[Topic Unique] Actualités cinéma & séries
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Arcane : le trailer de la saison 2 est là, mais ce sera malheureusement la dernière
Prêts pour un nouveau round dans le monde déchiré de Runeterra ? La saison 2 d’Arcane, la série animée à succès inspirée de League of Legends, arrive sur Netflix en novembre, promettant des combats épiques, des rebondissements inattendus et une conclusion spectaculaire.
Arcane a conquis à la fois le public novice en MOBA et les fans internationaux de League of Legends lors de sa sortie sur Netflix en novembre 2021. La série a même été récompensée par quatre Emmy Awards en 2022, devenant ainsi le premier programme d’une plateforme de streaming à remporter le prix du meilleur programme d’animation.
Après un premier teaser aguicheur en janvier dernier, Netflix a enfin dévoilé la bande-annonce officielle de la deuxième saison.
Arcane : une fin en apothéose pour la série animée acclamée de Netflix
Au centre de l’intrigue, on retrouve les sœurs Vi et Jinx, dont le conflit reflète la tension grandissante entre les cités de Piltover et Zaun. Suite aux événements tragiques de la première saison, les deux villes sont désormais plongées dans une guerre sans merci. Vi se retrouve du côté de la loi, déterminée à capturer sa sœur et à détruire la Shimmer, une substance dangereuse qui confère des pouvoirs dévastateurs.Les adeptes du MOBA retrouveront Caitlyn et Ekko, déjà présents dans la première saison. L’arrivée de Singed et Warwick est également annoncée pour cette nouvelle saison prévue pour novembre 2024. Le trailer promet des combats intenses, des moments dramatiques poignants et des visuels comme d’habitude époustouflants.
Mais attention : cette deuxième saison marquera également la fin d‘Arcane.
Ce n’est que le début de notre voyage narratif et de notre collaboration avec le formidable studio d’animation Fortiche,
Dès le départ, nous avions une fin précise en tête, ce qui signifie que l’histoire d’Arcane se terminera avec cette deuxième saison… Cependant, Arcane n’est que le premier chapitre des nombreuses histoires que nous voulons raconter dans Runeterra
Christian Linke, co-créateurCe choix d’une conclusion définie est une bonne nouvelle puisque cela signifie qu’ils auront droit à une fin satisfaisante plutôt qu’à un cliffhanger frustrant. La poursuite du partenariat créatif reste un autre point positif. Avec plus de 160 champions dans l’univers de League of Legends, il y a matière à explorer pour de nombreuses séries à venir…
– Source :
–> Vous savez tout le bien que je pense d’Arcane: Une des meilleures séries d’animation que j’ai pu voir. Un objet précieux. Super hâte de voir cette saison 2 et sa conclusion
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Dead Whisper : Quand papa se fait du Soucy
Attendu début juillet aux USA et lauréat du Cinequest San Jose Film Festival, Dead Whisper illustre d’un thème douloureux puisqu’il y est question d’Elliot Campbell, un avocat de Cape Cod en deuil, montant à bord d’un ferry pour affaires. Il est alors redirigé vers une île cauchemardesque au large de la côte où une entité démoniaque lui offre des retrouvailles avec sa fille décédée, au péril de son âme…
Réalisé en Nouvelle-Angleterre, et dans la lignée de The Wicker Man, sujet lourd pour le premier long du réalisateur novice Conor Soucy (qu’il a coproduit), qui traite avec un ton résolument atmosphérique et un sérieux qui lui permettront peut-être de s’imposer parmi la myriade de titres de cet acabit à paraitre en VOD chaque semaine.
Dead Whisper est une histoire effrayante sur le chagrin, la tentation et les efforts que nous ferons pour revoir un être cher.
– Source :
https://ecranfantastique.fr/le-dernier-souffle/
–> Une des bandes annonces les plus intéressantes que j’ai vu ses derniers mois, et si il n’y a pas de gaudrioles, j’achète de suite !
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Love lies Bleeding
Attention véritable OFNI (Objet Filmique Non Identifié) qui prend pour cadre original une petite bourgade paumée du Nouveau Mexique en 1989, au cœur d’une certaine « Deep America » reaganienne et conservatrice emplie de testostérones et de valeurs machistes et phalliques suintant à chaque coin de rue. La jeune Lou Langston (formidable Kristen Stewart au look androgyne) mène une vie sans saveur en tant qu’employée du gym-club « Crater ». Une salle de « muscu-fitness » archétypale, symbole d’un certain cinéma stéroïdé estampillé années 80, peuplée de forçats de l’effort physique et tapissée de slogans marketing performatifs et plutôt ineptes du type « Ton corps est la volonté de ton esprit ». Ce bien-nommé Crater, toujours éruptif, est la propriété du propre père de Lou, un être honni au visage buriné et à la tignasse de sorcier, incarné par un méconnaissable Ed Harris (dont les prothèses faciales et crâniennes sont impressionnantes).
Ce patriarche-gourou louche et patibulaire, éleveur de gros insectes immondes et fan d’armes à feu, tient la bourgade sous sa coupe, en corrompant allègrement les autorités locales. Lou est une fille perdue, velléitaire et accro à la cigarette et aux joints tandis que retentissent avec fracas les diatribes démagogiques anti-drogues énoncées par le Président Reagan sur toutes les ondes du comté. Mais comme dans un conte de fées modernisé, sa vie semble enfin prendre une tournure « enchantée » lorsqu’entre miraculeusement dans sa salle la dénommée Jaqueline « Jackie » Cleaver (imposante Katy O’Brian), métisse SDF de l’Oklahoma qui n’a qu’un objectif en tête : rejoindre Las Vegas pour le grand concours féminin états-unien de body-building !
Le coup de foudre est immédiat entre les deux donzelles, toutes deux finalement accros aux multiples drogues : la cigarette et la fumette pour l’une ; les haltères et les stéroïdes anabolisants pour l’autre ! Mais la vie est loin d’être un long fleuve tranquille et l’irruption de « Big » Jackie va déchaîner les passions et les jalousies dans la bourgade « redneck » du Nouveau Mexique en proie à une violence machiste des plus décomplexées et impunies. Au centre de la toile malfaisante, le père de Lou qui agit avec malignité et fourberie pour toujours parvenir à ses fins et faire taire tout esprit un peu trop libre et dissident.
Une descente aux enfers aggravée par les agissements de plus en plus violents du beau-frère de Lou, l’ignoble J.J (Dave Franco en salaud de service), qui semble prendre un malin plaisir à humilier et tabasser sa femme, la soumise Beth (Jena Malone). Les injustices et drames vont dès lors se multiplier, sous le regard excédé du mastodonte Jackie dont la rage « verte » (et l’abus de stéroïdes…) vont bientôt la transformer en une incroyable et inattendue version d’un Hulk au féminin, au sens propre comme figuré !
Pour son deuxième long-métrage après l’excellent Saint Maud (film réalisé en 2019, couvert de prix à travers le Monde), la réalisatrice britannique Rose Glass, 34 ans, frappe un (nouveau) grand coup avec ce formidable et déconcertant thriller saphique volontairement « vintage » aux frontières du fantastique, abordant frontalement les violences faites aux femmes tout en ambitionnant de déconstruire une certaine mythologie du cinéma reaganien « testostéroné » et « populiste » des années 80… et en osant un singulier clin d’œil à John Steinbeck/ John Ford dans la mesure où le parcours de la déshéritée Jackie peut évoquer ceux des miséreux Okies des Raisins de la colère, également originaires de l’Oklahoma. La réalisation est fort maîtrisée, les décors extérieurs magnifiques (mention spéciale à une hallucinante scène de camouflage de crime dans un immense cratère désertique… renvoyant du coup au nom même du gym-club maudit !).
L’atmosphère globale évoque tantôt David Lynch, tantôt Nicolas Winding Refn… D’autant plus que l’excellente bande-son électronique planante et hypnotique de Clint Mansell n’est pas sans rappeler celle de Drive. On pourra toutefois regretter la multiplication des rebondissements dans la dernière demi-heure et se questionner sur la métaphore très appuyée de la « She-Hulk », porte-étendard d’une cause féministe qui finit par crever l’écran mais aussi (et hélas) les yeux pour certains… Mais ne boudons pas notre plaisir ! Voici un nouveau grand film audacieux, stimulant, entraînant et fort divertissant d’une autrice attachante et impavide qu’il faudra suivre de très près !
LAURENT SILVESTRINI
– Source :
https://ecranfantastique.fr/love-lies-bleeding/
–> Excellent film sorti ce mois-ci que j’ai apprécié, réalisé par la talentueuse réalisatrice de Saint Maud (que j’ai déjà conseillé à multiples reprises ici ) sous la bannière ultra bandante de A24.
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@Violence a dit dans [Topic Unique] Actualités cinéma & séries :
Ton corps est la volonté de ton esprit
Je l’ai toujours su, mon problème c’est la volonté de mon esprit occupé à d’autres trucs mais sous mon gras se cachent des muscles tout à fait honorables.
Je vais regarder ces machos se prendre des mandales avec un plaisir non dissimulé.
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En attendant la nuit
Les Féral, Georges et Laurence et leurs deux enfants, Philémon, 1 7 ans et la petite Lucie emménagent dans un quartier pavillonnaire isolée, entre bois et lac. Un lieu calme, convivial, où il est certain que rien de grave ne peut se passer. Alors pourquoi Georges tient-il à rappeler aux siens :
Il faut absolument qu’on ait l’air le plus normaux possible… Tu fais comme tout le monde, tu es tranquille.
Ce qui semble acquis lors de la garden party où les nouveaux arrivants sont conviés. Mais pourquoi Philémon reste-t-il à l’écart, dans un coin d’ombre, sa casquette sur les yeux ? La toute première séquence du film nous avait avertis, avec ces cris dans la nuit n’annonçant pas un drame mais une naissance, celle de Philémon qui, au lieu de téter, mord jusqu’au sang le sein de sa mère, révélant ainsi ce qu’il est en réalité : un vampire. Mais rien à voir avec la figure traditionnelle imposée par le cinéma, seulement un enfant un peu différent que sa famille cache, protège, et que sa mère couve comme un poussin.
Là est l’originalité comme la réussite d’un métrage qui vise avant tout le réalisme le plus quotidien, que porte avec un mélange de fragilité et de fébrilité le très troublant Mathias Legoût Hammond à son premier rôle, qu’on voit calculer montre en main combien de secondes il peut rester à la lumière du jour ou, suivant un chemin dans la forêt, sautiller entre les endroits à l’ombre et ceux au soleil, tandis que Laurence le nourrit avec des poches de sang déclassifié qu’elle dérobe dans le centre de transfusion sanguine où elle a trouvé du travail.
Comme on s’en doute, cette situation ne pourra pas durer, les copains de Philémon commençant à trouver vraiment bizarre ce gars qui ne se baigne ni ne bronze, à quoi s’ajoute le fait qu’il ne peut répondre aux avances de la jolie Camila, qui s’est éprise de lui. La crise éclate alors que Laurence, dont le trafic a été découvert, doit quitter son emploi. Comment Philémon va-t-il se nourrir ? Si nombre de points restent dans l’obscurité – pourquoi une femme «normale» a-t-elle accouché d’un bébé vampire, comment ont vécu les Féral pendant ces 17 ans au cours desquels Philémon a bien dû aller à l’école – on reste sensible aux deux dimensions qui sous-tendent l’œuvre : l’importance (très américaine) du cocon familial comme havre de survie, et le rappel que la différence (certes, elle est de taille) entraîne toujours la violence, débouchant sur une chute à la fois prévisible et quelque peu aseptisée – mais enfin, on n’est pas chez Terence Fisher, seulement dans une ballade à l’inéluctabilité presque sereine.
Jean-Pierre ANDREVON
– Source :
https://ecranfantastique.fr/en-attendant-la-nuit-2/
–> Pas encore vu mais c’est dans les cartons…
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@Violence a dit dans [Topic Unique] Actualités cinéma & séries :
Project Silence : impressionnant teaser pour le nouveau film de Kim Tae-gon
En dehors des quelques réalisateurs considérés comme plus « nobles », c’est en séance de minuit que le Festival de Cannes sélectionne certains des films coréens les plus excitants de l’année. Cette année, outre Kim Jee-woon et son Cobweb, on y retrouvera également Project Silence, film de genre extrêmement séduisant.
Jusque là, Kim Tae-gon n’a pas réussi à exporter son cinéma. Et ce malgré The Sunshine Boys qui avait un peu tourné dans des festivals en 2013. Cette année, il revient avec son quatrième long métrage, l’imposant Project Silence. Un film de genre, entre thriller fantastique et film catastrophe, qu’il a écrit avec Kim Yong-hwa et Park Joo-seok, deux scénaristes extrêmement talentueux. Pour l’occasion, il a également réuni un casting assez impressionnant avec notamment Lee Sun-kyun, Ju Ji-hoon et Kim Hee-won. Mais il a également fait appel à l’incroyable directeur de la photographie Hong Kyung-pyo, qui semble avoir de nouveau fait un travail remarquable. Autant dire qu’avec une telle réunion de talents, ce Project Silence a tout de son côté pour assurer un beau spectacle.
Project Silence devrait sortir courant 2023 en Corée et prochainement en France.
Synopsis
Le brouillard cause un gigantesque accident sur un pont. Alors que celui-ci menace de s’effondrer, des bêtes inconnues se retrouvent libérées au milieu des survivants.
Project Silence : nouveau trailer pour le film de Kim Tae-gon
Plus d’un an après sa présentation au festival de Cannes, Project Silence , le nouveau film de Kim Tae-gon, s’apprête à enfin sortir au cinéma en Corée mais également en France. Et pour l’occasion nous avons droit à un nouveau trailer particulièrement efficace.
On se demandait s’il allait sortir un jour ou s’il allait rejoindre la triste liste des films sélectionnés à Cannes mais jamais sortis (coucou Heaven: To the Land of Happiness sélectionné en 2020). Et ça sera donc pour cet été. Project Silence, le nouveau film de Kim Tae-gon, producteur mais parfois réalisateur de comédies, qui revoit ici ses ambitions à la hausse. Il s’agit ici d’un film qu’il a écrit avec Kim Yong-hwa et Park Joo-seok, et dans lequel il met notamment en scène Lee Sun-kyun, Ju Ji-hoon et Kim Hee-won. A noter que ce Project Silence bénéficie de la présence de l’incroyable directeur de la photographie Hong Kyung-pyo, et cela se ressent à chaque plan de cette bande-annonce. Autant dire qu’il y a de bonnes raisons d’attendre ce film avec impatience.
Project Silence sortira en Corée le 12 juillet 2024 et en France le 21 août 2024.
Le brouillard cause un gigantesque accident sur un pont. Alors que celui-ci menace de s’effondrer, des bêtes inconnues se retrouvent libérées au milieu des survivants.
– Source :
https://furyosa.com/project-silence-nouveau-trailer-pour-le-film-de-kim-tae-gon/
–> L’attente va bientôt prendre fin
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The Ghost in the Shell : le studio Science Saru tease une nouvelle série
Un des studios d’animation parmi les plus intéressants du Japon, Science Saru, créé par le génial Masaaki Yuasa, vient d’annoncer la diffusion en 2026 de leur nouvelle série consacrée au mythique Ghost in the Shell de Masamune Shirow.
L’actualité est bouillante pour le studio Science Saru. Quelques jours seulement après l’annonce du rachat par la Toho, et tandis que Masaaki Yuasa s’est retiré de la présidence du studio depuis 4 ans maintenant, voilà qu’on apprend la mise en chantier d’une nouvelle série qui va directement figurer parmi les plus grosses attentes des années à venir. En effet, il s’agira d’une série adaptée de Ghost in the Shell de Masamune Shirow. L’univers de Ghost in the Shell se développe en animation depuis de longues années maintenant, avec notamment plusieurs séries Stand Alone Complex produites pendant les 20 dernières années. Il pourrait s’agir ici d’un véritable retour aux sources du manga, la série étant titrée simplement The Ghost in the Shell. Et si elle porte la patte graphique de Science Saru, ça pourrait bien être grandiose.
Diffusion prévue pour 2026.
– Source :
https://furyosa.com/the-ghost-in-the-shell-le-studio-science-saru-tease-une-nouvelle-serie/
–> Oh putain
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@Violence a dit dans [Topic Unique] Actualités cinéma & séries :
vient d’annoncer la diffusion en 2026
Non c’est trop long
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@Violence a dit dans [Topic Unique] Actualités cinéma & séries :
Nosferatu de Robert Eggers
Après avoir réalisé son plus grand projet avec The Northman (je ne referais pas le débat, moi et pas mal de potos avons kiffé ce voyage), Robert Eggers s’est rapidement lancé dans son projet passion de longue date: une nouvelle adaptation du chef-d’œuvre expressionniste allemand Nosferatu de F. W. Murnau (1922), lui-même inspiré du Dracula de Bram Stoker, avec un casting comprenant Lily-Rose Depp, Bill Skarsgàrd, Nicholas Hoult, Aaron Taylor-Johnson, Emma Corrin, Willem Dafoe, Simon McBurney et Ralph Ineson. Focus Features n’a pas encore fixé de date de sortie pour 2024, mais a partagé la première image, avec Depp dans le rôle d’Ellen Hutter.
–> Ce n’est pas grand chose mais ça fait bien longtemps qu’on est au courant du projet et je l’attends de pied ferme donc je prends.
Premier trailer pour le Nosferatu de Eggers
Le mythe du vampire est de retour avec la première bande-annonce de Nosferatu, fraîchement dévoilée par Focus Features. Ce film tant attendu est une refonte du classique de 1922, réalisée et écrite par Robert Eggers.
Nosferatu n’est pas simplement une copie du film original de F. W. Murnau. Robert Eggers propose sa propre vision de l’histoire dans ce remake.
Les amateurs de frissons pourront découvrir cette nouvelle version dans les salles obscures à partir du 25 décembre 2024.
–> Perso, je me laisserai mordre volontiers. Ce trailer et les pontes de Focus se sont bien gardés de dévoiler l’apparence du vampire éponyme campé par Bill Skarsgård
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patricelg PW Addict DDL Rebelle Windowsien Ciné-Séries Cluba répondu à Violence le dernière édition par
Je l’ignorais qu’ils réalisaient un second. Plus qu’à patienter.
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patricelg PW Addict DDL Rebelle Windowsien Ciné-Séries Cluba répondu à Violence le dernière édition par patricelg
@Violence J’ai cru voir Zeus de Army of The Dead sur l’affiche
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@Violence a dit dans [Topic Unique] Actualités cinéma & séries :
Gladiator 2 » : Paul Mescal choisi pour incarner Lucius, rôle titre de la suite
Je ne vous apprends rien quand je dis que Gladiator 2 est en marche par papy Ridley lui même
Cette suite est en très bonne voie, puisque l’acteur irlandais Paul Mescal a été choisi pour incarner le personnage principal de ce sequel.
Un acteur encore méconnu du grand public, révélé en 2020 dans la mini-série Normal People.Cette suite, souhaitée par Ridley Scott suivra donc la fin du récit du premier film, plusieurs dizaines d’années après la mort de Maximus. Paul Mescal y incarnera donc Lucius, le fils de Lucilla, incarnée par Connie Nielsen dans le film original.
– Lucius, dans le film « Gladiator », sorti en 2000 au cinéma. Il était alors incarné par l’acteur Spencer Treat Clark, également connu pour avoir joué dans « Incassable » et « Glass » de M. Night Shyamalan.Ridley Scott s’offre un nouveau chantier colossal à 85 ans. Le réalisateur derrière Alien, Thelma et Louise ou plus récemment Le dernier duel, devra d’abord terminer un autre film historique : Napoléon. Un long-métrage prévu pour 2023 dans lequel Joaquin Phoenix portera l’uniforme militaire pour incarner Napoléon Bonaparte.
Première Bande annonce officielle pour Gladiator 2 et une affiche
–> Alors perso, la bande annonce me donne fort envie, par contre la musique utilisée est vraiment mal choisie je trouve. On est loin de la sensibilité, de la beauté et de la symphonie du premier opus. J’espère sincèrement que ce n’est que pour la bande annonce. A voir…
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Il a l’air bien plus violent en tout cas
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Avis personnel, la bande annonce me fait sacrément peur et la musique je te dis pas, ça sonne faux.
J’espère sacrément me tromper étant surtout que Ridley Scott s’attaque à son propre chef d’oeuvre.
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@Psyckofox a dit dans [Topic Unique] Actualités cinéma & séries :
musique je te dis pas, ça sonne faux.
Carrément d’accord pour la musique. J’espère que ça ne donne pas l’intention… Sinon en effet on est mal! La BA m’a moins choquée, il y à l’air d’avoir de beaux morceaux de bravoure notamment le Colisée immergé…
Par contre l’acteur de Stranger Things à l’air super. Il me les casse déjà ça veux dire que c’est déjà pas mal ha ha
Je l’ai bien aimé aussi dans Sans un bruit jour 1
Wait and see
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@Violence a dit dans [Topic Unique] Actualités cinéma & séries :
Un trailer pour Longlegs avec Nicolas Cage en tueur en série
Enfin ! Après nous avoir mis l’eau à la bouche avec une salve de teasers aussi cryptiques que réussis, les pontes de Neon ont dévoilé la première bande-annonce du très attendu Longlegs, le dernier effort en date d’Oz Perkins (Gretel & Hansel).
Un trailer pas trop spoilerisant (tant mieux !) et qui permet notamment d’entendre la voix de Nicolas Cage (Mandy) dans le rôle d’un « insaisissable tueur en série » traqué par une agente du FBI plutôt tenace (Maika The Guest Monroe).
Difficile de garder son calme face à ce Longlegs qui s’annonce comme l’un des titres majeurs de cette année 2024.)
– Source :
https://www.mad-movies.com/articles-1/nicopathe-1
–> Trop trop hâte de le voir celui-là. Avec ce très bon duo d’acteurs, ça risque d’être fort et j’aime beaucoup ce que produit la boite NEON, tout comme A24
Ultime trailer pour Longlegs
À quelques jours de sa sortie en salles (le 10 juillet chez nous et le 12 aux USA), le très attendu Longlegs* s’offre un ultime trailer préparé par la team de Neon . Un trailer qui continue de nous mettre l’eau à la bouche sans trop dévoiler les ressorts d’un thriller horrifique dans lequel Nicolas Cage (Pig) campe un « insaisissable tueur en série » traqué par une agente du FBI plutôt tenace (Maika The Guest Monroe). Forcément intrigant, d’autant que c’est le singulier Osgood “Oz” Perkins (Gretel & Hansel) qui se charge d’écrire et réaliser de ce Longlegs qui s’annonce comme un bel hommage aux films de serial killers des années 90.
– Source :
https://www.mad-movies.com/articles-1/traque
–> L’attente est bientôt terminée !!! Puis Nic Cage en tueur fou et sadique, ça devrait lui allé très bien au teint
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patricelg PW Addict DDL Rebelle Windowsien Ciné-Séries Cluba répondu à Violence le dernière édition par
@Violence a dit dans [Topic Unique] Actualités cinéma & séries :
L’attente est bientôt terminée !!! Puis Nic Cage en tueur fou et sadique, ça devrait lui allé très bien au teint
C’est d’une évidence, il m’a bien fait marrer dans Renfield et Prisoners of the Ghostland
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La planète des singes, le nouveau royaume
Je viens de regarder ce film, techniquement parfait, d’une grande humanité, d’un scénario irréprochable, avec des images magnifiques, mais qui malheureusement n’amène aucune surprise ni réelle nouveauté. On ne peut qu’admirer la palette d’émotions et d’expression sur des singes pourtant très variés, qui n’ont pourtant aucune réalité. C’est beau le progrès.
Il y a quand même une morale au film, chose devenue bien rarissime, mais, hélas, peu de monde en tirera une leçon ou conservera une chose aussi importante en mémoire très longtemps.
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perso je l’ai bien aimé. Très beau à regarder, avec un certains nombre de rebondissement.
il m’a passionné