On ne se moque pas de ces choses là.
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@michmich a dit dans On ne se moque pas de ces choses là. :
Les israéliens ne mangent pas comme tu le dis Gaza dont ils se sont retiré en 2005
Et les colonies, c’est un plan immobilier pour le bien-être des gazaouis peut-être?
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Dans toutes les guerres ce sont les civils qui payent le prix fort et pas seulement dans celles-ci et c’est pas près de changer…
Et en réponse à Pluton, j’ai moi aussi ma grand-mère qui a été arrêtée par les nazis et enfermée au fort de Breendonk pour faits de résistance…
Pour ceux qui ne connaissent pas : https://fr.wikipedia.org/wiki/Fort_de_Breendonk
Ce sera ma dernière intervention sur ce conflit, bonne journée tout le monde… -
Les conflits ne se limitent pas qu’aux zones citées ci-dessus:
Les Etats-Unis répondent aux attaques des Houthis yéménites contre les voies maritimes et Israël avec des super-armes. Mais le véritable message derrière ces bombardements est tout autre.
Les avions auraient ciblé jeudi matin cinq dépôts d’armes souterrains des Houthis, groupe terroriste soutenus par l’Iran. C’est ce qu’a annoncé le ministre américain de la Défense Lloyd Austin à Washington, sans toutefois s’exprimer sur d’éventuelles frappes.
Ce ne sont pas non plus les civils qui sont visés, mais c’est clair qu’ils seront touchés, m’étonnerait que les states demandent aux civils d’évacuer avant les frappes, comme les israélites.
Autre sujet: Un document top secret du gouvernement US concernant la rispose d’Israël à l’Iran à fuité: https://www.lefigaro.fr/international/tensions-entre-israel-et-l-iran-le-fbi-enquete-sur-une-possible-fuite-de-documents-classifies-americains-20241022
Croquignolesque.
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Ça ne serait pas dans le McDo ou a servi Trump ?
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@duJambon a dit dans On ne se moque pas de ces choses là. :
Ça ne serait pas dans le McDo ou a servi Trump ?
Faut pas rêver, y avait pas de clients dans le McDo quand il a cuit ses frites, coup électoral et rien d’autre…
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L’or caché des Suisses: des milliards dissimulés dans les jardins
Bijoux, pièces de monnaie ou lingots: près de 15 milliards de francs en or sont stockés en Suisse par des particuliers. Certains enterrent leur magot, d’autres ne prennent même pas la peine de le mettre en sécurité.
Environ 200 tonnes d’or sont stockées en Suisse (image d’illustration).La Suisse est assise sur un tas d’or selon une nouvelle étude de l’uni de Saint-Gall relayée dans la presse alémanique cette semaine. Environ 200 tonnes du précieux métal, soit une valeur de près de 15 milliards de francs, sont stockées par des particuliers dans le pays. Ce pharaonique trésor est détenu sous forme de bijoux, de pièces de monnaie ou de lingots.
Un sondage montre comment les Suisses conservent jalousement leurs «Précieux». Et les réponses sont parfois étonnantes puisque 5% des personnes interrogées disent avoir enterré leur or dans leur jardin, à l’ancienne. Environ la moitié des gens disent se tourner vers une banque ou une autre solution externe pour sécuriser leurs valeurs, alors que 18% d’entre eux préfèrent les conserver dans un coffre-fort, à la maison.
Prix à la hausse, investissements en baisse
Enfin, une personne sur cinq possédant des biens en or avoue les garder chez elle sans sécurité particulière. «Mes bijoux de famille se trouvent posés en vrac dans ma table de nuit, sourit un Vaudois de 37 ans, pas vraiment à l’aise de se montrer si confiant. Si un cambrioleur entrait chez moi, il mettrait la main dessus en deux secondes.»
L’attrait pour l’or et les métaux précieux fait la quasi-unanimité en Suisse. Seul un sondé sur dix ne voit pas d’utilité à placer son argent dans ce domaine. La stabilité à long terme de la valeur de l’or est la raison la plus citée pour justifier un tel investissement.
La rapide hausse du prix de l’or ces derniers mois (lire encadré) freine toutefois les achats et pousse à la vente. «L’envie d’investir dans l’or a légèrement diminué en Europe et dans les pays occidentaux en général, alors qu’elle a fortement augmenté à l’Est, en particulier en Chine», explique Christian Brenner de Philoro, entreprise qui a mandaté cette étude.
Harpagon, seul, criant au voleur dès le jardin, et venant sans chapeau:
Au voleur ! au voleur ! à l’assassin ! au meurtrier ! Justice, juste ciel ! Je suis perdu, je suis assassiné ; on m’a coupé la gorge : on m’a dérobé mon argent. Qui peut-ce être ?
Qu’est-il devenu ? Où est-il ? Où se cache-t-il ? Que ferai-je pour le trouver ? Où courir ? Où ne pas courir ? N’est-il point là ? n’est-il point ici ? Qui est-ce ?Arrête. (À lui-même, se prenant par le bras.) Rends-moi mon argent, coquin… Ah ! c’est moi ! Mon esprit est troublé, et j’ignore où je suis, qui je suis, et ce que je fais. Hélas ! mon pauvre argent ! mon pauvre argent ! mon cher ami !
on m’a privé de toi ; et puisque tu m’es enlevé, j’ai perdu mon support, ma consolation, ma joie : tout est fini pour moi, et je n’ai plus que faire au monde. Sans toi, il m’est impossible de vivre. C’en est fait ; je n’en puis plus ; je me meurs ; je suis mort ; je suis enterré.
N’y a-t-il personne qui veuille me ressusciter, en me rendant mon cher argent, ou en m’apprenant qui l’a pris. Euh ! que dites-vous ? Ce n’est personne. Il faut, qui que ce soit qui ait fait le coup, qu’avec beaucoup de soin on ait épié l’heure ; et l’on a choisi justement le temps que je parlais à mon traître de fils.
Sortons. Je veux aller quérir la justice, et faire donner la question à toute ma maison ; à servantes, à valets, à fils, à fille, et à moi aussi. Que de gens assemblés ! Je ne jette mes regards sur personne qui ne me donne des soupçons, et tout me semble mon voleur.
Hé ! de quoi est-ce qu’on parle là ? de celui qui m’a dérobé ? Quel bruit fait-on là-haut ? Est-ce mon voleur qui y est ? De grâce, si l’on sait des nouvelles de mon voleur, je supplie que l’on m’en dise. N’est-il point caché là parmi vous ? Ils me regardent tous, et se mettent à rire. Vous verrez qu’ils ont part, sans doute, au vol que l’on m’a fait.
Allons, vite, des commissaires, des archers, des prévôts, des juges, des gênes, des potences, et des bourreaux ! Je veux faire pendre tout le monde ; et si je ne retrouve mon argent, je me pendrai moi-même après.
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@Pluton9 a dit dans On ne se moque pas de ces choses là. :
Et les colonies, c’est un plan immobilier pour le bien-être des gazaouis peut-être?
Les colonies sont en Cisjordanie, pas à Gaza.
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@Raccoon Tout est dans le faux plafond! pour ma part.
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Raccoon Admin Seeder I.T Guy Windowsien Apple User Gamer GNU-Linux User Teama répondu à michmich le dernière édition par
@michmich t’es confiant, j’aurais peur de me prendre une chute de lingot inopinée.
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@Raccoon Je n’ai pas de jardin, ni de pots de fleurs sur le balcon, alors je dors sur un matelas de billets de 1000 francs.
Mais j’ai un peu mal au dos.
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Blague à part, tout le monde ne chie pas de l’or en suisse:
Mais les pauvres s’en sortent mieux que dans d’autres pays en s’exilant.
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Morte dans un camion poubelle pour avoir voulu récupérer son smartphone
Une jeune femme alcoolisée est tombée dans un container, qui a été emmené à la déchetterie.
Agostina Rubini, jeune femme de 24 ans, était portée disparue depuis le 2 octobre à Palma de Majorque. Elle venait de passer une soirée festive avec des amis.
La police a recueilli des images de caméras de surveillance et des témoignages et a pu en tirer une effroyable conclusion. Sur les vidéos, ils ont pu retrouver la jeune femme alors que 'elle se dirigeait vers un arrêt de bus pour rentrer chez elle. Là, il y avait un conteneur.
Agostina serait alors entrée dans le conteneur, vraisemblablement pour y récupérer un objet, sans doute son téléphone portable, qui y serait tombé, selon «El Mundo». Ivre, elle n’aurait pas pu en sortir et se serait sentie mal.
Le drame, c’est que le conteneur a ensuite été ramassé par un camion qui l’a conduit à l’usine d’incinération. La police a pu retracer le signal de son téléphone, qui a émis en suivant la route du container jusqu’à l’usine. Un passant a en outre découvert le sac et un habit de la jeune femme à l’arrêt de bus.
Le camion a été inspecté, mais il avait déjà vidé son chargement et les employés n’ont rien remarqué de spécial. Depuis, la police fouille les restes des déchets incinérés dans deux usines dans lesquelles le camion s’est rendu, mais sans résultat jusqu’à présent. «Nous en sommes là et nous donnons ces explications en accord avec la famille et avec un respect absolu à son égard», a déclaré l’inspecteur chargé de l’enquête la semaine dernière. Il a écarté toute autre piste que celle d’un dramatique accident. Il a également précisé qu’il est impossible de survivre à l’intérieur d’un camion poubelle et donc que si la jeune femme y a été embarquée par erreur, elle n’est pas décédée à l’usine. Les recherches continuent.
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Il lui demande en plaisantant de lui tirer dessus, elle le tue
Une femme de 77 ans a fait feu avec une arme qu’elle croyait vide sur un ami de 58 ans.
Kathleen Geiger, 77 ans, et Arthur Osborne, 58 ans, ont de bizarres manières de s’amuser. Ces deux personnes, habitant Cincinnati, dans l’Ohio, étaient, selon la femme,« engagés dans une plaisanterie inoffensive» dimanche soir. L’homme lui aurait alors dit, pour rire, de lui tirer dessus.
La femme a alors pointé sur lui une arme qu’elle croyait vide et a appuyé sur la détente. L’arme était chargée et le coup de feu a atteint le malheureux dans le bas-ventre, selon le communiqué de police relayé par abc11. Kathleen Geiger a tenté de fournir une aide médicale à Arthur Osborne et a immédiatement appelé les secours, mais l’homme est décédé sur place.
Devant un tribunal lundi, le procureur a reproché à la septuagénaire d’avoir appuyé sur la détente: «Croire que l’armée n’était pas chargée n’est pas une excuse. On ne pointe jamais une arme à feu vers quelque qu’un et on n’appuie jamais sur la gâchette, sauf si on a l’intention de le tuer». La caution de la femme a été fixée à 10’000 dollars en attendant une prochaine audition le 31 octobre, où elle devra répondre d’homicide involontaire.
On ne plaisante pas avec une arme.
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Quand l’Eglise se déclare en faillite pour ne pas indemniser ses victimes
L’Église catholique romaine se veut universelle. Mais uniquement quand ça l’arrange…
On a failli attendre, mais voilà. En Californie, l’archidiocèse de Los Angeles va verser 880 millions de dollars pour dédommager 1.300 victimes d’abus sexuels commis par ses prêtres. Pour “l’ampleur des préjudices graves causés aux enfants et les décennies de négligence, de complicité et de dissimulation de la part de cet archidiocèse”. Qui, en 2007, avait déjà déboursé 660 millions de dédommagements à 500 autres personnes violées ou abusées par les siens. Donc total: une réparation financière de 1,54 milliard de dollars! Et une moyenne de 855.000 dollars pour chacune des 1.800 victimes. Ce qui signifie? Que, dans ce seul diocèse, l’Église “des pauvres” (cher François) possède cette giga-somme sur son compte épargne. Un milliard et demi! Ensuite, puisque l’Église se prétend “universelle”, qu’elle va logiquement reconnaître l’universalité des crimes commis par ses pédocriminels? Et que, dans son universelle grandeur, elle va donc verser les mêmes réparations financières aux autres victimes, sans distinction? Alors là, disons que oui mais surtout que non.
Ce Chapitre 11 qu’on ne trouve pas dans la Bible
Pour y échapper, Dieu merci!, l’Église dispose de trucs et astuces. La sainte prescription, en premier. Qui est valable à peu près partout. Mais pas dans l’État de Californie, justement, où une loi de 2019 permet aux victimes de déposer plainte quelle que soit l’ancienneté des faits. Trois mille poursuites ont donc été engagées dans ce seul État. Ce qui, en 2023, a failli être fatal à d’autres diocèses. A juste failli. Parce que, face à l’avalanche de plaintes (plus de 500!), celui de San Francisco a eu l’idée de se mettre sous la protection (divine?) du “Chapitre 11” de la loi fédérale sur les faillites: une “société commerciale” en difficulté peut poursuivre ses activités “rentables” en se débarrassant de celles qui “perdent de l’argent”. Alléluia! Le diocèse de San Francisco et quatre autres en Californie ont donc déposé le bilan. Ce qui a éteint les poursuites sur le “non-rentable” (les victimes) et permis de continuer le business as usual. Chez nous, l’Église de Belgique n’est pas une “société commerciale”. Et aucun “Chapitre 11”, sinon dans la Bible. Les dédommagements aux victimes seront donc de 2.500 à 25.000 euros. Merci qui? Merci Seigneur.
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@BahBwah Mes voies sont totalement impénétrables.
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@Dieu a dit dans On ne se moque pas de ces choses là. :
@BahBwah Mes voies sont totalement impénétrables.
Tes voies peut-être mais pas celles des mômes, ados, (hommes ou femmes) abusés par ces gangs de pédophiles travestis…
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La religion est une arnaque, les hommes n’ont rien de divin, comment sauraient-ils ce que je désire ou commande ?
Je ne vend rien, à la limite, je donne un peu d’espoir, mais les représentants de toutes confessions ne sont accrédités par personne de valable et encore moins par moi.
Autant vénérer le football
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Le Cybertruck de Tesla est-il réellement à l’épreuve des balles? Il tire sur son véhicule pour tester les dires d’Elon Musk
Encore un gogo qui croit les publicités !
Dante Colle, un acteur américain de films pour adultes, a voulu tester la solidité de son Cybertruck de Tesla. Le véhicule est-il réellement à l’épreuve des balles, comme l’affirme le patron de Tesla, Elon Musk? Sa petite expérience tend à prouver le contraire…
Pour tester les dires de Tesla, Dante Colle s’est filmé en train de tirer sur son Cybertruck. Le premier essai se conclut sur une réussite pour lui (et un échec pour Tesla, donc): la balle transperce l’extérieur métallique et se loge directement dans la carrosserie.
Pour tester les dires de Tesla, Dante Colle s’est filmé en train de tirer sur son Cybertruck. Le premier essai se conclut par un échec pour Tesla, donc: la balle transperce l’extérieur métallique et se loge directement dans la carrosserie.
La seconde balle ricoche, mais cela ne veut pas dire que le Cybertruck ne subit aucun dommage, bien au contraire: un large impact est visible sur la voiture. “Ça marche!", s’écrie le tireur en herbe.
La soi-disant solidité du Cybertruck fait souvent parler d’elle. En 2019, lors de la présentation officielle du véhicule, ses vitres présentées comme “incassables” s’étaient brisées sous un projectile en acier. Pour rattraper le coup, Tesla avait ensuite diffusé des images montrant des employés utilisant diverses armes à feu sur les Cybertrucks, qui avaient cette fois résistés.
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Une randonneuse coincée dans une crevasse la tête en bas pendant 7h
Mathilda Campbell se promenait dans la région de Hunter Valley (Nouvelle-Galles-du-Sud), en Australie, quand elle a malencontreusement fait tomber son téléphone. C’est en tentant de le récupérer qu’elle a chuté dans une crevasse profonde de 3 mètres. Contactés par les amis de la randonneuse, les secouristes de la région de Sydney (sud-est) l’ont retrouvée en bien fâcheuse posture, coincée entre deux rochers, “suspendue par les pieds et la tête en bas” depuis une heure déjà. Six de plus ont été nécessaires pour l’extirper de son piège (suite ci-dessous).
Le sauvetage s’est en effet avéré particulièrement complexe en raison de la nature du site. Les secouristes de Nouvelle-Galles-du-Sud ont dû déplacer plusieurs rochers, dont un d’une demi-tonne, confie l’un d’eux, relayé par le HuffPost. Le tout en prenant évidemment soin de ne pas provoquer d’éboulement potentiellement fatal. Une structure en bois a été installée pour sécuriser l’opération. Après 7 heures d’efforts acharnés, la victime, policière de son État, a finalement pu être sauvée. Elle s’en sort miraculeusement quasi indemne, avec “quelques égratignures et contusions mineures”.
Le téléphone n’a pas pu être récupéré par contre, a confié la rescapée avec humour dans un message de remerciement à ses héros. Les photos de l’opération à découvrir ci-dessous.
Source et plus de photos: https://www.7sur7.be/monde/une-randonneuse-coincee-dans-une-crevasse-la-tete-en-bas-pendant-7h~a25e1ffa1/
L’article ne dit pas si la victime est blonde.