[Topic Unique] Actualités cinéma & séries
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The Killer : nouvelle bande-annonce pour le film de David Fincher
Après son passage à la Mostra de Venise et quelques projections évènementielles, The Killer, le nouveau film de David Fincher, sortira le mois prochain sur Netflix. Et pour l’occasion, on a droit à une nouvelle bande-annonce très alléchante.
3 ans après le très beau et surprenant Mank, le grand David Fincher poursuit sa collaboration avec Netflix pour The Killer. Un thriller qui cette fois ressemble énormément à ce à quoi le réalisateur nous avait habitué jusque là. Il retrouve ici son scénariste Andrew Kevin Walker qui adapte ici la bande dessinée Le Tueur de l’auteur français Matz, aka Alexis Nolent. Et il offre le premier rôle à Michael Fassbender, qui avait un peu disparu des écrans depuis quelques années pour se consacrer à la course automobile. A ses côtés on retrouve Arliss Howard, Charles Parnell, Kerry O’Malley, Sala Baker, Sophie Charlotte et Tilda Swinton. Erik Messerschmidt s’est chargé de la photographie de The Killer, tandis que les fidèles Atticus Ross et Trent Reznor ont signé la bande originale.
The Killer sera visible sur Netflix à partir du 10 novembre 2023.
synopsis
Après une catastrophe évitée de justesse, un tueur se bat contre ses employeurs (et lui-même) dans une chasse à l’homme à travers le monde qui, dit-il, n’a rien de personnel.
–> Hâte de voir la chose
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@Violence a dit dans [Topic Unique] Actualités cinéma & séries :
The Killer sera visible sur Netflix à partir du 10 novembre 2023.
Merci Violence, je sais ce que je verrai ce soir là
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Hermana Muerte : nunploistation chez Plazza
Après le pas si mal Tin & Tina, l’inutile Bird Box Barcelona et l’abominable Book Club Mortel, le cinéma d’horreur espagnol continue à se faufiler sur Netflix. Ressorti de l’ombre avec le très surcoté (qui s’en souvient d’ailleurs?) La Abuela, Paco Plaza cède à son tour aux sirènes du grand N. On ne misait pas un Kopeck dessus, et pourtant… Pas de quoi flip-floper au plafond en voyant le point de départ, totalement prétexte, du long-métrage: il s’agit en réalité d’un prequel à Veronica, qui met les voiles sur le passé de l’étrange bonne sœur aveugle croisée dans ce petit film de possession/malédiction qui s’appuyait sur un fait divers du début des années 90. Une simple excuse tant les films ne communiquent guère entre eux (si ce n’est le point final en guise de recontextualisation). Mais telle Claire Denis, nous autres, on s’en fout!
Dans l’Espagne de l’après-guerre, une ancienne miraculée intègre un couvent reconverti en école catholique et se trouve accueillie à bras ouverts au vu de sa réputation. Mais, on vous le donne en mille: d’étranges phénomènes se déroulent dans le lieu saint, et en particulier dans la chambre de la novice. Coups dans les murs, chaise qui bouge, dessins mystérieux, apparition fantomatique: rien ne manque!
II serait mentir de prétendre que Plaza nous file la frousse bleue. Mais, et c’était le cas dans Veronica et La Abuela, il ne cède jamais à la dure loi du jumpscare décervelé. À défaut de faire claquer des dents, le film rafle des points ailleurs, en partculier dans sa plastique irréprochable, assez proche des manœuvres d’une prod A24, et qui va jusqu’à renvoyer au cachot l’atroce The Exorcist — Dévotion de David Gordon Green, qui réussissait l’exploit de ressembler à un téléfilm malgré ses 30 millions de dollars.
Si elle ne révolutionne pas le genre, loin de là, cette nunploistation surnaturelle a le bon goût de durer seulement 1h30: une aubaine à l’heure des prolongations artificielles. Plus féroce dans sa seconde partie, Les ordres du mal s’attaque à la loi du silence si chère à l’Église sans jamais côtoyer les cimes transgressives d’un certain cinéma espagnol (ah que c’est loin Virdiana et La Résidence…). un petit manque de perversité qui n’empêche pas une ultime vengeance d’outre-tombe parsemée d’images grand-guignolesques aussi belles que cruelles. On pense parfois à la surprise provoquée par L’abîme de l’enfer, autre petit film d’horreur qu’on pouvait trouver au rayon domimum sanctum de Netflix.
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David Robert Mitchell prépare « They Follow », suite de « ItFollows »
C’est l’annonce surprise d’avant hier soir: David Robert Mitchell réalisera la suite de son It Follows. Le titre: They Follow. C’est Neon Films qui a annoncé cette (étonnante) nouvelle. Pour celles et ceux qui ne connaitraient pas It Follows, film d’horreur instantanément culte de 2014. Le cinéaste David Robert Mitchell, alors révélé en 2010 avec The Myth of the American Sleepover, confirmait sa connexion avec les jeunes adultes de son époque, mais cette fois dans un contexte fantastique à la fois innovant et familier, le film évoquant en intensité les Carpenter de la meilleure époque.Le pitch était aussi simple que génial: un mal mystérieux et possiblement mortel était transmis par le sexe, et la seule façon de s’en débarrasser, c’était de coucher avec quelqu’un d’autre. Le vieux motif puritain qui justifiait les slashers idiots se révélait retourné comme une chaussette, mais l’ambiguïté morale restait, notamment la question du consentement. Bilan, l’un des meilleurs films fantastiques de la décennie. Mitchell a poursuivi en réalisant l’excellent Under the silver lake, en 2018.
–> Je bande
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@Mister158 a dit dans [Topic Unique] Actualités cinéma & séries :
j’ai enfin pu voir la fin du dernier mission impossible (pour ceux qui ont suivi lol) euh, la scène du saut, on l’a déjà vu et revue 25 fois à la télé .y’a rien de plus … du coup oui bof, c’est du mission impossible dans toute sa splendeur !
La scène du saut oui dommage car trop de passage pub a la TV mais comme tous les autres MI (tour de Dubai, A400M, Saut stratosphere…) et sa enlève le côté impressionnant pendant le film
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SOUND OF FREEDOM
SOUND OF FREEDOM est un thriller basé sur l’incroyable histoire vraie d’un ancien agent fédéral américain qui se lance dans une opération de sauvetage au péril de sa vie, pour libérer des centaines d’enfants prisonniers de trafiquants sexuels.
https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=267218.html
Les mass media se sont jeté sur ce film pour le dénigrer et le diaboliser, ceci pour une raison qui m’échappe (même si j’ai ma petite idée), seul, à ma connaissance, le JDD a fait un article pour tenter de rétablir un peu de vérité.
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@Pollux a dit dans [Topic Unique] Actualités cinéma & séries :
« Le film en lui-même n’a aucune référence politique et ne fait absolument jamais mention des thèses de QAnon »
Des 2 côtés en faites je pense.
QAnon qui s’attribue le film et ça aide pas pour la distribution du film et y’a les autres qui voient le film comme le fer de lance pour les complotistes. -
“C’est dur d’être aimé par des cons”, c’est ce que doit se dire la société Saje
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@Pollux a dit dans [Topic Unique] Actualités cinéma & séries :
le JDD a fait un article pour tenter de rétablir un peu de vérité.
Juste cette phrase ne sonne pas juste.
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Faites vous plaisir car le HS n’étant pas de mise ici, ce sera déplacé ailleurs incessamment sous peu. Nullement besoin de politiser ce topic sur l’actualité des sorties ciné et TV. EDIT: HS supprimé et source –
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J ai vu le film j ai pas trouvé qu il faisait siennes les theses complotistes ou autre bande à QAnon