[Topic Unique] Actualités cinéma & séries
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Noryang: Deadly Sea : teaser pour la nouvelle bataille navale de Kim Han-min
Film après film, Kim Han-min continue de se pencher sur quelques unes des plus grandes batailles de l’histoire de la Corée. Cette année, avec Noryang: Deadly Sea, il s’attaque à la bataille de No Ryang, une étape majeure contre l’envahisseur japonais.
Depuis l’excellent War of the Arrows en 2011, Kim Han-min ne quitte plus un genre qui lui sied à merveille, celui des grands films de guerre revisitant des moments importants de l’histoire militaire coréenne. Ainsi, il a ensuite mis en scène The Admiral: Roaring Currents puis Hansan: Rising Dragon, deux films qui se penchaient sur deux importantes batailles navales : celle de Myeongnyang et celle de l’île Hansan.
Avec Noryang: Deadly Sea, il s’attaque à la bataille de No Ryang, la dernière grande bataille navale de la guerre d’Imjin qui mit fin à cette tentative japonaise d’envahir la Corée, et la dernière bataille que livra l’Amiral Yi Sun-sin. Après Choi Min-sik et Park Hae-il dans les deux films précédents, c’est Kim Yun-seok qui interprète cette fois l’Amiral légendaire, entouré de Baek Yoon-sik, Jung Jae-young, Huh Joon-ho, Kim Sung-kyu, Lee Kyu-hyung, Lee Mu-saeng, Choi Deok-moon, Ahn Bo-hyun, Park Myung-hoon et Park Hoon.
Le teaser ci-dessus est un peu avare en images mais on peut s’attendre à quelque chose d’épique doublé d’émotions exacerbées.
Noryang: Deadly Sea sortira en Corée du Sud le 16 décembre 2023.
Synopsis
En 1598, la guerre Imjin de sept ans touche à sa fin alors que les envahisseurs Wae se préparent à se retirer de Joseon. L’amiral Yi Sun-shin dirige une flotte alliée de navires Joseon et Ming pour anéantir l’armée Wae. Les forces Joseon, Ming et Wae s’affrontent dans le détroit de Noryang, la mer meurtrière où l’amiral Yi livre sa dernière bataille.
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FAQ : Trailer pour le film de Kim Da-min, le nouveau Save The Green Planet ?
C’est l’histoire d’une fillette, en Corée, qui trouve refuge dans le confort de son imagination, notamment en suivant les conseils de ses amis imaginaires. Lors d’un voyage scolaire, elle se réveille au milieu de la nuit, se trouve étrangement attirée par une bouteille cachée de makgeolli (du vin de riz coréen) et réalise que le liquide fermenté essaie de communiquer avec elle en faisant des bulles. Plus tard, elle comprend que les bulles sont un code morse et que, de toutes les langues du monde, le makgeolli lui parle en farsi. Elle se retrouve transportée dans un étrange voyage façon Alice au pays des merveilles.
Voilà les promesses originales de FAQ, premier long métrage de Kim Da-min, présenté cette année au Festival de Busan. Selon nos confrères de Screen Anarchy qui ont pu découvrir la chose, « il y a vingt ans, le classique coréen Save the Green Planet a réussi le même tour de force et il ne fait aucun doute que ce film constitue une influence majeure de FAQ, en particulier lorsque l’histoire s’approche de son final teinté de science-fiction qui a la surprenante capacité de vous faire sourire et de vous faire frissonner. »
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@Violence a dit dans [Topic Unique] Actualités cinéma & séries :
Je ne sais pas vous mais moi, il me fait méchamment bander ce projet
Ba on voie pas grand chose dans la BA, faudra peut être attendre de voir un peu plus
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La mini série Continental m’a bien plu. J’ai kiffé la bande son de ouf … des 70th lol
expendable 4 : limite limite, parce que je suis fan
j’ai enfin pu voir la fin du dernier mission impossible (pour ceux qui ont suivi lol) euh, la scène du saut, on l’a déjà vu et revue 25 fois à la télé .y’a rien de plus … du coup oui bof, c’est du mission impossible dans toute sa splendeur !
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@Mister158 je l’ai fini hier aussi, sympa mais sans plus, quelques longueurs
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@Mister158 a dit dans [Topic Unique] Actualités cinéma & séries :
La mini série Continental m’a bien plu. J’ai kiffé la bande son de ouf … des 70th lol
Je plussoie. Il y a quelques longueurs, mais la bande son est d’enfer!
Je viens de finir “Star Trek: Strange New Worlds - saison 2”. Vous connaissez le principe de croiser deux séries dans un épisode? Il l’on fait dans l’épisode 7, d’une façon, on va dire, particulière. L’épisode 9 est aussi particulier dans un autre registre… j’adore ces sagas
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12.12: The Day : premier teaser pour le nouveau film de Kim Seong-su
Le réalisateur de Musa et Asura: The City of Madness est de retour avec 12.12: The Day, un film qui s’inscrit dans cette belle vague de thrillers politiques/paranoïaques qui s’impose de plus en plus dans le paysage cinématographique sud-coréen.
Depuis le formidable City of the Rising Sun en 1998 (voire même plus tôt pour qui a eu la chance de voir ses premiers longs métrages), Kim Seong-su s’est imposé comme l’un des réalisateurs qui comptent en Corée. Par la qualité de ses films bien entendu, mais également par les énormes succès populaires qu’il a pu générer, de Musa la princesse du désert à Pandémie, aka The Flu. La dernière fois qu’on avait pu profiter de ses travaux, c’était avec l’impressionnant Asura: The City of Madness sorti en Corée en 2016 et qui était passé dans plusieurs festivals. Mais depuis, c’était silence radio pendant 7 ans.
Un silence rompu avec 12.12: The Day, le nouveau film de Kim Seong-su, un thriller politique inspiré de faits réels. Ici, le coup d’état de décembre 1979, soit quelques semaines après l’assassinat du président/dictateur Park Chung-hee, évènement majeur de l’histoire sud-coréenne dont le cinéma s’est déjà emparé à travers les excellents The President’s Last Bang et L’homme du président. 12.12: The Day s’intéresse donc au premier coup d’état qui aura suivi, perpétré par le Général Chun Doo-hwan qui aura plongé la Corée du Sud sous commandement militaire pendant de nombreuses années. C’est sous son règne de terreur qu’aura lieu le tristement célèbre massacre de Gwangju, traumatisme évoqué à de nombreuses reprises dans le cinéma sud-coréen, du Vieux jardin à Hunt, en passant par Peppermint Candy et A Taxi Driver. Avec 12.12: The Day, Kim Seong-su s’attaque donc à un des éléments déclencheurs du régime oppresseur des années 80. Il y met en scène un casting remarquable, avec notamment Hwang Jung-min, Jung Woo-sung, Lee Sung-min, Park Hae-joon et Kim Sung-kyun.
12.12: The Day sortira en Corée du Sud le 22 novembre 2023.
Synopsis
En décembre 1979, Séoul sortait d’un hiver rigoureux en attendant le printemps. Après l’assassinat du président Park, la loi martiale fut déclarée. Un coup d’État est orchestré par le chef des services secrets Chun Doo-gwang accompagné d’officiers. Le commandant de la défense de la capitale Lee Tae-sin, un soldat obstiné qui croit que l’armée ne devrait pas prendre d’action politique, se bat contre Chun Doo-gwang pour l’arrêter. Le conflit entre les deux grandit tandis que les chefs militaires retiennent leur décision et que le ministre de la Défense est parti. Au milieu du chaos, le printemps de Séoul que tout le monde attendait prend une tournure inattendue.
–> Je suis assez friand du genre et Kim Seong-su quoi !
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The Iron Claw : trailer du nouveau film de Sean Durkin
3 ans après The Nest, Sean Durkin, réalisateur du magnifique Martha Marcy May Marlene, revient avec un biopic sportif pas comme les autres. The Iron Claw se penche ainsi sur le cas de la famille de catcheurs, les frères Von Erich, et la malédiction qui pesa sur eux.
Il y a un peu plus d’une dizaine d’années, on découvrait Sean Durkin avec Martha Marcy May Marlene. Un premier film incroyable qui marquait la naissance d’un grand réalisateur. Il enchaîne rapidement avec la mini-série Southcliffe, puis il faudra attendre de longues années pour le retrouver avec l’étonnant The Nest puis la série Faux-semblants, relecture du film de Cronenberg. Et le voilà déjà de retour avec The Iron Claw. Un biopic sportif consacré aux frères Von Erich, une famille de catcheurs qui ont fini par tomber comme des mouches. Au casting, on retrouve Zac Efron, Jeremy Allen White, Harris Dickinson, Maura Tierney, Stanley Simons, Holt McCallany et Lily James. Du lourd donc, pour un projet vraiment étonnant dont la photographie a été assurée par Mátyás Erdély.
The Iron Claw sortira dans les salles américaines le 22 décembre 2023.
Synospis
L’histoire vraie des inséparables frères Von Erich, qui ont marqué l’histoire du monde extrêmement compétitif du catch au début des années 1980. À travers la tragédie et le triomphe, dans l’ombre de leur père et entraîneur dominateur, les frères recherchent une immortalité plus grande que nature sur la plus grande scène sportive.
–> Encore une production A24 Et un bien beau casting (Jeremy Allen White, Holt McCallany, …)
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@Mister158 @Pluton9
Comme vous avez aimé la BO de The Continental qui est ma foi d’enfer, un site en a fait une playlist.https://soundtracki.com/fr/tele/the-continental-from-the-world-of-john-wick-saison-1-bande-sonore
PS: je ne suis pas abonné à Amazon Prime…
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arf, j’ai quasiment tous les morceaux sur mon disque dur déjà lol
tu te doutes que du Santana du Floyd et tout ca … je n’ai pas attendu la série pour aimer voire adorer lol
après pourquoi pas remarque, ça peut être sympa. dès que j’ai de nouveau prime je vais écouter ça
merci pour l’attention
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Je vais dans le même sens que @Mister158 et te remercie @El-Bbz
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Thanksgiving : Eli Roth fais sa promo
D’abord conçue comme une fausse bande-annonce pour l’anthologie Grindhouse tout comme Machete, Thanksgiving (rebaptisé avec talent Thanksgiving : la semaine de l’horreur chez nous ) devient un vrai long-métrage sous l’impulsion de son réalisateur Eli Roth (Hostel) dont la carrière est en légère perte de vitesse depuis quelques années.
Ici, le cinéaste s’adresse aux amateurs de slasher en créant un nouveau boogeyman inspiré des pères fondateurs décimant les membres d’une petite communauté. Sony vient de dévoiler une trop brève featurette permettant à Roth de vendre son concept au grand public qui pourra découvrir le résultat en salles dans l’Hexagone le 29 novembre prochain.
–> Complètement dinde ou pas ? Réponse le 29 novembre
Suitable Flesh : La chair et le sang
Grand fan de HP Lovecraft, Joe Lynch (le très fun Mayhem) rend hommage au romancier avec Suitable Flesh qui lui permet de collaborer avec le scénariste Dennis Paoli et la comédienne Barbara Crampton.
Deux artistes ayant tâté du Lovecraft quelques décennies plus tôt puisqu’ils ont figuré au générique des mythiques Re-Animator et From Beyond dont Lynch s’inspire ici.
Sans date chez nous (pour l’instant), Suitable Flesh est disponible en VOD aux USA depuis ce jour avant de paraitre en DVD et Blu-ray le 24 janvier prochain sous la houlette de RLJE Films.
Synopsis
Une psychiatre spécialiste des expériences extracorporelles traite une nouvelle patiente qui l’entraînera dans une spirale de possession, de sexe et de mort. Elle est forcée de percer le secret d’une créature à laquelle elle se trouve intimement liée.
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Spawn : un retour au cinéma avec un film de super-héros horrifique
Durant la Comic-Con de New York, Jason Blum a affirmé que la prochaine adaptation de Spawn par Blumhouse Productions (The Forever Purge, The Black Phone, Five Nights at Freddy’s) va allier originalité et audace dans le but de surprendre les fans du comics. En développement depuis plusieurs années, le film pourrait arriver dans les salles obscures d’ici 2025.
Le créateur de Spawn, Todd McFarlane, a été fortement impliqué dans le projet, en travaillant sur le scénario et, à un moment donné, en étant pressenti pour réaliser l’adaptation. Il a également annoncé que Jamie F**x jouerait le personnage principal, Al Simmons, alias Spawn. Il semble également que le scénario de Spawn était presque terminé avant la grève des scénaristes aux États-Unis et qu’il pourrait être achevé plus tôt que prévu, maintenant qu’un accord a été conclu entre l’AMTPT et la WGA. Dans les comics, Al Simmons devient un assassin pour le gouvernement américain après avoir servi dans la Force Recon en tant que Marine et dans les services secrets avant d’être recruté par la CIA.
Blumhouse Productions mise sur l’horreur de Spawn
Spawn est une opportunité pour le genre super-héros d’aller au-delà de la formule du MCU (Marvel Cinematic Universe) et du DCEU (DC Extended Universe), en plongeant pleinement dans les éléments plus inspirés de l’horreur. Des projets comme The Boys et Invincible ont adopté une nouvelle approche dans le domaine, mais Spawn pourrait faire ressortir l’horreur d’une manière qui ouvrirait la porte à d’autres expérimentations. L’enthousiasme de Jason Blum pour apporter quelque chose de nouveau au genre pourrait revitaliser l’originalité de ce que les super-héros peuvent être sur le grand écran.
– Source
https://www.begeek.fr/spawn-un-retour-au-cinema-avec-un-film-de-super-heros-horrifique-388287
–> Cool, j’ai toujours adoré Spawn, il a été le premier Comics auquel je me suis abonné avec Witchblade & the Darkness. J’adore le style de Capullo sur cette série. Vu que le premier film était pas terrible, j’ai hâte de voir ce que Jason Blum peut produire et j’espère donc que le violator sera de retour
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The Killer : nouvelle bande-annonce pour le film de David Fincher
Après son passage à la Mostra de Venise et quelques projections évènementielles, The Killer, le nouveau film de David Fincher, sortira le mois prochain sur Netflix. Et pour l’occasion, on a droit à une nouvelle bande-annonce très alléchante.
3 ans après le très beau et surprenant Mank, le grand David Fincher poursuit sa collaboration avec Netflix pour The Killer. Un thriller qui cette fois ressemble énormément à ce à quoi le réalisateur nous avait habitué jusque là. Il retrouve ici son scénariste Andrew Kevin Walker qui adapte ici la bande dessinée Le Tueur de l’auteur français Matz, aka Alexis Nolent. Et il offre le premier rôle à Michael Fassbender, qui avait un peu disparu des écrans depuis quelques années pour se consacrer à la course automobile. A ses côtés on retrouve Arliss Howard, Charles Parnell, Kerry O’Malley, Sala Baker, Sophie Charlotte et Tilda Swinton. Erik Messerschmidt s’est chargé de la photographie de The Killer, tandis que les fidèles Atticus Ross et Trent Reznor ont signé la bande originale.
The Killer sera visible sur Netflix à partir du 10 novembre 2023.
synopsis
Après une catastrophe évitée de justesse, un tueur se bat contre ses employeurs (et lui-même) dans une chasse à l’homme à travers le monde qui, dit-il, n’a rien de personnel.
–> Hâte de voir la chose
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@Violence a dit dans [Topic Unique] Actualités cinéma & séries :
The Killer sera visible sur Netflix à partir du 10 novembre 2023.
Merci Violence, je sais ce que je verrai ce soir là
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Hermana Muerte : nunploistation chez Plazza
Après le pas si mal Tin & Tina, l’inutile Bird Box Barcelona et l’abominable Book Club Mortel, le cinéma d’horreur espagnol continue à se faufiler sur Netflix. Ressorti de l’ombre avec le très surcoté (qui s’en souvient d’ailleurs?) La Abuela, Paco Plaza cède à son tour aux sirènes du grand N. On ne misait pas un Kopeck dessus, et pourtant… Pas de quoi flip-floper au plafond en voyant le point de départ, totalement prétexte, du long-métrage: il s’agit en réalité d’un prequel à Veronica, qui met les voiles sur le passé de l’étrange bonne sœur aveugle croisée dans ce petit film de possession/malédiction qui s’appuyait sur un fait divers du début des années 90. Une simple excuse tant les films ne communiquent guère entre eux (si ce n’est le point final en guise de recontextualisation). Mais telle Claire Denis, nous autres, on s’en fout!
Dans l’Espagne de l’après-guerre, une ancienne miraculée intègre un couvent reconverti en école catholique et se trouve accueillie à bras ouverts au vu de sa réputation. Mais, on vous le donne en mille: d’étranges phénomènes se déroulent dans le lieu saint, et en particulier dans la chambre de la novice. Coups dans les murs, chaise qui bouge, dessins mystérieux, apparition fantomatique: rien ne manque!
II serait mentir de prétendre que Plaza nous file la frousse bleue. Mais, et c’était le cas dans Veronica et La Abuela, il ne cède jamais à la dure loi du jumpscare décervelé. À défaut de faire claquer des dents, le film rafle des points ailleurs, en partculier dans sa plastique irréprochable, assez proche des manœuvres d’une prod A24, et qui va jusqu’à renvoyer au cachot l’atroce The Exorcist — Dévotion de David Gordon Green, qui réussissait l’exploit de ressembler à un téléfilm malgré ses 30 millions de dollars.
Si elle ne révolutionne pas le genre, loin de là, cette nunploistation surnaturelle a le bon goût de durer seulement 1h30: une aubaine à l’heure des prolongations artificielles. Plus féroce dans sa seconde partie, Les ordres du mal s’attaque à la loi du silence si chère à l’Église sans jamais côtoyer les cimes transgressives d’un certain cinéma espagnol (ah que c’est loin Virdiana et La Résidence…). un petit manque de perversité qui n’empêche pas une ultime vengeance d’outre-tombe parsemée d’images grand-guignolesques aussi belles que cruelles. On pense parfois à la surprise provoquée par L’abîme de l’enfer, autre petit film d’horreur qu’on pouvait trouver au rayon domimum sanctum de Netflix.