[Topic Unique] Actualités cinéma & séries
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@Psyckofox a dit dans [Topic Unique] Actualités cinéma & séries :
j’ai tous simplement kiffé (une série à voir absolument).
Tu aurais du la mettre ici pour le coup
https://planete-warez.net/topic/499/topic-unique-les-séries-que-vous-avez-aimées-et-adorées/141
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Effectivement tu as raison (j’édite la chose )
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voici la dernière petite pépite de christopher nolan
https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=296168.html
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https://www.allocine.fr/series/ficheserie_gen_cserie=34847.html
adhura dispo sur le prime en vostfr
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Un présentateur de télévision nous raconte la création d’une pièce de théâtre dont le film va nous livrer une représentation cinématographique : en 1955, dans une petite ville du désert américain vaguement célèbre pour son cratère causé par une chute d’astéroïde, des enfants surdoués sont réunis, avec leurs parents, pour participer à un concours de jeunes talents scientifiques organisé par l’armée…
Dès son incipit, Asteroid City nous plonge dans plusieurs strates de narration, exploration à laquelle nous invitent non seulement le scénario, mais aussi la caméra, à coups de mouvements descendants et de travellings avant incisifs et millimétrés cadrant des décors passant du noir et blanc à la couleur et du format 1.37 au CinémaScope. C’est un fait : on ne pourra jamais reprocher à Wes Anderson de ne pas faire de cinéma. Bien au contraire, de film en film, le réalisateur radicalise sa maîtrise du medium et, fatalement, son obsession de mainmise démiurgique sur le récit se traduit par une rigidité accrue de son système.
Fort heureusement, à l’écran, cette hégémonie virtuose se traduit par un ludisme certain, Anderson passant d’une utilisation consommée des décadrages et de l’espace négatif à la confection de tableaux choraux fourmillant de détails. Avec sa palette colorimétrique surette évoquant un Edward Hopper discrètement shooté au LSD, Asteroid City ressemble à un livre d’images légèrement halluciné, environnement a priori idéal pour des personnages balancés là plus ou moins contre leur gré et forcés de cohabiter le temps que l’armée sache comment réagir au timide alien qui a pointé le bout de sa soucoupe.
Ce qui nous vaut un énième film de confinement (bâillement) au milieu duquel plusieurs trajectoires ne cessent de se croiser. Et c’est là que le long-métrage affiche ses limites : centré sur le deuil difficile d’un veuf qui n’a pas encore avoué à ses enfants le décès de leur maman et va devoir composer avec un beau-père peu amène et une rencontre fortuite avec une star de cinéma aussi séduisante que blasée, le film force ses comédiens à offrir des performances condensées dans le formalisme absolu de la mise en scène. La théâtralité du jeu et le saut incessant entre les différentes diégèses induisent une contrition des émotions qui force le spectateur à rester à sa place, dans son fauteuil, au lieu de le transporter dans ce bout de désert atypique. Le résultat logique de la mise en abyme opérée dès les premiers instants du long-métrage, certes, mais dont l’effet sur l’implication émotionnelle du public peut potentiellement s’avérer dommageable. Il suffit de se rappeler de la facture à la fois vivante et virtuose de La Vie aquatique pour se souvenir d’un temps où Wes Anderson avait atteint un point d’équilibre idéal entre ses thématiques et ses désirs de contrôle total sur sa matière artistique. Même s’il n’est pas aussi pincé que The French Dispatch et qu’il recèle de vrais moments de poésie (les échanges entre Jason Schwartzman et Scarlett Johansson par fenêtres interposées) et de drôlerie (le caméo hilarant de Jeff Goldblum), Asteroid City se montre trop control freak pour nous laisser sentir son pouls.
interprétation Jason Schwartzman, Scartett Johansson, Tom Hanks…
| 2023. USA. Réalisation Wes Anderson. Sortie le 21 juin 2023 (Universal Pictures international Francs).
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A regarder pour ses très nombreux clins d’yeux à une Amérique des années 50/60, assez savoureuse, à peine caricaturée et pas vraiment pour une histoire assez cérébrale, voire tordue (même si c’est aussi une caricature, mais il faut se faire violence (si j’ose dire) pour la déguster).
Film assez binaire dans sa narration, même si les deux cotés ont un point commun.
Tout petit
En tendant l’oreille, on peut entendre à un moment donné, la musique de fin de mars Attack -
On pourrait dire que c’est un OVNI du cinéma américain…
C’est une merveille complétement décalée, mais j’aurais mis Steve Carell à la place de Jason Schwartzman -
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on a déjà suzume sur ygg a quand la fr ? des acteurs connu on fait le doublage vf svp ?
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Suzume est décevant malgré l’intégration intelligente et subtile d’une double catastrophe récente et de plusieurs autres idées intéressantes, car trop répétitif au début et trop (mal) porté sur l’aspect mythologie (c’est presque grotesque). Au final, ça ressemble pas mal à un assemblage de puzzles différents.
Sinon, l’animation est aussi magnifique que du Miyasaki et les subs me semblent d’excellente facture.
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Le probable dernier film d’Hayao Miyazaki est sorti hier au Japon
Aucune promotion du film n’a été faite à l’exception d’une affiche dessinée par Miyazaki lui-même représentant une étrange créature ressemblant à un oiseau dont l’oeil est niché sous son bec.
Considéré comme l’un des maîtres de l’animation nippone, le cofondateur du célèbre Studio Ghibli, âgé de 82 ans, est sorti de sa retraite pour réaliser ce film intitulé “Comment vivez-vous?”.
Le titre du film en japonais est emprunté à un roman paru en 1937 au Japon et publié en France sous le titre “Et vous, comment vivrez-vous?”, avec toutefois un récit entièrement repensé par Miyazaki.
L’histoire se déroule au Japon durant la Seconde Guerre mondiale. Un garçon nommé Mahito quitte Tokyo avec son père et s’installe à la campagne après la mort tragique de sa mère.
Il y rencontre un héron cendré qui l’emmène dans un univers fantastique où il découvre peu à peu le mystère du décès de sa mère et son histoire familiale.
“C’était vraiment un film typiquement Ghibli”, se réjouit Eisaku, un étudiant venu assister à une projection matinale à Shibuya, un quartier branché de Tokyo."
“C’est un mélange fou de tous les films de Ghibli que j’ai regardés jusqu’ici”, raconte de son côté Valeriia, une professeure d’anglais à la sortie du cinéma.
Source et plus: https://www.rts.ch/info/culture/cinema/14175750-le-probable-dernier-film-dhayao-miyazaki-est-sorti-au-japon.html
J’espère que le son n’est pas monophonique comme celui d’avant. Idée farfelue et pénalisante.
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ton film est sortie dujambon Winnie.the.Pooh.Blood.and.Honey.2023
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@Snoubi Non, c’est décidé, je vais plutôt regarder Barbie !
Et je veux un stylo qui fait clic !
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patricelg PW Addict DDL Rebelle Windowsien Ciné-Séries Cluba répondu à Ancien 001 le dernière édition par
@Snoubi Commencé à regarder, pas réussi à me concentrer dessus. Coupé à 28 minutes, peut-être un autre visionnage un dimanche bien pluvieux mais c’est mal barré…
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en salle en aout 16 aout
https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=270074.html
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Resident evil : Death Island, film déjà discuté en ses pages ici est arrivé
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patricelg PW Addict DDL Rebelle Windowsien Ciné-Séries Cluba répondu à Violence le dernière édition par
@Violence Ça ne me rajeuni pas du tout, je jouais “à l’époque” avec le 1er Resident Evil C’est dans le disque dur, plus qu’à regarder ce soir
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J’espère qu’il est bien @patricelg (pas vu encore) mais ils ont utilsé/repris le skin diablement sexy et torride de Jill dans le remake de RE3
Tu peux mâter sans problèmes les 3 autres films que j’ai bien appréciés (dans l’ordre) :
- Resident Evil: Degeneration
- Resident Evil: Damnation
- Resident Evil: Vendetta
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Napoléon : bande-annonce de la nouvelle fresque de Ridley Scott
S’il y a bien un genre dans lequel Ridley Scott n’a que rarement déçu, c’est celui de la fresque historique. Cette année, le voici donc qui s’attaque au plus grand mythe de l’histoire de France, personnage aussi fascinant que détestable et qui fascine les anglais depuis toujours : Napoléon.
Longtemps glorifié à tort, le personnage de Napoléon reste une de ces grandes figures historiques, à la fois véritable génie stratégique et tyran mégalomane doublé d’un homme absolument détestable, qui fascinent les cinéastes ayant pour ambition de livrer des grandes fresques. C’est également un sujet de fascination pour les anglo-saxons et notamment les britanniques qu’il considérait comme ses ennemis principaux et qui auront mis fin à son ascension. Et c’est un sujet qu’aime particulièrement Ridley Scott dont le premier long métrage Les Duellistes prenait place pendant les campagnes napoléoniennes. Il met ici en scène un scénario signé David Scarpa et offre le rôle de l’empereur à Joaquin Phoenix, qui retrouve le réalisateur 23 ans après Gladiator.
Au casting, on retrouve également Vanessa Kirby dans le rôle de Joséphine, ainsi que Tahar Rahim, Mark Bonnar, Rupert Everett ou encore Youssef Kerkour. Bien évidemment, la photo a été confiée à Dariusz Wolski, la musique à Martin Phipps, les décors au fidèle Arthur Max et la direction artistique à Denis Schnegg dont la seule incursion dans le genre fut Le Roi Arthur : La Légende d’Excalibur. On se situe clairement face à un des films les plus ambitieux de Ridley Scott depuis bien longtemps, en espérant qu’il retrouve son inspiration des grands jours.