-quon-utilisera-peut-etre-dans-le-monde-de-demain-254511?utm_medium=Social&utm_source=Twitter#Echobox=1673446306-1

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    ChatGPT : le virage lucratif d’OpenAI, le laboratoire qui voulait “protéger l’humanité”

    Fondée pour “protéger l’humanité contre les dangers de l’IA”, et concurrencer le cerveau humain, l’organisation de recherche s’est peu à peu débarrassée de ses garde-fous éthiques et philantropiques.

    Combien étaient-ils à croire en OpenAI, ce jour-là ? Nous sommes en mai 2019, lors de l’enregistrement de StrictlyVC, une émission consacrée à la Silicon Valley. Devant un public d’initiés, Sam Altman, le président de l’entreprise, s’empêtre. Encore méconnue, sa structure, qui veut construire la première IA aussi intelligente que l’homme, vient de passer “à but lucratif”. Un tournant. Mais pour l’heure, OpenAI “n’a jamais généré de revenu” et n’a “aucune idée de comment faire”, confesse Altman. Il ajoute : “On demandera à notre IA”. Ses auditeurs rient. Etait-il sérieux ?

    Trois ans et demi plus tard, les machines d’OpenAI n’ont pas atteint un tel niveau. Mais l’entreprise a réussi à concevoir un système intelligent, en mesure d’écrire de sommaires mais convaincants discours, pitchs ou poésies. En test gratuit depuis fin 2022, ChatGPT a déjà acquis plusieurs millions d’utilisateurs, et devrait intégrer Bing, le moteur de recherche de Microsoft. Son équivalent pour l’image, Dall-E 2, fait patienter un million de clients sur liste d’attente. Les abonnements à ces outils devraient rapporter un milliard de dollars en 2024, selon l’organisation qui, à ses débuts, se voulait… philanthropique.

    Source: https://www.lexpress.fr/economie/high-tech/chatgpt-le-virage-lucratif-dopenai-le-laboratoire-qui-voulait-proteger-lhumanite-FERMX5QNMVFLRFE3A45T3JF7KU/

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    @Aurel a dit dans Les hackers détournent déjà ChatGPT pour développer des logiciels malveillants :

    P.S. Ce post juste pour maintenir mon compte actif car j’ai lu quelque part que sans participation dans un délai donné, il serait inactif. @Raccoon

    Euh tout simplement non @Aurel 🙂

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    c’est pas mal comme idée , mais au moindre obstacle ou manque de portée c’est fini

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    Ce film, qui présente clairement en une petite heure les logiciels libres et leurs enjeux, est à présent sous licence CC non commerciale, et l’April a transcrit son contenu.

    L’efficace documentaire «LoL – Logiciel libre, une affaire sérieuse», réalisé par François Zaidi et coécrit par Thierry Bayoud et Léa Deneuville, est sorti en 2019. Ses auteurs l’ont placé en novembre 2022 sous licence Creative Commons CC by-nc-sa (diffusable mais non commercialisable donc).

    Diffusé sur PeerTube

    Il est notamment disponible, outre sur le site de Hors Ciné, sur PeerTube (qui est à YouTube ce qu’est Mastodon à Twitter)

    https://videos.domainepublic.net/w/rkYNKgmvQM6Z8Te6VzY2Wm?start=0s

    Et pour y chercher une citation précise, ou pour ceux qui préfèrent lire (à la vitesse de son choix, avantage éternel de la lecture), on peut une fois de plus remercier Marie-Odile Morandi et le groupe Transcriptions de l’April, auxquels on doit sur librealire.org un très utile travail de mises par écrit, - comme les émissions «Libre à vous !» sur radio Cause commune, ou encore plusieurs interventions au congrès 2022 de l’Adullact (telles que le projet d’un label du Libre éducatif, par Alexis Kauffmann).

    Quatorze intervenants à lire ou écouter

    Libre à lire a ainsi publié les propos des 14 intervenant(e)s, libristes ou proches, du documentaire, soit Emmanuel Raviart, François Pellegrini, Frédéric Couchet, Grégory Bécue, Henri Verdier, Jean-Baptiste Kempf, Laurent Séguin, Magali Garnero, Marie Duponchelle, Pierre Boudes, Pierre-Yves Dillard, Pierre-Yves Gosset, Richard Stallman et Véronique Bonnet.

    Ce film de 57 minutes, destiné au grand public, est comme dit ici en 2019:

    "«LoL – Logiciel libre, une affaire sérieuse» est une mosaïque d’interviews de 14 personnalités du Libre ou proches, toutes en français à l’exception de Richard Stallman, entrecoupées de courts extraits de films qui ponctuent en mode léger voire humoristique le propos. Les amateurs de logiciels libres connaissent probablement la totalité ou presque des personnes interrogées dans «LoL» (voir cette description du documentaire sur Linuxfr).

    De RMS himself, donc, à Pierre-Yves Gosset (Framasoft)Jean-Baptiste Kempf (VLC), Grégory Bécue (Smile), Henri Verdier (DINSIC lors de l’enregistrement, ambassadeur de la France pour le numérique à présent), Frédéric Couchet (April) et huit autres encore, il y a dans ce documentaire un beau concentré d’explications sur les logiciels libres de A à Z (code source, ordinateur, logiciel privateur, droit à l’interopérabilité exposé par l’avocate Marie Duponchelle…)."

    Source : zdnet.fr

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    Pfizer a poussé Twitter à censurer l’idée «corrosive» d’une immunité naturelle contre le Covid

    Lorsque le directeur de la FDA a souligné sur Twitter que l’immunité naturelle était nettement supérieure à celle conférée par le vaccin, un membre du conseil d’administration de Pfizer a demandé – et obtenu – la censure de son message «corrosif».

    Les révélations sur le fonctionnement de Twitter avant la prise de fonction d’Elon Musk se poursuivent, le journaliste américain Alex Berenson ouvrant le 9 janvier le volet de la censure des informations concernant le Covid 19 sur le réseau social.

    A ce sujet, le journaliste, qui a eu accès aux échanges internes de la plateforme, se concentre sur une discussion entre un responsable de Twitter et Scott Gottlieb. Directeur de la Food and Drug Administration (FDA) de 2017 à 2019, Gottlieb est ensuite devenu membre du conseil d’administration de Pfizer (payé 365 000 dollars par le laboratoire pharmaceutique en 2021) et était un intervenant fréquent de la chaîne CNBC sur le Covid et les mesures dites sanitaires.

    C’est à ce titre qu’il contacte le réseau social le 27 août 2021, pour se plaindre d’un message du docteur Brett Giroir, son successeur à la tête de la FDA. Commentant les résultats d’une étude menée en Israël, Brett Giroir expliquait qu’il était désormais «clair que l’immunité naturelle contre le Covid [était] supérieure à l’immunité [conférée] par le vaccin, de beaucoup». «Il n’y a aucune justification scientifique [de la nécessité d’apporter] la preuve d’une vaccination si une personne a eu une infection antérieure», poursuivait-il à l’attention des autorités sanitaires, alors en pleine réflexion sur le pass vaccinal.

    Même s’il concluait son tweet d’une injonction favorable à la vaccination – «Si aucune infection antérieure ? Faites-vous vacciner !» –, l’opinion exprimée par Brett Giroir était visiblement dangereuse aux yeux de Scott Gottlieb. «Voici le genre de chose qui est corrosive. […] Son tweet va finir par devenir viral et va être couvert par les médias», écrit-il à Todd O’Boyle, lobbyiste de Twitter à Washington et point de contact de l’entreprise avec la Maison Blanche, pour en demander la censure.

    Ce dernier transmet alors la requête à l’équipe «Réponse stratégique» de Twitter, leur demandant de «consulter ce rapport de l’ancien directeur de la FDA»… sans mentionner que Scott Gottlieb est un membre du conseil d’administration de Pfizer, et a donc un intérêt financier dans la promotion de la vaccination contre le Covid-19.

    Bien qu’un analyste de l’équipe «Réponse stratégique» de Twitter constate que le tweet ne viole aucune des règles de désinformation de l’entreprise, le réseau social s’exécute rapidement, empêchant le partage et la visibilité du tweet et y apposant une étiquette «trompeur», toujours en vigueur à ce jour

    [Source]([link removed]/international/103534-pfizer-a-pousse-twitter-combattre-idee-corrosive-immunite-naturelle-contre-covid)

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    Selon les informations recueillies par Europe 1, le site internet de “Charlie Hebdo” a fait l’objet mercredi d’un piratage. La boutique en ligne du journal ainsi que la page d’accueil ont été hackées. Une enquête a été ouverte, confiée à la DGSI.

    text alternatif

    Une de CH du 7 janvier 2023, quasi 8 ans jour pour jour après les attentats

    Une réponse iranienne à la publication des caricatures de l’ayatollah Khamenei ? Selon les informations recueillies par Europe 1, le site internet de Charlie Hebdo a été victime mercredi d’une attaque informatique. Les services informatiques du journal satirique ont repéré dans l’après-midi que l’accès à la boutique en ligne et que la page d’accueil du site avaient été piratés.

    Des données auraient par ailleurs été mises en vente sur le darkweb, ainsi que des informations personnelles de plusieurs milliers d’abonnés de charliehebdo.fr. Des listings des ventes de novembre et de décembre 2022 auraient aussi été publiées.

    Une enquête ouverte et la DGSI saisie

    Si ce jeudi après-midi la page d’accueil et l’ensemble du contenu éditorial du journal était accessible, la page abritant la boutique en ligne était, elle, toujours défaillante. Le journal a déposé plainte pour altération d’un système de traitement automatisé des données (Stad).

    La section cyber du parquet de paris a ouvert ce mercredi une enquête des chefs “d’accès frauduleux à un système de traitement de données”, “maintien frauduleux”, “introduction de données”, “modification frauduleuse de données” et “entrave au fonctionnement”. La direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) a été chargée des investigations en co-saisine avec l’office central de lutte contre la criminalité liée aux technologies de l’information et de la communication (OCLCTIC). Contacté par Europe 1, Charlie Hebdo n’a pas à cette heure répondu à nos sollicitations.

    Une polémique diplomatique avec l’Iran

    Cette attaque survient près de huit ans après les attentats contre la rédaction du journal satirique, et au même moment d’une polémique diplomatique, après la publication mercredi de caricatures sur le régime iranien jugées insultantes par Téhéran. Ces dizaines de caricatures ont été publiées à l’issue d’un concours organisé en décembre par Charlie Hebdo.

    Son objectif était de réaliser “la caricature la plus drôle et méchante d’Ali Khamenei, Guide suprême de la République islamique d’Iran”, secouée depuis plusieurs mois par des manifestations inédites. Elles ont débuté pour protester contre la mort en détention le 16 septembre de Mahsa Amini, une Kurde iranienne arrêtée pour avoir enfreint le code vestimentaire strict du pays. Sur les 300 dessins reçus, réalisés notamment par des iraniens exilés, ont été sélectionnés “les plus aboutis, les plus originaux et les plus efficaces”, explique Riss, directeur du journal, dans l’édito du numéro polémique.

    La République islamique d’Iran a quant à elle annoncé ce jeudi la fermeture de l’Institut Français de Recherche en Iran (IFRI), après la publication de ces dessins, jugées insultantes pour le guide suprême iranien Ali Khamenei. “(…) Le ministère met fin aux activités de l’Institut Français de Recherche en Iran (IFRI) comme une première étape” de la réponse iranienne aux caricatures, affirme un communiqué du ministère iranien des Affaires étrangères.