Actualités High-Tech

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    Attention duckduckgo est pas si clean que ca, c’est plus ce que c’etait

    https://forum.malekal.com/viewtopic.php?t=70747

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    De toute façon bezos a dit qu’il n’aimait pas Tolkien, c’est drôle non, ca claque 1 milliard pour une œuvre, mais en déteste la base, du coup le fait que ca basé en Europe médiéval on peut oublier.

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    @Indigostar a dit dans Un centre de données sous-marin commercial ouvrira ses portes cette année, :

    Dans un message sur LinkedIn, Reynolds a précisé que Subsea Cloud sera un “locateur sous-marin”, essentiellement un fournisseur de colocation, et non un fournisseur de cloud (malgré le nom). « La location d’espace de centre de données est semblable à la location d’un espace de bureau. Nos espaces louables fournissent les connexions réseau de nos locataires, une alimentation électrique stable, des systèmes de refroidissement et de sécurité », a-t-elle déclaré.

    Ils se “mouillent” pas trop, pas de gestion de données histoire de ne pas avoir trop de responsabilités à prendre.

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    @Violence a dit dans Création de l’Open Source Security Foundation : ce qu’il faut savoir :

    Et pourtant, ils financent et soutiennent beaucoup de projet Open Source.

    C’est un peu ce qui me fait peur, mais bon l’argent ne poussant pas dans les fleurs!

    Le fait qu’ils nous la mettent un peu fort parfois, leur permet peut être de nous en rendre un peu.

    L’un se nourrit de l’autre et inversement, veillez (moi j’ai pas le temps , je suis en cavale à Londres) à ce que l’équilibre soit de bonne facture.

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    Perso jamais kiffé la cryptomonnaie et maintenant que tous le monde s’y s’est mis (et que des start-up se sont mis sur le coup), c’est juste du walou comme dirait mon voisin que cette “monnaie” virtuel (tiens elle porte bien son nom)

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    Après le mariage virtuel, le divorce virtuel?
    Ca tombe bien pas besoin de pension alimentaire.

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    Bordel de merde, on n’est plus safe nulle part quoi qu’on fasse

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    Un juge de l’Ohio a déclaré inconstitutionnel le scan de la chambre d’un étudiant par l’université d’État de Cleveland avant un test en ligne. Cette décision marque une victoire pour les défenseurs de la vie privée numérique, qui dénoncent haut et fort les pratiques de surveillance des tests en ligne depuis de nombreuses années.

    Aaron Ogletree, étudiant en chimie, a passé un test en ligne au cours du semestre de printemps 2021. Avant le début du test, il a été demandé à Ogletree de montrer au surveillant virtuel sa chambre à travers sa webcam. Parce qu’il y avait d’autres personnes chez lui, il a passé le test dans sa chambre, où il dit avoir des documents fiscaux sensibles étalés sur une surface. Ces documents confidentiels, a-t-il affirmé, ne pouvaient pas être déplacés avant le test et étaient visibles dans l’enregistrement du scan de la salle, qui était partagé avec d’autres étudiants. Un enregistrement du scan de la chambre ainsi que du processus de test qui a suivi a été conservé par Honorlock, le fournisseur tiers de l’université.

    Ogletree a poursuivi l’université au motif que cette pratique viole ses droits au titre du quatrième amendement, qui protège les citoyens américains contre « les perquisitions et les saisies abusives ». L’université, pour sa défense, fait valoir que « les scans de pièces sont une pratique standard de l’industrie » et que « les étudiants donnent fréquemment leur accord à leur utilisation ».

    Le juge fédéral J. Philip Calabrese s’est rangé du côté de Ogletree, en déterminant que le scan de la chambre par l’université constituait une fouille déraisonnable. « L’attente subjective de Ogletree en matière de vie privée est considérée par la société comme et se trouve au cœur des protections du quatrième amendement contre les intrusions gouvernementales », a écrit Calabrese dans sa décision.

    De nombreuses universités dans le monde utilisent des programmes de contrôle en ligne qui peuvent exiger des scans de pièces ou des pratiques similaires. Dans certains cas, les étudiants doivent montrer à un surveillant en direct leur identité et leur environnement ; dans d’autres, ils sont enregistrés et surveillés par l’IA et les “signes suspects” sont signalés aux professeurs. Ces programmes ont suscité la controverse parmi les étudiants et ont été repoussés par d’importantes organisations de protection de la vie privée numérique ainsi que par des responsables gouvernementaux. L’Electronic Privacy Information Center a déposé des plaintes contre Honorlock et quatre services de surveillance similaires fin 2020, qualifiant leurs pratiques de « intrinsèquement invasives ».

    L’organisation à but non lucratif Fight for the Future, axée sur la protection de la vie privée et qui gère le site web BanEproctoring.com, a qualifié ce jugement de « grande victoire ». « Nous félicitons Aaron Ogletree, étudiant à l’université d’État de Cleveland, d’avoir intenté un procès pour faire cesser les “scans de chambre” invasifs et inappropriés que son université exigeait pour passer un examen de chimie. Que la victoire d’Aaron soit un avertissement pour les autres universités qui continuent à insister pour imposer de tels logiciels abusifs à leurs étudiants », a déclaré Lia Holland, directrice des campagnes et de la communication de Fight for the Future, dans un communiqué.

    Dave Kielmeyer, vice-président associé de Cleveland State University pour le marketing et la communication, a fourni la déclaration suivante : « Comme l’a ordonné la Cour, l’avocat de l’Université d’État de Cleveland va s’entretenir avec l’avocat de Ogletree sur les prochaines étapes appropriées. Garantir l’intégrité académique est essentiel à notre mission et nous guidera dans notre démarche. Tant que cette affaire fait l’objet d’un litige actif, nous ne sommes pas en mesure de faire d’autres commentaires ».

    Les scans à distance sont-ils sur une pente glissante vers davantage de recherches illégales ?

    La décision de Calabrese se résumait à ce que la loi considère comme raisonnable pour les écoles qui tentent d’empêcher la tricherie. En fin de compte, parce que l’État de Cleveland utilisait de manière inégale les scans de salle (ils sont facultatifs à la convenance des enseignants) et que l’école disposait de diverses autres méthodes pour lutter contre la tricherie, le juge a déclaré que les scans de salle ne pouvaient pas être considérés comme une atteinte justifiée à la vie privée. Il a également déclaré que parce que la pandémie et les problèmes de santé de la famille d’Ogletree empêchaient l’étudiant d’accéder à d’autres options comme les tests en personne, tout étudiant « qui valorisait la vie privée » devrait sacrifier le droit à la vie privée à la maison pour rester inscrit. Cet avantage contrairement à la perte des avantages des programmes de soutien social sans l’accord d’une recherche de logement par l’État ne compense pas la perte de vie privée pour les citoyens, a écrit Calabrese.

    Un autre problème que Calabrese avait avec l’argument de Cleveland State est que l’école n’avait pas fourni beaucoup de preuves montrant que les scans de la salle fonctionnaient très bien pour empêcher la tricherie. Cependant, le demandeur a fourni la preuve que cela ne fonctionne pas toujours. Le juge a suggéré qu’il n’y a peut-être pas suffisamment de preuves de l’efficacité des scans de pièce parce que la pratique est si nouvelle, mais il semble probable que sa décision pourrait mettre fin à la pratique dans les écoles du pays avant qu’une étude ne puisse être menée pour étayer toute réclamation future des écoles.

    Calabrese a cité l’un des premiers arguments sur la pente glissante de l’histoire de la Cour suprême dans sa décision soutenant le droit d’Ogletree à la vie privée. En fin de compte, a-t-il écrit, bien que la réalisation de scans de pièces puisse être considérée comme relativement inoffensive, son inconstitutionnalité représentait « la chose odieuse » dans ce cas, les perquisitions sans mandat « sous sa forme la plus douce et la moins répugnante ». C’est ainsi que « les pratiques illégitimes et inconstitutionnelles prennent leur place », lit-on dans l’avis cité de la Cour suprême, « par des approches silencieuses et de légères déviations par rapport aux modes de procédure légaux ». À son avis, Calabrese semble suggérer que les universités qui effectuent des scans de chambres peuvent ouvrir la porte à des fouilles illégales et, par conséquent, ne peuvent être tolérées.

    Sources : Décision de justice, developpez.com

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    Fin des années 90 c’était déjà le bronx, à s’arracher des dév COBOL pour les banques avant “le bogue de l’an 2000”. 20 ans plus tard, y’a toujours des dév de 50/60 piges qui doivent basculer des applicatifs COBOL vers autre chose…

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    Il faut espérer que les actions des scripts sont bien encadrées par des sécurités soft et hard, notamment au niveau des entrées/sorties, mais la nasa n’est surement pas encore complètement idiote et que le javascript n’est pas en prise directe avec le téléscope, mais utilise une couche de programmation de sécurité intermédiaire…

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    @moshebenguigui Le skin Pandorabox est superbe, j’adore les vu-mètre, nostalgie… (mais pas celle du souffle ou du pétillement et du dolby DNR).

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    @michmich C’est probablement quelqu’un de chez infomaniak, ils avaient aussi fait une soumission pour le job, mais c’est sacrément casse-gueule de devenir une cible à pirater.

    C’est aussi un sacré problème pour le gouvernement, une fois le système piraté et les ID volées que faire en plan B très rapidement, alors que la vie continue, l’inertie des gens est également considérable.

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    J’ai testé et tout va bien 🙂

    Edit: Et ce n’est pas sur une machine avec SSD :lol:

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    En ce moment, il y a une vague de chaleur qui balaye toute la Chine. C’est pour cette raison que la province chinoise du Sichuan a donné l’ordre aux usines se trouvant dans son territoire de fermer pendant six jours. En effet, cette chaleur extrême, décrite comme étant la pire canicule depuis 60 ans dans le pays, a engendré une pénurie d’électricité.

    Contemporary Amperex Technology Co. Limited (CATL), qui est selon The Verge « le plus grand fabricant mondial de batteries pour véhicules électriques », et Intel font partie des entreprises concernées par cette fermeture. Or, l’arrêt de ces usines jusqu’au 20 août entraînera un certain nombre de conséquences.

    La province de Sichuan est une province qui a son importance pour les industries des semi-conducteurs ainsi que des panneaux solaires. Elle est également riche en ressources minérales comme le polysilicium. C’est pourquoi, les industries solaires photovoltaïques et électroniques se ruent vers elle. Sans oublier que Sichuan est un centre minier essentiel pour le lithium, un élément essentiel pour produire des batteries de véhicules électriques et de smartphones.

    Suite à cela, des impacts se feront ressentir auprès des entreprises concernées de près ou de loin par cet arrêt temporaire. Il se pourrait par exemple qu’il y ait augmentation du prix du polysilicium et du lithium. Mais selon The Verge, le prix de ces matières a bel et bien déjà augmenté. Par ailleurs, certaines entreprises ont déclaré qu’elles ne prévoient pas vraiment de perturbations. Foxconn, fabricant d’iPad dans la région, a par exemple déclaré à Bloomberg qu’elle n’était pas trop touchée par la sécheresse. Quant à Volkswagen, il a dit qu’il ne « s’attendait pas à de longs retards de livraison ».

    Source: https://www.fredzone.org/les-usines-chinoises-qui-fournissent-des-pieces-a-tesla-intel-et-toyota-ferment-a-cause-de-la-canicule393792

    Le salon de l’auto de Genève au printemps prochain vient d’être annulé, suite à de nombreuses défections des constructeurs, malgré toutes ces belles histoires. Quand on voit que BMW équipe aussi certains de ses nouveaux modèles de compteurs de vitesses mécaniques…
    Les conséquences ne se limiteront d’ailleurs pas qu’au secteur automobile. Entre le covid, le dérèglement climatique et les guerres, la décroissance mondiale pourrait bien s’amorcer, pour le plus grand bénéfice de la biosphère.

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    @violence t’aurais pu attendre qu’il neige quand même :lolol:

    un grand merci à toi, qui tutote plus vite que son ombre!

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    Décidément, le minéral à peut-être encore de l’avenir face au biologique à ADN, d’autant plus que pour les états quantiques, on doit tellement abaisser la température, que le biologique ne fonctionne plus… mais l’alliance des deux technologies pourrait encore élever le niveau à ce qui n’est que de la SF aujourd’hui encore.

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    Ultra pratique, je l’utilise depuis des années.
    J’espère qu’il sera mis à jour pour Windows 11.

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    @violence le problème c’est qu’il y a dessus des applicatifs qui coûtent plusieurs dizaines de milliers d’euros. Donc comme d’hab’ les financiers repoussent au max les dépenses.

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    @indigostar a dit dans Une étude d'économie comportementale des publicités anti-piratage révèle qu'elles encouragent souvent le piratage :

    Et vous ?
     Que pensez-vous des campagnes antipiratage en général ? Semblent-elles, selon vous, atteindre leurs objectifs ?

    Non du tout. Elles ont même l’effet inverse.

    Des campagnes antipiratage qui auraient incité certains individus à se lancer dans le piratage, cela vous semble-t-il crédible ? Dans quelle mesure ?

    Bien sur, l’interdit c’est excitant.

    Que pensez-vous des arguments évoqués par les auteurs de l’étude pour expliquer pourquoi, selon eux, ces campagnes ne marchent pas ?

    Assez pertinent.

    Que pensez-vous des arguments de l’industrie visant à inciter les internautes à ne plus pirater, mais à se tourner vers des offres légales ? Acceptables, exagérés, dramatiques, etc. ?

    business is business 😞
    Se taper toutes les offres légales restent cher.

    Que pensez-vous en général de l’offre légal ? L’estimez-vous satisfaisante ?

    Globalement, ça va même si il y a plus de contenus que de qualités mais il y en a, on va pas se paindre mais cela dépends des acteurs. Disney+ est une vraie calamité.

    Que pensez-vous des autorités de régulation comme l’Arcom (Hadopi + CSA) ? Leur existence vous semble-t-elle pertinente ? Dans quelle mesure ?

    Aucune pertinence. De l’argent mis en l’air pour faire plaisir aux majors et les copains…

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    Les chercheurs en sécurité de Google sont tombé sur une vulnérabilité qui avait déjà été signalée en 2016 sans être corrigée. Quelques années plus tard, elle s’est retrouvée dans l’arsenal d’un éditeur de logiciels espion pour pirater des smartphones Android.

    La chasse aux failles zero-day n’est pas un long fleuve tranquille. Parfois, il y a des choses qui se perdent dans les méandres. Le dernier exemple en date vient d’être livré par les chercheurs en sécurité de Google. À l’occasion de la conférence Black Hat 2022, ces derniers ont présenté une palanquée de failles zero-day utilisées par des éditeurs de logiciels de surveillance dans le but de pirater des terminaux Android.

    L’une de ces failles (CVE-2021-0920) est particulièrement remarquable, car elle a fait partie d’un enchaînement de vulnérabilités très sophistiqué qui permettait d’avoir un contrôle à distance du terminal avec les privilèges d’administrateur. Cette faille se trouvait dans le module « kernel garbage collection » et été patchée en septembre 2021. Mais des recherches presque archéologiques ont montré qu’elle était déjà connue depuis au moins 2016.

    Une occasion manquée

    Comme le relate Gizmodo, Google a pu retrouver des échanges à ce sujet dans la liste de diffusion Linux Kernel Mailing List. Un patch avait même été proposé, mais il a été refusé faute d’accord général sur la question. L’un des développeurs du noyau de Linux écrivait ainsi :

    « Pourquoi est-ce que je devrais appliquer un patch qui n’est qu’un RFC [Request For Comment, un document qui décrit une technologie en vue d’une adoption future, ndlr], qui ne dispose pas d’un message de commit convenable, où il manque une véritable signature, et qui ne bénéficie pas de validations ou de retours de la part de développeurs connus ?».

    Après cela, tout le monde a oublié, sauf un éditeur de logiciels espions qui l’a intégré ni vu ni connu dans son produit. Il a fallu attendre que les attaques qui en ont découlé soient analysées par les chercheurs de Google pour que cette faille revienne sur le tapis et soit enfin colmatée. Un processus finalement assez tortueux qui laisse aux pirates trop de marges de manœuvre.

    Une trentaine d’acteurs suivis à la culotte

    Chez Google, le risque provenant de ces éditeurs est devenu majeur. « Auparavant, nous n’avions qu’à nous concentrer sur des menaces comme celles venant de la Chine, de la Russie ou de la Corée du Nord. Désormais, notre groupe d’analyse de la menace (Threat Analysis Group, TAG) dispose d’une équipe dédiée aux fournisseurs et aux opérateurs commerciaux (…) TAG suit activement plus de 30 fournisseurs avec différents niveaux de sophistication et d’exposition publique, vendant des exploits ou des capacités de surveillance à des acteurs étatiques », a déclaré il y a quelques semaines Shane Huntley, directrice du TAG, auprès de la Chambre des représentants des États-Unis. Et ce suivi est d’autant plus difficile que les techniques utilisées par ces acteurs sont de haut niveau, comparable à celles utilisées par les États.

    Source : Gizmodo - 01.net