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    @berni on a vu le meme, les colis faisaient un voyage de dingue

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    Le webinaire de Parlons RH « Séduire la Génération Z : défis et opportunités pour les RH » a été l’occasion de mettre en avant les « drivers de la Gen Z ». La clé étant aujourd’hui pour les entreprises d’attirer les talents, voici ce qu’elles doivent mettre en avant pour s’adapter aux codes de cette nouvelle génération et réussir à la séduire.

    « D’ici deux ans, les jeunes de la Génération Z représenteront un quart de la masse salariale selon le World Economic Forum », assure Thomas Cornet, co-fondateur de Cegid Wittyfit et spécialiste de l’expérience collaborateur. Nés après 1995, les jeunes de la Génération Z arrivent sur le marché du travail. Pour ne pas les laisser céder aux sirènes de l’entrepreneuriat et de la « start-up Nation » –un quart des 15-25 ans souhaiterait être son propre patron, affirme une étude de Mazars et opinionway* : « On assiste à un rejet de l’entreprise traditionnelle »–, le défi des RH est de leur redonner confiance dans l’entreprise et de faire valoir ses atouts. Celle-ci a intérêt à anticiper le mouvement et à s’adapter aux attentes spécifiques de ces nouveaux collaborateurs. Portrait-robot de cette nouvelle génération qui obéit à ses propres codes : outre leur date de naissance, ce qui les caractérise est d’être « 100% digitaux ». « Ils sont nés dans la révolution digitale avec Internet et les apps. Technivores, ce sont de grands utilisateurs et des ultra-consommateurs d’outils digitaux et de réseaux sociaux », détaille Thomas Cornet. Ses atouts ? « Une aisance numérique et des facilités d’ouverture à l’international », liste-t-il encore. De fait, si 85% des métiers de 2030 n’existent pas encore selon Pôle Emploi, la Génération Z aura certainement plus de facilités à correspondre aux profils recherchés.

    Proposer un « Smart working »

    Pour la séduire, l’entreprise doit en premier lieu veiller à ce qui se dit sur elle sur le Web, car c’est là où les candidats de cette génération vont s’informer. Pour la recruter, « Il faut l’écouter et s’informer sur ce qui la fait vibrer », conseille Thomas Cornet. Les leviers à activer pour répondre aux codes de cette nouvelle génération ? Leur proposer une organisation du travail flexible, un « smart working ». 73% de la Gen Z attendant de l’entreprise qu’elle lui permette d’organiser ses horaires de travail. « Pour eux, le télétravail est une composante claire et nette du travail. C’est un acquis. La tentation de faire machine arrière est une erreur », insiste Thomas Cornet. Néanmoins, les jeunes générations veulent pouvoir à la fois venir au bureau et être en télétravail. Après une sociabilisation bridée par la récente crise sanitaire et « à l’heure de la dématérialisation et du télétravail, la recherche d’interactions au sein d’un lieu physique n’a jamais été aussi forte ». Cette génération attend ainsi de l’entreprise qu’elle soit « un vecteur de lien social, de cohésion et de convivialité », indique l’étude de Mazars*. Ainsi, dans le top 3 des motivations pour aller travailler figurent l’ambiance de travail et les échanges et interactions avec les collègues, avant l’intérêt pour un poste.

    Paradoxalement, c’est une génération qui aspire à une certaine flexibilité. Avec un rapport au travail différent de celui de la Génération Y, la Gen Z semble séduite par les nouveaux modes de travail – freelance, télétravail, temps partiel. Ainsi, la moitié de la GenZ estime que le contrat à durée indéterminée a vocation à disparaître, au profit du CDD et du travail freelance.

    « La notion de petit chef va voler en éclats »

    Aspirant à l’équilibre de leur vie privée et professionnelle, initiée par la génération précédente, ils militent pour le « slow », soit le fait de pouvoir vivre au ralenti. « Il y a un renforcement fort sur la notion de bien-être : ils ne veulent plus rester des heures devant leur ordinateur tout en s’oubliant ». Exit donc le rythme de travail éreintant de leurs aînés. Leur ligne de mire ? « La semaine de 4 jours qui a fait ses preuves en termes de productivité et est à la fois facteur d’engagement et d’attractivité ». A l’écoute de leur bien-être, ils seront d’autant plus attentifs à la QVT, qualité de vie au travail, et notamment aux conditions et rythmes de travail. « Ce n’est plus un gros mot pour eux de parler de santé mentale ou de RPS [risques psychosociaux] ».

    Autre point fondamental, donner du sens à leur mission et l’expliciter : « C’est fondamental pour qu’elle se sente bien. Cela vient même avant la notion de salaire », assure Thomas Cornet. Cette génération, particulièrement sensible aux sujets environnementaux et sociétaux, « est capable de porter un projet de type RSE sur le long terme et de s’investir dans une cause durable ». Sur le travail en lui-même et le management, « C’est une génération de ‘slasheurs’ qui aime travailler en mode agile, avoir plusieurs missions et être autonome dans la prise de décisions, la façon de faire et les procédures », explique l’expert. Ainsi, un tiers souhaite cumuler trois activités ou plus en parallèle.

    En termes de management, ils attendent une relation différente de la part de leurs managers qui doivent être des « managers coachs », qui jouent collectif et participatif et viennent les accompagner, les épauler et les aider à s’épanouir. Aux entreprises d’aider les managers à adopter une posture d’écoute et de collaboration qui leur permettra d’être acceptés et légitimes et in fine à la GenZ de rester. « La notion de petit chef va voler en éclats. C’est d’ores et déjà une raison forte de démission : dans 70% des cas, on ne quitte pas son entreprise, on quitte son manager », explique-t-il.

    La Gen Z fait ainsi bouger les lignes et milite pour la fin de l’entreprise verticale « avec un rapport décomplexé à la hiérarchie, d’égal à égal » et le souhait de pouvoir parler librement et de participer aux décisions stratégiques. De la même manière, ils veulent être jugés « sur les chiffres et leurs résultats et non sur le présentéisme ou la participation ».

    * Enquête sur « Future of work : quelles attentes de la Gen Z pour l’entreprise demain ? » avec OpinionWay, menée auprès de 2 000 jeunes âgés de 15 à 24 ans (Génération Z) et de 25 à 34 ans (Génération Y) en 2019.

    Source : gazettenormandie.fr

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    Ça me rappelle feu mon mongoose 😭

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    c’est surtout qu le bâtiment n’était pas aux normes oui la proprio est dans la merde, j’ai vu le reportage tf1.

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    Sont fort ses arabes 🤣
    Comprendra la blague qui pourra (Hassan Cehef)

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    Quand je vois même en étant en présentiel comme les responsables “souhaitent” que je m’investisse plus dans l’entreprise, sous-entendu “si des fois chez toi tu ne sais pas quoi faire, profites-en pour avancer sur les dossiers” comme le font servilement certains de mes collègues, je ne peux qu’applaudir ces employés qui ont le courage de refuser leurs conditions de travail et de partir ailleurs pour un quotidien, je m’espère plus sain et plus serein.

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    pff ces jeunes ils jouent à rami , Kluster, tic tac boum ils m’épouisent ^^

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    C’est la merde depuis belle lurette, faut être réaliste, il n’ya rien à rattraper.
    Même l’espace est une grande poubelle (des milliers de merde HS qui traînent là haut, sans compter la tesla à la con) le pire c’est qu’ils veulent trouver une planète habitable pour pouvoir foutre la même merde qu’ils ont foutu ici sur terre.
    Donc qu’ils persistent jusqu’à l’éternité, on est là (riches, pauvres, blanc noir etc etc) à pourrir sur terre et nourrir les vers jusqu’à extinction de la terre (la cupidité et tous ce qui a de mauvais en l’humain, aura bien évidemment la peau de la terre).
    Désolé pour l’ambiance (avis d’une personne qui ne croit pas en l’humain).

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    @Violence a dit dans Australie: Un ancien puériculteur inculpé d’agressions sexuelles sur 91 enfants :

    Blanche Gardin en gynéco avec une ado de 16 ans, imagine le délire

    Tu viens de finir de me convaincre de le voir ce film :mouhaha:

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    @Pluton9 a dit dans Low-Tech, la sobriété technologique :

    Le gamin est doué, c’est bien, mais qui est prêt à avoir un téléphone basique à part ceux qui y sont déjà?
    Il existe déjà des téléphones à petites fonctions à une quinzaine d’euros.

    C’est pas faux. Surtout qu’on peut se passer de la surcouche google depuis pas mal de temps déjà si on le désire et que des modèles LOW ou non smartphone existe déjà.
    Au delà du simple fait que c’est laid, j’aurais plutôt peur de la solidité du bordel, et quand tu vois l’intérieur, tu flippes un peu mais je salue la perf de cet ado.

    – Topic dédié ici :

    https://planete-warez.net/topic/4034/un-téléphone-open-source-le-projet-paxo

  • Cherche board emule svp

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    je ne sais pas, comme je l’ai déjà dit, je dois brider la mule, sinon elle me mets la machine en PLS 😉

    ça marche à fond de cale ce truc encore !

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    Autant le hack ne me dérange, mais s’en prendre aux hôpitaux c’est des fdp

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    non le coming out c’est quand personne ne sait :cariboo:

  • Feu sur un transport maritime de voitures électriques

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    Ba si on changeait avaient changé nos habitudes de vie et de consommation, le problème du fossile ne se poserait peut être pas.

    Pas simple tt ça.

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    On espère qu’il va s’en remettre

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    De mieux en mieux, si maintenant meme des guignols dans un garage jouent avec des virus dangereux, on va ou la

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    Vite un marabouteur :affole:

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    @RussianFighter adjonction d’eau, là d’accord.

    Le nucléaire c’est pas la panacée, mais c’est la seule chose qui produise suffisamment, les allemands ont fait leur choix, résultat ils compensent au charbon!

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    Ceux qui pensent que le gouvernement les surveillent se mettent le doigt dans l’oeil, il est bien plus simple d’acheter des données aux ratisseurs sociaux 🙂

    Un effort des législateurs américains pour empêcher les agences gouvernementales de suivre les citoyens sur le territoire national sans mandat de perquisition se heurte à l’opposition interne de l’un de ses plus grands services de renseignement.

    Des assistants républicains et démocrates familiers avec les négociations en cours sur les dépenses de défense au Congrès affirment que des responsables de l’Agence de sécurité nationale (NSA) ont approché des législateurs chargés de sa surveillance pour s’opposer à un amendement qui l’empêcherait de payer des entreprises pour des données de localisation au lieu d’obtenir un mandat dans rechercher.

    Introduit par les représentants américains Warren Davidson et Sara Jacobs, l’amendement, signalé pour la première fois par WIRED , interdirait aux agences militaires américaines «d’acheter des données qui nécessiteraient autrement un mandat, une ordonnance du tribunal ou une assignation à comparaître». L’interdiction couvrirait plus de la moitié de la communauté du renseignement américain, y compris la NSA, la Defense Intelligence Agency et le nouveau National Space Intelligence Center, entre autres.

    La Chambre a approuvé l’amendement lors d’un vote au sol il y a plus d’une semaine lors de son examen annuel de la loi sur l’autorisation de la défense nationale, un projet de loi « incontournable » décrivant comment le Pentagone dépensera le budget de 886 milliards de dollars de l’année prochaine. Les négociations sur les politiques qui seront incluses dans la version du projet de loi du Sénat sont en cours.

    Dans une campagne distincte mais connexe la semaine dernière, les membres du comité judiciaire de la Chambre ont voté à l’unanimité pour faire avancer une législation qui étendrait des restrictions similaires contre l’achat de données américaines dans tous les secteurs du gouvernement, y compris les forces de l’ordre étatiques et locales. Connu sous le nom de «Loi sur le quatrième amendement n’est pas à vendre», le projet de loi sera bientôt réintroduit au Sénat également par l’un de ses auteurs originaux de 2021, Ron Wyden, a confirmé le bureau du sénateur.

    “Les Américains de toutes les allégeances politiques savent que leurs droits constitutionnels ne devraient pas disparaître à l’ère numérique”, a déclaré Wyden, ajoutant qu’il existe un “profond puits de soutien” pour consacrer les protections contre les saisies de données commerciales par le gouvernement “dans la loi de la lettre noire”. .”

    La mesure dans laquelle la NSA en particulier utilise des courtiers en données pour obtenir des données de localisation et de navigation Web n’est pas claire, bien que l’agence ait précédemment reconnu avoir utilisé des données provenant de sources « commerciales » dans le cadre de la cyberdéfense. Quoi qu’il en soit, les avocats de la NSA ont rédigé des directives détaillées pour l’acquisition de données disponibles dans le commerce, en particulier lorsqu’elles appartiennent à des sociétés ou à des particuliers américains. Certaines des règles prescrites par les avocats de l’agence restent confidentielles.

    La NSA n’a pas répondu aux multiples demandes de commentaires.

    Un rapport gouvernemental déclassifié par le Bureau du directeur du renseignement national le mois dernier a révélé que les agences de renseignement américaines évitaient le contrôle judiciaire en achetant une “grande quantité” d’“informations sensibles et intimes” sur les Américains, y compris des données pouvant être utilisées pour retracer les personnes. localisation sur de longues périodes. La sensibilité des données est telle que « entre de mauvaises mains », indique le rapport, elles pourraient être utilisées pour « faciliter le chantage », entre autres résultats indésirables. Le rapport reconnaît également que certaines des données obtenues sont protégées par le quatrième amendement de la Constitution américaine, ce qui signifie que les tribunaux ont statué que le gouvernement devrait être tenu de convaincre un juge que les données sont liées à un crime réel.

    La Cour suprême des États-Unis a précédemment ordonné au gouvernement d’obtenir des mandats de perquisition avant de rechercher des informations susceptibles de “faire la chronique des mouvements passés d’une personne via l’enregistrement des signaux de son téléphone portable”. Dans la historique Carpenter c. États-Unis décision , le tribunal a conclu que les progrès de la technologie sans fil avaient effectivement dépassé la capacité des gens à apprécier raisonnablement la mesure dans laquelle leur vie privée est exposée.

    Une décision antérieure avait statué que les Américains ne pouvaient pas raisonnablement s’attendre à la confidentialité dans tous les cas tout en fournissant volontairement aux entreprises des réserves d’informations sur eux-mêmes. Mais en 2018, le tribunal a refusé d’étendre cette réflexion à ce qu’il a appelé un “nouveau phénomène”: des données sans fil qui peuvent être “compilées sans effort” et l’émergence de technologies capables d’accorder au gouvernement ce qu’il a appelé une “surveillance presque parfaite”. Étant donné que ces données historiques peuvent effectivement être utilisées pour “remonter le temps pour retracer l’endroit où se trouve une personne”, a déclaré le tribunal, cela soulève “des problèmes de confidentialité encore plus importants” que les appareils qui peuvent simplement localiser l’emplacement d’une personne en temps réel.

    Fondamentalement, le tribunal a également jugé que le simple fait d’accepter que les données soient utilisées «à des fins commerciales» n’abroge pas automatiquement «l’anticipation de la vie privée» des personnes pour leur emplacement physique. Plutôt que d’appliquer ce point de vue aux données de localisation de manière universelle, cependant, le gouvernement a permis aux agences de défense et de renseignement d’adopter un point de vue contradictoire, car leurs activités n’étaient pas un facteur dans la décision de Carpenter axée sur l’application de la loi.

    Un nombre croissant de législateurs américains ont fait valoir ces dernières semaines que la communauté américaine du renseignement facilite elle-même plus ou moins l’érosion de cette attente en matière de confidentialité - que les données de localisation sont protégées contre une intrusion gouvernementale déraisonnable - principalement en s’assurant que ce n’est pas le cas.

    Andy Biggs, qui préside un sous-comité sur la surveillance du gouvernement fédéral à la Chambre des représentants, affirme que le gouvernement fédéral « a collecté et utilisé de manière inappropriée les informations privées des Américains » pendant des années. Toute une série d’agences, dont le Federal Bureau of Investigation et la Drug Enforcement Agency, ont exploité des “lacunes juridiques”, dit-il, pour éviter tout contrôle tout en amassant “des quantités infinies de données”.

    Un groupe consultatif de haut niveau auprès du directeur du renseignement national, Avril Haines, la principale espionne du gouvernement, a déclaré dans le rapport déclassifié le mois dernier que les agences de renseignement continuaient de considérer les informations comme “non sensibles” simplement parce qu’elles avaient été obtenues commercialement. Cette perspective ignore les “changements profonds dans la portée et la sensibilité” de ces informations, ont averti les conseillers, affirmant que les progrès technologiques avaient “sapé la justification politique historique” pour affirmer que les informations achetées peuvent être utilisées librement “sans affecter de manière significative la vie privée et la vie civile”. libertés des personnes américaines.

    Le bureau de Haines n’a pas répondu aux multiples demandes de commentaires. Dans une déclaration le mois dernier, la directrice a déclaré qu’elle s’efforçait de mettre en œuvre les principales recommandations de ses conseillers et estimait que les Américains devraient avoir “une certaine idée” des politiques affectant la collecte de leurs données personnelles. Une grande partie du cadre de traitement des achats commerciaux par la communauté du renseignement serait divulgué publiquement lorsqu’il sera finalement finalisé, a-t-elle déclaré.

    La pratique consistant à payer des entreprises pour espionner des citoyens américains est l’une des nombreuses préoccupations que les législateurs affirment explorer cet automne lors de ce qui devrait être un débat long et houleux sur l’un des outils de surveillance les plus puissants du gouvernement : l’article 702 du Foreign Intelligence . Loi sur la surveillance.

    La Fondation Mozilla s’est jointe au chœur des groupes de la société civile appelant à des réformes du programme 702 aujourd’hui, affirmant que le processus actuel de la FISA est “trop ​​large” et “restreint uniquement par une législation et des décrets faibles qui, l’expérience l’a montré, ne créent pas une véritable responsabilité”.

    Source: https://arstechnica.com/tech-policy/2023/07/instead-of-obtaining-a-warrant-the-nsa-would-like-to-keep-buying-your-data/

  • Darmanin renvoie la censure

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    @p-bone
    c’est exactement ça!
    je suis inscrit sur le fameux tracker francophone d’ebook, ultra complet de quoi avoir un très bel aperçu de la production littéraire, les 2/3 des sorties hebdos c’est de la romance sentimentale, du porno soft en fait, librement accessible en rayon à n’importe qui avec des mecs ou meufs à moitié à poil sur la couv.
    Belle hypocrisie cette affaire…