[Topic Unique] Actualités cinéma & séries
-
-
En attendant la sortie de “The Boys” saison 3, Amazon Prime Video vient de proposer une série animée dérivée intitulée “The Boys : Diabolical”. Une petite pépite agréable, qui se connecte également au show principal.
C’est quoi The Boys : Diabolical ?
Sortie le vendredi 4 mars 2022 sur Amazon Prime Video, The Boys : Diabolical est une série animée dérivée de l’univers de The Boys. Également dirigé par Eric Kripke, ce show permet de présenter de nouveaux personnages dans l’univers de la série phare d’Amazon Prime Video.
Il s’agit d’une série animée en huit chapitres, d’une durée de 10 à 15 minutes, dans des styles variés. Des épisodes totalement indépendants les uns des autres, qui, en plus d’être une délicieuse sucrerie pour patienter jusqu’à la saison 3 de The Boys, sont plus utiles qu’il n’y paraît.
Chaque épisode est dirigé par des équipes différentes et voit de grands noms hollywoodiens se greffer au projet. Outre Eric Kripke de retour à son poste, The Boys : Diabolical propose l’intervention du duo Evan Goldberg et Seth Rogen, de Justin Roiland (le petit génie derrière Rick et Morty et Solar Opposites), d’Andy Samberg (la star de Brooklyn Nine-Nine) ou encore de la comédienne Awkwafina. Côté casting vocal, on peut noter la présence de Michael Cera, de Don Cheadle, de Giancarlo Esposito, de Kumail Nanjiani, de Christian Slater ou encore de Simon Pegg. Sacré programme !
Des épisodes inégaux mais agréables
A la manière de Love, Death & Robots ou de Star Wars : Visions, The Boys : Diabolical est une anthologie d’animation qui propose des épisodes totalement déconnectés les uns des autres. Forcément, via ce principe, chaque chapitre transmet une identité différente, et donc des qualités variables. Tous les opus ne se valent pas, et si certains sont des petits chefs-d’œuvre, d’autres sont largement oubliables. Parmi les plus réussis, on peut citer les quatre premiers chapitres du show. Ils permettent d’aborder l’univers de The Boys via des approches très différentes.
Le premier, La Ballade de Bébé Laser, dirigé par Evan Goldberg et Seth Rogen, offre un voyage muet dans un style d’animation hommage aux Looney Tunes. Un épisode franchement trash et très divertissant.
Le deuxième, dirigé par Justin Roiland, permet une rencontre au sommet entre le style Rick et Morty et l’univers de la série d’Eric Kripke. Via un concept hilarant qui imagine des super avec des pouvoirs totalement foireux, ce deuxième chapitre mélange humour absurde et violence excentrique. La recette gagnante de Justin Roiland.
Le troisième épisode, Je suis ton dealer, permet de ramener Butcher et Hughie en animation, le temps d’une mission particulièrement violente totalement inscrite dans la continuité du show principal.
Enfin, le quatrième épisode, Boyd en 3D imagine l’impact de Vought International sur le commun des mortels. Un récit passionnant et critique envers les réseaux sociaux et les influenceurs. Brillant !
Malheureusement, la qualité n’est pas à 100% au rendez-vous. Si les épisodes 6 et 7 ne sont pas honteux, ils sont rapidement oubliables. Quant à l’épisode 5, écrit par Awkwafina, il se place dans le bas du panier. La comédienne imagine une histoire “kawaii” décalée, inspirée des mangas japonais, où une jeune adolescente mal dans sa peau devient amie avec sa crotte (oui, oui vous avez bien lu). Mais le résultat ne fonctionne pas, et transpose rapidement une forme de malaise inévitable.
Une connexion habile avec The Boys
Puis, vient l’épisode final du show. Intitulé Un plus un égale deux, cet ultime épisode permet d’offrir une véritable connexion avec la série principale. Ce huitième chapitre se concentre en effet sur la jeunesse de Homelander, toujours doublé par le comédien Antony Starr. 14 minutes de plaisir qui emmènent les spectateurs vers la genèse du plus puissant des super. Un moyen de développer ses peurs, ses hantises, ses angoisses en expliquant d’où lui viennent ses problèmes mentaux et ses pouvoirs invincibles.
On y apprend que le personnage a eu une enfance difficile (et c’est un euphémisme) et particulièrement violente au sein de Vought International. Le public est également amené à découvrir sa toute première mission et la manière dont il devient réellement Homelander. De même, Black Noir est lui aussi présent. Et la relation entre les deux personnages permet d’en apprendre davantage sur le rôle de Black Noir ; et sur son statut particulier dans The Boys. En tout cas, The Boys : Diabolical est le format parfait pour patienter jusqu’à la sortie de The Boys saison 3, prévue pour le 3 juin prochain.
The Boys : Diabolical d’Eric Kripke, disponible sur Amazon Prime Video depuis le 4 mars 2022. Ci-dessus la bande-annonce. Retrouvez ici toutes nos bandes-annonces.
SOURCE: Cineseries
-
Scream 2022
Vingt-cinq ans après que la paisible ville de Woodsboro a été frappée par une série de meurtres violents, un nouveau tueur revêt le masque de Ghostface et prend pour cible un groupe d’adolescents. Il est déterminé à faire ressurgir les sombres secrets du passé.
Mon avis: Scream revisité et réchauffé, mais pas un film d’horreur, mais une horreur de film. Du n’importe quoi à la puissance 10 pour sembler pareil sans être le même.
-
Ouai maté hier… Assez brutal tt de même pour contenter la new Generation pas trop regardante mais ça s’arrête là.
Autant se faire l’original de Craven qui a très bien vieilli et qui à eu l’honneur de relancer le genre du slasher alors à bout de souffle à l’époque avec un twist intelligent et un développement des personnages inéxistant à l’époque
-
Perso je vais mater ça, ça doit être assez déjanté comme j’aime
-
@psyckofox Bon courage, moi aussi j’aime les trucs déjantés, mais quand ça deviens débile…
-
Ha merde à ce point ? On parle bien de “the boys diabolical” ?
-
Le Brésil n’attendait qu’un cri, le voici, délivré à pleins poumons.
MEDUSA, le nouveau film pop et envoûtant d’@anitarocha, la talentueuse réalisatrice de MATE-ME POR FAVOR, sort en salles le 16 mars grâce à @waynapitch ️
Synopsis
Brésil, aujourd’hui. Mariana, 21 ans, vit dans un monde où elle doit être une femme pieuse et parfaite. Pour résister à la tentation, elle s’attelle à contrôler tout et tout le monde. La nuit tombée, elle se réunit avec son gang de filles et, ensemble, cachées derrière des masques, elles chassent et lynchent celles qui ont dévié du droit chemin. Mais au sein du groupe, l’envie de crier devient chaque jour plus forte.
-
Adam à travers le temps (Project Adam)
Un pilote entreprend un voyage dans le temps aux côtés de l’enfant qu’il était et de son père disparu afin de soigner les plaies du passé, tout en sauvant l’avenir.
Mon avis: malgré un titre bateau et un synopsis très banal (pour de la SF), ce film surprenant et amusant va beaucoup plus loin que beaucoup d’autres. Un bon moment, bien agité, sans non plus se casser la tête. A voir.
-
@dujambon a dit dans [Topic Unique] Actualités cinéma & séries :
Adam à travers le temps (Project Adam)
Un pilote entreprend un voyage dans le temps aux côtés de l’enfant qu’il était et de son père disparu afin de soigner les plaies du passé, tout en sauvant l’avenir.
Mon avis: malgré un titre bateau et un synopsis très banal (pour de la SF), ce film surprenant et amusant va beaucoup plus loin que beaucoup d’autres. Un bon moment, bien agité, sans non plus se casser la tête. A voir.
par le producteur de free guy, on sent que c’est le meme humour lourdingue
perso ca ne me dit rien du tout
-
Zombies Made In Taiwan!
The Sadness
Toute sélection de Gerardmer a ses chocs plus ou moins attendus, mais celui provoqué par The Sadness ne relève même plus de cette appellation : c’est une rafale, un coup de machette dans le crâne rappelant une image célèbre du Zombie de Romero, une sidération qui électrocute littéralement le spectateur.
Rarement l’effet d’exotisme rassurant d’un film venu d’un pays à la cinématographie que l’on croyait bien circonscrite (Taiwan ou le cinéma de l’écoulement calme du temps, emblématisé par le maître du plan interminable Tsai Mirg-liang ou par les fresques minutieuses de Hou Hsiao-Hsien) sera entré aussi violemment en contact avec la structure archétypale - beaucoup plus familière à nos yeux — du film de zombies pur et dur.
Débutant dans le calme d’un petit appartement de Taipei où s’aime un jeune couple, The Sadness s’ouvre sur une succession de scènes qui sont autant de vagues s’amoncelant sur une réalité absolument quotidienne. Le film ressemble à une chronique intimiste en milieu urbain tout à fait banale, très réaliste, avant que divers détails venus des alentours (la voix d’un haut-parleur qui déraille en invitation au massacre, des images vues au loin depuis la terrasse du couple) amènent à notre cerveau somnolent cette information de plus en plus claire : l’enfer est aux fenêtres de ce petit appartement, et le film sera l’exploration de ce mauvais rêve dont la démesure dépasse l’entendement.
Les premières trouées de barbarie qui déchirent The Sadness sont filmées comme des lags ou des latences : des tableaux de carnage suivant un trajet en scooter, de soudaines visions aberrantes, comme celle d’un possédé violant frénétiquement un cadavre au détour d’une impasse. Cet état un peu flottant qui accompagne progressivement la découverte d’une ville assiégée par les démons et transformée en cauchemar à ciel ouvert est assurément la plus belle idée de ce premier long-métrage.
C’est une manière pour Rob Jabbaz, cinéaste canadien exilé à Taiwan, de raccorder les antiques mythologies du film de zombies ou du film de contamination à la réalité triviale et quotidienne des années Covid et à cette question si contemporaine d’un « monde d’après » dont on ne sait pas encore s’il ne cesse d’advenir ou s’il a déjà parachevé son programme. Notre monde a déjà brûlé, et nos cerveaux avec, semble hurler The Sadness - d’où peut-être son titre étrange, sinon pompeux, qui parait répondre au fait que les contaminés, avant de basculer, versent une larme de désespoir.
L’autre idée géniale du cinéaste est de faire de ses possédés non seulement des pantins du consumérisme dans la plus pure tradition romerienne (quoique beaucoup plus vivaces), maïs aussi des sadiques, des pervers et des prédateurs sexuels totalement délirants. Le film n’en est que plus dérangeant, hirsute et cruel dans sa quête d’une forme d’hypermodernité zombie.
Ainsi poussé dans ses plus extrêmes retranchements de furie nihiliste, The Sadness atteint progressivement son sommet (une scène très nasty de partouze gore renouant avec la folie païenne et dépravée du Yuzna de Society) avant de caler un peu lors d’un dernier tiers en huis clos qui n’est probablement que le prix à payer de sa folie et de son énergie à combustion rapide. Rien de grave à cette fin de festin un peu triste : le mal est déjà fait, et bien fait.
Ames sensible s’abstenir
| Réalisation Rob Jabbaz. . Taïwan. 2020
Get the Hell Out
Tous les espoirs pour fermer une centrale nucléaire polluante reposent sur l’ingénu Wang, politicien homme de paille à la merci de collègues corrompus et braillards. Alors que la cause semble définitivement perdue, une épidémie zombie se déclenche en plein parlement.
Plus que la forme, hystérique et épuisante sur la longueur à force d’émulation des codes visuels de l’humour Web de la fin des années 2010, c’est le fond de cette grosse pantalonnade gore qui retient l’attention. Get the Hell Out dépeint la classe politique taïwanaise comme une belle bande d’imbéciles gueulards, et son espace législatif comme une cour de récré où l’on passe plus de temps à s’asperger de tous les liquides à portée de main qu’à discuter des lois. La charge se nourrit des authentiques caractéristiques des figures locales, exacerbées jusqu’à la caricature la plus échevelée, et l’ouverture sur le cinéma de genre pousse tout ce joli monde à s’entre-dévorer dans des geysers sanglants.
Il s’y exprime un ras-le-bol énergisant, une envie de renverser la table en salutaire décalage avec la censure des cinématographies de Chine continentale et, désormais, de Hong Kong. Entre ce film et le paroxystique The Sadness, comme dans un cinéma d’auteur alerte et ouvert sur les enjeux sociétaux, Taïwan s’impose comme l’ultime îlot de résistance créatif de la région. Pourvu que ça dure.
| Réalisation Wang L.-Fan. Taïwan. 2020. Disponible en SVOD (Shadowz).
SOURCE: Mad Movies
-
Après Saint Maud, Rose Glass réalisera Love Lies Bleeding (et dirigera Kristen Stewart)
Réalisatrice remarquée de Saint Maud, Rose Glass prépare actuellement son second long métrage. Intitulé Love Lies Bleeding, il racontera une histoire d’amour alimentée par l’ego, le désir et le rêve américain.
Soit l’itinéraire d’une femme déterminée à être une championne de la musculation et qui voit sa vie bouleversée par l’utilisation de stéroïdes. Pour en savoir plus sur cette réalisatrice, direction notre interview où elle nous confiait, sur ce projet:
Ce ne sera pas un film d’horreur, mais ce ne sera pas un gentil film à voir en famille pour se sentir bien. Ce que je touche finit toujours dans un registre plutôt macabre. Ce sera une romance, mais pas très jolie.
Le buzz est amplifié par l’annonce de Kirsten Stewart qui, lors d’une masterclass, invitée au centre culturel 92Y à New-York pour parler de son interprétation de Lady Di dans Spencer de Pablo Larrain, a confirmé sa présence sur ce projet.
SOURCE: chaosreign.fr
Réalisatrice à suivre. Si vous n’avez pas vu Saint Maud, je ne peux que le conseiller et de le suivre jusqu’à la fin
Morfydd Clark y est juste excellente de justesse.
-
J’en vais déjà parlé il y a quelques semaines de Men, le nouvel opus d’Alex Garland, cinéaste British à qui l’on doit Ex Machina, Annihilation ou l’excellente série TV Devs
Eh bien, voici que ce " film d’horreur protéiforme et fiévreux" se rappelle à notre bon souvenir puisque son producteur A24 vient de se fendre d’une bande-annonce faisant suite à un premier teaser déjà très séduisant.
Pour mémoire, Men raconte l’histoire d’une femme (jouée par l’actrice Jessie Buckley) qui, après un évènement tragique, part se ressourcer à la campagne. Mais très vite, elle ressent une présence maléfique rôdant autour de sa demeure…
Voilà pour le pitch de ce long-métrage qui sortira en salles dans l’Hexagone le 1er juin prochain.
SOURCE: Mad Movies
-
The Lost City (avril 2022)
Synopsis*
Une romancière solitaire en tournée de promotion avec son mannequin de couverture est victime d’une tentative d’enlèvement qui les entraîne toutes les deux dans une aventure sanglante dans la jungle.(…)
-
FREAKS OUT de Gabriele Mainetti: un divertissement porté par une ambition inédite dans le cinéma italien depuis des décennies
Gabriele Mainetti s’était fait connaître avec On l’appelle Jeeg Robot, un premier film qui portait avec succès un regard très personnel sur la figure du super héros à travers le parcours d’une sorte de cousin éloigné du joker. Avec Freaks out, il poursuit dans la même veine (à condition de préciser qu’il s’agit moins de super héros que de personnages dotés de superpouvoirs) en la situant dans le contexte de la Seconde Guerre mondiale. Le résultat est un divertissement foisonnant, visionnaire, mouvementé, rempli de conflits, de sexe et de violence, porté par une ambition inédite dans le cinéma italien depuis des décennies.
Le début plonge immédiatement dans le milieu du cirque, avec son directeur dénommé Israël qui nous prévient qu’«ici tout est illusion». Mais pas tant que ça, puisque les quatre artistes qui assurent le spectacle ne font pas semblant, ils exploitent bel et bien des «pouvoirs» plus ou moins naturels: le clown Mario est capable d’aimanter les métaux, l’albino Cencio commande aux insectes, l’homme-loup Fulvio (Claudio Santamaria, qui jouait Jeeg robot dans le précédent film) est doté d’une force exceptionnelle, tandis que Matilde allume les ampoules par simple contact, mais doit porter des gants pour éviter d’électrocuter ceux qu’elle touche. Cette exposition immersive est suivie comme en plan séquence par un bombardement qui établit brutalement le contexte historique: en 1943, les troupes nazies envahissent Rome, profitant de la défection de Mussolini. Israël s’empresse alors d’organiser son exil et celui de sa troupe aux États-Unis, mais tandis qu’il est parti pour leur trouver des passeports, il disparaît, lançant les quatre marginaux à sa recherche dans un environnement plus qu’hostile.
Il n’est pas difficile de repérer les multiples références, depuis le Freaks de Tod Browning aux films de Guillermo del Toro, en passant par Le magicien d’Oz, avec une touche de Terry Gilliam. Mais Freaks out possède une esthétique et une sensibilité singulières qui puisent dans une tradition résolument italienne. On peut aussi trouver une dimension spielbergienne (période Aventuriers de l’arche perdue) dans l’utilisation conventionnelle des nazis («Je n’aime pas ces gens-là»).
Mais le film va plus loin en mettant sur le chemin des quatre freaks un antagoniste d’une complexité surprenante dans la mesure où lui-même est une anomalie à l’intérieur du système. Directeur du cirque allemand, Franz est un monstre. Il est né avec douze doigts, ce qui l’a amené à devenir un pianiste virtuose. Il a aussi la capacité de voir l’avenir; ce qui lui permet de plagier en toute impunité Radiohead ou les Guns and roses. Méprisé par les nazis, il ne doit son poste qu’à son frère, un officier influent. Au cours de ses visions, Franz a vu la chute du Reich et le suicide d’Hitler, mais il a aussi anticipé l’arrivée de quatre marginaux dont les pouvoirs conjugués lui donnent l’espoir qu’il pourra les mettre au service du régime et inverser le cours de l’histoire. Dans un film qui ne manque pas de personnages intéressants, Franz Rogowski (vu dans Ondine) fait de Franz l’un des plus fascinants.
Matilde (Aurora Giovinazzo) est également complexe, et son «pouvoir» sort du lot parce qu’il lui fait ressentir plus qu’aux autres sa nature contradictoire: c’est une force et une malédiction. Si elle ne peut pas s’en servir pour faire du bien, elle s’interdit de l’utiliser pour faire du mal (d’où la colère des partisans lorsqu’elle refuse d’électrocuter des nazis). Elle est à la fois innocente et proactive: c’est elle qui lance le mouvement pour aller rechercher Israël. Et c’est probablement parce qu’elle est la plus dépourvue d’ego que son expérience est la plus intense. Pourtant, son parcours est le même que celui de ses autres compagnons, obligés par les circonstances à se voir et à s’accepter tels qu’ils sont vraiment. C’est le thème principal du film qui devrait résonner chez tous ceux qui se sentent ostracisés pour une raison ou pour une autre. Le contexte le rend plus dramatique, et tant pis pour les moralistes qui croiront devoir qualifier de «douteux» le fait de mettre au centre d’un épisode particulièrement mouvementé un train rempli de juifs. Mainetti et son scénariste Nicola Guaglianone ont réussi un divertissement exceptionnel, et il est assez probable qu’ils devraient recevoir des offres de la part de Hollywood. Il faut leur souhaiter de décider avec sagesse pour conserver leur identité. Elle est précieuse.
G.D
Source: Chaos.fr
-
Vendredi 27 Mai, deux épisodes de Obi-Wan Kenobi sur Disney+
La série se déroule 10 ans après Star Wars : La Revanche des Sith, dans laquelle Obi-Wan a affronté Anakin Skywalker, qui s’est tourné vers le côté obscur et est finalement devenu Sith Lord Dark Vador. Cette période sera “une période sombre” pour Obi-Wan, qui doit faire face à la perte de tous ses amis. Lui et les autres Jedi qui ont survécu à l’Ordre 66 sont également traqués par les chasseurs Jedi de l’Empire en compagnie de stormtroopers. Obi-Wan est sur Tatooine en mission pour protéger le jeune Luke Skywalker à l’ouverture de la série.
-
Infiniti (2022) série Création Original Canal+
SYNOPSIS
L’ISS, la Station Spatiale Internationale, ne répond plus. Son équipage est en perdition. Au même moment, un cadavre décapité et couvert de cire est retrouvé sur un toit au Kazakhstan. L’identification est formelle : il s’agit d’Anthony Kurz, un astronaute américain actuellement en mission dans l’ISS. Anna Zarathi, une spationaute française, écartée du programme spatial, et Isaak Turgun, un flic kazakh désavoué par sa hiérarchie, vont tenter de résoudre cet étrange paradoxe…
J’ai fait les 3 premiers épisodes et pour l’instant c’est bien prenant comme il faut maintenant a voir ou sa va mener.
Il faut compter six épisodes pour la première saison.Le seul point négatif pour une série tourné avec des acteurs internationaux c’est de nous avoir trouvé une actrice Française qui fait nunuche qui ne croit pas a sont rôle. Ces dialogues sont d’un mou et sont timbre de voix digne de Léa Seydoux (que je n’aime déjà pas particulièrement…) mais bon sa ne m’empêche pas d’apprécier la série en elle-même.
-
-
Déjà vu , 6 épisodes passent vite ^^ j’ai bien aimé , ça change…
LOL WarezB47 l’actrice m’a fait pensé à Clémence Poésy de la série TUNNEL. -