On ne se moque pas de ces choses là.
-
Impressionnant les boursouflures.
-
J’imagine même pas les douleurs qu’elles ont du ressentir…
-
rha le truc de fou !
bonjour la pub
-
Les Italiens sont en larmes: «Les spaghetti, c’est de la merde!»
Samedi, première journée d’Euro 2024, la fondue a battu la goulache et les Albanais ont brisé des spaghetti sous les pupilles horrifiées des supporters italiens. La guerre, parfois, ça se mange. Et, en ces temps troublés, ça fait du bien par où ça passe.
Essayez seulement de glisser du cheddar dans une carbo ou d’affirmer face à un Valaisan que la fondue est une spécialité savoyarde. Vous pouvez commander une ambulance comme un Uber et saluer une dernière fois votre famille. Car la bouffe est une arme. Plus efficace qu’un doigt d’honneur contre un drapeau, plus sournoise qu’un missile balancé par surprise, plus courante qu’un duel à l’épée et bien plus cruelle que des huées dans un virage de stade.
Saloper volontairement la spécialité d’une nation voisine, se moquer de la blanquette de veau ou piétiner l’aura de la paella sera toujours considéré comme une déclaration de guerre, par des habitants susceptibles d’exiger le rétablissement de la peine de mort. Même si certains pays sont rompus à la moquerie gastronomique (coucou les Anglais), c’est une guerre étrangement mondiale, puisque même une vulgaire goulache peut se retrouver un jour sur le champ de bataille.
Samedi après-midi, dans les gradins du premier match de la Nati, les Hongrois n’étaient pas dans leur assiette et le chauvinisme s’est logé dans les poignées d’amour.
Une attaque gourmande qui a fait le tour de la planète.
Au foot (mais pas seulement), quand il s’agit d’écrabouiller le cœur patriotique de l’ennemi, on va souvent préférer déposer crânement une tranche d’ananas sur une pizza plutôt que d’insulter la présidente du Conseil Giorgia Meloni. Pour le coup, les Italiens sont peut-être encore plus susceptibles que les Suisses. Sans doute parce qu’ils peuvent compter sur un patrimoine un poil plus diversifié que ce tas de fromage huileux qu’on fait fondre dans un caquelon, sans que ça ne requiert la moindre compétence culinaire.
Dans leur péninsule, niveau cliché, c’est le foot, la mafia et la ripaille. Un pays qui a eu l’audace d’élever la bufflonne (pourtant d’origine asiatique) au rang de vache sacrée. Conséquence immédiate: le moindre touriste en tongs va commander sa burrata dans un accent italien qui n’existe pas, histoire de coller vaguement au mythe.
Samedi soir, l’Italie défiait l’Albanie. Largement de quoi cuir une bonne louche de chauvinisme al dente, dans un stade de Dortmund plus habitué à la saucisse de Mettbrötchen qu’à la plâtrée de Cacio e Pepe. Un combat perdu par des Albanais qui, avant la rencontre, n’étaient pourtant pas les derniers à vouloir briser de l’Azzurri. Dans une séquence qu’on dirait fomentée par l’intelligence artificielle, des supporters albanais ont fait l’impensable: casser une poignée de spaghetti sous les yeux horrifiés de leurs homologues italiens.
Vidéo sur le site d’origine
Sur le trottoir d’en face, les Italiens sont en larmes. L’un d’eux finira même à genoux, implorant son bourreau de mettre fin à la torture. Du grand cinéma. Que le football et l’Italie savent nous offrir, quand des dizaines de nations se retrouvent quelques semaines autour d’un même ballon (de rouge, aussi, y a pas de raison).
Une guerre bon enfant, joyeuse et, surtout, inoffensive (lourdeurs d’estomac mis à part). A l’heure où l’Europe doit dealer avec le grand méchant russe et digérer des relents autoritaires et extrémistes, cet Eurovision en crampons a les moyens (et peut-être la mission?) d’apaiser les esprits. Si certains dirigeants rechignent à se mettre à la table des négociations, faisons en sorte que les peuples se mettent à table… tout court.
Et qu’importe si c’est pour se jeter des tranches de saucisson à travers la gueule.
Autour des stades, rudoyer un paquet de spaghetti sera toujours plus digeste qu’une pancarte homophobe ou la moindre agressivité politique. Et, à ce petit jeu, samedi, les Albanais auraient peut-être dû s’en tenir au gluten. Dans la séquence précédente, alors que les pâtes volent en éclat, un drapeau fait son irruption dans le champ de la caméra. Celui de la controversée «grande Albanie», dont l’un des symboles, l’aigle bicéphale, avait été mimé par un certain… Xherdan Shaqiri, à la Coupe du monde 2018, en Russie.
Quelqu’un reprend un peu de goulache?
-
A part l’autre idiot qui s’est fait tirer dessus avec son marteau de couvreur d’il y a 4 jours… semblerait que cet euro se passe bien entre les supporters. Pas de baston générale à constater.
-
@Popaul Sois patient c’est pas fini encore l’Euro.
-
Près de 400 génériques suspectés de ne pas être efficaces
Vous achèterez bien un peu de poudre de perlimpinpin ?
L’Union européenne a demandé le retrait de médicaments qui ont été mal testés. Le seul risque pour les patients, c’est qu’ils n’aient aucun effet.
L’Union européenne (UE) a demandé à ses membres de retirer du marché plusieurs centaines de médicaments génériques, jugeant que leur efficacité avait été mal évaluée. Les agences sanitaires nationales ont jusqu’à lundi pour trancher, tout en veillant à ne pas priver les patients de traitements.
La Commission européenne a demandé fin mai aux Etats de l’UE de suspendre l’autorisation d’environ 400 médicaments génériques, leur fixant un délai d’un mois, qui expire lundi.
Les génériques sont des médicaments dont la molécule de base, la substance active, est tombée dans le domaine public. Leur fabrication n’est donc plus réservée au propriétaire de leur brevet.
Leur autorisation obéit à des règles bien moins strictes qu’un nouveau traitement. Ainsi, le fabricant de génériques n’est pas obligé de prouver à nouveau leur efficacité clinique ou leur absence de dangerosité. Il doit juste démontrer in vitro que le médicament générique libère la même quantité de substance active que son modèle. Cela s’appelle la «bioéquivalence» et c’est ce qui pose problème avec les 400 médicaments repérés par l’UE.
Sous-traitant peu rigoureux
Les fabricants de génériques ne font souvent pas ces tests eux-mêmes. Ils recourent à des sous-traitants, dits «organisations de recherche sous contrat», les CRO. Or l’autorité sanitaire européenne a découvert qu’un de ces CRO, l’indien Synapse Labs, ne menait pas ces tests avec la rigueur requise. «Pour la majorité des traitements testés par Synapse Labs, les données manquent ou sont insuffisantes pour prouver la bioéquivalence», explique l’European medecine Agency.
Les 400 médicaments visés couvrent un vaste éventail: on trouve des anticancéreux, notamment contre la leucémie et le cancer du sein, des antidiabétiques, des thérapies contre l’infection au VIH, des anti-épileptiques, des traitements de la schizophrénie…
Nombreux fabricants concernés
Comme de nombreux fabricants de génériques recourent aux services de Synapse, le souci concerne tous les principaux acteurs du secteur. En revanche, les pays de l’UE sont inégalement concernés. La France, par exemple, est assez affectée avec 72 médicaments problématiques.
Il n’y a pas de danger immédiat et les autorités sanitaires, comme les associations de patients, veillent à ne pas créer la panique. «Il n’y a pas de défaut de fabrication», a insisté auprès de l’AFP Yann Mazens, l’un des responsables de France Assos Santé, principale fédération française d’associations de patients.
Mais «on est face à des produits qui n’ont potentiellement pas la même efficacité car les études n’ont pas rempli les standards», a-t-il précisé.
Risque d’être moins bien soigné
Et si cette moindre efficacité n’est pas prouvée en l’état, elle reste une possibilité et les patients concernés courent donc le risque d’être moins bien traités, parfois sur des pathologies graves et létales.
Toutefois, les autorités nationales ne vont certainement pas retirer lundi tous ces médicaments du marché. D’une part parce que certains fabricants de ces génériques ont déjà refait les tests requis et prouvé la bioéquivalence des traitements.
D’autre part, la Commission européenne a laissé une large marge de manœuvre aux Etats pour ne pas immédiatement retirer des traitements qui seraient irremplaçables pour les patients.
«Ces médicaments critiques sont ceux qui auraient de grosses parts de marché ou n’auraient pas d’alternative thérapeutique», a souligné l’agence française du médicament, l’ANSM, interrogée par l’AFP.
Dans ce cas, Bruxelles laisse jusqu’à deux ans de délai aux Etats pour finalement retirer un traitement, au cas où des données probantes n’auraient toujours pas été fournies par le fabricant.
Encore aucune annonce
L’ANSM se refuse pour l’heure à donner tout ordre de grandeur sur le nombre de retraits immédiats qu’elle prononcera lundi.
De même, en Allemagne, autre pays concerné pour de nombreuses références de traitements, l’Institut fédéral des médicaments et des dispositifs médicaux s’est abstenu de se prononcer auprès de l’AFP.
-
Mexique: Il plonge au milieu des crocodiles pour récupérer sa paire de chaussures
Un homme a risqué sa vie pour une raison peu croyable. Il a plongé dans un lagon rempli de crocodiles pour récupérer sa paire de chaussures. Il s’en sort miraculeusement avec une blessure légère à une jambe.
Le journal ne dit pas si les chaussures en question étaient en peau de croco.
-
@duJambon a dit dans On ne se moque pas de ces choses là. :
centre-ouest de la France
Ah oui !? Juste sous la Bretagne ?
-
patricelg PW Addict DDL Rebelle Windowsien Ciné-Séries Cluba répondu à El Bbz le dernière édition par
@El-Bbz Bien lu et vu !
-
Enfermée dans sa Tesla à cause d’une panne de batterie
Une habitante de Phoenix, en Arizona, aux États-Unis, s’est récemment retrouvée coincée à l’intérieur de sa Tesla Model Y 2021, lorsque sa batterie secondaire est tombée en panne et a rendu le véhicule inopérant. Elle a réussi à sortir du véhicule après avoir contacté l’assistance Tesla via leur application, qui lui a indiqué une ouverture manuelle secrète pour ouvrir la portière.
Source et vidéo: https://www.7sur7.be/video/production/enfermee-dans-sa-tesla-a-cause-dune-panne-de-batterie-450039
Faut pas tomber en panne de batterie de téléphone non plus.
-
@duJambon En dernier recours reste le brise vitre qui a fait ses preuves.
-
L’hypercar hybride de 4 millions de dollars de Bugatti a le volant le plus fou que nous ayons jamais vu
Furieusement compliqué et incroyablement rapide, le Tourbillon à glacer le sang, amélioré électriquement et développant plus de 400 km/h et 1 800 chevaux, marque le début de l’influence de Rimac sur le constructeur automobile centenaire.
La résurrection de Bugatti est l’une des histoires automobiles les plus marquantes du 21e siècle. Aristocratique, artistique et plus qu’un peu obscure, Bugatti du début des années 1930. était une marque d’avant-guerre qui maîtrisait le luxe, le design et le sport automobile, le créateur des vainqueurs de Grand Prix et sans doute la voiture la plus somptueuse jamais fabriquée, sous la forme de la Type 41 Royale . Puis cela s’est évanoui.
C’est feu Ferdinand Piëch, le pilier monomaniaque du groupe Volkswagen, qui a acheté les droits du nom et a rendu la marque à la gloire avec la Veyron de 2005 et son successeur, la Chiron. La version Super Sport de cette dernière reste la voiture de série la plus rapide au monde, ayant atteint une vitesse de pointe de 304,773 mph entre les mains du pilote de course Andy Wallace sur une piste d’essai allemande en 2019.
Comment suivre cela, surtout dans un monde où électriques les hypercars de 2 000 chevaux ont complètement réorganisé les attentes ?
Comme le destin l’a voulu, Bugatti est désormais contrôlée par la centrale croate de véhicules électriques Rimac , à la suite d’un contre-accord complexe de 2021 avec VW et Porsche. Vous auriez donc raison de vous demander quel genre de rappel Mate Rimac imaginerait pour la légende française de 114 ans.
Le résultat est le Tourbillon, un impérieux super-coupé hybride qui voit Bugatti regarder cent ans en avant autant qu’il invoque son passé, mais pas de la manière à laquelle on pourrait s’attendre.
« Des icônes comme la Type 57SC Atlantic , reconnue comme la plus belle voiture du monde, la Type 35 , la voiture de course la plus titrée de tous les temps, et la Type 41 Royale , l’une des voitures de luxe les plus ambitieuses de tous les temps, constituent nos trois piliers. d’inspiration », dit Rimac. « La beauté, la performance et le luxe ont constitué le modèle du Tourbillon ; une voiture plus élégante, plus émotive et plus luxueuse que tout ce qui l’avait précédée. Et tout comme ces icônes du passé, ce ne serait pas simplement pour le présent, ni même pour le futur, mais pour l’éternité .
Oui, on peut dire sans se tromper que Bugatti est très enthousiasmé par sa nouvelle création et a un oeil sur les pelouses immaculées des concours de Pebble Beach ou de Villa d’Este dans un siècle, positionnant sa nouvelle hypercar à la fois comme une haute technologie époustouflante et comme une riposte astucieuse à l’obsolescence intrinsèque.
entièrement électrique de Rimac Relooker la brillante hypercar Nevera était sûrement une option, mais Rimac est suffisamment respectueux de l’histoire de Bugatti pour savoir qu’elle ne volerait jamais. “J’ai donc proposé de fabriquer une toute nouvelle voiture”, dit-il. Il a parcouru énormément de chemin depuis qu’il est le seul employé de Rimac en 2009.
Instruments de réussite
Le nom Tourbillon sera familier aux adeptes de la haute horlogerie . Plutôt que d’honorer un ancien pilote automobile Bugatti – comme dans Pierre Veyron et Louis Chiron – la nouvelle voiture fait référence au mécanisme le plus élaboré de l’horlogerie, une machine pour le poignet dont la complexité neutralise les effets de la gravité afin de maintenir un chronométrage le plus précis possible.
Voir la vidéo dans l’article source
Les designers et ingénieurs de Bugatti ont été séduits par l’idée d’une mécanique intemporelle lorsqu’ils ont conçu la nouvelle voiture, et c’est pourquoi le Tourbillon rejette largement les grands écrans tactiles numériques à l’intérieur au profit de composants usinés et d’un groupe d’instruments squeletté entièrement analogique (une autre référence mondiale en matière d’horlogerie). - bien qu’un petit écran glisse si vous le souhaitez, pour Apple CarPlay ou Android Auto.
Le cluster se compose de plus de 600 pièces, utilise du titane, du saphir et du rubis dans sa construction et reste fixe, permettant au volant de tourner autour de lui . Deux aiguilles sur le cadran central affichent le régime et la vitesse du moteur. À gauche se trouvent des affichages analogiques de la température de la batterie et de l’huile ; sur la droite, il y a un écran indiquant la puissance tirée des moteurs électriques et du moteur.
La console centrale est un mélange de verre cristal et d’aluminium, et un levier de démarrage du moteur relie la nouvelle voiture aux jours pionniers de l’automobile. Les sièges sont fixés au châssis, pour gagner du poids, il y a donc un pédalier réglable. Seuls les maestros faisant référence à Da Vinci chez Pagani se rapprochent de ce niveau artistique, et il est rafraîchissant de voir l’accent d’une toute nouvelle hypercar en 2024 se concentrer fermement sur les détails les plus fins de l’intérieur.
Trois moteurs électriques
Mais pas pour longtemps, compte tenu de ce qui se passe ailleurs sur la Bugatti Tourbillon. À savoir son groupe motopropulseur, un tout nouveau V-16 atmosphérique de 8,3 litres co-développé avec les légendes de l’ingénierie britannique Cosworth, associé à trois moteurs électriques. Deux sont montés sur l’essieu avant et le troisième à l’arrière.
Le moteur à combustion développe 1 000 ch, tandis que les trois moteurs électriques ajoutent 800 ch supplémentaires. Une boîte de vitesses à double embrayage à huit rapports est boulonnée à l’arrière de celui-ci. Malgré sa taille énorme, le moteur à combustion ne pèse que 252 kg ; en effet, la voiture entière pèse moins de deux tonnes métriques. Pas exactement un poids plume, mais plutôt bon par rapport aux normes hybrides contemporaines.
Les moteurs électriques sont alimentés par une batterie de 800 volts refroidie à l’huile de 25 kWh et située dans le tunnel central de la voiture. Les deux moteurs de l’essieu avant et le double inverseur sont suffisamment compacts pour ne pas perturber la courbe caractéristique de l’avant de la nouvelle voiture. En fait, le Tourbillon dispose de plus d’espace de rangement que la Chiron et est bien sûr livré avec des bagages sur mesure.
Il s’agit d’une transmission intégrale et d’une capacité complète de vectorisation du couple (le transfert de couple entre une roue ou un essieu donné en fonction des virages pour améliorer la direction et la maniabilité), éléments que Rimac a maîtrisés avec des résultats extraordinaires sur la Nevera.
Le Tourbillon utilise également ses composants électriques pour affiner la réponse de l’accélérateur, pour le remplissage du couple - bien qu’il ne manque guère dans ce domaine - et a une autonomie à pleine charge de 40 miles (70 km) en mode électrique.
Une toute nouvelle architecture électrique utilise une gamme d’ECU haute puissance, une technologie de contrôle de distribution d’énergie à semi-conducteurs et un module de commande « non linéaire » intégré pour surveiller la dynamique de conduite et fournir des réponses « analogiques ». En d’autres termes, bien que furieusement compliqué, le Tourbillon devrait paraître aussi accessible que 1 800 ch le seront jamais.
Les freins utilisent la technologie carbo-céramique de dernière génération, intégrée au système hybride, bien que Bugatti n’ait pas confirmé le degré de régénération du système. Les pneus, extrêmement importants sur une voiture avec ce vaste potentiel de vitesse, sont des Michelin Pilot Cup Sport 2 sur mesure.
Immense Power
Et le Tourbillon fait vraiment avancer les choses en termes de performances. Nous devons lister les chiffres revendiqués par souci d’exhaustivité : 0 à 100 km/h prend deux secondes ; 124 mph se fait en moins de cinq heures ; 200 km/h en moins de 10 ; 400 km/h en 25 secondes environ ; et la vitesse de pointe est limitée à 445 km/h.
Étant donné que le record du monde de Bugatti est attaqué par Hennessey et Koenigsegg , on peut s’attendre à ce que la nouvelle voiture franchisse le seuil des 500 km/h (311 mph) à un moment donné. WIRED a eu un aperçu du moteur V-16 à pleine puissance sur le banc d’essai de Bugatti, et il a un caractère beaucoup plus pur que la Chiron au son plutôt industriel. À glacer le sang, en fait.
Cet immense groupe motopropulseur est soutenu par un châssis aux spécifications tout aussi puissantes. Il est tout nouveau et fabriqué à partir d’un composite de carbone appelé T800, une qualité largement utilisée dans le sport automobile pour offrir une résistance maximale tout en réduisant le poids. Le boîtier de batterie est intégré à la structure pour encore plus de légèreté, tout comme les conduits d’air avant et le diffuseur arrière.
Il existe une suspension multibras en aluminium à l’avant et à l’arrière, et certains composants clés ont été imprimés en 3D par la société spécialisée Divergent . Bugatti avait même un membre de l’équipe de conception dédié au châssis, et toutes les charnières sont en aluminium anodisé et usiné. Emilio Scervo, directeur technique, déclare : « Le résultat est une voiture aussi belle à l’intérieur qu’à l’extérieur, qui élève simultanément la fascination mécanique et la beauté technique à un tout autre niveau. »
L’extérieur du Tourbillon affine le récit de conception commencé par la Veyron et développé à travers la Chiron, ainsi que les modèles Centodieci et Mistral unique en série limitée et la Voiture Noire . C’est-à-dire que cela semble plutôt familier, jusqu’à ce que vous approfondissiez un peu.
Étant donné qu’il s’agit d’une voiture capable de rouler à plus de 250 mph, chaque surface et entrée fait quelque chose en termes d’aéro et/ou de thermodynamique (en plus d’être jolie). Il y a une quantité agréable de pneus visibles à l’arrière et un nouveau diffuseur sauvage.
Un nouveau design innovant d’aileron arrière reste caché même à des vitesses très élevées, là où il aurait été nécessaire auparavant pour générer une force d’appui, bien qu’il entre en action comme un aérofrein lorsque cela est nécessaire. La ligne C en « fer à cheval » de Bugatti ajoute une touche dramatique au fuselage de la voiture, tout comme les portes dièdres à commande électrique, qui peuvent être ouvertes à partir du porte-clés.
Le Tourbillon entre maintenant dans sa phase de test complète, avant les premières livraisons clients en 2026. Il coûtera 3,2 millions de livres sterling (plus les taxes locales), soit plus de 4 millions de dollars, et tout ce que le propriétaire ajoute aux spécifications. Mais ne vous y trompez pas, c’est une mesure qui pourrait arrêter les horloges.
-
Le compteur est une pièce d’orfèvrerie et le voir passer de 0 à 450 km/h est … bluffant !
-
@Mister158 Tu regrettes déjà d’avoir acheté une Tesla ?
-
@duJambon a dit dans On ne se moque pas de ces choses là. :
@Mister158 Tu regrettes déjà d’avoir acheté une Tesla ?
t’es fou je ne l’ai pas acheté
quand je l’ai essayé, j’ai constaté que je n’arrivais pas à lire l’écran sans lunettes … comme c’est des loupes, pour conduire ce n’est pas top !
chez renault je n’ai pas ce souci avec le r-link -
Un des propulseurs d’une fusée longue marche 2 s’écrase à proximité d’un village
Source et vidéo: https://www.20min.ch/fr/video/chine-le-propulseur-dune-fusee-secrase-panique-dans-un-village-103133914
-
Métro de Rome, marre des pickpockets, ça tourne souvent à la baston.
Les vols sont en recrudescence dans les métros de Rome. Les forces de l’ordre n’arrivent pas à faire face (sans blague ?) et ceci augmente la tension avec les passagers. De nombreuses vidéos témoignent de bastons entre voyageurs et pickpockets.
Source et vidéo: https://www.20min.ch/fr/video/rome-i-le-metro-est-le-theatre-de-bastons-entre-passagers-et-pickpockets-103132384