Actualités High-Tech

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    Europol a encore fait le ménage dans le monde du hacking et de la vente de données piratés

    https://www.commentcamarche.net/securite/piratage/28027-genesis-market/

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    Oui en effet c’est ça recap de la semaine jeux vidéo tres bien fait merci ! Moi je trouvais bien sympa l’émission !

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    Ba après c’est comme tout, l’Open Source c’est bien mais il faut aussi et surtout utiliser des logiciels à jour. Et ça c’est valable que cela soit opensource ou propriétaire.

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    merci la NSA qui pousse derrière

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    Selon plusieurs sources la pub était dès le début présente dans les converations Bing Chat – mais les réclames ne s’affichaient pas chez tous les utilisateurs.

    Microsoft dévoile sur son blog son plan pour intégrer des publicités dans les conversations Bing Chat, son chatbot basé sur l’intelligence artificielle. Avec plus de 100 millions d’utilisateurs actifs quotidiens, cette évolution était attendue. L’entreprise a expliqué que les publicités apparaîtront dans les réponses du chatbot, tout comme dans les résultats de recherche traditionnels.

    En réalité, les publicités dans Bing Chat ne sont pas tout à fait une nouveauté. La firme teste différentes modalités d’implémentation depuis plusieurs semaines – mais celles-ci ne s’affichaient pas chez tous les utilisateurs. Seul un petit sous-ensemble des utilisateurs de Bing Chat les voient s’afficher. De notre côté nous avons beau avoir essayé de les afficher, les publicités restent pour l’instant absentes de nos conversations avec l’IA de Bing.

    Puisqu’on parle de vrai plan d’attaque, le post de blog revient longuement sur le modèle publicitaire que Microsoft souhaite développer avec l’IA. Le but est de ne pas trop chambouler les fondamentaux du web, en permettant à son économie de se maintenir et de progresser. Microsoft souligne vouloir apporter aux sources plus de traffic pur en les intégrant aux réponses de Bing Chat.

    Ce placement sera automatisé, vu que contrairement au référencement payant classique il n’est pas vraiment possible d’acheter une suite de mots clés. Du coup, Microsoft placera lui-même ces publités en fonction de leur pertinence (on imagine que cela sera décidé par le modèle GPT-4 utilisé par la firme). Les revenus générés seront alors automatiquement partagés entre les éditeurs et Microsoft.

    Dans le détail, on ne sait pas exactement comment l’entreprise compte gérer le nombre et fréquence de ces publicités, ni si ces publicités seront restraintes à des encadrés textuels, des liens hypertexte ou si des formats plus importants, visibles, différenciateurs, voire intrusifs seront utilisés.

    Le vice-président de Microsoft, Yusuf Mehdi, explique dans le billet de blog que l’entreprise veut “partager les revenus publicitaires avec les partenaires dont le contenu a contribué à la réponse du chat”, mais cela ne répond pas à la question de l’équilibre que Microsoft prévoit de trouver entre les réponses avec et sans publicité, entre autres points à éclaircir.

    Comme nous le disions plus haut, des publicités ont déjà été intégrées à l’expérience de chat depuis le lancement de la version preview en février. Elles apparaissant le plus souvent sous forme de liens sponsorisés et à l’intérieur des résultats d’achat chez certains utilisateurs.

    Source: https://www.presse-citron.net/cetait-previsible-bing-chat-glisse-des-pubs-dans-vos-conversations/

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    Encore une preuve que tout ca n’est que du cinéma :ahah:

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    Et la pause, c’est vraiment par peur ou juste pour rattraper le retard de certaines sociétés ?

    De toute façon, ça se présente mal pour eux: https://planete-warez.net/topic/3473/sept-modèles-d-a-i-générative-en-open-source

  • Sept modèles d'A.I. générative en open source

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    Après le piratage de chatgpt-3 (https://planete-warez.net/topic/3391/vous-pouvez-maintenant-exécuter-un-modèle-d-ia-de-niveau-gpt-3-sur-votre-ordinateur-portable-votre-téléphone-et-votre-raspberry-pi) une société met gratuitement sept modèles à disposition des chercheurs.

    Le fabricant d’ordinateurs Cerebras a publié sept modèles d’IA open source, à titre de ressource pour la communauté des chercheurs. Tout l’inverse du virage pris par l’éditeur de ChatGPT.

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    Le supercalculateur Andromeda de Cerebras a été utilisé pour entraîner sept programmes linguistiques similaires au ChatGPT d’OpenAI. Image : Cerebras.

    Le monde de l’intelligence artificielle, et plus particulièrement la branche très populaire de « l’IA générative », qui consiste à créer automatiquement des textes et des images, risque de se refermer sur lui-même en raison de l’effet dissuasif des entreprises qui décident de ne pas publier les détails de leurs travaux de recherche.

    Mais cette tendance au secret incite aussi certains acteurs du monde de l’IA à intervenir et à combler le vide en matière de divulgation.

    Mardi, le pionnier de l’IA Cerebras Systems, fabricant d’un ordinateur dédié à l’IA, a publié en source ouverte plusieurs versions de programmes d’IA générative à utiliser sans restriction.

    Les programmes sont « formés » par Cerebras, c’est-à-dire qu’ils sont amenés à des performances optimales grâce au puissant superordinateur de l’entreprise, ce qui réduit une partie du travail que doivent effectuer les chercheurs extérieurs.

    « Les entreprises prennent des décisions différentes de celles qu’elles ont prises il y a un an ou deux, et nous ne sommes pas d’accord avec ces décisions », a déclaré Andrew Feldman, cofondateur et PDG de Cerebras, dans une interview accordée à ZDNET, faisant allusion à la décision d’OpenAI, le créateur de ChatGPT, de ne pas publier de détails techniques lorsqu’il a dévoilé son dernier programme d’IA générative ce mois-ci, GPT-4. Une décision qui a été largement critiquée dans le monde de la recherche en matière d’IA.

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    Le code est disponible sur le site web de la start-up d’IA Hugging Face et sur GitHub

    « Nous pensons qu’une communauté ouverte et dynamique - pas seulement composée de chercheurs, et pas seulement de trois, quatre, cinq ou huit personnes propriétaires d’un LLM, mais une communauté dynamique dans laquelle des start-up, des sociétés de taille moyenne et des entreprises forment de grands modèles de langage - est bonne pour nous et pour les autres », assure-t-il.

    Le terme « grand modèle linguistique » fait référence à des programmes d’IA basés sur les principes de l’apprentissage automatique (machine learning), dans lesquels un réseau neuronal capture la distribution statistique des mots dans un échantillon de données. Ce processus permet à un grand modèle linguistique de prédire le mot suivant dans la séquence. Cette capacité est à la base de programmes d’IA générative populaires tels que ChatGPT.

    Le même type d’approche d’apprentissage automatique s’applique à l’IA générative dans d’autres domaines, comme Dall·E d’OpenAI, qui génère des images à partir d’une suggestion de phrase.

    Cerebras a mis en ligne sept grands modèles de langage dans le même style que le programme GPT d’OpenAI, qui a lancé l’engouement pour l’IA générative en 2018. Le code est disponible sur le site web de la start-up d’IA Hugging Face et sur GitHub.

    Les programmes varient en taille, de 111 millions de paramètres, ou poids neuronaux, à 13 milliards. Un plus grand nombre de paramètres rend un programme d’IA plus puissant, de manière générale, de sorte que le code Cerebras offre une gamme de performances.

    L’entreprise a publié non seulement les sources des programmes, en format Python et TensorFlow, sous la licence libre Apache 2.0, mais aussi les détails du mode d’entraînement qui a permis d’amener les programmes à un état de fonctionnalité développé.

    Cette divulgation permet aux chercheurs d’examiner et de reproduire le travail de Cerebras.

    Selon Andrew Feldman, c’est la première fois qu’un programme de type GPT est rendu public « en utilisant des techniques d’entraînement de pointe ».

    D’autres travaux publiés sur l’apprentissage de l’IA ont soit dissimulé des données techniques, comme le GPT-4 d’OpenAI, soit les programmes n’ont pas été optimisés lors de leur développement, ce qui signifie que les données fournies au programme n’ont pas été adaptées à la taille du programme, comme l’explique un article du blog technique de Cerebras.

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    Les modèles linguistiques de cette taille sont notoirement gourmands en ressources informatiques. Les travaux de Cerebras publiés mardi ont été développés sur une grappe de 16 de ses ordinateurs CS-2, des ordinateurs de la taille d’un réfrigérateur de dortoir qui sont spécialement conçus pour les programmes de type IA. Cette grappe, dont l’existence a déjà été révélée par l’entreprise, est connue sous le nom de supercalculateur Andromeda, qui peut réduire considérablement le travail de formation des LLM sur des milliers de puces GPU de Nvidia.

    Dans le cadre de la publication de mardi, Cerebras a offert ce qu’elle a déclaré être la première loi d’échelle open source, une règle de référence pour la façon dont la précision de tels programmes augmente avec la taille des programmes basés sur des données open source. L’ensemble de données utilisé est la source ouverte The Pile, une collection de 825 gigaoctets de textes, principalement professionnels et académiques, introduite en 2020 par le laboratoire à but non lucratif Eleuther.

    Source et plus: https://www.zdnet.fr/actualites/culture-du-secret-quand-un-pionnier-de-l-ia-prend-openai-a-revers-39956276.htm

    Encore quelques mois et tous les articles sur ce sujet seront déjà obsolètes à peine pondus et pas encore lu :lol:

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    Il reste les serveurs DNS racines. C’est plutôt ceux là qu’il faudrait pas faire tomber.
    Mais ça mettrait quand même le dawa 😉

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    Oui en effet très vicieux @Ashura

    @Violence a dit dans Dark Power : un nouvel acteur de la menace (ransomware) :

    Il utilise un ransomware qui a pour originalité qu’il génère une clé de décryptage unique à chaque attaque, ce qui rend particulièrement difficile la création d’une règle de détection générique.

    ça aussi c’est assez vicieux 😉

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    trop compliqué pour un hébergeur, je reste sur un bon vieux cloud a l’ancienne

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    il était temps, a quand l’interdiction totale de cette appli a chute de qi

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    @Violence je la trouve plus, je sais plus u je l’ai vu

  • Une page de l'informatique se tourne...

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    ah ben là oui, c’est du lourd ce Monsieur !!!

    RIP

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    c’est le début de la fin

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    C’est du vent. Ca ne sert à rien. Ça n’a aucun effet sur nos émissions de CO2 dans l’atmosphère.

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    D’un autre côté, on échange un poison contre un autre…

    Les personnes cultivées à l’esprit critique et non prédatrices, il n’y en a déjà pas beaucoup, alors submergées par des décérébrés, ce n’est pas un avenir qui chante.

    Remplacez les zombies d’un film d’horreur par la “masse” et vous aurez votre vision de l’avenir.

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    @duJambon
    Tiens, ils sont où les grands défenseurs de la planète ?
    Ils n’arrêtent pas de gueuler (avec raison) sur nos trop grandes consommations d’énergie mais en même temps ça s"extasie sur les performances de ces IA et là, c’est le silence radio parce que ça les intéresse…
    Encore une fois, c’est l’incohérence la plus totale…
    Bonne journée à toi…

  • Un double moniteur sympa

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    @H-Barret ça, c’est pas mal du tout !

  • Recyclage des batteries au lithium

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    Pour que le recyclage des batteries devienne rentable, il fallait que le lithium se fasse rare ou que le procédé de récupération ne coûte pas trop cher, c’est ce que le groupe Eramet tente de faire.

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    L’objectif final d’Eramet est de traiter 50.000 tonnes de modules de batteries par an, soit environ 25.000 tonnes de “black mass”, ce qui permettra d’alimenter environ 10% du marché européen des batteries électriques automobiles, selon les calculs du groupe.

    Le lithium liquide bouillonne dans le mélangeur. Puis se décante et tombe, en pâte blanchâtre, au fond du tube de verre, auréolé d’une couche huileuse de couleur vert-océan: le nickel. Dans ce labo, le groupe minier français Eramet prépare son virage vers les métaux critiques de la transition énergétique.

    Ici, au sud de Paris, on teste les étapes de séparation des métaux issus de batteries usagées de voitures électriques.

    Objectif: les recycler et les réutiliser dans des batteries neuves. Avec l’espoir de supprimer d’ici 2050 les émissions de CO2 de nos véhicules actuels, biberonnés au pétrole.

    Concassées, les anodes et les cathodes des batteries --de fines feuilles de cuivre et d’aluminium recouvertes de poudres métalliques-- sont réduites en poudre noirâtre au nom légèrement angoissant: “black mass” (au double sens en anglais: “masse noire” et “messe noire”).

    Ce sombre mélange de nickel, cobalt, manganèse et lithium réunit tous les métaux nécessaires pour collecter et conduire l’électricité à l’intérieur d’une batterie. Reste à les séparer par un procédé dit “liquide-liquide”.

    Au bout d’une longue ligne de filtrage, tamisage, purification, les bocaux de sulfate de nickel en granulés verts voisinent sur la paillasse du labo avec ceux de sulfate de cobalt (rouge cuivré) et de carbonate de lithium (blanc).

    Ils seront revendus. Prêts à refabriquer des batteries neuves au standard NMC (nickel-manganèse-cobalt), le plus répandu de l’industrie automobile.

    “A la différence du carburant brûlé par les moteurs thermiques, ces métaux sont recyclables à 95%”, assure Frédéric Martin, directeur du projet recyclage Batteries chez Eramet ideas, dont le laboratoire est basé à Trappes.

    A l’instar de l’Union Européenne qui a présenté jeudi sa stratégie pour atteindre une souveraineté sur ces matériaux stratégiques de la transition, on sait depuis longtemps chez Eramet que le recyclage de batteries usagées sera la “mine urbaine” des Européens, privés de plusieurs matières premières de base.

    Le groupe exploite aussi au Gabon la plus grande mine de manganèse du monde, et produit du nickel en Nouvelle-Calédonie et en Indonésie. L’extraction de lithium dans des sources géothermales en Alsace est prévue d’ici la fin de la décennie, et en Argentine l’an prochain avec un partenaire chinois.

    Les besoins sont tellement gigantesques pour assurer l’électrification du monde et abandonner les énergies fossiles, qu’il faudra “aussi bien relancer des mines pour extraire de nouveaux métaux que développer le recyclage, tout en continuant à importer en Europe”, souligne Colin Mackey, représentant en Europe du géant minier Rio Tinto, lors d’un entretien téléphonique avec l’AFP.

    Le groupe minier français Orano prévoit également l’ouverture d’un site pilote pour le recyclage des batteries automobiles à Bessines-sur-Gartempes dans le Limousin.

    Eramet prévoit son usine de recyclage des batteries en 2027 dans le nord, en partenariat avec Suez, chargé des opérations “amont” de broyage, déchiquetage des cellules de batteries, et séparation du plastique, du cuivre et de l’aluminium.

    En septembre, il va lancer une première usine pilote à Trappes à côté de ses laboratoires pour tester grandeur nature les procédés hydro-métallurgiques mis au point par ses ingénieurs pour retraiter la “black mass”.

    Jusqu’à présent aucune usine ne traitait la black mass en Europe. Elle devait être exportée à l’étranger pour être retraitée.

    “Une fois qu’on aura amené les métaux en Europe, ce serait idiot de les renvoyer pour aller fabriquer à l’étranger de nouvelles batteries”, souligne Julien Masson, directeur de la stratégie chez Eramet.

    Le parc automobile électrique français est encore trop jeune pour recycler ses batteries. “Il faut compter 12 à 15 ans d’âge” selon Sophie Lebouil, cheffe de projet chez Eramet, pour qui tous ces métaux réutilisés sont le “futur pétrole” du 21e siècle.

    Dans un premier temps, l’entreprise mise surtout sur le recyclage des rebuts de fabrication des trois usines de batteries prévues en France, dont la première doit ouvrir fin mai à Douvrin-Billy Berclau (Hauts-de-France) pour le constructeur automobile Stellantis.

    Source: https://www.ladepeche.fr/2023/03/20/dans-un-labo-ou-le-lithium-sort-liquide-on-imagine-une-deuxieme-vie-pour-les-batteries-11075916.php