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655 Sujets 7.7k Messages
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    Qu’ils s’occupent déjà des riches qui passent au travers avant de faire chier l’ouvrier qui galère en fin de mois

  • Sabotage de Nord Stream : Allons nous tenir le choc

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    @michmich

    Tu préfères vivre en Suisse tu veux dire. :ahah:

    Moi aussi je préfère vivre dans mon pays, on a des comiques tellement formidables.

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    Ouaiep !!

    mais y’aura nos enfants 😞 😞

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    @michmich Merci pour ces infos je regarderais si j’en trouve c’est toujours bien d’essayer

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    C’est clair que c’est un exemple à suivre

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    @Rapace a dit dans La «cosy girl», l'énième tendance à la con pour avoir chaud cet automne :

    en même temps on peut pas vraiment dire qu’il fasse froid cet automne, il n’a jamais fait si chaud pour un mois de novembre ^^

    Dans le sud peut être, la par chez moi il fait 4° et pluie depuis 3 semaines, donc pas le choix faut mettre un peu de chaud

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    @RussianFighter a dit dans Paris 2024 : les élus parisiens rejettent les taxis volants :

    Et les épreuves dans la Seine, elles sont maintenues ?

    Ta pas vu les rapports ? L’eau est dégueulasse, insalubre, risque d’infection pour les athlètes

    Ça va être magnifique les jo, ça plus nos jeunes qui vont dépouiller les touristes 👍

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    A quand un satellite “kidnapeur”, comme dans james bond :lol:

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    Deux des neuf atolls de cet Etat polynésien ont déjà été largement submergés. Selon des spécialistes, Tuvalu sera complètement inhabitable dans 80 ans.

    Une vue aérienne d’une île appartenant à l’archipel des Tuvalu, le 6 janvier 2023. (MICHAEL RUNKEL / ROBERT HARDING PREMIUM / AFP)

    L’archipel des Tuvalu fait partie des nations les plus menacées par le changement climatique. Pour venir en aide à ses 11 000 habitants, l’Australie a annoncé, vendredi 10 novembre, qu’ils pourront bénéficier de droits “spéciaux” pour s’installer et travailler dans le pays, en vertu d’un traité rendu public par les deux Etats.

    “Nous croyons que le peuple de Tuvalu mérite d’avoir le choix de vivre, étudier et travailler ailleurs, alors que le changement climatique empire”, ont déclaré dans un communiqué conjoint le Premier ministre australien, Anthony Albanese, et son homologue de Tuvalu, Kausea Natano.

    Le traité comprend aussi des volets consacrés à la défense, engageant l’Australie à venir en aide à Tuvalu en cas d’invasion ou de catastrophe naturelle. Les Tuvalais pourront bénéficier d’un “accès aux services australiens qui leur permettront une mobilité dans la dignité”, précise le texte, qui doit encore être ratifié par les deux pays avant de devenir effectif. Il prévoit, dans un premier temps, de limiter les arrivées à 280 Tuvalais par an, pour éviter une “fuite des cerveaux”.

    Enfin, le texte du traité déplore que le passage à l’action soit si tardif, alors que les effets du dérèglement climatique se font déjà sentir. Deux des neuf atolls de l’archipel ont déjà été largement submergés. Selon des spécialistes, Tuvalu sera complètement inhabitable d’ici à la fin du siècle.

    L’Australie dépendante au charbon

    La signature de ce traité peut être perçue comme une victoire stratégique pour Canberra, qui ambitionne d’étendre son influence dans le Pacifique face à la présence grandissante de la Chine.

    Or, un rapprochement entre les petits états insulaires et l’Australie ne va pas de soi, tant l’économie australienne est dépendante du charbon et des exports de gaz, deux secteurs qui jouent un rôle déterminant dans le réchauffement climatique qui condamne les îles du Pacifique. Le sujet est depuis longtemps une pierre d’achoppement dans leurs relations. Kiribati et les îles Salomon se sont tournés vers Pékin ces dernières années. Tuvalu y reste opposé, et continue par exemple de reconnaître diplomatiquement Taïwan.

    Le niveau moyen des mers et des océans a augmenté d’environ 23 cm depuis 1880, mais leur hausse s’est fortement accélérée ces 25 dernières années. Selon le dernier rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec), il aura gagné 30 cm de plus d’ici à 2050, et 77 cm d’ici à 2100. Combinée aux catastrophes naturelles qui, elles aussi, vont se multiplier sous l’effet de la hausse moyenne des températures mondiales, cette hausse menace à court et moyen terme de nombreux états insulaires tels que les Maldives (océan Indien), Kiribati et Tuvalu (Polynésie) ou encore les îles Marshall et Nauru (Océanie), qui vont devenir inhabitables avant d’être avalées par l’océan.

    Source : francetvinfo.fr

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    Il y aurait comme un QWAC

    Plus de 300 chercheurs en cybersécurité, et plus d’une dizaine d’ONG et d’entreprises expertes en question de protection de la vie privée, alertent les instances européennes d’une discrète modification d’un règlement qui pourrait permettre aux États membres de l’UE de surveiller le trafic Internet de n’importe quel citoyen européen.

    Plus de 300 chercheurs en cybersécurité et scientifiques originaires de 31 pays, ainsi que plusieurs ONG de défense des libertés numériques (dont le CDT, l’EFF, EDRi, l’Internet Society, La Quadrature du Net et le Tor Project), ont publié une lettre ouverte à l’attention des eurodéputés et du Conseil de l’Europe.

    Ils s’inquiètent, rapporte Le Monde, d’un retour en arrière dans le projet de révision de l’Electronic Identification, Authentication and Trust Services (eIDAS), qui doit être finalisé d’ici au 8 novembre avant d’être soumis au vote au Parlement européen.

    Son article 45 entend en effet obliger les éditeurs de navigateurs à considérer obligatoirement comme « fiables » des autorités de certification choisies par les membres de l’Union européenne (UE), ce qui fait bondir les signataires du courrier :

    « Cela signifie que des États membres pourraient décider seuls d’imposer [une mesure permettant] de surveiller le trafic Internet de n’importe quel citoyen européen, sans parade possible. »

    Un problème déjà dénoncé en 2021, et 2022

    Un problème qu’avait déjà dénoncé Mozilla en 2021, la Quadrature et l’EFF en 2022 (voir ici aussi), et que viennent de nouveau de déplorer, dans une autre lettre ouverte (.pdf), CloudFlare, la Linux Foundation, Mozilla et Mullvad, pour qui « une erreur de jugement, ou une action délibérée d’un seul État membre, pourrait affecter les citoyens de toute l’Union européenne ».

    « En tant qu’Européen, je comprends très bien que l’Europe souhaite avoir le contrôle sur certaines parties de l’infrastructure d’Internet », explique au Monde Sylvestre Ledru, le responsable de l’ingénierie chez Mozilla. « Mais en tant qu’ingénieur, je sais que dans ce cas précis, la solution technique retenue n’est pas la bonne. »

    Le texte proposé ne respecte pas la vie privée des Européens

    Les règlements eIDAS étaient entrés en vigueur pour la première fois en septembre 2018, rappelle Computer Weekly, pour promouvoir et améliorer la confiance, la sécurité et la commodité des citoyens de l’UE grâce à un ensemble unique de règles à l’échelle de l’Union régissant l’identification électronique et les services de confiance, tels que l’identification électronique et les signatures, sceaux, horodatages, services de livraison et authentification de sites Web.

    « Le texte avait été amendé par le Parlement européen pour intégrer les inquiétudes formulées par les experts », précise au Monde Gaëtan Leurent, chercheur à Inria et signataire du premier courrier. « Mais ces adoucissements ont malheureusement disparu du texte lors de la discussion par le trilogue [Commission européenne, Conseil de l’UE et Parlement européen] » :

    « Le texte proposé par le trilogue ne respecte pas la vie privée des citoyens européens, ni les principes garantissant des communications sécurisées. Sans l’intégration de garde-fous, il risque plutôt d’augmenter les risques [pour les internautes]. »

    Des certificats EV & QWAC

    Il donnerait en effet aux États membres de l’UE la possibilité de délivrer des « certificats d’authentification de sites Web qualifiés » (QWAC). Cette mise à jour remplace une précédente tentative infructueuse de l’industrie d’améliorer la transparence des certificats par le biais de ce que l’on appelle un certificat à validation étendue (EV), précise The Record.

    Ces certificats devaient en effet non seulement authentifier le domaine, mais aussi indiquer qui était le propriétaire légal et l’opérateur du site web. Pour un certain nombre de raisons – en particulier le coût de la validation de la propriété légale – ces certificats EV n’ont pas réussi à être largement adoptés, explique notre confrère, sans plus de détails.

    Les QWAC proposés seraient dès lors destinés à permettre aux gouvernements de pallier l’absence de certificats EV pour certains sites, ce qui, écrit The Record, « présente des avantages évidents compte tenu de l’importance de l’authentification lorsque les utilisateurs du web interagissent réellement avec un service gouvernemental plutôt qu’avec une page d’hameçonnage ».

    Le propriétaire d’un certificat racine peut intercepter le trafic web

    « Dans certains cas, il est possible que vous souhaitiez utiliser votre identité émise par le gouvernement pour faire des choses, par exemple signer des contrats juridiquement contraignants sous votre nom, et l’eIDAS est vraiment là pour ça, et c’est très bien, les gouvernements sont les personnes qui émettraient les certificats pour les identités émises par le gouvernement », explique Steven Murdoch, l’un des signataires de la lettre, professeur d’ingénierie de la sécurité à l’University College de Londres et directeur de l’ONG Open Rights Group, interrogé par The Record :

    « Mais là où cette proposition pose problème, c’est qu’elle a été étendue aux navigateurs web, et ce ne sont pas seulement les signatures numériques qui sont utilisées pour signer des contrats et des choses liées aux identités gouvernementales. »

    « Les certificats racine, contrôlés par ce que l’on appelle les autorités de certification, fournissent les mécanismes d’authentification des sites web en garantissant à l’utilisateur que les clés cryptographiques utilisées pour authentifier le contenu du site web appartiennent à ce site web. Le propriétaire d’un certificat racine peut intercepter le trafic web des utilisateurs en remplaçant les clés cryptographiques du site web par des substituts qu’il contrôle », résument les chercheurs en sécurité.

    Source : nextinpact.com

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    De grands chefs comme Thierry Marx ou Mauro Colagreco ont pris part à ce mouvement, alors que ce poisson est en danger d’extinction.

    Ils ne cuisineront plus d’anguille. Plus de 3 500 chefs, dont les 580 chefs des Relais & Châteaux et les 3 000 hôteliers et restaurateurs d’Île-de-France annoncent qu’ils ne serviront plus ce poisson « en danger critique d’extinction ». Et parmi ces cuisiniers, certains grands noms : Thierry Marx, Mauro Colagreco, ou encore Grégory Coutanceau, selon TF1 Info. L’initiative a été lancée par l’association Ethic Ocean. « Nous condamnons les Japonais et les Norvégiens qui tuent les baleines pour les manger. Regardons dans notre assiette ! Arrêtons de pêcher l’anguille, ce poisson fascinant qui mérite notre respect et notre admiration », appelle son président, le biologiste Gilles Bœuf.

    L’Union internationale de conservation de la nature (IUCN) a en effet classé l’anguille en « danger critique d’extinction ». Sa pêche n’est pourtant pas régulée. « C’est la seule espèce pour laquelle la pêche est autorisée à tous ses stades de développement. Pour les autres espèces commerciales, il existe des tailles minimales de capture », souligne Élisabeth Vallet, directrice d’Ethic Ocean.

    Cédric Béchade, chef de son restaurant L’Auberge basque, à Saint-Pée-sur-Nivelle, explique ce choix, qu’il a pris il y a trois ans : « Si je fais rentrer dans ma cuisine un produit en danger critique d’extinction, ça veut dire que je cautionne. Ce n’est pas possible. Nous devons respecter les ressources. »

    Victime de la surpêche

    Si l’anguille disparaît petit à petit, c’est pour plusieurs raisons, selon TF1 Info. Déjà, pour son cycle de vie : le poisson fait un voyage de plus de 6 000 kilomètres pour aller pondre en Atlantique, vers la mer des Sargasses, pour laisser les larves voguer jusqu’au sud de l’Europe. Les anguilles remontent ensuite lacs, rivières et autres cours d’eau douce.

    Un long chemin qui tue une partie de la variété. Mais l’homme pose également de grands problèmes avec les barrages, la pollution de l’eau… Et surtout la surpêche. Un important marché noir à destination de l’Asie est en place. Selon Europol, 100 tonnes de civelles sont exportées illégalement chaque année.

    L’Europe n’a pour l’instant pas de quota de pêche. C’est la seule variété de poisson qui n’en a pas pour la protéger. La France avait pris la décision d’en imposer un sur son territoire… Quota qui a été augmenté par arrêté le 24 octobre dernier, passant de 58 à 65 tonnes.

    Un comité d’experts « permettait de rehausser ce quota à 97 tonnes en constatant une hausse de la capacité de l’espèce à se reproduire pour cette saison et une baisse du taux d’exploitation sur 2022-2023 », se défend le ministère du secrétaire d’État chargé de la Mer, Hervé Berville, affirmant que « les professionnels du secteur ont préféré rester prudents et simplement rehausser le quota à 65 tonnes pour cette saison et l’État a suivi leur position de prudence ».

    Source : lepoint.fr

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    J’en connais une qui tente la méthode Bisou(s) depuis des années… mais ce n’est pas la même… Elle veut et c’est moi qui résiste :mouhaha:

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    Sa vision de ne plus travailler sur terre mais sur Mars :lol:

  • 4 200 vols d'Air France-KLM seront annulés début 2024

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    Ça va coûter une blinde, déjà qu’un bloquage de 2h coûte cher mais la…

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    Ouf heureusement j’ai mon jet privé

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    En avant pour la ww3, quelle aventure 🎵🎶🎵

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    Les 2 mon capitaine :hehe:

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    Apparemment, choisir l’ignorance nous donne une excuse pour agir de manière égoïste.

    Selon une nouvelle étude, 40 pour cent des gens préféreraient ne pas connaître les conséquences de leurs actes

    “Les exemples d’une telle ignorance délibérée abondent dans la vie quotidienne, par exemple lorsque les consommateurs ignorent les informations sur les origines problématiques des produits qu’ils achètent”, a déclaré l’auteur principal Linh Vu, MS, doctorant à l’Université d’Amsterdam aux Pays-Bas, dans un communiqué . . « Nous voulions savoir à quel point l’ignorance délibérée est répandue et nocive, ainsi que pourquoi les gens s’y livrent. »

    Vu et ses collègues ont mené une méta-analyse de 22 études précédemment publiées portant sur un total de 6 531 participants. Chaque étude s’est déroulée soit dans un laboratoire de recherche, soit en ligne, et toutes comprenaient une sorte d’arrangement selon lequel certains participants apprenaient les conséquences de leurs actes, tandis que d’autres pouvaient refuser cette information s’ils le souhaitaient.

    Par exemple, dans une étude importante , les participants pouvaient choisir de recevoir 6 $ pour eux-mêmes et 1 $ pour un autre bénéficiaire. Alternativement, le participant, appelé « décideur », pourrait choisir de recevoir 5 $ et le même montant serait versé à un autre bénéficiaire. Évidemment, la première option est bien moins altruiste que la seconde.

    Dans la condition de contrôle, dans laquelle les participants connaissaient les conséquences de leur décision, 74 pour cent ont agi de manière altruiste et ont choisi la deuxième option qui offrait de plus grands avantages à un autre bénéficiaire au prix de 1 $ pour eux-mêmes. Cependant, dans une situation où les participants ne savaient pas quel impact leur choix aurait sur les autres – où ils comprenaient simplement qu’il y avait 50 % de chances que leur décision ait un impact négatif sur l’autre destinataire – les choses étaient différentes.

    Dans cette configuration, les participants pourraient secrètement choisir d’apprendre le résultat de la sélection de la première ou de la deuxième option. L’étude a révélé qu’environ 44 pour cent des décideurs ont choisi l’ignorance. L’étude a montré que certaines personnes évitaient activement les informations, surtout si ces informations étaient directement liées à leurs choix.

    Selon les auteurs, cela a permis à ces participants de continuer à agir de manière égoïste tout en conservant le sentiment d’eux-mêmes en tant qu’individus altruistes.

    La nouvelle méta-analyse a confirmé cette interprétation. Selon Shaul Shalvi, co-auteur et professeur d’éthique comportementale à l’Université d’Amsterdam, ceux qui ont choisi de connaître les conséquences de leurs actes étaient 7 points de pourcentage plus susceptibles d’être altruistes que les participants qui ont reçu l’information par défaut. . Cela suggère que les personnes vraiment généreuses choisissent de se renseigner sur les résultats de leurs choix.

    “Les résultats sont fascinants car ils suggèrent qu’un grand nombre de comportements altruistes que nous observons sont motivés par le désir de nous comporter comme les autres s’attendent à ce que nous le fassions”, a expliqué Shalvi.

    « Même si la plupart des gens sont prêts à faire ce qu’il faut lorsqu’ils sont pleinement informés des conséquences de leurs actes, cette volonté n’est pas toujours due au fait que les gens se soucient des autres. Une partie des raisons pour lesquelles les gens agissent de manière altruiste est due aux pressions sociétales ainsi qu’à leur désir de se voir sous un bon jour. Étant donné qu’être juste coûte souvent cher et exige que les gens abandonnent leur temps, leur argent et leurs efforts, l’ignorance offre une issue facile.

    Des recherches plus approfondies sont nécessaires pour explorer comment l’ignorance volontaire se manifeste dans d’autres contextes et cultures, et comment cela peut être combattu.

    Sources: https://www.iflscience.com/40-percent-of-people-willingly-choose-ignorance-the-psychological-reason-why-71439
    et: https://www.apa.org/pubs/journals/releases/bul-bul0000398.pdf

    Sans réelle surprise.

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    @Pluton9 a dit dans Pourquoi à partir de ce lundi 6 novembre à 11 h 25, les femmes travaillent "gratuitement" en France ? :

    Les femmes gagnent 15,4% de moins que les hommes

    Ça c’est dégueulasse et inacceptable.
    Je ne comprends pas que cela puisse exister.

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    Les prévisions sur lesquelles se fondent les décideurs politiques sont « très irréalistes », ce qui conduit à des efforts insuffisants, indique le rapport de Finance Watch.

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    Les économistes sous-estiment les impacts économiques du changement climatique, ce qui n’incite ni le secteur financier ni les pouvoirs publics à s’investir dans la réduction des émissions de carbone, selon l’ONG Finance Watch.

    « Les risques économiques liés au changement climatique sont actuellement modélisés de la même manière que les risques financiers traditionnels », explique Thierry Philipponnat, chef économiste de l’ONG Finance Watch et auteur d’un rapport publié mardi 31 octobre.

    Or « les pertes liées au changement climatique seront d’une ampleur considérable, imprévisibles et permanentes ».

    Certaines conséquences climatiques, comme le dégel du permafrost ou les incendies de forêts, vont provoquer des pertes économiques « bien supérieures à celles des récentes crises financières », selon l’ONG basée à Bruxelles.

    En conséquence, « les modèles économiques des décideurs politiques ne prévoient qu’un niveau bénin de pertes dues au changement climatique » et leurs prévisions sont « très irréalistes », estime le rapport.

    Des analyses faussées

    Cette sous-évaluation des impacts risque de « fausser les analyses coûts/bénéfices » utilisées pour concevoir les politiques de lutte contre le changement climatique et les investissements dans la transition, dénonce encore Finance Watch.
    « Et même si les estimations des pertes économiques sont revues à la hausse, les autorités de surveillance du secteur financier ne disposent pas des outils prudentiels nécessaires pour préparer le système financier à ces pertes », abonde l’ONG créée à la suite de la crise de 2008 afin d’instaurer un contre-lobby à la finance.

    text alternatif

    Finance Watch accueille positivement le rapport demandé par la Commission européenne aux autorités européennes de supervision bancaire, afin d’évaluer la résilience du secteur financier à un scénario de réduction de 55% des émissions de gaz à effet de serre d’ici 2030 dans l’Union européenne. Une « opportunité pour aider le système financier à se préparer aux effets économiques du changement climatique », selon le rapport.

    Source: https://www.nouvelobs.com/ecologie/20231101.OBS80308/les-economistes-sous-evaluent-les-impacts-du-rechauffement-climatique-selon-une-ong.html?utm_source=pocket-newtab-fr-fr