[Topic Unique] Les films que vous avez aimés et adorés
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tudikoi Ciné-Séries Club Rebelle Windowsien Torrent user DDL PW Addicta répondu à Nick2 le dernière édition par
@nick2 a dit dans [Topic Unique] Les films que vous avez aimés et adorés :
@warezb47 ah bon ? je vais mieux chercher alors car ce film ne me disait rien,merci
edit: mais c’est uniquement en vo ou vostfr ? sinon pas de vf ?
pas encore
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@Nick2 le film doit sortir en France mi-septembre de mémoire en VOD
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On en reviens au sujet, le DL c’est sur les trackers
En Pays Cannibale
Réalisation/scénario: Alexandre Villeret & Aymeric de Heurtaumont
Année: 2012
Genre: Drame, coke party
Le petit rejeton de Jacques Villeret, Alexandre Villeret a donc fait un seul et unique film mais quel film !
Après 6 ans de recherche, requêtes sur les TK, recherche web torrent et DDL, j’ai contacté Mr Villeret sur son Twitter, Facebook ainsi que les différentes boites de prod, aucuns n’ont daigné me répondre pour l’obtenir de manière légale A croire que le réalisateur et la production renie le film !
J’ai donc pu enfin pu mettre la main dessus avec une chance de dingue par le biais d’un des figurants du film. (que j’ai provoqué bien sur, merci à la personne si jamais elle passe par là, je tiendrais ma parole ^^) et le choc fut bel et bien là.
Il faut savoir qu’à l’époque, le film n’a été diffusé que dans 2 salles Parisiennes pendant 2 semaines je crois. Pas d’édition DVD/BR, seulement une petite campagne sur KissKissBankBank pendant très peu de temps pour les cinéphiles s’étant intéressés au film.
Une galerie de personnage et de seconds rôles hallucinants (superbe Jo Prestia), un noir et blanc convaincant, de la coke à foison, une ambiance de folie et une musique de dingue.
Qui aurait cru que le fils de Villeret accoucherai d’une dinguerie pareil
Un film qui est unique dans le paysage du cinéma Français, je le met bien au chaud aux côtés de La Haine, Assassin(s), 13 Tzameti & C’est arrivé près de chez vous (belge) etc.
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SYNOPSIS OFFICIEL:
Loin d’un Paris de carte postale, Max et sa bande de pieds-nickelés se trimballent dans les profondeurs d’un petit milieu de citadin décalé, animé par les teufs, le sexe et les drogues. Un “trip-tease” de 48 heures, et une escalade de situations déjantées dans les bas fonds de Paname. Bienvenue EN PAYS CANNIBALE.
TRAILER
Longue présentation du film par leurs auteurs et acteurs qui donne une bonne impression de ce qu’est le film:
Je met une belle critique trouvé sur Sens Critique avec laquelle je suis entièrement d’accord:
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En Pays Cannibale c’est un peu ce moment de désespoirs qui nous amène à nous interroger sur l’état du cinéma français. Sorti en indépendant, on ne peut que s’étonner de la qualité d’un tel film face aux faibles moyens qu’il a eu à sa disposition. C’est donc avec un regret non dissimulé qu’on se dit que ce très bon film ne sera pas vu par tous, mais, qu’au contraire, il faudra se battre pour pouvoir en profiter.
En Pays Cannibale se veut violent, non pas dans ses propos ou dans ses scènes (encore que), mais dans la façon dont il s’immisce dans la tête du spectateur. Découpage par chapitres, longs monologues, film en noir et blanc, bande-son d’une puissance insoupçonnée, tout est mis en place pour que le spectateur ne soit qu’un mannequin fixé sur sa chaise et se prenne la tarte du siècle face au film. On retrouve du Fincher et du Tarantino dans le procédé et dans cette façon d’œuvrer.
Du Tarantino oui … Beaucoup de Tarantino, dans ce refus total d’expliquer quoique ce soit, on ne va pas justifier la mort d’un personnage, on ne va pas dire ce qu’il s’est passé dans tel appart, quel est la vie de tel ou tel personnage, tout va vite, très vite, trop vite.
Car après tout, cette vitesse c’est comme l’ultime rail de coke de Max, dealer de son état, qui à déjà 30 ans, a bien du mal à se remettre de la mort (suicide ?) de son père alors qu’il n’en avait que 9.
Sans aucun doute, Max veut en finir, c’est claire, c’est très claire, il n’a plus foi en rien, même plus dans la possibilité d’une vie meilleure (chapitre de Marie), mais plutôt que mourir à petit feu, Max veut briller. Il va donc proposer à son ami Lenny, un réalisateur raté et Yoann, un étudiant en école d’ingénieur du son, de faire un film sur 48 heures avec lui.
48 heures qui nous amènent dans le Paris de la drogue et du sexe, de la déviance à outrance, où l’on tue pour un oui ou pour un non, ou le canon d’un flingue vient se coller à sa tempe uniquement parce qu’un homme nous oblige à lui sucer son pénis. 48 heures dans un Paris qui n’aurait rien à envier au dernier GTA ou à la célèbre BD de Miller, Sin City.
Pourtant, cette haine, cette violence, ce sexe, et surtout cette drogue à excès (encore plus de coke que dans Scarface, c’est dire !) ne servent qu’à mettre en évidence un message. Il y a tellement de tout qu’il faut oublier ce tout et voir derrière l’évidence d’un regard naïf. Ce film ne parle pas de drogue, de banlieue, de banditisme ou de violence, ce film parle de la solitude extrême des gens. Les gens ne s’écoutent pas, tout simplement. Et dans leurs paradis artificiels, ils pensent avoir accès au bonheur mais en réalité, la seule utilité de ces drogues c’est de ne pas se sentir non-écouté. C’est d’oublier, un instant du moins, la peine que ce monde leur inflige.
Max est spécial parce qu’il s’en rend compte quelque part, mais qu’il ne peut lutter contre, il n’est pas assez fort. Ce film qu’il veut donc tourner, qu’En Pays Cannibale nous raconte, c’est donc cette dernière vie vécue dans la vie, son dernier rôle, sa dernière bouffé d’un oxygène trop pollué ou de toute façon, tout est déjà joué depuis qu’il a 9 ans, depuis que son père est mort.
Cependant, le film ne tombe jamais dans le misérabilisme, loin de là même. Il est dans l’exagération, pour laisser voir subtilement ce message. Les personnages sont donc tellement exagéré qu’on les aime ou les déteste. De Lady Fanta, femme de petite vertu qui ferait fuir le plus hargneux des pervers à Gros Louis, espèce d’époux dans une relation à 3 avec des prostituées qu’il semble frapper, tous sont dans l’exagération.
Quand on sait qu’une partie des acteurs ne sont justement pas des acteurs, on ne peut qu’être surpris. On prendra du plaisir à retrouver David Saracino, adepte des petits rôles, dans le rôle de Lenny. Angelo, un des personnages les plus marquant du film est joué par Jo Prestia, une gueule comme on en fait rarement et on se régale de l’avoir vu dans ce rôle, un acteur qui gagne à être connu. Sinon, on peut noter le père de Lenny, joué par Yves Pignot, une scène brève d’une rare puissance. Beaucoup de seconds rôles sont tout simplement excellents d’ailleurs.
A tel point que les personnages principaux peuvent sembler transparent par moment, ou du moins, moins charismatique. Pourtant, Axel Philippon campe très bien Max et on l’apprécie rapidement. Le personnage de Yoann est moins captivant, moins séduisant, est ce dû à un Ivan Cori qui se retrouve avec un rôle assez basique, il faut le dire : le jeune paumé dans un univers encore inconnu pour lui et bien too much. Ce personnage de Yoann semble servir d’indicateur de “folie” à ce qui se passe autour et pourtant dans plus d’une scène je l’ai trouvé peu intéressant voir inutile.
Au niveau technique, c’est du grand niveau, une réalisation très bonne malgré quelques cadrages qui peuvent gêner pour quelques scènes. Heureusement, dans 95% du film, les cadrages restent, on ne va pas dire basique, mais plutôt évident, parfaitement réalisé, parfaitement mis en place et c’est ça qu’on attend d’un film. Que ça soit tellement bien fait que ça semble évident alors qu’il y a eu tout un travail en réalité dessus.
La bande-son est tout simplement jouissif et je pense qu’une grande partie de la qualité du film vient en réalité de là.
Enfin, le montage est … fou ! On retrouve toute la fougue, tout le dynamisme des jeunes réalisateurs qui osent faire plus que les autres, et aussi cette vitesse dont Max n’a de cesse de voir.Bref, En Pays Cannibale est certainement le meilleur film français que j’ai vu depuis des années, la preuve qu’il reste encore du talent chez nous, mais uniquement en indépendant.
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@violence On le trouve ou ??? En MP ?
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@violence
c’est ZE PREZZ -
Quand on aime, on fais bien les choses
C’est clair que celui la je le garde en 3 ou 4 exemplaires sur 3 support différents sinon c’est mort je ne le retrouverais jamais ^^
Le truc c’est que j’ai donné ma parole que ce film ne se retrouvera jamais sur les réseaux… -
Ha une parole est une parole
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@psyckofox Oui, je n’insiste pas (pas trop…)
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@violence
et si on fait une demande officieuse en mp ça marche ? ça passe ou pas !? (un peu quand même non !?
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Le Gangster, le Flic et l’Assassin (The Gangster, the Cop, the Devil)
Un puissant chef de gang dont la férocité est redoutée dans le milieu manque de se faire assassiner par un homme qui prend la fuite sans être identifié. S’il a survécu à l’attaque, le gangster sait que sa réputation est irrémédiablement endommagée : il doit retrouver l’assassin et le faire payer.
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Dans le nord de l’Angleterre, la ville de Sheffield a subi de plein fouet la crise de la métallurgie des années 1980. Gaz est l’une des victimes de la morosité économique. Son horizon se limite aux usines désaffectées et aux friches industrielles. Séparé de sa femme, chômeur, Gaz se débrouille comme il peut pour conserver l’affection de son fils.
Dans ce quotidien plutôt terne, la venue des Chippendales, un groupe de strip-teaseurs, crée l’événement. Le succès phénoménal de ces messieurs inspire à Gaz une idée des plus saugrenues : monter son propre spectacle de déshabillage progressif. Aidé de son corpulent ami Dave, Gaz organise une audition pour recruter les membres de la fine équipe et organiser les premières répétitions dans un hangar.
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Distribution
Robert Carlyle (VF : Éric Herson-Macarel) : Gary « Gaz » Scofield
Tom Wilkinson (VF : Philippe Catoire) : Gerald Cooper
Mark Addy (VF : Daniel Kenigsberg) : Dave Orsfall
William Snape (VF : Daniel Dandre) : Nathan Scofield
Steve Huison (VF : Pierre Baux) : Lomper
Paul Barber (VF : Jean-Michel Martial) : Michel « Horse » Barrington
Hugo Speer (VF : Laurent Natrella) : Guy
Lesley Sharp (VF : Laurence Crouzet) : Jean Orsfall
Emily Woof (VF : Valérie Karsenti) : Mandy
Deirdre Costello : Linda
Paul Butterworth : Barry
Dave Hill (VF : François Siener) : Alan
Bruce Jones : Reg
Andrew Livingston : Terry
Vinny Dhillon : Sharon
Malcolm Pitt (VF : Mathieu Buscatto) : Le Manager du club -
Cette nuit j’ai maté CHAOS WALK**G (2021) sur PRIME VIDEO, j’ai bien aimé mais il sera pas inoubliable ^^
(https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=198040.html) -
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tudikoi Ciné-Séries Club Rebelle Windowsien Torrent user DDL PW Addicta répondu à Violence le dernière édition par tudikoi
@violence a dit dans [Topic Unique] Les films que vous avez aimés et adorés :
Euhhhh ???
Le titre du topic, c’est plutôt les films que vous avez aimés et adorés pas les films que vous avez trouvez nul ou bof bof !
Par contre tu peux ouvrir un topic avec ce même noms si tu veux
Ben oui , j’ai adoré OU aimé les hair , c’est pareil
(j’ai laissé celui que j’ai aimé) ^^PS: si ce topic est fait pour les films récents , il va pas y avoir grand chose
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Oui et si on met toute les daubes, il va y en avoir de trop et le topic ne voudra plus rien dire
Il faut juste, je pense faire la part des choses.
Nullement besoin de jouer sur les mots, j’exprime simplement mon point de vue concernant le topic. Nos avis peuvent diverger, il suffit d’en parler.
On peux aimer par exemple, les nanars (série Z etc…), c’est le principe du nanar, c’est tellement nul que c’en est drôle et qu’il en deviens attachant mais si un film est nul, il est simplement nul.
Le topic n’est pas pour les nouveautés comme tu le souligne, il y a un topic actualités pour cela. La plupart des films présentés dans ce topic sont loin d’être récents.
Par contre comme déjà dit, pourquoi n’ouvrirait tu pas un topic sur les nanars ou les films pourris par exemple ?
J’espère ne pas être trop virulent, ce n’est pas mon intention !
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La planète des singes origines, également appelé "
Rise of the Planet of the Apes".visualisé la semaine dernière, j’ai bien aimée*-
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Ce message a été supprimé !
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Refroidis
La Norvège, l’hiver. Nils, conducteur de chasse-neige, tout juste gratifié du titre de citoyen de l’année, apprend le décès de son fils par overdose. Réfutant cette version officielle, il se lance à la recherche des meurtriers. Si la vengeance est un plat qui se mange froid, la sienne sera glacée !
Mon avis: Il y des films qu’il ne faut pas regarder deux fois dans une vie, mais qui valent largement la peine d’être vu, Kraftidioten (pas la peine de traduire) ou encore Par ordre de disparition, en anglais, est de ceux-là.
En plus bonjour le dépaysement, en cette période où on ne voyage plus beaucoup, ça ne se refuse pas.