Trump Make America Great Again, again
-
@duJambon ça me rappelle le pacte germano-soviétique de 1939, en général, ça finit mal!
Edit: pour éviter toutes réclamations, vous prendrez note que je n’ai pas établi encore, qui fera qui?

-
Si ça c’est pas du suçage de ****, du lèchage de ********, de la brosse à reluire ou du frotte manche, ben moi je suis le roi des lapins…
A te dégouter du foot (ce que je suis déjà)…https://www.rds.ca/soccer/coupe-du-monde/article/tirage-au-sort-trump-honore-des-le-debut/

-
Psyckofox DDL Geek Rebelle Ciné-Séries Club Gamer PW Addicta répondu à BahBwah dernière édition par Psyckofox
J’ai vu le tirage au sort en direct étant donné que je suis un inconditionnel fan de cet événement et j’étais dégouté par cette tête de gland (une vraie pucelle de groupie).
À la base cette médaille n’avait jamais jamais existé mais d’un coup d’un seul comme par magie en l’honneur du canard orange, cette tête de gland d’Infantino nous créé ce prix en l’honneur de Trumpy avec un message en son honneur digne de la plus grande suceuse de la planète. -
Il n’a pas eu le prix nobel de la paix, alors tous les moyens sont bons pour se faire reluire

-
Boycottez cette coupe du monde les gars

-
Psyckofox DDL Geek Rebelle Ciné-Séries Club Gamer PW Addicta répondu à patricelg dernière édition par Psyckofox
Je la boycotte en matant la coupe sur IPTV (ces bâtards ne touchent pas un centime depuis des années avec moi, aucun chiffre, aucun bénef, un vrai fantôme
).
Mais même si je la mate, je suis tout a fait ok avec toi Patrice -
Infantino, c’est bien lui qui a précipité la chute de Platini et Blatter dans les instances du foot mondial ?
Ces deux là définitivement blanchis en aout dernier en passant.
Non, c’est une question réthorique, c’est bien cet enc… Egal à lui même.@patricelg @Psyckofox Je boycotte avec vous, un peu plus comme Psycho quand même.
-
@patricelg La quoi? De qui? Où ça?
-
Les États-Unis considèrent que l’Europe va voir sa civilisation “disparaître” (à moins de suivre Trump)
Les États-Unis considèrent l’Europe comme un continent en déclin, ressort-il d’un document publié aujourd’hui par la Maison-Blanche. Dans le détail, ce document, qui reprend presque mot pour mot le vocabulaire de la Russie, appelle à “cultiver la résistance à la trajectoire actuelle de l’Europe” en soutenant des mouvements favorables au trumpisme. Fait marquant: alors que les alliés traditionnels des États-Unis sont vilipendés, Moscou n’est pas critiquée.
Le document rendu public ce vendredi par la Maison-Blanche ne mâche pas ses mots. À en croire ce rapport de 33 pages signé par Trump et exposant la politique étrangère américaine, l’Europe serait en difficulté économique à cause d’une réglementation étouffante, saperait sa propre démocratie, restreindrait la liberté d’expression, bloquerait une paix potentielle en Ukraine et ferait ainsi face à une “érosion civilisationnelle” due à une forte immigration et à un taux de natalité en chute libre. Autant de griefs qui semblent directement hérités des thèses de l’extrême droite, analyse le quotidien espagnol ‘El País’.
“Si les tendances actuelles se maintiennent, le continent sera méconnaissable d’ici 20 ans, voire moins”, indique le rapport. Parallèlement, il s’interroge sur la capacité de certains pays européens à “être suffisamment forts économiquement et militairement pour demeurer des alliés fiables”.
Selon Washington, l’Europe doit donc changer de cap, en prenant le parti du trumpisme. Pour ce faire, ils souhaitent “cultiver la résistance à la trajectoire actuelle de l’Europe”. En ce sens, la Maison-Blanche considère la montée des partis européens d’extrême droite et eurosceptiques comme “un motif de grand optimisme”.
L’objectif ultime, selon le document, est de mettre rapidement fin à la guerre en Ukraine, de stabiliser les économies européennes, d’empêcher une escalade des hostilités avec la Russie et de rétablir la stabilité stratégique avec ce pays, confirmant ainsi la volonté de la Maison-Blanche de se rapprocher du régime de Vladimir Poutine. Par ailleurs, Washington souhaite ouvrir les marchés européens aux biens et services américains et lutter contre l’impression d’une expansion constante de l’OTAN ressentie par la Russie.
Quand Washington copie les dires de Moscou
Ces différentes formulations semblent directement tirées de plusieurs documents écrits par la Russie. Elles étaient par exemple présentes dans la version initiale du plan de Trump pour l’Ukraine, qui comptait à l’origine 28 points. Selon les dernières révélations faites par les médias anglo-saxons, il apparaît de plus en plus clairement que celui-ci a été élaboré par la Russie en coopération avec les États-Unis, notamment avec l’émissaire de Trump Steve Witkoff.
Les services de renseignements européens avaient déjà souligné que le plan de paix de l’administration Trump ne tenait pas compte de l’Europe et était uniquement motivé par des considérations financières. La Maison-Blanche viserait en réalité à élaborer secrètement des projets commerciaux et économiques avec la Russie qui seraient rendus possibles avec la fin de la guerre en Ukraine.
J.D. VanceLa rhétorique du nouveau document rappelle aussi le discours du vice-président américain J.D. Vance lors de la Conférence de Munich sur la sécurité en février de cette année. Il avait alors surpris les dirigeants européens par son ton résolument hostile vis-à-vis de l’Europe. Le président de la conférence a fondu en larmes, qualifiant la réunion de “cauchemar”.
En mars, une conversation a ensuite fuité dans la presse. J.D. Vance s’y entretenait avec 18 responsables américains, dont Steve Witkoff, le secrétaire d’État Marco Rubio et le secrétaire à la Défense Pete Hegseth. Le vice-président américain y affirmait qu’il “détestait devoir soutenir l’Europe”.
Bon, a priori, il reste moins de temps à Trump qu’à l’europe pour disparaître, mais qui sait ?
