[Topic Unique] Les films que vous avez aimés et adorés
-
Tant qu’on y est , “Psycho” le remake sorti en 1999 :
-
-
Coucou @Nick2, @Psyckofox et @lolo95740
Oui, je découvre avec fascination cette série et c’est vraiment très gentil de votre part de me l’avoir conseillé, merci à vous…
Incroyable, je suis passée totalement à coté de Bates Motel !
Maintenant, je ne pourrais m’empêcher de la visualiser en commençant déjà par la première saison et bien que je ne la mette pas en doute même si visiblement elle a été finalement assez apprécié de tous, j’imagine.
Comme pour la plupart des préquelles, il doit y avoir néanmoins quelques lacunes…
En ce qui me concerne, elle ne sera, sans doute, jamais au même niveau que Psychose d’Hitchcock…
Et qui sait… ? Peut-être pourrais-je en tirer quelque chose comme de plus horrifiant que le coup de couteau porté au sommet de l’escalier, qui pour moi est la scène la plus effrayante et celle qui m’a le plus choquée dans le film, après la scène de la douche et ou lorsque Norman fait le ménage.^^
-
Découverte:
Serenity (2005) " Une belle surprise"
Lorsque l’équipage renégat du Serenity accepte de cacher un fugitif sur son navire, il se retrouve dans une bataille pleine d’action entre la puissance militaire implacable d’un régime totalitaire qui est prêt à détruire tout - ou n’importe qui - pour obtenir la fille…
à voir, donc…
-
Il y’a la série aussi (à mater avant le film) :
Firefly
-
Je ne savais pas qu’il y avait aussi une série, tu viens de me l’apprendre… Comme quoi l’iptv, c’est toujours utile à quelque chose ^^
-
@fel1x1a oui si t’as pas vu Bates Motel je te la recommande,j’ai vraiment bien aimé cette série et visiblement je ne suis pas le seul.
Par contre,ne la compare pas au film comme l’histoire est différente,celle-ci se déroule avant celle de Psychose,donc vois la plutôt comme complémentaire au film…Psychofox … Ah ouais ya ce remake aussi mais je m’en souviens plus vraiment,il faudrait peut-être que je le revois…
-
@Nick2
Oké, très bien merci, je n’en doute pas que cette série a été monté avec brio, et je suis quasi certaine que je vais en apprendre davantage lors du visionnage de ses épisodes…Joker m’a impressionnée la première fois que je l’ai regardée, j’ai néanmoins su tout de suite que c’était le genre de film auquel je vouerais une introspection.
Synopsis :
Arthur Fleck, comédien raté, rencontre des voyous violents en errant dans les rues de Gotham City déguisé en clown. Méprisé par la société, Fleck s’enfonce peu à peu dans la démence et devient le génie criminel connu sous le nom de Joker, un dangereux tueur psychotique.J’ai attendue plusieurs semaines de plus jusqu’à ce que je puisse obtenir une copie décente et,
à partir de ce moment, je l’ai visualiser avec un engagement quasi religieux.Je suis donc très redevable à ceux qui ont investi leur temps et leur énergie pour faire ce film
(et le rendre disponible au public sous quelque forme que ce soit), ainsi qu’à la personne, outre Todd Phillips qui a écrit le scénario, aux acteurs Robert De Niro, Zazie Beets, Frances Conroy, Brett Cullen et, bien sûr, à l’étoile brillante, Joaquin Phoenix, qui est l’un de mes acteurs préférés sans pour autant vouloir sombrer dans l’idolâtrie. -
-
Perso Joker j’ai kiffé et maté le film plusieurs fois (la première fois au cinoche et après cela j’attendais sagement une release pour le remater plusieurs fois pour finir à le prendre sur blu-ray).
-
Pas du tout aimé ce film…
Il n’y a qu’un seul JOKER et c’est Heath Ledger -
Sauf que lui, n’est plus et dans l’état où il doit être…
Aujourd’hui, il ne doit plus ressembler à grand chose^^Alors qu’un autre Joker descend la rue à toute allure, c’est forcément plus drôle…^^
Tu ne l’aurais pas vu par hasard ?
-
Alors, à moins que vous faites une thèse sur les crimes contre l’humanité, ne me demandez pas quel intérêt à vouloir visualiser ce film^^
Synopsis 2.0
Santiago du Chili, 1973.
Des émeutes politiques déstabilisent le pays tout entier.
Le Chili est devenu le dernier champ de bataille de la guerre froide, les États-Unis tournant le dos à la jeune démocratie.Pendant ce temps, l’Union soviétique garantit son soutien. Le gouvernement américain affirme que Salvador Allende n’est rien d’autre qu’un communiste qui doit être chassé du pouvoir.
Des centaines de milliers de personnes descendent dans les rues de Santiago du Chili pour soutenir le président Allende.
Les experts voient le Chili au bord d’une guerre civile.
Le monde retient son souffle en attendant les derniers développements au Chili… -
Réalisé par John Madden avec Jessica Chastain dans le rôle principal, “Mademoiselle Sloane” est un thriller politique qui tourne autour d’un sujet pertinent de la réalité sociopolitique américaine : la loi sur les armes à feu.
Alors que Miss Sloane part en guerre contre la loi sur les armes à feu, les spectateurs se souviennent d’un état de fait inquiétant qui régit l’augmentation du taux de criminalité dans le pays.
Au centre de l’histoire se trouve le projet de loi Heaton-Harris, qui tente d’étendre les contrôles d’antécédents pour l’octroi de permis de port d’arme. Alors que les fabricants d’armes demandent à Sloane d’empêcher l’adoption du projet de loi, elle prend note et fait exactement le contraire.
Un film hautement recommandé.
Visionné hier soir, même si l’histoire peut sembler être basée sur des faits réels, elle n’est malheureusement
que pure fiction… -
on s’en rend peut-être pas compte, mais il reste très peu de temps, avant la sortie en salles, ainsi qu’en streaming, du nouveau chapitre de la saga. de nombreuses années se sont écoulées depuis la sortie du troisième et apparemment dernier chapitre
le film que j’ai adoré c’est MATRIX
je vais pas faire un long discours parce que je pense que tout le monde connait ce film mythique
-
Repo Men
Dans un futur proche, les hommes sont parvenus à prolonger et améliorer la vie de leurs semblables à l’aide d’organes artificiels extrêmement sophistiqués et coûteux, élaborés par une société connue sous le nom de L’Union. Le sombre pendant de cette percée scientifique : lorsque les “greffés” ne sont plus à même d’honorer les échéances de leur crédit, L’Union envoie alors ses agents spécialisés, les Repo Men, pour reprendre la marchandise, sans se préoccuper du confort ou de la survie de leurs clients insolvables.
Mon avis: Le coté gore met un peu de piment dans ce film bien ficelé, qui n’atteint quand même pas des sommets, mais se laisse agréablement regarder.
-
Edit : Sujet à déplacer dans “les meilleurs ou pires navets du cinéma”.
Perso, je ne savais même pas qu’ils existaient mais je pense que ça va plaire à certains.^^
Alors pour commencer…
Kung Fury est une comédie d’action surjouée écrite et réalisée par David Sandberg.
Le film met en scène des robots d’arcade, des dinosaures, des nazis, des vik**gs, des dieux nordiques, des mutants et un super policier kung-fu, le tout dans une aventure pleine d’action digne des années 80.
Et enfin avec Krrish 3, les Avengers n’ont qu’a bien se tenir…
-
Entretien avec un vampire
Avec :
Tom Cruise
Brad Pitt
Christian SlaterSynopsis
Le destin de trois vampires se retrouve mêlé pendant des siècles, alternant entre amour et trahison, solitude et soif de vengeance.
Que dire de ce film si ce n’est pour moi, le meilleur film de vampire toute cat.
Kingsman Service Secret
Avec :
Taron Egerton
Colin Firth
Samuel Lee Jackson
Mark Strong
Sofia BoutellaKingsman et le cercle d’or
Avec :
Taron Egerton
Colin Firth
Mark Strong
Julianne Moore
Pedro PascalKingsman est une série de films américano-britanniques réalisés par Matthew Vaughn. Le premier film est une adaptation de la série de comics Kingsman : Services secrets scénarisée par Mark Millar et dessinée par Dave Gibbons. Le scénario du film et les noms des personnages sont cependant assez différents des comics.
Quel plaisir que de me remater ces 2 films, ça me change des derniers Bond avec Daniel Craig (Surtout Solace, Spectre et le tous dernier…qui m’ont endormi comme pas possible avec ce côté gniangnian à la feu de l’amour)
-
@normand-normal a dit dans [Topic Unique] Les films que vous avez aimés et adorés :
Snöänglar (Snow Angels), créée par Mette Heeno, Danemark
le syno :
Veille de Noël, dans la banlieue de Stockholm, Lukas, un bébé de 5 semaines disparaît. L’officier de police trouve qu’un élément cloche dans leurs témoignages. Obsédée par l’affaire, elle découvre qu’une infirmière et la mère de Jenni, Kajsa, ont des doutes concernant la culpabilité de la mère de l’enfant…
sortie 2021, noté nulle part je vais donc tester
-
La Traque
De Serge Leroy
Année: 1975
Genre: Survival
Véritable arlésienne de l’exploitation française, refilée sous le manteau de génération en génération dans des rip VHS de qualité médiocre, le 3ème long métrage de Serge Leroy ne doit pas son culte qu’à sa rareté. Un casting de notables en devenir du cinéma français chasse la muse du cinéma de genre européen dans un exercice de style périlleux, exécuté avec brio, auquel la récente restauration ourdie par l’éditeur indépendant le chat qui fume entend redonner tout son lustre.
Serge Leroy restera dans l’inconscient cinéphile français comme le réalisateur d’un film météore, dont les rares diffusions sur FR et Canal+ ont traumatisé deux générations de cinéphiles qui ne purent jamais, jusqu’à présent, donc depuis 40 ans, posséder l’objet pour en profiter dans des conditions de visionnage optimale.
La faute à un écueil tristement récurent de l’exploitation - la division des droits du film en 3 propriétaires, qui se regardent en chien de faïence dans l’espoir que les 2 autres bougent et assument seul les frais. Il s’en est fallu de l’intérêt du chat qui fume pour que la situation se débloque - les marlous à la solde du félin clopeur entendent attaquer l’année 2021 avec une flopée de titres voués à rappeler le temps ou le cinéma français était tout autant terre de polars rugueux que de comédies, et la sortie de La Traque en version restaurée fait office de gros, gros coup de semonce.
SYNOPSIS:
Helen Wells, une touriste anglaise en goguette dans les terres normandes, croise la route d’une bande de chasseurs constituée de notables locaux.
La battue du sanglier n’est qu’un prétexte pour entretenir les liens entre les sept hommes, assurer les ambitions électorales de Philippe Mansart, réaffirmer si besoin était le pouvoir financier de David Sutter, surligner les dynamiques de coopération et de domination interpersonnelles, fusils à la main.
Les frangins Albert et Paul Danville, les plus couillons et alcoolisés du groupe, se retrouvent seuls avec Helen, et la violent sous le regard de Chamond, un assureur introverti.La jeune femme parvient à tromper la vigilance de ses bourreaux, blesse grièvement Paul Danville, et s’enfuit avec la ferme volonté de dénoncer le groupe aux forces de l’ordre.
Les intérêts communs des chasseurs les font progressivement changer de proie.
En l’état, la seule méchanceté du synopsis suffit à éveiller la curiosité, mais son incarnation réveille inévitablement l’attention. Dans le rôle de la victime résiliente, la grande Mimsy Farmer, actrice américaine qui aura traversé les cinémas d’exploitation européens des années 1970 en étoile filante, délivre ici l’une de ses meilleures performances, a égalité très serrée avec le sublime La route de Salina de Georges lautner.
Face à elle, le film aligne aussi bien son partenaire de 4 mouches de velours gris, Jean-Pierre Marielle, que la star montante Philippe Léotard, le taulier Michael Lonsdale, l’impeccable Jean-Luc Bideau ou l’impressionnant Michel Constantin que Leroy avait déjà fais tourner deux ans plus tôt dans Le mataf.Des acteurs qui , en 1975, n’avaient pas encore de filmo longue comme le bras, mais possédaient déjà suffisamment de bagages pour en imposer sévère. Chacun parvient à distiller sa veulerie aux compte-goutte, en rythme harmonieux, pour que l’étau se resserre de façon inexorable.
Le récit fonctionne tout autant comme miroir d’une société uniquement préoccupé par l’extérieur quand ses plates bandes sont menacées, que comme reflet difforme des aspirations du 7ème art national d’alors, aux velléités contestataires régulièrement tuées dans l’oeuf par une censure étatique qui ne disait pas son nom.
Et pour qui conchie la surinterprétation, La Traque se montre encore plus efficace au premier degré, dans sa mécanique narrative implacable, sa cruauté fataliste et son hypocrisie bon teint terrifiante.
Cela réaffirme le principe selon lequel tout réalisateur possède un chef d’œuvre en lui, pour peu que le zeitgeist soit favorable.
Le choc de la redécouverte du film dans son nouveau master 4K est à la hauteur de ceux que furent les restaurations du Maniac de William Lustig ou du Schizophrenia de Gerald Kargl.
La Traque va enfin pouvoir les rejoindre dans la glorieuse catégorie des classiques rageurs maudits.
SOURCE: Mad Movies
EDIT:
Petite archive pour le délire :
EDIT2:
Maté hier soir, ba ba ba la tuerie…
Chose rares pour l’époque, il y a pas mal de passages filmés à l’épaule.
Une performance pour l’époque au vu du poids des caméras !