On ne se moque pas de ces choses là.
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En Chine, la jeunesse en manque d’affection adopte des cailloux
Des galets de compagnie… C’est la dernière tendance au sein de la jeunesse chinoise qui, face à un stress croissant et à un avenir toujours plus incertain, se prend d’affection pour des pierres que l’on cajole comme des nouveaux amis du quotidien, comme le raconte le quotidien singapourien en langue chinoise “Lianhe Zaobao”.
C’est la dernière bizarrerie venue de Chine. Ces derniers temps, de simples cailloux sont devenus une marchandise que l’on s’arrache : ils tiennent le rôle d’“animal de compagnie” pour certains jeunes, prêts à casser leur tirelire pour en avoir.
Leurs “maîtres” se plaisent à dessiner sur ces galets un nez, une bouche et des oreilles, puis à leur coller des yeux, avant de les installer dans une sorte de petit nid. Certains les habillent, leur mettent des lunettes ou les maquillent. On leur donne même un prénom et une date de naissance. Et voilà comment des pierres parfaitement banales deviennent un objet d’affection, comme si elles étaient de véritables êtres animés.
Sur Internet, on s’échange des tuyaux sur la meilleure manière de prendre soin de ces petits protégés. Ainsi, sur Xiaohongshu [une sorte d’Instagram local], on trouve plus de 700 000 commentaires sur ce sujet, qui est par ailleurs l’objet de plus de 10 millions de diffusions sur Douyin [la version chinoise de TikTok].
“Le caillou est plutôt timide”
Certains ont pris la peine de rédiger des guides de soins. Ils y recommandent par exemple de donner un bon bain moussant à la pierre lorsqu’on la rapporte chez soi la première fois, “car elle peut être très fragile”. Il est également précisé que maltraiter un galet constitue un délit, et qu’il ne faut pas le taper ni l’insulter – car “même s’il n’entend pas, cela peut lui faire de la peine”. Comme le caillou est plutôt timide, il revient au maître ou à la maîtresse de l’inviter à s’amuser ensemble. Le galet est de nature très calme, il ne dérange jamais ; il mérite d’être traité gentiment.
Sur les réseaux sociaux, un message intitulé “Comment adopter un galet de compagnie” a attiré plus de 40 000 “j’aime”. Comment expliquer cette nouvelle passion des jeunes Chinois ? Selon le blogueur Xiao Wang, c’est parce que les jeunes ne peuvent pas se permettre d’adopter un chat ou un chien qu’ils s’intéressent aux galets pour leur tenir compagnie à moindres frais. Une analyse dans le sens de laquelle abonde un internaute :
“Les cailloux ne perdent pas leurs poils, ne font pas leurs besoins partout et ne risquent pas de vous attirer des ennuis ; ils se contentent de vous écouter sans rien dire. On en a pour son argent !”
Un galet, qui ne coûte pas cher à l’entretien, tient compagnie et peut même servir à se défendre, argumentent certains. “Je suis très pris par mon travail, confie Xiao Wang_. Or un chat, il faut le caresser ; un chien, il faut aller le promener ; avec les cailloux, on peut bavarder, on peut les pomponner. Ils sont des compagnons parfaits pour satisfaire nos besoins affectifs.”_
Du ridicule à l’engouement
L’heureuse propriétaire d’une pierre de compagnie reconnaît tout de même avoir trouvé cette pratique parfaitement ridicule lorsqu’elle est tombée la première fois sur un post à ce sujet. Et puis finalement, à force de voir des témoignages, elle a fini par être émue par ces petits compagnons silencieux. Lorsqu’elle en a rapporté un chez elle, raconte-t-elle, elle a tout de suite tissé avec lui des liens affectifs.
À la suite de cet engouement, les ventes en ligne de galets ont explosé. [Le site de vente en ligne] Taobao a enregistré cette année une nette augmentation des demandes pour ce genre d’articles – en particulier en août, avec une hausse de 246 % des ventes par rapport au mois précédent. Les acheteurs ont en général entre 25 et 30 ans ; beaucoup habitent Shanghai, et environ 80 % sont des femmes.
Le prix de la plupart des galets de compagnie varie entre 10 et 50 yuans [1,30 et 6,50 euros]. Même s’il s’agit de simples pierres, les vendeurs assurent qu’elles sont soigneusement sélectionnées. La vente de produits liés aux galets se porte également très bien. Un marché juteux est généré par un vaste choix de laits de toilette, chapeaux, robes, sacs de transport, “nids secondaires”, etc. – chaque article faisant l’objet de nombreuses évaluations sur Internet.
De fidèles compagnons… en carton
Un commerçant explique enregistrer chaque mois plus de 10 000 yuans [1 300 euros] de recettes grâce à la vente d’un kit comprenant une pierre de 2 à 7 centimètres de diamètre, une carte d’identité du caillou, un guide de conseils pour bien en prendre soin, un chapeau de paille, un nid en paille et des autocollants permettant de changer l’expression du galet. Il en a écoulé plus de 1 000 en à peine deux mois.
[…]
Suite et source : courrierinternational.com
C’est la qu’on voit la force du peuple chinois, ils viennent de créer le tamagotchi le moins cher à produire.
Et pour relativiser sur cet article sans doute putaclic il y a 6 mois c’était les koréens qui adoptaient des cailloux.
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Je vous présente monsieur Wilson, mon meilleur ami.
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@Raccoon a dit dans On ne se moque pas de ces choses là. :
Je vous présente monsieur Wilson, mon meilleur ami.
Tu ne te croirais pas “Seul au monde”, toi?
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non mais sérieux, des cailloux !!!
alors on se marie avec des hologrammes ou des poupées on caline un cailloux
et après ça se plaint de la baisse de la courbe de natalité !!!
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Un homme meurt après avoir eu les jambes sectionnées par un train du RER A
Selon les premiers éléments, l’homme était en train de “faire ses besoins” près du bord du quai lorsqu’il a été heurté par le passage d’une rame. Selon la RATP, l’homme serait “volontairement descendu sur les voies” avant d’être heurté par le train.
Sélection naturelle…
Source et plus: https://actu17.fr/faits-divers/paris-un-homme-meurt-apres-avoir-eu-les-jambes-sectionnees-par-un-train-du-rer-a.html
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Un couple belgo-turc place son or dans une banque en Turquie: à son retour, mauvaise surprise
Le couple, qui réside en Belgique, s’est rendu en Turquie pour récupérer une partie de son or stocké dans une banque. Problème, à l’ouverture du coffre-fort, tout avait disparu, relate Het Laatste Nieuws
Les faits ont eu lieu dans la ville de Bolvadin, au centre-ouest du pays, dans la province d’Afyonkarahisar (région Égéenne). R.O. et U.O., dont l’identité n’a pas été divulguée, stockent leur or dans cette ville depuis plus de dix ans et aucun problème n’était survenu jusqu’alors. Mais lors de la dernière visite le 11 octobre dernier, quand le couple se rend dans l’agence bancaire où sont entreposés les lingots, l’ouverture du coffre-fort sème rapidement la stupeur: il est vide.
Selon les propriétaires, le coffre-fort contenait au moins 8 kilos d’or, d’une valeur d’environ 640.000 euros, selon le cours actuel de 79.789 euros le kilo. Le couple a immédiatement alerté la police et déposé plainte par l’intermédiaire de son avocat. Les premiers éléments de l’enquête ont permis d’identifier les empreintes digitales de plusieurs personnes sur le coffre-fort, dont des proches de la famille.
Mais quelques jours plus tard, le 24 octobre, un autre client a à son tour signalé le vol, au sein de la même agence, de 380.000 euros de bijoux. Cette seconde plainte a rapidement permis de réorienter les enquêteurs sur un employé de la banque qui avait pris sa retraite l’été dernier. Au moment de son départ, en août 2024, l’homme avait en effet fait appel à un serrurier pour avoir accès à son propre coffre-fort, prétendait-il, qu’il ne parvenait plus à ouvrir. Ce n’était pas le sien, manifestement.
À l’heure d’écrire ces lignes, le suspect était toujours recherché par la police turque.
Ca ne risque pas de m’arriver, je n’ai pas d’or ni de coffre en banque.
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Faut faire comme les suisses : planquer son or dans son jardin.
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Un employé de la banque fait appel à un serrurier pour ouvrir un coffre de la dite banque sans que ça titille le neurone de la direction. Ils sont bizarres ces turcs.
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patricelg PW Addict DDL Rebelle Windowsien Ciné-Séries Cluba répondu à Pluton9 dernière édition par
@Pluton9 Faudrait voir la gueule des coffres si un serrurier peut les ouvrir sans problème…
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L’oeuvre d’un robot vendue plus d’un million de francs aux enchères
Ai-Da, le “robot-artiste” devant son “oeuvre”Le “monde de l’art” a franchi une nouvelle étape avec la première vente aux enchères, jeudi, d’une “oeuvre” entièrement réalisée par un «robot-artiste».
Un portrait du mathématicien anglais Alan Turing a été octroyé jeudi pour 1,2 million d’euros (1,13 million de francs suisses) devenant la première oeuvre d’art réalisée par un robot humanoïde vendue aux enchères, a annoncé Sotheby’s.
L’oeuvre, intitulée «A.I. God» (Dieu de l’intelligence artificielle ou IA), réalisée par «Ai-Da», le premier artiste robot ultraréaliste au monde, a pulvérisé les prévisions pour atteindre 1,3 million de dollars, lors d’une vente en ligne par la maison d’enchères.
Etape dans l’histoire de l’art
«Le prix de vente record atteint aujourd’hui pour la première oeuvre d’art d’un artiste robot humanoïde mise aux enchères marque une étape de l’histoire de l’art moderne et contemporain et reflète l’intersection croissante entre la technologie de l’intelligence artificielle et le marché mondial de l’art», a déclaré la maison de vente.
«La valeur fondamentale de mon travail est sa capacité à servir de catalyseur au dialogue sur les technologies émergentes», a déclaré le robot artiste, qui s’exprime par le biais d’une IA.
Le robot ultraréaliste ressemble à une femme avec de grands yeux et une perruque brune, et est l’un des plus perfectionné au monde.
Ai-Da porte un nom inpsiré d’Ada Lovelace, considérée comme une pionnière de l’informatique, et a été conçue par Aidan Meller, spécialiste de l’art moderne et contemporain.
Robot-artiste
Ce robot-artiste, qui utilise l’IA pour créer des tableaux ou des sculptures, dispose de caméras dans ses yeux et ses mains bioniques. Il se déplace et s’exprime de manière autonome, sans intervention humaine.
Alan Turing, un mathématicien et cryptologue pendant la Seconde Guerre mondiale, considéré comme l’un des pères de l’informatique, s’était inquiété des futurs usages de de l’IA dès les années 1950.
Les oeuvres d’Ai-Da nous demandent «où le pouvoir de l’IA nous mènera, ainsi que de la course mondiale à l’exploitation de ce pouvoir», a-t-il ajouté
Pour mémoire, les cochons aussi peignent des tableaux.
Jaloux ? Moi ? Carrément, pour un million de pépettes, j’en chie un quand vous voulez…
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eh ben on est pas rendu !
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Si je ne mets pas de couvercle à mon robot culinaire, il me fait des œuvres tous les jours