[Topic Unique] Actualités cinéma & séries
-
-
Je replussoie
-
Un talent en or massif
Nicolas Cage est maintenant un acteur endetté qui attend le grand rôle qui relancera sa carrière. Pour rembourser une partie de ses dettes, son agent lui propose de se rendre à l’anniversaire d’un dangereux milliardaire qui se révèle être son plus grand fan. Mais le séjour prend une toute autre tournure, lorsque la CIA le contacte, lui demandant d’enquêter sur les activités criminelles de son hôte. Nicolas Cage va devoir jouer le rôle de sa vie et prouver qu’il est à la hauteur de sa propre légende.
Mon avis: Si l’on parvient à mettre de côté l’aspect nombriliste et pleurnichard du début du film, c’est plutôt une bonne surprise, même si pas inoubliable.
-
Super-Héros malgré lui
Apprenti comédien en galère, Cédric décroche enfin son premier rôle dans un film de super-héros. Un soir, alors qu’il emprunte la voiture de tournage, il est victime d’un accident qui lui fait perdre la mémoire. A son réveil, vêtu de son costume de justicier et au milieu des accessoires du film, il est persuadé d’être devenu le personnage du film avec une mission périlleuse à accomplir. Mais n’est pas héros et encore moins super-héros qui veut… Et encore moins Cédric.
Mon avis: Les codes du film de comédie revisités et bien revisités. Ce film est un petit bijou d’humour, bien que la montée soit assez linéaire, avec un début simplement franchouillard avec toutefois pas mal d’autodérision, pour terminer en pastiche totalement déjanté des films de super-héros américains. Il y a longtemps que je n’avais pas autant ri et de si bon coeur.
A moins d’avoir totalement raté les très nombreuses références, je ne comprends pas qu’on aie put donner une note aussi moyenne à ce film. -
Pour ma part, je l’ai visionné hier soir et je comprends les notes moyennes.
Les quelques références aux super-héros sont sympa et quelques blagues marrantes/potaches s’incrustent parmi la multitude des autres moins drôle et s’en est vite assez lourdingue quand même. ça vole pas très haut la plupart du temps voir en dessous de la ceinture.
Alors, c’est l’humour de la bande à Fifi qui trouve son public et je le conçois bien volontiers, mais je trouve que depuis l’après BabySitting, ça tourne en rond.
Bref, pas de quoi en faire une comédie mémorable, je l’aurai oublié demain mais ça n’engage que moi.
-
@violence a dit dans [Topic Unique] Actualités cinéma & séries :
Alors, c’est l’humour de la bande à Fifi qui trouve son public et je le conçois bien volontiers, mais je trouve que depuis l’après BabySitting, ça tourne en rond.
Du même avis que toi.
On peut aimer le groupe de poto, mais personnellement j’accroche pas (le jeu d’acteur peut être, je trouve que ça joue faux …je demande pas l’acteur studio avec eux bien sûr mais bon ça passe pas) -
Buzz L’éclair
La véritable histoire du légendaire Ranger de l’espace qui, depuis, a inspiré le jouet que nous connaissons tous. Après s’être échoué avec sa commandante et son équipage sur une planète hostile située à 4,2 millions d’années-lumière de la Terre, Buzz l’Eclair tente de ramener tout ce petit monde sain et sauf à la maison. Pour cela, il peut compter sur le soutien d’un groupe de jeunes recrues ambitieuses et sur son adorable chat robot, Sox. Mais l’arrivée du terrible Zurg et de son armée de robots impitoyables ne va pas leur faciliter la tâche, d’autant que ce dernier a un plan bien précis en tête…
Critique:
Quatorze pays d’Asie et du Moyen-Orient ont interdit le film à cause d’un baiser, chaste et furtif, entre deux personnes du même sexe, des femmes. Entre les commentaires des conservateurs (y compris parmi les employés de Pixar) et l’attitude réactionnaire de certains décisionnaires, le monde de 2022 paraît reculer. Reste que le film est relativement peu inspiré.
Le héros, Buzz l’éclair, récurrent dans tous les volets de «Toy Story», se lance dans la conquête de l’espace et expérimente quelques distorsions temporelles dont les scénaristes ne font hélas pas grand-chose. Et on a quand même un peu l’impression, avec tout ça, que les concepteurs du film, Angus MacLane inclus, dorment sur leurs lauriers. Et exploitent un filon sans sortir un iota de leur zone de confort, ce n’est pas le bisou entre ces dames qui va nous faire changer d’avis.
Le point positif de l’affaire, c’est que le film, contrairement à d’autres Disney/Pixar, a droit à une vraie sortie en salles au lieu d’être bradé sur les plateformes comme tant d’autres. On va faire semblant de s’en réjouir.
Source: https://www.tdg.ch/elvis-buzz-leclair-quels-films-aller-voir-cette-semaine-629492155915
-
Le festival ouvre ses portes du 1er au 9 juillet !!!
Coup d’envoi pour le NIFFF (Festival international du film fantastique de Neuchâtel) ! Au programme, du 1er au 9 juillet : 128 œuvres sélectionnées, représentant pas moins de 46 pays. Au travers des différentes sections (Internationale, Asiatique, Third Kind, Ultra Movies…), on voyage du récit post-apocalyptique Vesper jusqu’à la foire grandiloquente Freaks Out, on bouffe du film de monstres avec Leio et Shin Ultraman, et on découvre quelques polars cannois comme Decision to Leave ou Les Nuits de Mashhad, entre autres joyeusetés.
Le programme complet est à retrouver ici : https://nifff.ch/fr/programme-2022/
-
Un arrière goût du festival d’Avoriaz (qu’est ce que je kiffai ce festival nom de nom )
-
Mais tellement. Geradmer aussi !!
D’ailleurs, je vois qu’il passent la dernière prod A24 (EVERYTHING EVERYWHERE ALL AT ONCE) qui j’en profite au passage, vu que je l’ai vu il y a peu, pour en dire tout le bien que j’en pense !!!
Pour une fois que Michelle Yeoh à un rôle américain qui lui va comme un gant, je le souligne…
-
@violence, le site du festival est vachement bien foutu, je vais m’y attarder un peu, il y a même un résumé par film et plus encore, si tu t’y rends, l’accent vas te faire tout drôle!
-
Pour en remettre une couche pour le NIFF, étant très friand des films asiatiques comme vous le savez, voici la programmation :
On débute par la catégorie Asian Competition qui verra 8 films asiatiques se disputer le prix : le polar japonais Bad City de Sonomura Kensuke, le film d’arts martiaux avec marionnettes taïwanaises Demigod: The Legend Begins de Chris Huang Wen-chang, le film de monstres thaïlandais Leio de Chalit Kraileadmongkon, l’étrange Leonor Will Never Die, le film de SF vietnamien Maika de Ham Tran, le fameux Shin Ultraman de Higuchi Shinji, le film d’action malaisien The Assistant de Adrian Teh et le film bourrin coréen The Roundup de Lee Sang-yong qui as l’air bien sympatique.
Dans la catégorie Ultra Movies, les festivaliers pourront découvrir le film de zombies philippin Day Zero de Joey De Guzman, le film d’horreur taïwanais Incantation de Kevin Ko et de l’horreur, encore, avec le film malaisien The Devil’s Deception de Kabir Bhatia.
Dans la section Third Kind, place à Decision to Leave de Park Chan-wook mais aussi Holy Spider du réalisateur iranien Ali Abbasi, la romcom coréenne Miracle: Letters to the President de Lee Jang-hoon et la comédie japonaise Wedding High de Ohku Akiko.
D’autres films asiatiques se sont glissés dans d’autres sections : Zalava du réalisateur iranien Arsalan Amiri sera en compétition internationale, le film Big Bang Love, Juvenile A de Miike Takashi a été sélectionné dans la catégorie Scream Queer et The Bride with White Hair de Ronny Yu sera projeté dans le cadre de la section Classic Reloaded.
Enfin, la clôture du festival se fera avec le film chinois I Am What I Am de Sun Haipeng.
Voilà, voilà
-
Doctor Strange in the multiverse of madness
Dans ce nouveau film Marvel Studios, l’univers cinématographique Marvel déverrouille et repousse les limites du multivers encore plus loin. Voyagez dans l’inconnu avec Doctor Strange, qui avec l’aide d’anciens et de nouveaux alliés mystiques, traverse les réalités hallucinantes et dangereuses du multivers pour affronter un nouvel adversaire mystérieux.
Mon avis: Effets spéciaux à tous les étages, un peu plus de scénario que d’habitude (bien qu’au moins un raccord soit complètement loupé), un combat de musique original (bien qu’assez grotesque dans sa réalisation), mais à part ça, circulez, y’a rien à voir de plus que dans les autres.
-
-
-
Je suis sans famille et je m’appelle Raimi et je me balade avec tous mes amis…je m’égare lol.
Pour en revenir au film, j’avais accroché au premier mais celui là (même avec de bons effets spéciaux) m’a carrément endormi (en faites le scenario avec la sorcière rouge était inintéressant) -
tudikoi Ciné-Séries Club Rebelle Windowsien Torrent user DDL PW Addicta répondu à Violence le dernière édition par
@violence a dit dans [Topic Unique] Actualités cinéma & séries :
Le premier était une bonne surprise… pas étonnant que le Real n’a pas rempilé…
Raimi a vendu son âme a Marvel…
Tout pareil
-
Repoussé il y a quelques semaines suite au piratage subi par Toei Animation en mars, Dragon Ball Super: SUPER HERO est de nouveau en route vers les salles obscures.
Le film se sera fait attendre. Mais il arrive dans trois mois. Dragon Ball Super : SUPER HERO sortira en effet dans nos salles le mercredi 5 octobre. En VOSTFR et VF, avec les voix habituelles de la série, comme le précise le communiqué de Crunchyroll, qui assurera la distribution en Europe avec Sony Pictures Entertainment.
-
On l’attendait dans les salles avec Doctor Strange in the Multiverse of Madness. Mais des différends créatifs en ont décidé autrement (tu m’étonnes ) et c’est à Sam Raimi que le film Marvel a été confié pour le pire.
Du coup, Scott Derrickson est revenu à ses premières amours : l’horreur et il a bien raison. En adaptant Black Phone, nouvelle de Joe Hill (fils de Stephen King) dans laquelle un ado est victime d’un kidnappeur et tueur d’enfants joué par Ethan Hawke.
Surnommé le Ravisseur, ce dernier n’est pas le seul danger auquel Finney (Mason Thames) est confronté au fil du récit. Car ce dernier doit aussi faire face, au même titre que sa sœur Gwen (Madeleine McGraw), aux violences physiques et psychologiques exercées par leur père (Jeremy Davies), présenté comme alcoolique.