[Jeu] Sauras-tu reconnaître ces films ou séries juste avec une image ?
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Philippe Nahon dans SEUL CONTRE TOUS (1999) ?
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Je m’en doutais que tu connaitrais @tudikoi (tu connais presque tout d’ailleurs )
Un film français culte pour un acteur culte pour un réalisateur que j’affectionne particulièrement.
–> Un must see pour tout cinéphile averti.Si vous ne l’avez pas vu, courrez dessus mais il n’est pas pour tout le monde au vu des sujets abordés (abus sexuel, inceste, pédophilie).
Seul contre tous
Seul contre tous est un film français réalisé par Gaspar Noé (Irréversible) en 1998. C’est la suite de sa première œuvre cinématographique, le moyen métrage remarqué Carne (1991).
En dépit d’une audience confidentielle à sa sortie, Seul contre tous a depuis acquis un statut de film culte, et est rattaché à ce que des critiques étrangers ont par la suite qualifié de « new french extremism ».
Synopsis détaillé
L’histoire d’un boucher, le protagoniste, est racontée à travers une voix off ainsi qu’un montage de photographies fixes. Devenu orphelin dès son plus jeune âge, il a été abusé sexuellement par un prêtre. Adolescent, n’ayant la possibilité d’étudier et d’apprendre le métier de son choix, il embrasse à contrecœur une carrière de boucher spécialisé dans la viande de cheval.Après plusieurs années de travail acharné, il ouvre enfin sa propre boucherie, tandis que sa petite amie accouche d’une fille. Lorsque la femme se rend compte que l’enfant n’est pas un garçon, elle abandonne le jeune père, seul avec son enfant. Acceptant la fatalité de son destin avec lucidité, le Boucher décide de s’occuper seul de sa fille. Au fur et à mesure que la solitude grandit dans l’esprit de ce père célibataire, il devient surprotecteur et développe des sentiments de type incestueux pour son enfant. Quand il voit du sang sur sa jupe, il poignarde l’homme qui, selon lui, aurait violé sa fille. Il comprendra plus tard que les taches n’étaient que du sang menstruel. Il est condamné à la prison et contraint de vendre sa boutique à un boucher musulman, tandis que sa fille, en état de choc manifeste, est envoyée dans une institution de santé.
En prison, le boucher entretient des relations sexuelles avec son compagnon de cellule et, à sa libération, jure d’oublier tout ce qui s’est passé. Il trouve un emploi en tant que barman pour la propriétaire de la taverne où il était un client régulier. Elle et lui commencent à sortir ensemble, et bientôt elle tombe enceinte. Alors qu’ils commencent à planifier leur avenir ensemble, elle vend son affaire et ils déménagent dans le nord de la France, où elle a dit qu’elle lui achèterait une boucherie afin de repartir sur des bases saines.
Placée devant le fait accompli, elle renonce finalement à sa promesse, ce qui oblige le boucher à accepter un emploi de veilleur de nuit dans une maison de retraite. Au cours de son travail, il rencontre une jeune infirmière très attentionnée qui est tout le contraire de sa concubine, froide et déjà bien âgée. Après que lui et l’infirmière ont été témoins de la mort d’un patient âgé, le boucher repense au manque d’affection qu’il a subi tout au long de sa vie, allant de l’orphelinat jusqu’à cette nouvelle vie avec une femme impassible qui abuse du pouvoir qu’elle a sur lui à cause de son argent. Lorsque sa compagne l’accuse injustement d’entretenir une liaison avec cette infirmière, il s’emporte violemment et lui inflige une série de coups de poing dans le ventre, tuant très probablement leur enfant sur le point de naître, puis vole un pistolet dans la chambre de l’appartement et s’enfuit.
Il décide de revenir à Paris, où il loue la même chambre d’hôtel qu’il avait louée lors de la conception de sa fille, et commence à chercher une place de boucher de viande de cheval. Malheureusement, en raison de l’évolution des goûts des clients pendant sa peine de prison, le marché de la viande de cheval est déliquescent. Malgré sa patience, ses entretiens d’embauche se soldent systématiquement par un refus. Il élargit sa recherche de travail mais est considéré comme un ouvrier non-qualifié en termes de boucherie générale, ce qui l’oblige à devoir tout recommencer depuis le début.
Il commence à chercher à l’extérieur de sa branche, mais plus il élargit ses recherches, plus les entretiens d’embauche deviennent humiliants. Il reste poli, mais plus il devient désespéré, plus il est rejeté rapidement par les managers qu’il rencontre. Lorsqu’il se tourne vers ses anciens amis pour obtenir des conseils, ceux-ci le rejettent tous. Après avoir été refoulé dans un abattoir qui faisait autrefois affaire avec sa boutique, le boucher décide de tuer le directeur de l’abattoir. Il complote le meurtre dans une taverne locale, mais est expulsé du bar sous la menace d’une arme après s’être disputé avec le fils du propriétaire. Le boucher découvre qu’il n’a que trois balles dans son pistolet et commence à les attribuer aux hommes qui, selon lui, l’ont le plus humilié.
De plus en plus isolé, il décide de partir à la recherche de la seule personne qui, selon lui, l’ait jamais aimé : sa fille. Après l’avoir rencontrée à l’asile où elle est hospitalisée, il la ramène dans sa chambre, où il est en proie à des sentiments troubles à son égard. Alors qu’il est sur le point de perdre la raison, il envisage d’avoir des relations sexuelles avec sa fille avant de la tuer. Après la représentation de ce fantasme, le film revient sur le moment de l’hésitation du Boucher. Il décide de ranger son pistolet, résolu à être bon, et embrasse sa fille en larmes. Mais il recommence à envisager d’avoir des relations sexuelles avec elle de la même manière qu’il l’a fait avec sa mère.
Debout devant la fenêtre de sa chambre, il ouvre la veste de sa fille et commence à la caresser. Alors qu’il commence à abuser de sa fille, le Boucher, perdu dans des pensées de plus en plus incohérentes, tente de justifier son acte inqualifiable en affirmant que le monde condamne son amour pour sa fille, non parce qu’il est foncièrement mauvais, mais uniquement parce qu’il est trop puissant.
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une encyclopédie ce tudikoi visiblement en tant que cinéphile du moins je le croyais j’ai des progres à faire !! gg
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On à toujours des progrès à faire @Snoubi
Il y a tellement de choses qui sortent.
L’idéal étant de ne pas trop sélectionner et regarder tout de même. Parfois on a de bonnes surprises.Le cinéma indien fais aussi des trucs très sympa depuis pas mal d’années si on écarte les classiques type Bollywood (dont je ne suis pas bon public)
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Serions nous solidaires des scénaristes hollywoodiens pour que la suite du post reste en suspend? Dis donc @tudikoi, t’aurais pas oublié quelque chose?
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@tudikoi Celui-là, si on l’a vu, on ne risque pas d’oublier la scène
J’lavions point vu, hélas…
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Ces jeunes filles me sont également inconnues
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@tudikoi
While the Wolf’s Away -
tudikoi Ciné-Séries Club Rebelle Windowsien Torrent user DDL PW Addicta répondu à BahBwah le dernière édition par
@BahBwah , je ne connais pas sous ce titre, tu n’as pas autre chose ?
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Enquanto o Lobo Não Vem
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@tudikoi
Mientras el Lobo No Está
El Lobo
Le pensionnat
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tudikoi Ciné-Séries Club Rebelle Windowsien Torrent user DDL PW Addicta répondu à BahBwah le dernière édition par tudikoi
@BahBwah , il semblerait que ce soit le titre en anglais que je connaissais pas.
El Lobo : Le pensionnat (Enquanto o Lobo Não Está)
2017 -
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L’image est connue me semble t’il @BahBwah. C’est un film de Fritz Lang, “M le Maudit” L’image est à la fin du film, le “procès” des gens de la rue
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@Pluton9
Bien vu, à ton tour… -
Merci @BahBwah
1er indice
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@Ashura Non
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