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  • La vérité sort-elle aussi de la bouche des I.A. ?

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    OpenAI déclare qu’il est « impossible » de créer des modèles d’IA utiles sans matériel protégé par le droit d’auteur

    “Le droit d’auteur couvre aujourd’hui pratiquement toutes les formes d’expression humaine” et ne peut être évité.

    Le développeur de ChatGPT, OpenAI, a récemment reconnu la nécessité d’utiliser du matériel protégé par le droit d’auteur dans le développement d’outils d’IA comme ChatGPT, rapporte The Telegraph , affirmant qu’ils seraient « impossibles » sans cela. La déclaration fait partie d’une soumission à l’enquête du comité spécial des communications et du numérique de la Chambre des Lords du Royaume-Uni sur les grands modèles linguistiques.

    Les modèles d’IA comme ChatGPT et le générateur d’images DALL-E acquièrent leurs capacités grâce à des sessions de formation alimentées, en partie, par de grandes quantités de contenus récupérés sur l’Internet public sans l’autorisation des titulaires de droits (dans le cas d’OpenAI, une partie du contenu de la formation est cependant autorisé). Ce type de grattage gratuit fait partie d’une tradition de longue date dans la recherche universitaire sur l’apprentissage automatique, mais comme les modèles d’IA d’apprentissage profond ont été récemment commercialisés, cette pratique a fait l’objet d’un examen minutieux.

    “Parce que le droit d’auteur couvre aujourd’hui pratiquement tous les types d’expression humaine, y compris les articles de blog, les photographies, les messages de forum, les fragments de code logiciel et les documents gouvernementaux, il serait impossible de former les principaux modèles d’IA d’aujourd’hui sans utiliser des matériaux protégés par le droit d’auteur”, a écrit OpenAI à la Chambre. de la soumission des Lords.

    En outre, OpenAI écrit que limiter les données de formation aux livres et dessins du domaine public « créés il y a plus d’un siècle » ne fournirait pas de systèmes d’IA qui « répondent aux besoins des citoyens d’aujourd’hui ».

    Cette déclaration fait suite à un procès intenté le mois dernier par le New York Times contre OpenAI et Microsoft, un investisseur important dans OpenAI, pour avoir prétendument utilisé illégalement le contenu du journal dans leurs produits. OpenAI au procès sur son site Internet, affirmant que le procès manquait de fondement et affirmant son soutien au journalisme et aux partenariats avec les agences de presse. a répondu lundi

    La défense d’OpenAI repose en grande partie sur le principe juridique de l’utilisation équitable , qui permet une utilisation limitée de contenu protégé par le droit d’auteur sans l’autorisation du propriétaire dans des circonstances spécifiques. La société affirme que la loi sur le droit d’auteur n’interdit pas la formation de modèles d’IA avec ce type de matériel.

    “La formation de modèles d’IA à l’aide de matériels Internet accessibles au public est une utilisation équitable, soutenue par des précédents de longue date et largement acceptés”, a écrit OpenAI dans son blog de lundi. "Nous considérons ce principe comme équitable pour les créateurs, nécessaire pour les innovateurs et essentiel pour La compétitivité américaine. »

    Ce n’est pas la première fois qu’OpenAI revendique une utilisation équitable de ses données de formation en IA. En août, nous avons signalé une situation similaire dans laquelle OpenAI a défendu son utilisation de matériels accessibles au public comme étant un usage loyal en réponse à une action en justice pour droits d’auteur impliquant la comédienne Sarah Silverman.

    OpenAI a affirmé que les auteurs de ce procès « avaient mal compris la portée du droit d’auteur, en omettant de prendre en compte les limitations et exceptions (y compris l’utilisation équitable) qui laissent correctement la place à des innovations comme les grands modèles de langage désormais à la pointe de l’intelligence artificielle. ".

    Source: https://arstechnica.com/information-technology/2024/01/openai-says-its-impossible-to-create-useful-ai-models-without-copyrighted-material/

    Déclaration qui fait bien les affaires des propriétaires qui engrangeront les pépètes…

  • La physique à la conquête de l’infiniment bref

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    Mise à l’honneur par le prix Nobel 2023, la physique attoseconde s’attaque à une autre dimension de l’infiniment petit : le temps. À la clé, la possibilité de visualiser et contrôler la dynamique des électrons et des réactions chimiques entre atomes.

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    Le 3 octobre dernier, la physicienne Anne l’Huillier donnait son cours de physique à l’université de Lund, en Suède. À la pause, elle ralluma son portable pour voir si elle avait reçu de nouveaux messages. C’est alors qu’elle apprît la nouvelle : elle venait d’obtenir le prix Nobel de physique conjointement avec le Français Pierre Agostini et l’Austro-Hongrois Ferenc Krausz. Elle était la cinquième femme à recevoir cette distinction, la seconde française après Marie Curie. Mais avant de se laisser emporter par l’émotion, Anne l’Huillier avait quelque chose à terminer : son cours. Ce qu’elle fit, en s’excusant auprès de ses étudiants de ce qu’elle terminerait un peu plus tôt que d’habitude.

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    Avec ce Nobel, l’Académie royale des sciences de Suède récompensait les méthodes expérimentales ayant permis la production d’impulsions de lumière d’une durée de l’ordre de l’attoseconde, soit un milliardième de milliardième de seconde. Comme aiment le rappeler les chercheurs, il y a autant d’attosecondes dans une seconde que de secondes depuis le Big Bang. Ces impulsions ont ouvert un nouveau champ de recherche : pour la première fois, les scientifiques disposaient d’un outil pour explorer des phénomènes ultrarapides, et en particulier la dynamique des électrons.

    « Quand vous regardez la matière, c’est le cortège électronique qui détermine la position des atomes, explique Valérie Blanchet, physicienne au Centre lasers intenses et applications (1) (Celia). La structuration de la matière, ce sont les électrons qui la déterminent. » D’où l’immense intérêt de se focaliser sur ces minuscules particules chargées négativement. La physique attoseconde apporte la dimension « temps » aux sciences de l’infiniment petit : ce n’est pas seulement l’état initial et l’état final d’un système qu’elle permet d’observer, mais aussi la transition de l’un à l’autre. Et ce n’est pas tout : les impulsions attosecondes permettent aussi de contrôler la dynamique des électrons dans la matière. Porté pendant trente ans par un groupe réduit d’opticiens et de physiciens, le domaine « atto » intéresse désormais de nombreux autres champs scientifiques, de la chimie à la médecine en passant par la biologie. Il est d’ailleurs aujourd’huiau coeur du programme et équipements prioritaire de recherche (PEPR) exploratoire LUMA – piloté par le CNRS et le CEA – qui vise à comprendre, façonner et exploiter la lumière pour contrôler des systèmes physico-chimiques et biologiques et ouvrir la voie à de nouvelles technologies vertes.

    Mystérieuses harmonies

    Tout a commencé en 1988, lorsqu’une jeune physicienne récemment embauchée par le Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA), Anne l’Huillier, braque un laser sur des atomes d’argon. L’équipe dont elle fait partie détient une réputation mondiale dans l’étude des interactions lumière-matière. Mais cette fois-ci, au lieu de regarder l’effet de la lumière sur les atomes, elle décide de regarder les photons issus de cette interaction. « C’était de la pure curiosité d’expérimentatrice. Aucun théoricien ne lui avait suggéré de regarder cela », explique Philippe Balcou, directeur de recherche au Celia, qui, un an après cette expérience, est devenu le premier étudiant en thèse d’Anne l’Huillier. La physicienne observe alors quelque chose d’inattendu : le laser induit l’émission de faisceaux de photons ultraviolets, dont les fréquences sont des multiples de celle du laser, appelées harmoniques. Mais leur présence était alors inexplicable, d’autant plus que l’intensité de ces harmoniques, au lieu de retomber rapidement, atteint un plateau qui se prolonge dans l’extrême ultraviolet et même au-delà. Anne l’Huillier décide dès lors de se consacrer à l’étude de ce phénomène.

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    « Au début, personne ne comprenait rien à ces harmoniques », admet Richard Taïeb, chercheur au Laboratoire de chimie physique - matière et rayonnement (2), qui fut l’un des premiers théoriciens à travailler avec Anne l’Huillier. Il faudra d’ailleurs attendre cinq ans pour que des chercheurs en expliquent l’origine. Lorsque les électrons sont excités par le laser et « arrachés » de l’atome (qui est ainsi ionisé), ils s’échappent de leur cœur. Mais lorsque la phase de la lumière laser s’inverse, l’électron est brusquement ramené vers le noyau atomique ionisé, et peut alors se recombiner avec ce dernier. Pour se débarrasser du surplus d’énergie qu’il a accumulé lors de son excitation par le laser, il émet un photon ultraviolet. Très vite, ces harmoniques suscitent l’intérêt des expérimentateurs et des théoriciens. « L’une des motivations pour les étudier, c’était d’avoir une source de lumière cohérente dans l’UV extrême », se souvient Richard Taieb. En effet, ces faisceaux ne partent pas dans tous les sens : ils sont émis exactement dans la direction du laser. « On avait là une sorte de synchrotron de poche », s’amuse Philippe Balcou.Au milieu des années 1990, les physiciens comprennent que les harmoniques sont en phase. À intervalles réguliers, toutes les fréquences s’additionnent et forment une impulsion extrêmement brève. Il ne reste plus qu’à trouver le moyen de mesurer sa durée.

    C’est Pierre Agostini, inspiré par les travaux des théoriciens Richard Taïeb, Valérie Véniard et Alfred Maquet qui détermine pour la première fois la durée d’une impulsion : 250 attosecondes. Nous sommes alors en 2001, la physique « atto » vient de naître. Les deux décennies suivantes ont vu l’apparition de lasers plus performants. « Lorsqu’on faisait les premières caractérisations des harmoniques, au début des années 1990, nous disposions d’un laser qui tirait un coup par minute, rappelle Philippe Balcou. Aujourd’hui ils tirent plus de 10 000 fois par seconde. » D’autant que l’amélioration des lasers s’est conjuguée à une meilleure maîtrise de la génération d’impulsions attosecondes. L’heure était désormais à l’exploitation de ce formidable outil.

    Libérer l’électron

    L’un des exploits les plus remarquables de la science attoseconde a été l’observation de l’effet photoélectrique. Décrit par Einstein en 1905, il consiste en l’éjection d’un électron au moment où un atome absorbe un photon d’une énergie particulière. En 2010, Ferenc Krausz montre que cette éjection n’est pas immédiate : l’électron met une poignée d’attosecondes à s’échapper de l’emprise du noyau atomique. Ce temps d’éjection varie aussi en fonction des caractéristiques de l’électron excité. Qu’est-ce qui retarde ces électrons ? Qu’est-ce qui distingue les différents électrons d’un atome ? Comment ceux-ci s’influencent-ils les uns les autres ? Les chercheurs ont enfin les outils expérimentaux et théoriques pour aborder ces questions. « Grâce aux impulsions attosecondes, on peut commencer à explorer les interactions entre les électrons, ce que l’on appelle aussi corrélation électronique, de façon résolue dans le temps », explique Valérie Blanchet.

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    Ces interactions entre électrons conditionnent les interactions des atomes entre eux, notamment lors des réactions chimiques. Celles-ci commencent toujours par un réarrangement électronique : le mouvement des noyaux ne survient que bien plus tard. « Ce qui me plaît dans la physique attoseconde, c’est qu’on se situe aux premiers instants des phénomènes », affirme Lou Barreau, chercheuse à l’Institut des sciences moléculaires d’Orsay (3). Lors de ses expériences, elle utilise des impulsions attosecondes pour ioniser différentes molécules. « J’essaie de comprendre l’influence du milieu sur l’éjection des électrons. Est-ce que la présence d’un groupe méthyle ou d’un cycle aromatique influence le temps d’ionisation, par exemple. »

    En se plaçant en amont de la chimie, les chercheurs voudraient contrôler, grâce aux impulsions attosecondes, le déroulement des réactions chimiques. Prenons une molécule que l’on voudrait casser à un endroit bien précis afin d’obtenir un certain produit. « L’idée est d’exciter des électrons dans une molécule pour créer une onde électronique. Cette onde se propagerait le long de la molécule et affaiblirait certaines liaisons atomiques », explique Lou Barreau. Les impulsions attosecondes serviraient ainsi à « graver » sur la molécule des lignes de découpe avant la réaction chimique afin d’obtenir les produits escomptés. Cependant, beaucoup de travail sera nécessaire avant de mettre à profit ces nouvelles possibilités. « Il y a déjà des preuves de principe sur des acides aminés, mais il s’agit pour l’instant d’ions. On n’arrive pas encore à le faire sur des molécules neutres », tempère Lou Barreau.

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    Un type de molécule bien particulier a beaucoup intéressé les chercheurs des sciences attosecondes. Il s’agit des molécules chirales. Chaque molécule chirale a deux versions, deux énantiomères, qui, comme nos deux mains, sont parfaitement identiques si ce n’est qu’elles sont l’image dans un miroir l’une de l’autre. Depuis le XIXe siècle, on sait que ces molécules énantiomères ont la propriété de modifier dans deux sens opposés la polarisation d’une lumière polarisée. C’est ce qu’on appelle l’activité optique. L’équipe HXUV du Celia a ionisé des molécules chirales et montré que le temps que mettent les électrons à s’échapper de la molécule et leur direction d’éjection dépendent du sens de polarisation de la lumière ainsi que de l’énantiomère.

    L’inexorable expansion du domaine attoseconde

    L’autre intérêt de la physique attoseconde est son utilité pour d’autres disciplines. « Avec les progrès de la physique attoseconde, on peut maintenant étudier des objets plus complexes qui nous connectent à d’autres domaines », explique Franck Lépine, chercheur à l’Institut lumière matière4. Parmi ces domaines, l’astrophysique. « Les molécules de milieux interstellaires réagissent aux rayonnements ionisants présents dans l’espace », précise le chercheur. Afin de mieux comprendre la relation entre la chimie interstellaire et le rayonnement ionisant, son équipe a utilisé des impulsions attosecondes dans l’extrême ultraviolet pour étudier la stabilité de molécules carbonées, prémices de l’apparition de la vie dans l’Univers.

    Les méthodes attoseconde lui permettent aussi d’étudier l’ADN et les protéines. « On s’intéresse aux dommages que produisent les rayonnements énergétiques sur la matière vivante. Comprendre les premiers instants de ces processus pourrait permettre d’imaginer de nouvelles façons de nous protéger de ce rayonnement », précise Franck Lépine, qui développe en collaboration avec Ferenc Krausz une nouvelle méthode de diagnostic médical précoce. « Grâce à des impulsions attosecondes à large spectre, on peut détecter la présence infime de certaines molécules signatures de cancer dans des fluides biologiques et ainsi prédire très en amont l’apparition de la maladie », explique le physicien.

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    Les chercheurs pensent qu’il faudra encore plusieurs années avant que l’attoseconde entre dans la vie de tous les jours. « Je compare le domaine attoseconde à celui des lasers. Le concept de laser a été posé au début du XXe siècle. Il a ensuite fallu cinquante ans pour construire le premier laser, puis trente ans de plus pour qu’il révolutionne notre vie au quotidien avec la lecture de code barre, le CD ou la chirurgie laser », relève Fabrice Catoire, théoricien des cohérences à l’échelle attoseconde au Celia. Mais même si l’attoseconde tarde à entrer dans la vie quotidienne, il est fort probable qu’elle entrera rapidement dans la boîte à outils des scientifiques. « Il suffit de voir l’évolution du domaine femtoseconde ou picoseconde depuis les années 1980 et 1990, observe Franck Lépine. À partir de choses très fondamentales, on est passé à des applications dans l’industrie, la chirurgie, la spectrométrie ultrarapide. On parle de femtochimie ou femtomagnétisme. Pour l’atto, on en est aux preuves de concept, mais peu à peu on va essaimer vers d’autres domaines. » Patience donc : les avancées scientifiques ne se font pas en quelques attosecondes.

    (1) Unité CNRS/CEA/Université de Bordeaux. (2) Unité CNRS/Sorbonne Université. (3) Unité CNRS/Université Paris-Saclay. (4) Unité CNRS/Université Claude Bernard Lyon 1.

    Source: https://lejournal.cnrs.fr/articles/la-physique-a-la-conquete-de-linfiniment-bref

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    @Rapace Merci, on va faire un compromis, je laisse le S à orbite, vu que les satellites on tous des orbites différentes 🙂

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    La NASA et l’agence spatiale russe Roscosmos prolongeront leur accord sur le transport mutuel des membres d’équipage vers la Station spatiale internationale jusqu’en 2025, rapporte Interfax . Cela signifie que le vaisseau spatial Crew Dragon de SpaceX et la capsule Starliner de Boeing, une fois opérationnels, continueront à transporter des cosmonautes russes vers et depuis la station spatiale, comme l’ont fait plusieurs missions récentes de l’équipage de SpaceX. En échange, la Russie continuera à envoyer des astronautes américains sur les missions Soyouz.

    Est-ce dans l’intérêt général ?

    Malgré de mauvaises relations sur Terre, les gouvernements américain et russe restent partenaires sur l’ISS. Alors que la NASA n’a plus à payer pour les sièges à bord du vaisseau spatial Soyouz, l’agence spatiale américaine souhaite toujours faire voler ses astronautes sur Soyouz pour se protéger contre le risque d’échec ou de retard prolongé dans une mission de l’équipage de SpaceX ou de Boeing. Un tel événement pourrait conduire à une situation dans laquelle la station spatiale n’aurait aucun astronaute américain à son bord. De même, Roscosmos bénéficie de cet arrangement pour s’assurer qu’il y aura toujours un Russe à bord de la station spatiale, même en cas de problème avec Soyouz.

    Source: https://arstechnica.com/space/2024/01/rocket-report-spacexs-record-year-fireflys-alpha-rocket-falls-short/

    L’amour vache 🙂

  • Coup d'oeil rapproché sur Titan, satellite de Saturne

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    Moi aussi, mais avec 82 lunes découvertes pour cette planète à ce jour, imagime la migraine de l’ordi qui fera le calcul des trajectoires, sachant que le problème des trois corps n’est toujours pas résolu :lol:

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    Premier lancement de l’année 2024 réussi pour Space X.

    L’entreprise d’Elon Must a lancé, mardi 2 janvier, sa fusée star, la Falcon 9, depuis la base militaire américaine de Vandenberg, en Californie

    Source et vidéo: https://fr.euronews.com/video/2024/01/03/no-comment-lancement-de-la-fusee-falcon-9-de-space-x

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    Il n’y a pas que dans votre salon qu’un sapin brille. La NASA a partagé l’image étonnante d’une formation stellaire verte scintillante située à quelque 2.500 années-lumière de notre planète. Un joli cadeau de Noël.

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    “It’s beginning to look a lot like… cosmos.” Sous l’image partagée sur les réseaux sociaux, la NASA explique que l’objet formé par cet essaim d’étoiles et de gaz porte le nom officiel de NGC 2264, mais qu’il est également connu sous le nom d’“amas d’arbres de Noël”. Avec sa forme conique, ses reflets verts et ses étoiles qui ressemblent à de petites lumières scintillantes, la formation rappelle en effet fortement les arbres qui décorent nos maisons en cette période de fin d’année.

    Source: https://www.7sur7.be/sciences/la-nasa-decouvre-un-etonnant-amas-de-sapins-de-noel-scintillant-dans-l-espace~a2811ca0/

    Et :

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    Image du 15 octobre

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    Et celle du 30 décembre

    Samedi, la sonde spatiale Juno de la NASA, qui orbite autour de Jupiter depuis près d’une décennie, a effectué son survol le plus proche de la lune la plus intérieure du système jovien.

    Le vaisseau spatial s’est approché à moins de 1 500 km de la surface d’Io, une lune dense qui est la quatrième plus grande du système solaire. Contrairement à de nombreuses lunes autour de Jupiter et de Saturne, qui ont de la glace en surface ou de l’eau souterraine, Io est un monde très sec. Il est également extrêmement actif géologiquement. Io compte plus de 400 volcans actifs et constitue donc un objet d’un grand intérêt pour les astronomes et les planétologues.

    Les images du survol du 30 décembre ont été publiées par la NASA pendant le week-end du Nouvel An et offrent certaines des vues les plus claires de ce monde infernal. Les nouvelles données aideront les planétologues à déterminer la fréquence à laquelle ces volcans entrent en éruption et comment cette activité est liée à la magnétosphère de Jupiter – Io est baignée dans le rayonnement intense de la planète géante gazeuse.

    À ce jour, Juno a principalement observé Io de loin puisque le vaisseau spatial a effectué 56 survols de Jupiter, étudiant la géante gazeuse complexe de manière beaucoup plus détaillée que jamais. Depuis son arrivée dans le système planétaire en juillet 2016, Juno s’est déjà rapprochée à plusieurs milliers de kilomètres de la Lune. Juno effectuera un autre survol rapproché d’Io le 3 février 2024, ce qui permettra aux scientifiques de comparer les changements à la surface de la Lune sur une courte période de temps.

    Depuis son lancement sur une fusée Atlas V, Juno a très bien fonctionné lors de ses opérations dans le système jovien, survivant à des opérations prolongées dans les fortes radiations de la planète. Il s’agit d’un défi de taille pour tout vaisseau spatial à destination de Jupiter, qui doit transporter des instruments résistants aux radiations, y compris des caméras.

    “L’effet cumulatif de tout ce rayonnement a commencé à se manifester sur JunoCam au cours des dernières orbites”, a déclaré Ed Hirst, chef de projet Juno au Jet Propulsion Laboratory de la NASA en Californie du Sud. “Les images du dernier survol montrent une réduction de la plage dynamique de l’imageur et l’apparition d’un bruit de type ‘striping’. Notre équipe d’ingénieurs a travaillé sur des solutions pour atténuer les dommages causés par les radiations et maintenir l’imageur en fonctionnement.”

    Finalement, le rayonnement l’emportera, la NASA a donc prévu de se débarrasser de la sonde Juno avant qu’elle ne cesse d’être opérationnelle. À l’origine, l’agence spatiale prévoyait de mettre fin à la vie du véhicule en 2018, mais comme Juno a été un véritable survivant puisqu’il a sondé la plus grande planète du système solaire, le vaisseau spatial devrait désormais fonctionner jusqu’en septembre 2025.

    À ce stade, cependant, il descendra dans l’atmosphère de Jupiter pour se consumer, afin de ne contaminer aucune des lunes de la planète avec des microbes terrestres errants à bord, aussi improbable que cela puisse paraître.

    Source: https://arstechnica.com/space/2024/01/nasa-just-flew-by-the-solar-systems-most-volcanically-active-moon/

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    Bon en même temps ils ont de la marge vu qu’avec la chine c’est + de 50% de la pollution mondiale à eux deux

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    Lorsque le projet Manhattan a entrepris de rechercher et de développer des armes nucléaires pendant la Seconde Guerre mondiale, il est devenu évident pour les scientifiques impliqués qu’ils auraient besoin de mieux comprendre les effets des matières radioactives avec lesquelles ils allaient travailler sur le corps humain. Pour le savoir, ils ont mené des expériences d’injection de plutonium humain.

    Albert Stephens était l’un des « participants » parmi les nombreux participants aux expériences, et on lui a attribué le nom de code « Patient CAL-1 » en tant que premier patient californien à recevoir une injection de plutonium . Nous disons « participant », car il n’y a aucune preuve suggérant que Stevens ait jamais été informé de ce avec quoi on lui injectait, ni qu’il lui ait demandé son consentement pour être exposé au plutonium.

    Les expériences d’injection de plutonium humain

    Les expériences d’injection de plutonium humain visaient à établir ce qui arrivait au corps humain lorsqu’il était exposé aux isotopes radioactifs de l’élément. Ce serait un ingrédient clé de la bombe atomique connue sous le nom de « Fat Man », larguée sur Nagasaki, au Japon, le 6 août 1945, par l’armée américaine.

    Le projet Manhattan a créé une division de la santé en 1942, expérimentant d’abord sur des rats, puis – lorsque les tests sur les animaux ont été déclarés insuffisants pour éclairer les directives des travailleurs – passant à des sujets humains. Selon un rapport du laboratoire de Los Alamos publié en 1962 , l’expérience a sélectionné des patients en phase terminale dont on supposait qu’ils avaient une espérance de vie inférieure à 10 ans.

    Plutonium-238

    Stevens deviendrait le premier patient à recevoir une injection de plutonium 238 en Californie, rapporte le Nuclear Museum, recevant sans le savoir une dose considérée comme « plusieurs fois la dose dite mortelle des manuels scolaires », écrit Jacques G Richardson dans Serious Misapplications of. Recherche militaire . En tant qu’isotope radioactif, le plutonium-238 est important car il est 276 fois plus radioactif que le plutonium-239, qui était également inclus dans le cocktail d’injection de Stevens.

    Selon Eileen Welsome, auteur de The Plutonium Files , il a probablement été utilisé parce qu’il était plus facile à mesurer avec l’équipement dont disposaient les chercheurs du projet Manhattan à l’époque. Malheureusement, il était également beaucoup plus susceptible de causer des dommages biologiques.

    “En 1995, deux scientifiques de Los Alamos ont calculé qu’Albert avait reçu une dose égale à 6 400 rem au cours de sa vie”, écrit -elle . “Cela équivaut à 309 rem par an, soit 858 fois ce qu’une personne moyenne reçoit au cours de la même période.”

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    Candidats « terminaux »

    Le cas de Stephen est particulièrement inhabituel car, lors d’une opération suite à l’injection de plutonium, il a été révélé que le peintre de métier n’était pas du tout en phase terminale. Ce que l’on pensait être un ulcère d’estomac cancéreux s’est révélé être un ulcère gastrique bénin accompagné d’une inflammation chronique.

    Malgré la forte dose de rayonnement, l’injection de plutonium n’a eu aucun effet immédiat et aigu sur Stephens, et il est décédé d’une insuffisance cardiorespiratoire 21 ans après l’exposition du 9 janvier 1966. Welsome écrit que dans une interview avec l’historienne médicale Sally Hughes, une Le scientifique nommé Kenneth Scott – qui a préparé l’injection de Stephen mais a affirmé qu’Earl Miller l’avait administrée – a révélé qu’ils ne lui avaient jamais parlé du plutonium ni qu’il était impliqué dans un quelconque type d’expérience, mais qu’ils avaient utilisé ses problèmes financiers comme une opportunité de recueillir des données en lui proposant de payez-le pour des échantillons de selles et d’urine.

    Au cours de l’opération radicale visant à éliminer le « cancer » de Stephens, des échantillons de plusieurs parties du corps ont été prélevés mais n’ont jamais été envoyés au laboratoire de pathologie, comme les scientifiques l’avaient prétendu. Selon les enquêtes de Welsome, la raison pourrait avoir fait surface en 1946.

    “Une comparaison du métabolisme du plutonium chez l’homme et le rat”

    « Près d’un an après l’injection d’Albert, le groupe de Berkeley a publié un rapport classifié intitulé « Comparaison du métabolisme du plutonium chez l’homme et le rat ». Le résumé commence ainsi : « Le sort du plutonium injecté par voie intraveineuse à un sujet humain et à des rats a été suivi dans des études parallèles », écrit Welsome.

    Le jour de l’injection de Steven, cinq rats ont également reçu le même cocktail de plutonium.

    Une description des parties du corps prélevées sur Albert sur la table d’opération – les spécimens qui n’ont pas été livrés au service de pathologie – figure dans le rapport. “Quatre jours après l’administration du plutonium, des échantillons de côtes, de sang, de rate, de tumeur, d’omentum et de tissu sous-cutané ont été prélevés sur le patient.”

    Le fait que Stephens n’avait pas de cancer n’a jamais été partagé avec Stephens ou sa famille, et il n’a jamais été expliqué pourquoi il a continué à être surveillé dans les décennies qui ont suivi l’injection de plutonium. Selon le rapport du ministère de l’Énergie sur les expériences sur les rayonnements humains, la sœur de Stevens, une infirmière, a trouvé étrange qu’il continue à fournir des échantillons de matières fécales longtemps après l’expérience.

    « Le Dr Scott a également rappelé qu’il n’avait jamais dit à M. Stevens ce qui lui était arrivé : 'Sa sœur était infirmière et elle se méfiait beaucoup de moi. Mais à ma connaissance, il ne l’a jamais su", ont-ils expliqué .

    Stevens, pas Stephens

    Trouver la famille de Stephen a été un long processus pour Welsome, notamment parce que lorsqu’elle a finalement retrouvé son fils, il a été révélé que son vrai nom était Albert Stevens, et non Stephens. Après avoir appris ce qui avait été fait à son père, Thomas a partagé un détail curieux : après sa mort, quelqu’un avait téléphoné pour demander la dépouille incinérée d’Albert.

    Les cendres ont été expédiées de la Chapelle des Carillons à Santa Rosa, en Californie, au Centre de radiobiologie humaine en 1975, « dans le but de faire progresser la recherche et l’éducation médicales et scientifiques ». Bien qu’aucune mention du plutonium ne figure dans le formulaire de consentement pour leur déplacement, l’examinateur a trouvé des preuves que le plutonium était répandu dans le squelette.

    Lorsque les expériences secrètes sur le plutonium ont finalement été tenues pour responsables, les familles survivantes de 16 des 18 patients concernés ont été réglées à l’amiable avec des sommes en espèces. Une enquête réalisée par l’Université de Californie à San Francisco a suggéré que certains des demandeurs ne faisaient pas partie de l’expérience sur le plutonium mais faisaient plutôt partie de recherches légitimes sur les traitements contre le cancer. Dans les cas où l’absence de consentement était claire, y compris Stevens, ils ont déclaré que « le comité n’a trouvé aucune preuve que l’expérience avait été conçue avec des intentions malveillantes ».

    Naturellement, la famille survivante avait un avis différent.

    “Les gens qui ont fait ça à mon grand-père n’avaient qu’à se demander ce qu’ils ressentiraient s’ils étaient à sa place”, écrit Welsome, le petit-fils de Steven, Bill Holmes, a déclaré. « Tout code d’éthique ou toute expérience scientifique impliquant des humains doit, me semble-t-il, commencer et se terminer par cette question très simple. »

    Source: https://www.iflscience.com/albert-stevens-survived-one-of-highest-known-accumulated-radiation-doses-in-history-72209

    C’est à peine moins moche que les expériences des médecins nazis.

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    L’agence spatiale russe Roscosmos a déclaré, jeudi 28 décembre, avoir trouvé un accord avec l’agence américaine Nasa afin de prolonger jusqu’en 2025 le programme de leurs vols croisés vers la Station spatiale internationale (ISS). La Russie espère toujours pouvoir mettre sur orbite sa propre station spatiale et ne plus dépendre de l’ISS.

    L’agence spatiale russe Roscosmos prolonge ses vols croisés avec la Nasa jusqu’en 2025
    © NASA/Roscosmos
    Le dernier calendrier de la Nasa vise un crash contrôlé de la station spatiale internationale (ISS) en janvier 2031. La Russie espère, elle, mettre en service sa propre station avant cette date.

    Un léger réchauffement dans une ambiance de nouvelle guerre froide. L’agence spatiale russe Roscosmos a annoncé jeudi 28 décembre la prolongation jusqu’en 2025 du programme de vols croisés avec l’agence américaine de la NASA vers la Station spatiale internationale (ISS), a rapporté l’agence de presse Interfax. L’accord permet d’envoyer des Américains vers l’ISS à bord de vaisseaux russes, et réciproquement. Cette prolongation de la coopération entre les deux pays, solution pragmatique malgré les désaccords profonds entre les deux puissances, vise à «maintenir la fiabilité de l’exploitation de l’ISS dans son ensemble», a déclaré la société d’État russe dans un communiqué.

    Source: https://www.usinenouvelle.com/article/l-agence-spatiale-russe-roscosmos-prolonge-ses-vols-croises-avec-la-nasa-jusqu-en-2025.N2205612

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    Un florilège des plus belles images en 2023:

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    Une fusée SpaceX Falcon 9 transportant 23 satellites Starlink est lancée depuis le complexe 40 de la station spatiale de Cap Canaveral en Floride le samedi 23 décembre 2023.

    SpaceX a encore une fois battu son record de réutilisation de fusées.

    Une Falcon 9 fusée a lancé 23 des satellites Internet Starlink de SpaceX en orbite depuis la station spatiale de Cap Canaveral en Floride, samedi 23 décembre à 00h33 HNE (05h33 GMT).

    Il s’agissait du 19e décollage de ce premier étage du Falcon 9, selon une description de la mission SpaceX , établissant une nouvelle marque de réutilisation pour l’entreprise.

    Comme prévu, le premier étage du Falcon 9 est revenu sur Terre pour la 19e fois, atterrissant environ 8,5 minutes après son lancement sur le drone Just Read the Instructions, stationné dans l’océan Atlantique au large des côtes de Floride.

    Pendant ce temps, l’étage supérieur du Falcon 9 a continué à transporter les 23 satellites Starlink vers une orbite terrestre basse (LEO). Le vaisseau spatial devait y être déployé environ 65,5 minutes après le décollage.

    Le fondateur et PDG de SpaceX, Elon Musk, souhaite aider l’humanité à coloniser Mars et à réaliser toute une série d’autres exploits d’exploration ambitieux. La réutilisation des fusées est un élément clé de cette vision, car elle contribue à réduire le coût des vols spatiaux et à augmenter leur cadence.

    Les enregistrements de réutilisation de SpaceX ne durent donc pas longtemps. La marque précédente – 18 vols pour un booster Falcon 9 – a été fixée le mois dernier .

    SpaceX a lancé plus de 90 missions orbitales jusqu’à présent en 2023. La plupart d’entre elles ont été consacrées à la construction de sa mégaconstellation à large bande Starlink, qui comprend actuellement près de 5 200 satellites opérationnels .

    Source: https://www.space.com/spacex-starlink-launch-group-6-32

    Comme quoi, Elon Musk ne fait pas que des conneries… 🙂

  • Capsule stratosphérique pour touristes de l'espace

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    Cette version de la capsule Spaceship Neptune fera l’objet de prochains vols d’essai

    Quand quelqu’un dit qu’il envisage d’utiliser un ballon pour emmener des touristes aux confins de l’espace, on peut se demander s’il dépassera un jour le stade conceptuel. Space Perspective a cependant surmonté ce problème en construisant un modèle de test physique de sa capsule Neptune.

    Nous avons entendu parler pour la première fois de la société Space Perspective, basée en Floride, en 2020 , lorsqu’elle a annoncé pour la première fois son intention d’embarquer des lots de huit passagers payants (et un pilote) sur des vols de six heures jusqu’à une altitude de 100 000 pieds (30 480 m). À cette hauteur, la courbure de la Terre et la noirceur de l’espace sont clairement visibles.

    Les passagers voyageraient dans une capsule pressurisée appelée Spaceship Neptune, qui serait suspendue sous un « SpaceBalloon » rempli d’hydrogène de la longueur d’un stade de football. Il faudrait deux heures pour atteindre l’altitude, suivies de deux heures de visites touristiques, suivies de deux heures supplémentaires pour descendre. Pour ce faire, du gaz serait lentement libéré du ballon.

    La capsule serait équipée de sièges moelleux, d’un bar de rafraîchissements, d’un système de communication Wi-Fi capable de diffuser en direct, de fenêtres panoramiques à 360 degrés et de toilettes sous le pont. Ce niveau de luxe n’est que normal, étant donné que les sièges sont déjà vendus à l’avance pour 125 000 $ US pièce.

    Le modèle d’essai du Neptune qui vient d’être achevé est décrit comme étant hautement instrumenté et représentatif de « ce que la compagnie volera une fois commercialement opérationnel ». Cela dit, il lui manque un salon intérieur confortable, car il est conçu uniquement pour faire l’objet de plusieurs vols d’essai. Le premier de ces vols sera sans équipage, suivi de vols avec équipage qui devraient avoir lieu plus tard l’année prochaine.

    L’intérieur en version branlette:

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    “L’ensemble de l’entreprise est extrêmement motivé à l’idée d’atteindre cette étape ensemble et de voir le vaisseau spatial Neptune prendre vie sous nos yeux de manière si spectaculaire”, a déclaré le fondateur et co-PDG de Space Perspective, Taber MacCallum.

    La société serait également sur le point d’achever la construction du Marine Spaceport Voyager, un navire à partir duquel les vols seront lancés et qui récupérera la capsule et le ballon de l’océan après l’amerrissage au retour.

    Source: https://newatlas.com/space/space-perspective-neptune-capsule/

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    @Pluton9 Surtout en bouffant autant d’électricité 😉

  • Blue Origin enverra aussi des astronautes sur la Lune

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    Blue Origin retourne dans l’espace après un an d’échecs

    Après avoir été immobilisée pendant plus d’un an, la fusée New Shepard de Blue Origin est revenue dans le ciel et a effectué son 24e vol depuis le site de lancement 1 de la société dans l’ouest du Texas alors qu’elle transportait 33 charges utiles aux confins de l’espace.

    La mission sans équipage a décollé le 19 décembre 2023 à 10 h 42 CST avec la capsule spatiale RSS HG Wells au sommet du booster NS.9. Après la séparation, le booster a atteint une altitude maximale de 347 208 pieds (105 829 m) avant de revenir sur Terre pour un atterrissage motorisé. Pendant ce temps, la capsule a atteint 347 601 pieds (106 941 m) avant d’être parachutée vers un atterrissage sur le sol du désert à 10 h 52 CST pour une durée totale de mission de 10 minutes et 13 secondes.

    Le lancement d’aujourd’hui a eu lieu après la panne du New Shepard 23 le 12 septembre 2022, lorsque le moteur principal est tombé en panne une minute et quatre secondes après le début du vol. La fusée s’est inclinée, activant le système d’abandon de la capsule non équipée, ce qui a poussé la capsule à l’écart. Après avoir atteint une altitude de 37 000 pieds (11 278 m), le RSS HG Wells a atterri intact, tandis que le booster a été détruit lors de l’impact avec le sol.

    L’incident a donné lieu à une enquête de six mois menée par la FAA, qui a ordonné des modifications du moteur-fusée BE-3PM afin de le rendre moins sensible aux températures élevées.

    “Un merci spécial à tous nos clients qui ont effectué des vols scientifiques importants aujourd’hui et aux étudiants qui ont envoyé des cartes postales pour faire progresser notre avenir en matière de vie et de travail dans l’espace au profit de la Terre”, a déclaré Phil Joyce, vice-président principal de New Shepard. “La demande pour les vols New Shepard continue de croître et nous sommes impatients d’augmenter notre cadence de vols en 2024.”

    La vidéo ci-dessous récapitule le vol du New Shepard 24.

    Source: https://newatlas.com/space/blue-origin-24-launch/

  • Les gardiens des trésors du Muséum (Vidéo)

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    Exposés ou cachés dans les réserves, sublimes ou peu ragoûtants, les collections du Muséum national d’histoire naturelle de Paris comptent des dizaines de millions de spécimens, naturalisés ou protégés dans des bocaux. Ce nouvel épisode de Va Savoir vous emmène à la rencontre des scientifiques du Centre de recherche sur la conservation, qui partagent leurs secrets pour préserver l’une des plus grandes collections naturalistes au monde. Plongez dans leur univers fantastique !

    Source: https://lejournal.cnrs.fr/videos/les-gardiens-des-tresors-du-museum

  • La guerre de l'eau aura-t-elle lieu ?

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    @Pollux a dit dans La guerre de l'eau aura-t-elle lieu ? :

    Bon article, mais pour répondre à la question du titre, la guerre pour l’eau a déjà lieu dans de nombreuses parties du monde, en tout cas elle est déjà l’enjeu de nombreuses tensions géopolitiques.

    On se foutait de moi, quand je parlais de mes toilettes sèches il y a 10/15 ans, ça deviendra peut-être obligatoire un jour 😉

    Exactement ce que j’allais commenter. La guerre de l’eau a déjà lieu dans beaucoup d’endroits dans le monde…
    Se demander si elle aura lieu, c’est un point de vue de privilégié (après on y est en soit pour rien…). Mais suffit de voyager un petit peu pour se rendre compte l’accès a l’eau n’est malheureusement pas universel…

  • Des villes adoptent des jumeaux numériques

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    C’est le cas dans ma ville. Le jumeau numérique est mis en place et fonctionnel.

    C’est très pratique