[Topic Unique] Actualités cinéma & séries
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@Violence La bande-annonce de Suzume donne l’eau à la bouche.
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À un mois de sa sortie, la très prometteuse série The Last of Us produite par HBO se fend d’un nouveau trailer qui met le champignon à la bouche.
L’occasion de nous mettre en selle et de faire (re)découvrir le chef-d’œuvre de Naughty Dog dans un format live-action se voulant particulièrement respectueux du matériau d’origine.
Ellie va pas de main morte
Attendue le 15 janvier prochain sur HBO Max aux États-Unis et sur Amazon Prime Video en France, la série The Last of Us semble bien partie pour être une adaptation particulièrement convaincante. C’est en tout cas ce que laisse miroiter la dernière bande-annonce officielle en date, entre autres.
Dix ans après la sortie du jeu dont elle s’inspire, cette revisite sur le petit écran semble être particulièrement bien entourée. Aux commandes, on compte en effet Craig Mazin (Chernobyl), qui paraît être le candidat idéal pour représenter le monde post-apocalyptique et angoissant de The Last of Us.
Mieux encore, Neil Druckmann, directeur de la franchise et actuellement co-président de Naughty Dog, est également étroitement impliqué pour faire en sorte que la série rende hommage à l’œuvre originale.
Une adaptation très fidèle, mais pas seulement
On s’en rend bien compte dans cette vidéo avec des décors et des dialogues repris presque religieusement à l’identique. Mais que celles et ceux qui connaissent le jeu par cœur se rassurent, certains passages inédits pensés spécifiquement pour le format télévisuel seront au programme.
En action, on retrouve également un beau casting, notamment porté par Pedro Pascal (Joel) et Bella Ramsey (Ellie), tous deux ayant notamment brillé dans la série culte (sauf les dernières saisons) Game of Thrones, également chez HBO. À noter que Troy Baker et Ashley Johnson, les acteurs de doublage derrière Joel et Ellie, feront également leur apparition à l’écran. On peut d’ailleurs voir brièvement l’actrice dans le trailer ci-dessus.
Rendez-vous donc le 15 janvier pour voir si toutes ces belles promesses seront véritablement tenues. On attend de notre côté cette date avec une trépidation à faire… claquer des dents.
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je kiff les séries HBO en général c’est souvent de bonnes séries !
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En parlant de HBO si vous n’avez pas vu la mini-série " The night of " je recommande !
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Etonné en bien par L’année du requin, malgré une note spectateur catastrophique
https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=293047.html
Peut-être une explication, hormis le trio de tête, les autres personnages n’ont pas l’air d’être des acteurs… et ce n’est pas du tout une comédie, plutôt une caricature.
Je l’ai lancé en me disant j’arrête dès que ça deviens nul et je l’ai vu jusqu’à la fin
Techniquement splendide et la musique est fouillée.
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C’est l’après Parasite pour Bong Joon Ho: Mickey 17. L’adaptation du roman de science-fiction d’Edward Ashton où un individu (Robert Pattinson) est envoyé pour coloniser une planète gelée. À chaque fois qu’il meurt, ses souvenirs sont implantés dans un nouveau corps et sa mission reprend.
Mark Ruffalo, Toni Collette et Naomi Ackie également au casting. une date de sortie annoncée aux Etats-Unis: le 29 mars 2024! Il va falloir patienter
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2024 c’est pas pour de suite
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Doublon supprimé
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@Violence C’est pas mon jour… J’ai encore la tête dans le sac depuis ce matin.
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Premières images pour Infinity pool » de Brandon Cronenberg
Alexander Skarsgård, Cleopatra Coleman et Mia Gath figurent au casting de Infinity Pool, le nouveau film de Brandon Cronenberg (le fils de David bien sur ) , qui racontera les vacances confortables d’un couple bouleversées lorsqu’un accident fatal survient et révèle l’horreur qui les entoure. (ouai ça dit pas grand chose mais c’est peut être pas plus mal non plus)
Le nouveau long métrage du réalisateur de Antiviral et Possessor (que j’avais trouvé très intrigant et bien meilleur que son premier essai) fera sa première mondiale au Festival de Sundance, dans la section Midnight dédiée aux films de genre.
Hâte de voir la progression du fils de David en tout cas
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#Confess Fletch
Pas de bande-annonce en Français pour le moment.A la suite d’un enchaînement malchanceux, Fletch se retrouve impliqué sur de multiples meurtres - dont l’un le place comme le suspect numéro 1. Alors qu’il cherche à prouver son innocence, Fletch est chargé de retrouver la collection d’art volée de sa fiancée, le seul héritage dont elle a hérité après la disparition et la mort présumée de son père…
Ce film fait partie de la même veine que Fletch (1985), ou Fletch au trousses selon le pays, mais c’est une autre aventure totalement de notre époque.
Mon avis: Pas un instant l’on se doute dans quelle direction le film va aller, il y a bien un meurtre, il y a forcément un coupable, il y a bien une enquête de police, mais rien ne se passe normalement à cause de l’interaction des différents protagonistes et de Fletch.
Vous resterez sur votre faim, jusqu’à la fin.
Bonus supplémentaire, pas mal d’humour pour un film à la base purement policier.
Un seul bémol, le thème musical de l’époque, architubesque, n’a pas été repris. -
« Pinocchio » par Guillermo del Toro : la meilleure adaptation depuis des lustres ?
Voilà prêt de dix ans que Guillermo del Toro tente de monter son Pinocchio, projet audacieux s’il en est, et irrémédiablement chaos au vu des nombreux refus rencontrés. On le sait depuis: Netflix, très fier, a récupéré le bébé, donnant au cinéaste l’occasion de livrer enfin sa vision des choses. Hasard des calendriers, d’autres Pinoc se sont invités à la fête, comme celui de Matteo Garrone, sacrifié sur l’autel du covid (mais oui, rappelez-vous…) et la version live made in Disney emballée par un Zemeckis complètement au bout du rouleau. Aussi en retard que le lapin d’Alice, le réalisateur du Labyrinthe de Pan envoie sa version au casse-pipe pile pour Noël 2022…
S’il fallait jouer au jeu des comparaisons, cette nouvelle monture surplombe tout ce qui a pu être fait ces vingt ou trente dernières années, y compris le bidule de Steve Barron ou l’horreur de Benigni. Seule excepton et pas des moindres: le A.l de Spielberg, transposition moins officielle bien sûr, mais qui portait en son sein l’approche la plus novatrice du conte d’origine. De son côté, Guillermo del Toro tire en guise de cartes quelques audaces aiguisées: dès le début, la mort y est abordée frontalement (Gepetto ne s’est jamais remis de la mort de son fils, tué dans un bombardement) et tout le récit est recontextualisé dans l’Italie de Mussolini!
Et pas d’allusions qui tiennent: un général fasciste y joue un rôle clef, et on envoie même le pantin de bois chez les jeunesses mussoliniennes. Évidemment impensable chez Disney ou Dreamworks. À cela s’ajoute une dimension christique troublante et très littérale, avec un pinoc’ fasciné par ce bout d’homme en bois accroché au bout d’une croix, ressuscitant à n’en plus finir, et finissant bien entendu placardé comme ce doux Jésus. Ce mariage incongru entre l’univers de Collodi et les exubérances gothiques et baroques de Del Toro forment, avouons-le, ce que le film comporte de plus excitant et de plus neuf. Mais pas assez probablement pour justifier cette énième adaptation d’un mythe qui n’intéresse plus personne.
Tout cela a beau être animé au cordeau tout en s’accordant des libertés bienvenues (les fées d’usage deviennent d’étranges divinités venues du monde des morts), le spectacle reste curieusement académique, saccadé de chansons moyennes et dispensables. une grosse et belle machinerie à l’image d’un auteur sympathique, mais dont le moteur ne cesse de ronronner depuis des années. L’émotion, forcée, dissimulée sous une couche de miel (malgré la noirceur du paysage historique), n’arrive pas à bon port.
Une seule note de la musique de Fiorenzo Carpi ou la première apparition de Gina Lollobrigida dans le film de Luigi Comencini (Les Aventures de Pinocchio, 1972) provoquent plus de frémissements qu’une heure de ce fabliau pour enfants pas sages. Ou ne serait-ce que la terreur sourde et grimaçante du classique Disney. Des comparaisons peut-être déloyales sauf que voilà: on ne sait que faire de ce putain de pantin, et il est grand temps de passer à autre chose (ou d’écouter en boucle l’infernal Pin-Occhio tant qu’à faire).
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Si il y a bien un Marvel que j’apprécie parmi la multitude que je déteste (90% ), c’est bien Spider-Man : New Generation et cela tombe bien car sa suite Spider-Man : Across the Spider-Verse se dévoile via un trailer.
Ce trailer s’ouvre sur une longue discussion entre Miles Morales et sa mère, entrecoupée d’images du premier film, avant de nous bombarder de plans frénétiques où l’on croise Gwen Stacy et une ribambelle de Spiders, dont Miguel O’Hara, la version de 2099 doublée par Oscar Isaac, et Spider-Woman aka Jessica Drew, qui aura elle la voix d’Issa Rae. Un montage haletant qui nous indique que Miles aura maille à partir avec ses alter ego, même si on sait que le grand méchant de Spider-Man : Across The Spider-Verse sera The Spot (Jason Schwartzman), un personnage au corps recouvert de de taches qui sont autant de portails interdimensionnels.
Il faudra encore patienter jusqu’au 31 mai 2023 (en France) pour découvrir Spider-Man : Across The Spider-Verse, dont la sortie était initialement prévue pour octobre 2022, au cinéma ! Il sera suivi en mars 2024 de Spider-Man : Beyond The Spider-Verse.
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Cette nuit, j’ai maté un film que j’ai beaucoup aimé :
LÀ OÙ CHANTENT LES ÉCREVISSES
SYNOPSIS : Kya, une petite fille abandonnée, a grandi seule dans les dangereux marécages de Caroline du Nord. Pendant des années, les rumeurs les plus folles ont couru sur la “Fille des Marais” de Barkley Cove, isolant encore davantage la sensible et résiliente Kya de la communauté. Sa rencontre avec deux jeunes hommes de la ville lui ouvre un monde nouveau et effrayant ; mais lorsque l’un d’eux est retrouvé mort, toute la communauté la considère immédiatement comme la principale suspecte. A mesure que la vérité sur les événements se dessine, les réponses menacent de révéler les nombreux secrets enfouis dans les marécages.
17 août 2022 en salle / 2h 05min / Drame, Thriller
De Olivia Newman
Par Delia Owens, Lucy Alibar
Avec Daisy Edgar-Jones, Taylor John Smith, Harris Dickinson
Titre original Where The Crawdads Sing