[Topic Unique] Actualités cinéma & séries
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@michmich Tu n’a pas vu le pire c’est hallucinant.
Il y avait un montage d’un quart d’heure avec toutes les scènes de folies mises bout à bout, mais je ne l’ai pas retrouvé, quand ils ont ressorti le film en 4K, ils ont dû tout supprimer du web.
Attention de ne pas te pisser dessus de rire.
Ah encore un truc, ça va crescendo dans l’outrance, au début le film peut paraître normal pour du Bollywood, mais déjà au milieu, ça devient dingue et il n’existe aucun qualificatif pour ce qui suit.
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@duBoudin parrait même qu’il y a une suite:
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@michmich Super ! Merci du tuyau, il faut absolument que je voie ça, j’espère ne pas mourir en le visionnant…
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The Moon : trailer du film catastrophe lunaire de Kim Yong-hwa
Après 5 ans d’absence, le faiseur de succès Kim Yong-hwa est de retour avec The Moon, un film catastrophe dont l’action se déroule au cours d’une mission sur la Lune. On sent bien que Gravity est passé par là et ça s’annonce très spectaculaire.
C’est en 2012, après quelques comédies, que Kim Yong-hwa s’est imposé en Corée et sur la scène internationale avec l’excellent Mr. Go et son gorille qui jouait au baseball. Une position qu’il a plus que conforté avec son diptyque Along With the Gods: The Two Worlds et Along With the Gods: The Last 49 Days, des blockbusters extrêmement attachants et spectaculaires. Et puis plus rien. Il a produit Ashfall et Escape from Mogadishu, écrit Project Silence présenté à Cannes cette année, et on le retrouve enfin à la réalisation avec The Moon.
Un film au budget conséquent et qu’il a également écrit. Il y dirige notamment Sol Kyung-gu, Do Kyung-soo et Kim Hee-ae. Kim Young-ho s’est occupé de la photographie et les nombreux effets spéciaux du film ont été supervisés par Jin Jong-hyun, qui a notamment travaillé sur Alienoid, Fabricated City ou bien sur les deux Along With the Gods.
The Moon est sorti le 2 août 2023, en Corée.
Synopsis
Un homme est laissé dans l’espace à cause d’un malheureux accident tandis qu’un autre homme sur Terre se bat pour le ramener sain et sauf.
–> ça pique ma curiosité ce truc !
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@Violence a dit dans [Topic Unique] Actualités cinéma & séries :
Yes mais c’est de la SF, ça n’a jamais été crédible. La Hard SF par contre…
Tu semble avoir une très mauvaise opinion de la SF.
Ça, c’est pas de la SF, c’est du délire (ou du fun), la SF high school (et malheureusement old school), ça essaye quand même de respecter les lois de la physique, exemple moderne pas trop pourri: Gravity, plus prospectif mais encore crédible: Interstellar.
Et je ne parle même pas d’Asimov ou d’Arthur C. Clarke.
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@duBoudin a dit dans [Topic Unique] Actualités cinéma & séries :
Tu semble avoir une très mauvaise opinion de la SF.
Non du tout j’adore la SF
Après je suis d’accord avec toi, c’est du gros délire mais ça reste de la SF tout de même.
Comme il existe de la SF de genre.Selon Wikipedia :
La hard science-fiction (dite aussi hard science, hard SF, SF dure) est un genre de science-fiction dans lequel les technologies, les sociétés et leurs évolutions, telles qu’elles sont décrites dans le roman, peuvent être considérées comme vraisemblables au regard de l’état des connaissances scientifiques
Mais bon après, on s’en carre même si j’adore aussi bien la hard SF
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Beaten to Death
Vous aimez le cinéma violent ? (bon je sais qu’ici oui pour certains et pas mal d’autres non, mais c’est pas grave) Les décharges d’adrénaline à faire pleurer les amateurs de comédies gentilles du type Camping ? Alors, le bien nommé Beaten to Death est pour vous !
Dans ce film australien réalisé par Sam Curtain, un homme appelé Jack est battu à mort. Abandonné et épuisé, il croise ensuite la route de plusieurs locaux qui vont eux aussi tester ses limites…
Voilà pour le pitch simplissime de ce survival qui semble lorgner sur les shockers et les video nasties les plus hargneux des années 70/80. Ames sensibles s’abstenir, donc !
–> Hmm j’attends de voir même si la BA donne envie.
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Tueurs nés: L’ un des meilleurs Oliver Stone en 4K
La firme US Shout! Factory a dévoilé les détails complets de son édition 4K de Tueurs nés à paraitre fin septembre et, le moins que l’on puisse dire, c’est que ça va être du lourd ! La satire cinglante et sanglante d’Oliver Stone sera proposée dans sa version director’s cut sous la forme d’un transfert 2160p fraichement remasterisé par le realisateur (la version salle bénéficiera également de cette remasteriation, mais devra se contenter d’un Blu-ray) et enfin pourvue sur la BO du morceau « Burn » de Nine Inch Nails absent des éditions vidéos depuis le DVD.
Les bonus s’annoncent tout aussi massifs puisque la plupart des modules produits pour les collectors précédents ont été conservés (commentaires audio, making of, scènes coupées…) et que de nouveaux entretiens viendront s’ajouter à la liste de ce combo indispensable.
Special Features and Technical Specs:
DISC ONE - 4K BLU-RAY: DIRECTOR’S CUT
- NEW 4K RESTORATION FROM THE ORIGINAL CAMERA NEGATIVE APPROVED BY OLIVER STONE
- DOLBY VISION/HDR PRESENTATION OF THE FILM
- Audio: 5.1 Surround DTS-HD Master Audio, 2.0 Stereo DTS-HD Master Audio
- Audio Commentary By Director/Co-Writer Oliver Stone
- Optional English subtitles for the main feature
DISC TWO - BLU-RAY: DIRECTOR’S CUT
- NEW 4K RESTORATION FROM THE ORIGINAL CAMERA NEGATIVE APPROVED BY OLIVER STONE
- NEW On Dawn’s Highway Bleeding - Editor Hank Corwin On Natural Born Killers
- NEW The Scream of the Butterfly - Producer Clayton Townsend On Natural Born Killers
- NEW A Bloody Pail Of Nitro - Special Makeup Effects Artist Gordon J. Smith On Natural Born Killers
- NEW Wilderness Of Pain - Cinematographer Robert Richardson On Natural Born Killers
- Audio Commentary By Director/Co-Writer Oliver Stone
- Introduction By Oliver Stone
- Optional English subtitles for the main feature
DISC THREE - BLU-RAY: THEATRICAL CUT
- NEW 4K RESTORATION FROM THE ORIGINAL CAMERA NEGATIVE APPROVED BY OLIVER STONE
- Audio Commentary By Director/Co-Writer Oliver Stone
- Natural Born Killers: Method in the Madness
- Natural Born Killers Evolution: How Would It All Go Down Now? Documentary
- Chaos Rising: The Storm Around Natural Born Killers Documentary
- Deleted Scenes With Introductions By Oliver Stone
- Alternate Ending With Introduction By Oliver Stone
- Theatrical Trailer
- Optional English subtitles for the main feature
*Both cuts of the film contain the song “Burn” by Nine Inch Nails.
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@Violence a dit dans [Topic Unique] Actualités cinéma & séries :
un homme appelé Jack est battu à mort. Abandonné et épuisé, il croise ensuite la route de plusieurs locaux qui vont eux aussi tester ses limites…
Le pitch donne envie en tous cas (il a pas de moule en tous cas )
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@Psyckofox a dit dans [Topic Unique] Actualités cinéma & séries :
Moi et le cinéma indien ça fait 2 (contrairement à mes voisins et des potos, moi j’arrive pas du tout à rentrer dans le truc).
Pareil ça passe vraiment pas, entre le jeu d’acteur, les musiques, les trucs incensés sorti de nul part
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@Violence a dit dans [Topic Unique] Actualités cinéma & séries :
Beaten to Death
Celui là pourquoi pas, on verra ce que ça donne
Et tueurs nés en 4k
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The Killer (2023) : Fincher is back, baby
Après ou avoir laissés un peu perplexes avec un Monk en demi-teinte, David Fincher revient au genre pour les besoins de The Killer (aucun lien avec le classique de John Woo), polar noir dont la sortie est prévue en novembre sur Netflix.
Dans cette adaptation de la bande dessinée Le Tueur d’Alexis « Matz » Nolent et Luc Jacamon, le réalisateur de Fight Club s’intéresse aux mésaventures d’un assassin trahi par ses employeurs. Un protagoniste ambigu campé par un Michael Fassbender (Cartel) visiblement très en forme. Autre bon point : Andrew Kevin Walker (Se7en) se charge de l’adaptation de ce Killer au teaser cryptique et diablement séduisant.
–> Fincher is back, baby
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Creepy Crawly : Film de monstre à la sauce Thaï
Généralement associé au film de fantômes, le cinéma de genre asiatique sait pourtant varier les plaisirs comme le démontre Creepy Crawly (ex The One Hundred), un « creature feature » en provenance de Thaïlande. Dans ce film signé Chalit Krileadmongkon et Pakphum Wongjinda, un groupe de jeunes gens est contraint de rester assigné en quarantaine dans un hôtel tout spécialement préparé. Mais l’apparition de petites bébêtes capables de posséder l’esprit de leurs victimes vient vite mettre le boxon…
Voilà qui ressemble fort à Frissons, le classique fauché de David Cronenberg même si la bande-annonce laisse penser que les auteurs de Creepy Crawly privilégieront l’action à la satire sociale. Pourquoi pas tant que c’est bien fichu.
–> Gloubi-boulga ?
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Second tour : bande-annonce du nouveau film d’Albert Dupontel
3 ans après sa très bonne comédie Adieu les cons, Albert Dupontel est de retour derrière la caméra avec Second tour, un film qui semble se situer dans une veine plus sérieuse de son cinéma.
Toujours fidèle à lui-même et à sa conception du cinéma, à la fois populaire et techniquement exigeant, Albert Dupontel, le plus césarisé des auteurs punks, est de retour. Et si Adieu les cons marquait un retour à la comédie loufoque, Second tour s’annonce plutôt comme un drame sur fond de politique. Même si on s’imagine que l’humour sera au rendez-vous, comme toujours chez ce réalisateur honni par la frange la plus snob de la critique.
Dans ce film qu’il a également écrit, il se donne un des premiers rôles aux cotés de Cécile de France et Nicolas Marié. On y croisera également des habitués de l’univers de Dupontel, tels que Bouli Lanners, Philippe Uchan ou Jackie Berroyer, mais aussi Uri Gabriel, Catherine Schaub-Abkarian, Gilles Gaston-Dreyfus ou Scali Delpeyrat. C’est Julien Poupard qui s’est chargé de la photographie.
Second tour sortira en France le 25 octobre 2023.
Synopsis
Journaliste politique en disgrâce placée à la rubrique football, Mlle Pove est sollicitée pour suivre l’entre-deux tours de la campagne présidentielle. Le favori est Pierre-Henry Mercier, héritier d’une puissante famille française et novice en politique. Troublée par ce candidat qu’elle a connu moins lisse, Mlle Pove se lance dans une enquête aussi étonnante que jubilatoire.
–> Encore un beau projet pour M. Dupontel !
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Ahhhhh ! Un Dupontel !!!
Grand fan de ce qu’il fait -
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Cool un dupontel ça fait plaisir, un des derniers mec sérieux et franc
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Hail to Hell : bande-annonce du premier film de Lim Oh-jeong
Ancienne assistante de Hong Sang-soo, Lim Oh-jeong se lance avec Hail to Hell dans l’aventure du long métrage. Et ce dans un style et un univers totalement différents de ceux auprès duquel elle a beaucoup appris.
Voilà une réalisatrice qui devrait faire parler d’elle. En 2005, Lim Oh-jeong assistait Hong Sang-soo à la réalisation du très beau Conte de cinéma. Une collaboration qui se poursuivit sur Woman on the Beach et La Femme de mes amis. En 2017, elle devient scénariste pour la série Green Fever puis réalise un segment de l’omnibus A Daytime Picnic l’année suivante. Et c’est 5 ans plus tard qu’on la retrouve aux commandes de son premier long métrage baptisé Hail to Hell. Un drame qui aborde des sujets majeurs tels que le suicide chez les jeunes ou la multiplication des cultes en Corée et leurs dangers. Le film met en scène Oh Woo-ri et Bang Hyo-rin dans les deux rôles principaux, entourées de Jung Yi-ju et Park Sung-hoon notamment.
Hail to Hell est sortie en Corée le 16 août 2023.
Synopsis
Na-mi et Seon-woo, les parias de l’école, prévoient de se suicider au lieu d’aller au voyage scolaire. A l’approche du moment fatidique, elles découvrent que Chae-rin, la fille qui a rendu leur quotidien impossible, vit une nouvelle vie heureuse à Séoul. Alors, elles décident de se venger avant de mettre fin à leurs jours. Cependant, quand elles retrouvent enfin Chae-rin, elles découvrent une fille au grand cœur, ce qui change complètement la donne. Mais quelque chose semble étrange à propos de l’institution religieuse dans laquelle elle séjourne et elles commencent à se demander si elles ne devraient pas plutôt sauver Chae-rin de cet endroit étrange.
–> Un projet qui rassemble des thèmes chers à Sono Sion, le côté fantastique en plus ?
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Le Cercle des neiges : premier teaser pour le nouveau film de J.A. Bayona
Après avoir perdu beaucoup trop de son temps sur la franchise Jurassic World et sur la série Les Anneaux de pouvoir, le grand J.A. Bayona est de retour avec un projet qui lui correspond totalement et à travers lequel il va pouvoir à nouveau exprimer son talent pour l’aventure et le mélodrame : Le Cercle des neiges.
Propulsé dès son premier long métrage, le formidable L’orphelinat, parmi les plus grands talents à suivre du cinéma européen en général et espagnol en particulier, J.A. Bayona s’est bâti une solide carrière en enchaînant avec l’impressionnant The Impossible et le magnifique Quelques minutes après minuit. Il s’est imposé autant par un savoir-faire hors du commun à la mise en scène qu’une capacité de conteur assez rare. Malheureusement, il a ensuite cédé aux sirènes d’Hollywood en acceptant de réaliser Jurassic World: Fallen Kingdom, film très bien exécuté, humiliant sans difficulté les deux films de Colin Trevorrow, mais tristement oubliable, avant de s’exiler bien trop longtemps pour mettre en scène les premiers épisodes de la série Le Seigneur des anneaux : Les anneaux de pouvoir, aussi ambitieuse qu’assez insignifiante. C’est donc un vrai bonheur que de le retrouver cette année aux commandes de son nouveau long-métrage qui s’avère bien plus personnel, dont il a même écrit le scénario (avec le monteur Bernat Vilaplana, Nicolás Casariego et Jaime Marques), chose qu’il n’avait plus fait depuis ses courts métrages.
Le film est adapté du livre éponyme de Pablo Vierci, qui relatait les faits réels du crash du Vol Fuerza Aérea Uruguaya 571 dans la Cordillère des Andes, un drame déjà adapté au cinéma dans Les Survivants de Frank Marshall.
Côté casting, J.A. Bayona n’a choisi que des débutants ou quasi-débutants venus d’Argentine et d’Uruguay. Pedro Luque occupe le poste de directeur de la photographie tandis que Michael Giacchino a signé la bande originale.
Le Cercle des neiges sortira probablement avant la fin de l’année sur Netflix. Il passera auparavant par quelques festivals importants dont la Mostra de Venise qu’il clôturera le 9 septembre.
Synopsis
Le 13 octobre 1972, le vol 571 de la Force aérienne uruguayenne s’écrase en plein cœur des Andes. Parmi les 45 passagers à son bord, seuls 29 réchappent au crash.
–> Réchauffé ou pas ? Seul l’avenir nous le dira mais j’ai confiance (ou pas) en Bayona.