[Topic Unique] Les films que vous avez aimés et adorés
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J’approuve mon pote.
Tu sais quoi un jour je voulais remater “Fantômes contre Fantômes” en essayant de faire découvrir la chose en toute innocence à des potes.
Ces e*culés n’ont pas accroché lol, m’ont dit illico presto d’arrêter le film (nanar qu’ils disaient ces cons d’incultes lol).
Soirée qui s’est terminée en mode “Ta mère ci, ferme ta bouche là” …le lendemain on était à faire un foot lol.Perso ce film, je l’ai maté plusieurs fois et étant donné qu’il y’avait Michael J Fox (acteur que je surkiffe), j’ai accroché direct.
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@Psyckofox a dit dans [Topic Unique] Les films que vous avez aimés et adorés :
J’approuve mon pote.
Tu sais quoi un jour je voulais remater “Fantômes contre Fantômes” en essayant de faire découvrir la chose en toute innocence à des potes.
Ces e*culés n’ont pas accroché lol, m’ont dit illico presto d’arrêter le film (nanar qu’ils disaient ces cons d’incultes lol).
Soirée qui s’est terminée en mode “Ta mère ci, ferme ta bouche là” …le lendemain on était à faire un foot lol.Perso ce film, je l’ai maté plusieurs fois et étant donné qu’il y’avait Michael J Fox (acteur que je surkiffe), j’ai accroché direct.
Putain les cons
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Bon je finis avec ma “petite” sélection de films classique en cette période “halloweenesque” :
The Mist (2007) de Frank Darabont
L’exorciste (1973) de William Friedkin
Les Autres (2001) d’Alejandro Amenábar
Hidden (1987) de Jack Sholder
Jeepers Creepers (2001) de Victor Salva
Le Projet Blair Witch (1999) d’Eduardo Sánchez et Daniel Myrick
Hitcher (1986) de Robert Harmon
Braindead (1992) de Peter Jackson
The Thing (1982) de John Carpenter
30 Jours De Nuit (2007) de David Slade
28 Jours Plus Tard (2003) de Danny Boyle
28 Semaines Plus Tard (2007) de Juan Carlos Fresnadillo
Freddy Les Griffes De La Nuit (1984) de Wes Craven
L’armée Des Morts (2004) de Zack Snyder
The Collector (2009) de Marcus Dunstan
Alien Le Huitième Passager (1979) de Ridley Scott
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Film très intéressant malgré quelques petits défaut comme une fin pas très originale et que le film mouline un peu à un moment donné et qu’il aurait pu un peu réduire certains passages.
Mais cela n’entache pas le film et l’ambiance est excellente, Florence Pugh y est magnifique, excellente de justesse, jubilatoire dans son jeu, (elle confirme tout le bien que je pense d’elle depuis que je l’ai découverte dans Midsommar), la DA est au petits oignons, la musique est très sympatique et Chris Pine envoi aussi du bois.
J’ai vraiment aprrécié/adoré l’ambiance SF intimiste à la Bienvenue à Gattacca mâtiné d’une ambiance assez pesante, elle même mêlée à la douceur/couleur des années 30-50 américaine.
–> Bref, je vous le conseille malgré tout car j’ai passé un très très bon moment de cinéma qui m’a rappelé pas mal de souvenirs puis c’est un bon film (Et j’adore Florence Pugh )
J’en profite pour vous mettre la critique Mad Movies :
Dommage, ce film pourtant honorable n’a vraiment pas eu de bol. Aux États-Unis, la promotion a été parasitée à plusieurs reprises par des bisbilles personnelles qui ont éclipsé l’œuvre elle-même. Le résultat a été un box-office morne, à l’image des critiques. En France même, les papiers ont été édifiants : soit ils étaient mitigés, parfois avec raison ; soit ils mettaient le paquet sur une thématique féministe massive. Or, celle-ci n’est pas franchement neuve.
Don’t Worry Darling, c’est le retour des Femmes de Stepford et de ces récits des années 1960-70 où le cadre propret des banlieues pavillonnaires cache un élément de science-fiction qui redouble l’aliénation des ménagères. Même si le long-métrage d’Olivia Wilde impose d’emblée un décorum d’après-guerre, on comprend donc que l’action se déroule dans un futur dystopique où les cadres des entreprises vivent dans des résidences privées aux gazons bien tondus.
Passées les tâches domestiques, les épouses s’y prélassent toute la journée tandis que les maris, qui sont les seuls à bosser, sont dans les bureaux de la mystérieuse boîte. Évidemment, quelque chose cloche dans cet univers trop parfait. À la suite d’une voisine devenue folle, l’héroïne incarnée par Florence Pugh commence ainsi à douter de la réalité qui lui est proposée, d’autant qu’elle est poursuivie par des hallucinations…
Toutefois, la charge féministe est plus complexe qu’il n’y paraît, puisqu’elle présente deux faces. D’un côté, l’allégorie n’y va pas par quatre chemins pour épingler la domestication de femmes au foyer vivant dans la cage dorée d’une société rétro. Mais de l’autre, Wilde glisse des considérations plus subtiles. Par exemple, les couples de la résidence, loin d’être coincés, ont une sexualité parfois intense. Il y a donc de l’amour, qui rejaillira dans une conclusion acerbe mais dépeignant un désarroi masculin très contemporain.
Cependant, la grande réussite est dans la direction artistique. En plus d’être joliment faite, la reconstitution d’une caricature d’années 50 est assez fouillée pour créer un véritable univers, lequel est compliqué par des emprunts à d’autres époques : les confins interdits du village de luxe ont une architecture très seventies, et les flashes de réminiscence évoquent les années 30 avec leur noir & blanc et leurs chorégraphies abstraites à la Busby Berkeley.
Ces atouts visuels rachètent une révélation finale dont le principe n’est pas très original, et plus généralement, une narration un peu lâche. Car au bout d’un moment, l’héroïne sait que les choses ne sont pas ce qu’elles semblent, les autres savent qu’elle sait, et le récit patine au long d’un ventre mou faisant sentir que la durée de deux heures était sans doute excessive.
Toujours est-il que, malgré ses lourdeurs et ses longueurs, cette version revisitée d’une vieille forme de SF se suit sans déplaisir.
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Balle perdue (2020) & Balle perdue 2 (2022)
SYNOPSIS BALLE PERDUE 1 :
Petit génie de la mécanique, Lino est réputé pour ses voitures-bélier. Jusqu’au jour où il se fait arrêter pour un braquage qui tourne mal. Repéré par le chef d’une unité de flics de choc, il se voit proposer un marché pour éviter la prison. 9 mois plus tard, Lino a largement fait ses preuves. Mais soudain accusé à tort de meurtre, il n’a d’autre choix que de retrouver l’unique preuve de son innocence : la balle du crime, coincée dans une voiture disparue.SYNOPSIS BALLE PERDUE 2 :
Après la mort de Charras, Lino et Julia ont pris la relève et forment la nouvelle équipe de choc de la brigade des stups. Bien déterminé à retrouver les assassins de son frère et de son mentor, Lino continue sa traque et ne laissera personne se mettre en travers de sa route.https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=291621.html
2 films vus sur NETFLIX que j’ai bien aimé (c’est rare sur NETFLIX) . . . en attendant le 3
Merci de m’avoir lu
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tudikoi Ciné-Séries Club Rebelle Windowsien Torrent user DDL PW Addicta répondu à Violence le dernière édition par
@Violence a dit dans [Topic Unique] Les films que vous avez aimés et adorés :
Merci @tudikoi
Ayant vu le premier, le 2 est de la même trempe ?
Plus violent, j’ai hâte de voir le 3
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Par contre, j’ai pas vu les balises pour mettre les BA YOUTUBE ?
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Euh non , me suis trompé
Balises pour vidéos ALLOCINE
Là, j’ai mis à la place BA de YOUTUBE -
Je l’ai maté hier.
Ça va le film passe (même si j’ai beaucoup de mal avec le jeu des acteurs français…ça fait pas naturel).
Sinon beaucoup d’action, beaucoup de course poursuite (un monde parallèle où il n’ya que des Renault lol) avec sûrement une suite (j’en dirai pas +). -
@Psyckofox a dit dans [Topic Unique] Les films que vous avez aimés et adorés :
(un monde parallèle où il n’ya que des Renault lol)
Que j’ai ri
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jumper un film ou certaines personnes peuvent se téléporter ou ils veulent, mais sont traqués par un groupe qui veut les exterminer
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Alors déjà @tudikoi merci pour le conseil, j’ai adoré Balle Perdue 1 & 2. Bon film !
Sinon j’ai passé un très agréable moment devant celui-ci https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=287509.html
Bien sûr, de base, j’adore Emma Thompson, mais dans ce film, elle est filmée de très près et avec très peu d’artifice. Qui plus est à 63 ans elle ose tourner un film comme ça où elle fini nue dans un long plan.
L’histoire du femme qui a été mariée longtemps avec un mec tac tac 3 mn, qui part à la recherche du plaisir avec un travailleur du sexe. En fait ça ne se passe pas comme prévu et on a le droit à un magnifique huis clôt.
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Pinocchio (version Netflix) realisé par : Guillermo del Toro et Mark Gustafson
Synopsis :
Cette reprise du célèbre conte de Carlo Collodi sur une marionnette en bois qui prend vie et rêve de devenir un vrai garçon se déroule dans l’Italie fasciste des années 1930. Lorsque Pinocchio prend vie, il s’avère qu’il n’est pas un gentil garçon, qui fait des bêtises et joue des mauvais tours. Mais au fond, Pinocchio est une histoire d’amour et de désobéissance, alors que Pinocchio se bat pour être à la hauteur des attentes de son père.
Mon avis : Un bon film d’animation, j’ai passé un bon moment (on voit bien la petite touche Guillermo Del Toro comme ces créatures et leurs ailes qui nous rappelle les créatures du film "Le Labyrinthe de Pan")
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@Psyckofox C’est la première fois que j’en lis du bien La réaction classique (dont la mienne) est plutôt du genre: beurk encore une adaptation…
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Une autre critique ici qui en dis du bien et du moins bien :
https://planete-warez.net/post/29735
Moi j’ai aussi passé un bon moment même si Pinnochio on commence à s’en lasser.
Quoi qu’il en soit c’est la meilleure adpatation depuis des lustres -
tudikoi Ciné-Séries Club Rebelle Windowsien Torrent user DDL PW Addicta répondu à duJambon le dernière édition par
@duJambon a dit dans [Topic Unique] Les films que vous avez aimés et adorés :
@Psyckofox C’est la première fois que j’en lis du bien La réaction classique (dont la mienne) est plutôt du genre: beurk encore une adaptation…
Moi, j’ai zappé au bout de 15 sec , le graphisme est moche… mon dieu
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Une autre critique ici qui en dit du bien et du moins bien :
https://planete-warez.net/post/29735
Moi j’ai aussi passé un bon moment même si Pinnochio on commence à s’en lasser et que je ne le reverrais pas.
Quoi qu’il en soit, c’est la meilleure adaptation du pantin en bois depuis des lustres