[Topic Unique] Actualités cinéma & séries
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Doublon supprimé
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@Violence C’est pas mon jour… J’ai encore la tête dans le sac depuis ce matin.
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Premières images pour Infinity pool » de Brandon Cronenberg
Alexander Skarsgård, Cleopatra Coleman et Mia Gath figurent au casting de Infinity Pool, le nouveau film de Brandon Cronenberg (le fils de David bien sur ) , qui racontera les vacances confortables d’un couple bouleversées lorsqu’un accident fatal survient et révèle l’horreur qui les entoure. (ouai ça dit pas grand chose mais c’est peut être pas plus mal non plus)
Le nouveau long métrage du réalisateur de Antiviral et Possessor (que j’avais trouvé très intrigant et bien meilleur que son premier essai) fera sa première mondiale au Festival de Sundance, dans la section Midnight dédiée aux films de genre.
Hâte de voir la progression du fils de David en tout cas
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#Confess Fletch
Pas de bande-annonce en Français pour le moment.A la suite d’un enchaînement malchanceux, Fletch se retrouve impliqué sur de multiples meurtres - dont l’un le place comme le suspect numéro 1. Alors qu’il cherche à prouver son innocence, Fletch est chargé de retrouver la collection d’art volée de sa fiancée, le seul héritage dont elle a hérité après la disparition et la mort présumée de son père…
Ce film fait partie de la même veine que Fletch (1985), ou Fletch au trousses selon le pays, mais c’est une autre aventure totalement de notre époque.
Mon avis: Pas un instant l’on se doute dans quelle direction le film va aller, il y a bien un meurtre, il y a forcément un coupable, il y a bien une enquête de police, mais rien ne se passe normalement à cause de l’interaction des différents protagonistes et de Fletch.
Vous resterez sur votre faim, jusqu’à la fin.
Bonus supplémentaire, pas mal d’humour pour un film à la base purement policier.
Un seul bémol, le thème musical de l’époque, architubesque, n’a pas été repris. -
« Pinocchio » par Guillermo del Toro : la meilleure adaptation depuis des lustres ?
Voilà prêt de dix ans que Guillermo del Toro tente de monter son Pinocchio, projet audacieux s’il en est, et irrémédiablement chaos au vu des nombreux refus rencontrés. On le sait depuis: Netflix, très fier, a récupéré le bébé, donnant au cinéaste l’occasion de livrer enfin sa vision des choses. Hasard des calendriers, d’autres Pinoc se sont invités à la fête, comme celui de Matteo Garrone, sacrifié sur l’autel du covid (mais oui, rappelez-vous…) et la version live made in Disney emballée par un Zemeckis complètement au bout du rouleau. Aussi en retard que le lapin d’Alice, le réalisateur du Labyrinthe de Pan envoie sa version au casse-pipe pile pour Noël 2022…
S’il fallait jouer au jeu des comparaisons, cette nouvelle monture surplombe tout ce qui a pu être fait ces vingt ou trente dernières années, y compris le bidule de Steve Barron ou l’horreur de Benigni. Seule excepton et pas des moindres: le A.l de Spielberg, transposition moins officielle bien sûr, mais qui portait en son sein l’approche la plus novatrice du conte d’origine. De son côté, Guillermo del Toro tire en guise de cartes quelques audaces aiguisées: dès le début, la mort y est abordée frontalement (Gepetto ne s’est jamais remis de la mort de son fils, tué dans un bombardement) et tout le récit est recontextualisé dans l’Italie de Mussolini!
Et pas d’allusions qui tiennent: un général fasciste y joue un rôle clef, et on envoie même le pantin de bois chez les jeunesses mussoliniennes. Évidemment impensable chez Disney ou Dreamworks. À cela s’ajoute une dimension christique troublante et très littérale, avec un pinoc’ fasciné par ce bout d’homme en bois accroché au bout d’une croix, ressuscitant à n’en plus finir, et finissant bien entendu placardé comme ce doux Jésus. Ce mariage incongru entre l’univers de Collodi et les exubérances gothiques et baroques de Del Toro forment, avouons-le, ce que le film comporte de plus excitant et de plus neuf. Mais pas assez probablement pour justifier cette énième adaptation d’un mythe qui n’intéresse plus personne.
Tout cela a beau être animé au cordeau tout en s’accordant des libertés bienvenues (les fées d’usage deviennent d’étranges divinités venues du monde des morts), le spectacle reste curieusement académique, saccadé de chansons moyennes et dispensables. une grosse et belle machinerie à l’image d’un auteur sympathique, mais dont le moteur ne cesse de ronronner depuis des années. L’émotion, forcée, dissimulée sous une couche de miel (malgré la noirceur du paysage historique), n’arrive pas à bon port.
Une seule note de la musique de Fiorenzo Carpi ou la première apparition de Gina Lollobrigida dans le film de Luigi Comencini (Les Aventures de Pinocchio, 1972) provoquent plus de frémissements qu’une heure de ce fabliau pour enfants pas sages. Ou ne serait-ce que la terreur sourde et grimaçante du classique Disney. Des comparaisons peut-être déloyales sauf que voilà: on ne sait que faire de ce putain de pantin, et il est grand temps de passer à autre chose (ou d’écouter en boucle l’infernal Pin-Occhio tant qu’à faire).
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Si il y a bien un Marvel que j’apprécie parmi la multitude que je déteste (90% ), c’est bien Spider-Man : New Generation et cela tombe bien car sa suite Spider-Man : Across the Spider-Verse se dévoile via un trailer.
Ce trailer s’ouvre sur une longue discussion entre Miles Morales et sa mère, entrecoupée d’images du premier film, avant de nous bombarder de plans frénétiques où l’on croise Gwen Stacy et une ribambelle de Spiders, dont Miguel O’Hara, la version de 2099 doublée par Oscar Isaac, et Spider-Woman aka Jessica Drew, qui aura elle la voix d’Issa Rae. Un montage haletant qui nous indique que Miles aura maille à partir avec ses alter ego, même si on sait que le grand méchant de Spider-Man : Across The Spider-Verse sera The Spot (Jason Schwartzman), un personnage au corps recouvert de de taches qui sont autant de portails interdimensionnels.
Il faudra encore patienter jusqu’au 31 mai 2023 (en France) pour découvrir Spider-Man : Across The Spider-Verse, dont la sortie était initialement prévue pour octobre 2022, au cinéma ! Il sera suivi en mars 2024 de Spider-Man : Beyond The Spider-Verse.
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Cette nuit, j’ai maté un film que j’ai beaucoup aimé :
LÀ OÙ CHANTENT LES ÉCREVISSES
SYNOPSIS : Kya, une petite fille abandonnée, a grandi seule dans les dangereux marécages de Caroline du Nord. Pendant des années, les rumeurs les plus folles ont couru sur la “Fille des Marais” de Barkley Cove, isolant encore davantage la sensible et résiliente Kya de la communauté. Sa rencontre avec deux jeunes hommes de la ville lui ouvre un monde nouveau et effrayant ; mais lorsque l’un d’eux est retrouvé mort, toute la communauté la considère immédiatement comme la principale suspecte. A mesure que la vérité sur les événements se dessine, les réponses menacent de révéler les nombreux secrets enfouis dans les marécages.
17 août 2022 en salle / 2h 05min / Drame, Thriller
De Olivia Newman
Par Delia Owens, Lucy Alibar
Avec Daisy Edgar-Jones, Taylor John Smith, Harris Dickinson
Titre original Where The Crawdads Sing
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@tudikoi Bon, ben, reste plus qu’à le voir alors…
mais la bande-annonce craint un peu.
Vesper chronicles à l’air beaucoup plus séduisant (au moins au univeau inventivité).
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tudikoi Ciné-Séries Club Rebelle Windowsien Torrent user DDL PW Addicta répondu à duJambon le dernière édition par tudikoi
@duJambon a dit dans [Topic Unique] Actualités cinéma & séries :
@tudikoi Bon, ben, reste plus qu’à le voir alors…
mais la bande-annonce craint un peu.
Vesper chronicles à l’air beaucoup plus séduisant (au moins au univeau inventivité).
J’ai aussi maté VESPER , j’ai moins aimé mais ça se laisse regarder pour un film SF
Le manque de budget se voit -
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Apparemment vesper les retours sont pas top, il a été posté hier et c’est pas ouf
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Mauvaise nouvelle pour les fans de Warrior Nun.
La série Netflix n’aura pas de saison 3 et l’acharnement des fans ne devrait pas renverser la tendance.https://fr.web.img3.acsta.net/pictures/20/06/18/09/35/0755176.jpg
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Disappointment Blvd devient Beau is Afraid
La rumeur disait vrai. Certains soupçonnaient le très attendu Disappointment Blvd d’Ari Aster (Hérédité) d’être une remise au goût du jour de son court métrage Beau is Afraid, notamment en se basant sur un scénario de 180 pages disponible sur le net.
Et le producteur/distributeur A24 leur a donné raison en dévoilant la première affiche et le titre définitif de ce long-métrage dans lequel le quotidien d’un homme d’affaires vire au cauchemar lorsqu’il perd ses clés et entame une longue descente aux enfers…
Attendu au printemps 2023, le mystérieux Beau is Afraid devrait permettre à l’acteur Joaquin Phoenix (Joker) de nous concocter l’un de ces personnages borderline dont il a le secret.
EDIT: Petite interview de Ari Aster ici :
https://planete-warez.net/topic/1857/rencontre-ari-aster-un-indépendant-à-paris/4?_=1671095879395
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Evil Dead Rise : Quand Sam Raimi produit un remake officieux de Démons 2 ?
Confié à l’Irlandais Lee Cronin (The Only Child), le nouveau Evil Dead sera-t-il à la hauteur des espérances des fans de la saga ?
Pas si sûr, même si la team originale composée par Sam Raimi, Bruce Campbell et Robert Tappert veille au grain, le trio étant producteur exécutif d’un huis clos gore dont le pitch (un groupe de quidams se retrouve enfermé dans un immeuble avec une horde de zombies déchaînés) renvoie directement à celui du Démons 2 de Lamberto Bava.
Eh oui ! En attendant de découvrir la chose en salles au printemps 2023, Campbell a dévoilé une image inédite de ce Evil Dead Rise dans lequel « les morts viennent foutre le boxon en ville » et qui va nous « décrocher la machoire ».
On veut bien le croire sur parole.
En tout cas si c’est aussi bon que le remake de Fede Alavarez et de la série Ash VS Evil Dead, je signe direct
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C’est officiel : Amazon a récupéré les droits d’adaptation de la saga God of War dans le but de diffuser une série en live action. Le projet fait envie, à condition de respecter la violence graphique du jeu.
Dans un tweet publié le 14 décembre, la multinationale a officialisé l’arrivée d’un projet aux couleurs de God of War, saga de jeux vidéo née sur PlayStation 2 en 2005 et dont le dernier opus en date, sous-titré Ragnarök, est sorti en novembre 2022. C’est la confirmation d’une indiscrétion partagée par Deadline en mars dernier.
Il faudra prendre son mal en patience avant de découvrir le premier épisode de cette série God of War en live action. Attaché à l’adaptation en tant que producteur, Cory Barlog, qui réalisé le jeu vidéo sorti en 2018, a confié : « C’est tellement une grande équipe que j’ai rassemblée pour travailler dessus. Je suis pressé d’en partager plus, mais cela va prendre du temps. » Rafe Judkins (La Roue du temps) sera le showrunner, épaulé par les scénaristes Mark Fergus et Hawk Ostby.
Mythologie nordique ou mythologie grecque ?
Beaucoup de questions entourent ce projet périlleux, qui aura besoin d’un budget colossal pour se hisser au niveau de la qualité de production des derniers jeux vidéo. La première concerne la mythologie qui sera dépeinte : les jeux vidéo originaux se situaient en Grèce antique, tandis que les plus récents se déroulent dans un univers nordique. C’est la seconde option qui a été choisie par les créateurs, selon les informations de Deadline et l’artwork partagé par Amazon dans son tweet.
Concrètement, la série va adapter le scénario du God of War de 2018. On y retrouvera donc un Kratos qui a fui la mythologie grecque (après l’avoir débarrassée de toutes ses divinités) pour s’offrir un nouveau départ. À la mort de sa nouvelle épouse, il doit tenir une promesse : emporter ses cendres au plus haut sommet des Neuf Royaumes, en compagnie d’Atreus, son fils qu’il connaît peu. Cette quête va attirer l’attention d’Odin et de sa bande de Dieux qui ont des comptes à rendre.
Amazon préfère miser sur la réussite narrative, articulée autour du lien familial entre Kratos et Atreus, des derniers God of War que sur la tragédie grecque des premiers opus. Les fans du héros auraient sans doute préféré redécouvrir les origines du personnage, guerrier spartiate devenu Dieu de la guerre par vengeance. C’est certainement une question d’actualité : l’épopée nordique de Kratos est plus fraîche dans les esprits, en plus d’être mieux écrite. Elle a aussi l’atout de faire fi des portions du jeu qui contenaient des scènes très sexualisées.
Se pose surtout la question de la manière dont Amazon gérera la violence graphique des jeux vidéo. Les God of War reposent sur des combats viscéraux, qui font l’étalage de toute la brutalité de Kratos. Grâce à sa puissance et à sa rage de vaincre, il est capable d’exécuter ses ennemis dans un torrent d’hémoglobine. La série ira-t-elle aussi loin dans les effets gores ? Il le faudra, par respect pour l’œuvre. On se rassurera sur ce point en se rappelant certaines scènes choquantes de la série The Boys. Amazon n’est pas du genre à censurer pour tomber dans le tout public (contrairement à Disney).
Enfin, quel acteur pour incarner Kratos ? On rêve de Jason Momoa (Khal Drogo dans Game of Thrones, Aquaman), à condition qu’il abandonne sa merveilleuse chevelure.
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Je parie que kratos va avoir une chatte, et que les monstres seront non genrés
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